(Corrigé)

Bonjour tout le monde !

Me revoilà avec une nouvelle fic ! Je n'avais pas prévu de poster mais il se trouve que cette fic est dédiée à la merveilleusement merveilleuse Pink Blue Green connue aussi sous le doux nom de PBG.

Voilà, PBG, cette fic est pour toi ! J'espère qu'elle te plaira !

Ce chapitre a été corrigé par l'immense Gwenetsi, je la remercie du fond du cœur ! Elle est la meilleure ! Je n'ai pas encore écrit la suite mais j'ai la suite en tête. Je pense qu'elle fera cinq ou six chapitres et elle sera peut-être en deux parties.

J'espère pouvoir poster toutes les semaines ou toutes les deux semaines, mais je ne promets rien, je me connais et vous commencez à avoir l'habitude !

Bref, je me tais, je parle trop : bonne lecture et à très bientôt !

Disclaimer (que ça faisait longtemps que je ne l'avais plus mis) : NCIS et ses personnages ne m'appartiennent pas, par contre, cette fic si. Ne la publiez pas sans mon autorisation. Je ne gagne pas d'argent malheureusement alors veuillez ne pas m'intenter de procès, merci. Je vous en serai reconnaissante.


Chapitre un : Étrange réveil

Il ouvrit ses yeux péniblement. Une lumière crue l'agressa et il referma ses paupières par réflexe. Il se concentra alors sur les bruits qu'il était capable de percevoir.

De discrets pas. Deux femmes qui chuchotaient. Le grésillement d'appareils électriques. Un rire. Des pleurs. Un hurlement.

Il sursauta. Oubliant la lumière, il voulut se redresser pour regarder où il était mais il ne put bouger : des liens le retenaient fermement à un lit d'hôpital. Il tenta de se libérer mais ne réussit qu'à se faire mal. Tandis qu'il essayait de se souvenir de la manière dont il s'était retrouvé ici, une femme âgée entra dans sa chambre.

Elle portait une tenue d'infirmière classique et ses cheveux blancs étaient attachés en un chignon tout aussi classique. Elle devait avoir une cinquantaine d'années et avait un faux air doux que trahissait un regard sévère.

« Bonjour, monsieur l'endormi. Vous voilà enfin réveillé, dit-elle.

- Où... où... ? tenta-t-il de dire mais sa gorge asséchée l'en empêcha.

- Où sommes-nous ? À l'hôpital Harrison, à Des Moines. »

Iowa ? Mais que venait-il faire là ? Il essaya de faire marcher sa mémoire, mais un mal de crâne commença à faire son apparition. Alors il abandonna, se promettant de recommencer plus tard. Son attention fut alors attirée par la femme qui lui tendait une paille. Il avala avec délice quelques gorgées d'une eau tiède qui apaisa sa soif.

« Quel jour sommes-nous ? Pourquoi suis-je ici ? Où est mon équipe ? Pourquoi je suis attaché ? Qui êtes-vous ? Je suis malade ? Je suis resté endormi longtemps ? Est-ce que...

- On se calme, monsieur Chisciotte, vous êtes encore fatigué. Toutes les réponses à vos questions arriveront en temps voulu, ne vous inquiétez pas. Maintenant, vous devez vous reposer. »

Il n'eut pas la force de se défendre, de mentir en disant qu'il allait très bien. Et au moment où il posa sa tête sur son oreiller, il réagit.

« Attendez ! s'exclama-t-il, criant presque.

- Que se passe-t-il ?

- Je ne suis pas Chisciotte, vous faites erreur. Je m'appelle Anthony DiNozzo, je travaille au NCIS.

- Monsieur Chisciotte...

- DiNozzo !

- Écoutez, nous savons tous les deux que c'est faux. Vous n'êtes pas cet homme. Il n'existe pas. Vous êtes Emanuel Chisciotte, comptable à domicile, vous avez trois enfants. Nous en avons déjà discuté, vous vous rappelez ?

- Non ! Je vous assure que c'est faux ! Je ne connais pas ce type ! Vous vous trompez !

- Calmez-vous ou j'appelle le docteur Dehmer.

- Appelez-l e! Il faut que je lui dise que je ne suis pas lui ! »

Il commença à s'agiter, à paniquer. Il aurait voulu se lever, appeler Gibbs. Il aurait voulu s'enfuir. Mais un homme entre deux âges entra dans la pièce, l'air décidé. Il essaya de calmer son patient, mais il ne voulait rien entendre.

« Je ne suis pas Chisciotte ! Je m'appelle DiNozzo ! Je suis agent fédéral ! Lâchez-moi ! Qu'est-ce que vous faîtes ? Attendez, non ! Je ne suis pas... Je... Non... DiNozzo... Appelez Gibbs... NC... »

Le médecin regarda le jeune homme puis poussa un soupir.

« Je ne sais pas ce qu'on peut faire pour lui. »

Ils échangèrent un regard entendu. Dehmer jeta sa seringue puis ils quittèrent la pièce.