Hey !
J'ai le plaisir (et parce que je suis de bonne humeur),
de vous présenter le prologue
(très court, je sais. Le premier chapitre sera bien plus long)
de "And it's just like the ocean under the moon"
(on verse dans le mystique, sans déconner!).
C'est un nouveau genre de fanfiction que je vais tester,
parce que j'avais très très envie de le faire.
Et bon, quand j'ai envie d'un truc, j'essaie !
Je sais que vous n'aurez pas grand chose à dire,
mais j'aimerais lire vos suppositions sur ces quelques lignes
(ce qu'elles peuvent impliquer selon vous... la direction que ça va prendre, etc...).
Je peux simplement vous dire que le titre traduit beaucoup de choses,
vraiment BEAUCOUP. Ce n'est pas une simple "métaphore".
..::..
Ce sera très différent de d'habitude,
mais j'aurais l'occasion d'en reparler.
Bien sûr, sauf les personnages qui me seront propres,
Stephenie Meyer est la seule à toucher les pesos pour les droits d'auteure.
Et Andrea a été mon cerveau pour les brainstormings intenses
sur fesses de bouc et par sms lol merci ma belle !
..::..
On se retrouve d'ici une poignée de jours...
D'ici là, portez-vous bien !
Tiftouff19.
~ prologue ~
Il connaissait la souffrance par coeur. Chaque cellule de sa peau l'avait vécue, sentie. Il savait jusqu'au fond de son âme les sensations que procuraient les coups qui tombaient, et les marques que laissaient les plaies partout.
Il connaissait cette souffrance par coeur, mais il voulait la voir chez un autre. Il voulait voir la flamme s'éteindre dans les yeux d'une personne. Une personne autre que lui. Peu lui importait que le coup soit parti de l'arme de son ami. Peu lui importait qu'il ait fait cela pour échapper au camp d'en face. Et il se moquait bien que la balle se soit perdue en chemin, et ait atteint la mauvaise cible.
Il se penchait au-dessus du corps qui gisait au sol, les paupières ouvertes et le corps raide. Il voulait sentir le dernier souffle. Regarder la mort et face, et presque la narguer.
Car aujourd'hui, elle ne rôdait pas autour de lui.
- PUTAIN RESTE PAS LA, FAUT QU'ON SE TIRE D'ICI !
Il fut ramené en arrière, sans avoir pu le temps de sentir sur sa joue la sensation légère de la dernière respiration qui aurait caressé sa peau de façon imperceptible.
Il savait qu'un jour, il devrait mourir. Mais il avait une sainte horreur de l'inconnu. Le coeur presque lourd, il dut courrir pour s'éloigner de là, avant d'être rattrapé par les sirènes de police, les pompiers et les autres forces de sécurité.
Il a échoué. Il n'a pas eu le temps de voir la petite âme s'envoler...