Coucou, alors voilà ma première Fan Fics que je voudrais dédier a Mademoiselle Mime et Extraterrestre qui ont tous deux écrit des petites merveilles que je vous invite à aller voir. Et je souhaiterais aussi remercier mille fois la merveilleuse, fantastique, extraordinaire, généralissime J.K Rowling, sans qui Harry Potter n'existerais pas (et ça, ça serait assez triste ^^ )
Et un grand merci pour Lily7 qui a eu l'immense courage d'accepter de me corriger
Bonne lecture.
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Alerte aux nouveaux lecteurs :
Cette fan-fic est abandonnée. Elle sera réécrite un jour mais pour le moment, elle restera en état.
Voir Chapitre 34 pour de plus ample informations.
Merci pour tout !
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Harry Potter et les méandres du temps
Chapitre 1 : mauvais anniversaire Harry
Le Survivant était étendu dans le fauteuil poussiéreux en cuir noir de l'oncle Vernon, le visage tourné vers la montre que lui avait offert Mrs Weasley, 31 juillet 1999, 23h 10.
Encore une fois, il allait fêter son anniversaire seul, encore une fois ce ne serait que des mots dans la poussière qui lui souhaiteraient son dix-neuvième éme anniversaire, encore une fois, il n'avait plus de famille.
Harry se leva, cela faisait maintenant une semaine qu'il s'était réfugié dans la maison des Dursley après l'assassinat de la famille Weasley, il n'avait pas vraiment espéré y trouver un quelconque réconfort, mais retourner là où il avait eu une famille, si peu aimante soit-elle, lui faisait du bien.
Mais Harry le savait, jamais plus il n'entendrait son cousin le tyranniser, ni Hermione lui faire la morale, et encore moins son parrain, Sirius Black qui avait été dans les premiers à partir, partir dans un monde inconnu des Vivants.
Mais l'Elu n'était pas totalement seul, en fait, la seule personne qui lui restait était son professeur de DCFM, Remus Lupin, mais à cette heure, il était en train de hurler à la lune.
Le jeune homme fouilla dans le sac à moitié brûlé qu'il avait pris dans les décombres de la maison Granger, Harry se souvenait bien le jour où Hermione avait sorti plusieurs changes d'un sac à main pas plus gros qu'un point.
Harry sourit tristement à ce souvenir, sa main se referma sur plusieurs objets qu'il extirpa du sac et les observa tristement :
Il y avait l'album qu'Hagrid lui avait offert lors de sa première année, le livre de potion du Prince de sang mêle qu'Harry avait pris le temps de récupérer, un bout du miroir que lui avait offert son Parrain, le premier vif d'or qu'il avait attrapé…
Et une photo, lui, Hermione, et tous les Weasley souriait sans retenu, enlacé, le trio abordait la tenue de Poudlard, un insigne rouge et or sur leurs poitrines. Une larme coula le long de sa joue et tomba sur le visage de Mrs Weasley, à ses cotes une jeune femme aux cheveux roux et aux yeux chocolat souriait joyeusement et faisait des signes de sa main droite.
Mais la jeune femme qu'Harry Potter avait jadis voulu épouser était parti à jamais.
Assis sur ce qui fut son lit jeta un coup d'œil à sa montre : minuit pile.
- Joyeux anniversaire Harry.
Sa voix sonnait faux, il songea avec mélancolie qu'elle lui rappelait la voix de Sirius après sa sortie d'Askaban, prison ou était à présent enfermé une partie des Opposants à Lord Voldemort, ceux qu'IL n'avait pas pris le temps de tuer, des gens comme Mondingus Fletcher ou Peter, le traître.
Le Survivant. Encore une fois, c'était lui le Survivant, celui qui avait survécu.
Et encore une fois, c'était ses amis qui en avaient payé le prix.
Lentement, il plongea dans un sommeil où l'attendaient tous ceux qui avaient crus en lui, et qui étaient mort pour cela.
Harry était assis sur son lit, son cousin à ses côtés, cela faisait peu de temps que Dudley avait changé de comportement envers lui, et le jeune Moldu était devenu vraiment agréable et trouvait passionnant tout ce que Harry pouvait faire avec sa Magie, que ce soit des étincelles multicolore ou des sorts un peu plus complexe :
- refait le coup des oiseaux, Harry.
Le jeune homme fixa son cousin et sourit, le Survivant avait l'impression d'avoir en face de lui un gamin de six ans devant un sapin de noël qui serait arrivée en avance :
- Avis
Et d'une lueur rougeâtre ressemblant à celle qui le soleil dégageait avant de se coucher jaillit des petits oiseaux gazouillant qui virevoltait dans la pièce, heureux et insouciant.
Quand soudain un froid inhabituel s'installa sur le 4 Privet Drive, suivit d'un désespoir profond qui s'emparât des habitants de la demeure.
Un froid qu'Harry et son cousin connaissaient que trop bien…
Le jeune Potter bondit sur ces pieds et, ouvrant la porte a volée, descendit les marches de l'escalier grinçant quatre à quatre avant de jaillir hors de la maison.
Voldemort se trouvait devant lui, ses pieds nus sur le goudron humide, entouré de plusieurs centaines de silhouettes décharné recouverte de longue robe noir usée.
Le Lord sourit en voyant apparaître celui qui devait le l'anéantir, il y avait eu un temps ou lui aussi avait voulu tuer celui qui se faisait appeler L'Elu, mais il s'en était lassé, préférant tuer ses proches et le voir souffrir mille Endoloris que de continuer à lui courir après.
- Expecto Patronum !
Et de la baguette jumelle de Tom Jedusor jaillit un cerf d'argent qui se chargea des sorciers damnés
Les Detraqueurs, qui avaient commencé à se nourrir des voisins sans que ces derniers, étant moldu ne puissent les voir, reculèrent devant la lumière bleutée que diffusa le Patronus.
- Moi aussi je suis très heureux de te revoir Harry Potter, ce n'est pas très gentil de les empêcher de se nourrir.
Tante Pétunia et Oncle Vernon avaient rejoint leur fils sur le pas de la porte lorsque Pétunia prit la parole :
- C'est Lui, n'est-ce pas Harry ?, c'est l'assassin de Lily, c'est le mage Noir.
Harry regarda tante Pétunia, prés à lui répondre, mais Voldemort le devança et se tourna vers Mrs Dursley, de la haine dans les yeux :
- Alors comme ça, je suis célèbre même chez la vermine, j'en suis honoré, et vous allez bientôt grossir les rangs de mon armée…, Harry ? , un dernier mot à ta famille, non ?, dommage…
Voldemort leva sa baguette et fixa les trois Dursley, un sourire sadique sur les lèvres.
Harry sut ce qu'il allait se passer mais n'eut pas le temps de réagir assez vite.
Sans formuler aucun sortilège, un jet de lumière verte le frôla de peu…, et toucha finalement la dernière famille de Harry Potter.
-Protego ! Protego ! Non ! Oncle Vernon, Tante Pétunia, Dudley, non, pas vous, ne partez pas…
Le Survivant tomba à genoux, traînant difficilement près des trois corps inerte tombé, à même le sol.
Son cousin, le visage figé dans une position d'effroi, sa tante, la sœur de sa mère, partie, elle aussi, une lueur de terreur à jamais inscrit dans ses yeux.
Le jeune homme était fou de rage, se leva et fit face à celui qui c'était attribué le titre de Lord, des larmes bouillantes lui brouillaient la vue.
Encore des morts, et toujours de sa faute, mort pour l'avoir protégé ou soutenu, voilà le sort qu'attendait à ce jour beaucoup trop de sorciers.
-Endoloris !
L'éclair de lumière rouge fusa et le jeune homme à la cicatrice hurla de douleur, trop faible pour résister.
Aux fenêtres voisines les voisins moldu commençais à paniquer, sur le pas de la porte de la famille Dursley, trois corps était étendu sur le sol, un jeune garçon en train de hurler de douleur et un autre homme, tous de noir vêtu, semblait s'extasier de la douleur qu'il provoquait.
Tout ce qu'entendit Harry avant de s'évanouir fut un coup de fusil et la désagréable impression d'être tiré en arrière.
Harry se réveilla au lever du soleil par le doux chant des oiseau, un homme étendu a ses côtés, il ne voulut pas savoir qui l'avais sauver, cet homme était mort, lui aussi et c'était bien suffisant à savoir.
À genou sur l'herbe verte, Harry pleura, non pas pour sa famille ou pour l'homme, mais seulement pour vider toute la tristesse qui s'était accumuler en lui depuis trop longtemps.
Il enterra l'homme à la manière sorcière, plus rapidement, plus dignement, la peur de voir une personne qu'il connaissait, désormais morte, lui était insoutenable.
Sur la pierre tombale, le balafré marqua quelques mots du bout de sa baguette :
Ci-git.
Un homme inconnu.
?- 9 septembre 1988.
Victime de Lord Voldemort, comme tant d'autres.
Harry se réveilla en hurlant, ses draps trempés autour de lui, autant par ses larmes salée qui ruisselait dans la bouche du jeune homme que par la sueur qui suer à grosse goutte le long de tout son corps endolori, une poche de glace était posé sur son front.
Lentement, le jeune homme à la cicatrice se redressa, autour de lui sa chambre semblait tourner de façon incontrôlable, mais il tenta tout de même de se lever…, et fut n'arrêter pas une main douce, mais ferme qui exerça une forte pression sur son thorax ce qui le fit se recoucher.
- Doucement Harry, doucement.
Au bout de quelques minutes, Remus lupin l'aida à s'asseoir, le lycanthrope avait le teint couleur lune et des cernes digne du record du monde des insomniaques, même si l'ancien professeur s'en aurait bien passé.
Harry prit sa tête entre ses mains et sourit tristement, un cauchemar, encore un, c'était l'un des désavantage d'être relié au plus puissant mage noir que la terre ai jamais porté.
- Alors Remus, comment, c'est passer t'a nuit ?
Le loup-garou tira la langue à son ancien élève et fit semblant de bouder, cela réchauffa un peu le cœur désormais froid que Harry s'efforçait d'avoir.
- ma nuit, c'est bien passer merci, mais c'est pour toi que je m'inquiète, tu sais que je t'ai retrouvé dans ton lit hurlant comme un forcené.
La mine d'Harry s'assombrit et baissa les yeux, des larmes se formèrent au coin des yeux du Balafré, et il n'en fallut pas plus à Remus pour comprendre le pourquoi de ces hurlements :
- Oh, désolé, qui ?
- Les Dursley…
Remus baissa la tête en signe de recueillement, imitée par le fils de Cornedrus, pendant une minute qui parut des heures, aucun son ne fut émis, en souvenir de la seul famille qu'Harry Potter n'eut jamais eu.
Remus releva la tête, un sourire aux lèvres, mais une immense tristesse dans les yeux :
lui aussi avait perdu des êtres cher, donc sa femme Tonks et son petit garçon de trois ans qui avait été retrouvé mort dans la foret interdite, une plaie béante dans le cou.
Il avait vu mourir tant de monde qu'il avait plusieurs fois voulu en finir lui-même et rejoindre tous ceux qui était parti, mais il avait retrouvé Harry dans la maison des Black, dans un état encore plus désastreux que le sien, le jeune homme qui avait été autrefois souriant et attentionné n'était plus aujourd'hui qu'une enveloppe ravagée par la culpabilité et le chagrin.
Les yeux du fils de son meilleur ami étaient continuellement rougis par les larmes et ses poches remplit de mouchoir, plus rien ne semblait pouvoir le rendre heureux, même voler sur un balai ne l'enchanter plus, c'était juste un moyen de lui rappeler les matchs à Poudlard, avec Ron, Ginny et tous les autres, des amis.
Et les rares fois où le jeune homme souriait, c'était des sourires tristes :
Les sourires appartienne aux passées, au temps du bonheur avait-il dit un jour, le jeune homme aux yeux d'émeraude n'avait pas connu le réel bonheur depuis deux longues années, deux années durant lesquels il avait vu mourir tous ses ami, toute sa famille.
Remus s'était rendu compte, trop tard, qu'Harry vivait retrancher dans ses souvenirs de jours heureux désormais révolu, et que rien ne pourrait le soulager, rien sauf peut-être la mort Seigneur des Ténèbres, et la sienne…
Remus serra le jeune homme contre lui, conscient de son chagrin, il se leva et enfila un ses manteaux miteux usés par le temps :
- Vient Harry, prend tes affaires et allons-nous promener, ça nous fera du bien à tous les deux.
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Alors ?, n'oubliez pas les Reviews…
Le prochain chapitre se nommera « Souvenir et Retrouvailles »