Chapitre 10 Un Livre, Deux Enjeux, Trois Buts, Quatres Questions, Cinq Connaissances

Lin se tenait non loin de là.

« Lin, Chihiro souhaiterai réccupérer ses affaires, retrouves-nous aux appartements de Yubaba pour les lui remettre. » ordonna Haku.

Lin se retira non sans nous avoir préalablement jeté un regard suspicieux, les armes que nous arborions à nos côtés ne passaient certainement pas inaperçues.

Yubaba nous reçu dans son bureau ce qui me ramena plusieurs années en arrière, les lieux me semblaient à la fois familier et inexplicablement différent. Tout était toujours aussi faste mais terni.

Nous lui explicames briévement le pourquoi de notre présence.

« Zeniba ... Ma soeur jumelle a toujours été très secrète. Elle ne m'a rien dis à propos de ton retour. Ma soeur a depuis longtemps porté un vif intérêt aux autres mondes. La dernière fois que j'ai eu de ses nouvelles, elle m'annonçait la disparition du sans visage et elle se trouvait non loin de la demeure des anciens esprits. »

Haku resta silencieux.

« Nous irons leur rendre visite. » annonça-t-il soudainement.

« Quoi?! » lâchai-je, abasourdie.

« Aller à eux n'est pas forcément une mauvaise chose, si tu obtient l'aprobation du conseil, nous n'aurons pas à faire face à de facheux désagréments. De plus on t'a confié une mission semble-t-il, tu as fais une promesse et tu dois la respecter. Le livre et le savoir qu'il t'a été confié ne doivent pas s'en retrourner dans le monde des Hommes. » explica Haku.

« Il risque plutôt de chercher à me tuer ou à me reprendre le livre pour être certain que cela n'arrive pas. » répliquai-je, blasée.

« Les esprits des anciens ne s'en prendrons pas à toi. Ils sont soumis aux règles de ce monde. Tu ne représente aucun danger potentiel et n'a perpétré aucune offenses grave envers eux il n'on donc pas le droit de te causer de torts. Tu es devennue la gardienne du livre qui t'a été confié. Tu en as la responsabilité, par conséquent, tu as le droit de vie ou de mort sur ceux qui essayerons de te le voler et tu es soumis à ta promesse donc ils ne peuvent te renvoyer dans ton monde. » poursuivit-il.

« Lin est ici. » annonça Yubaba.

« Laisse-là nous rejoindre. » lâcha Haku.

La sorcière fit un mouvement avec son index et en echo à se geste j'entendis les nombreuses portes des appartements de Yubabab souvrir.

« Plus vite. » marmonna-telle en effectuant un autre mouvement de l'index comme pour faire signe à quelqu'un d'approcher.

J'entendis le couinement outragé de Lin avant que celle ci manipulé par la magie fasse une entrée fracassante dans le bureau.

« Mais enfin, ce ne sont pas là des manières ! Et, si j'avais su que vous vouliez que je rentre j'aurais pris l'autre ascenceur! » pesta Lin.

« J'imaginai que tu voudrais être tenue au courant étant donnée que Chihiro est impliquée et ainsi tu ne nous fera pas perdre de temps en lui faisant tout t'expliquer une deuxième fois. » se justifia Haku.

Elle émit un petit reniflement de mépris à l'encontre de la sorcière, jeta un énième regard accusateur à Haku persuadé que cela était de son fait, m'addressa un sourire maternel et me remis mes affaires.

« Les voilà, personne n'y a touchés. Je les avais confiés au vieux Kamaji, tu sais les autres n'aiment pas l'odeur des humains. » dit-elle.

« Merci, Lin. » répondis-je.

Je dézippais la fermeture éclair de mon sac et en extirpai le précieux ouvrage pour le remetttre à Haku.

« Penses-tu parvenir à trouver des réponses grâce a ce livre? » demandai-je en me tounant vers lui pour lui tendre le livre.

« Je ne sais pas, je pourrai certainement t'en dire plus quand je... » Haku fut brutalement projeté en arrière alors qu'il avait à peine éffleuré la couverture.

« Haku! Est-ce que ça va ? Tu n'es pas blessé? » m'inquiétai-je en me précipitant à ses côté le précieux et dangereux ouvrage fermement calé sous mon bras.

« Je n'ai rien. » m'assura-t-il en se relevant.

« Tu as largement sous estimé l'importance de cet ouvrage, livre renferme des connaissances plus vaste que celles dont tu nous a parlé. Il ne t'a pas révélé tout ce qui contient, Chihiro. Il s'agit sans aucun doute du reccueil personnel de Zéniba. Pourquoi te l'a-t-elle confié? Cela reste un mystère pour le moment. Sache seulement qu'il renferme tout les sorts qu'elle connait, ainsi que son savoir sur les différent monde de sa connaissance. » révéla Yubaba avec gravité.

Je me retournai vers elle non sans avoir lancé un dernier regard remplit d'inquiétude à Haku.

« Mais pourquoi m'aurait-elle guidé jusqu'à lui? Est-ce qu'elle aurai accidentellement fait passé ce livre dans mon monde ? »la questionnai-je.

« Ce livre est encore bien plus important pour elle que le sceau de sorcière qu'Haku a tenté de lui dérober lors de ta première venue. Elle ne l'aurai pas égaré, crois-moi. Et si elle te l'a confié, elle pense sans doute qu'il est plus en sécurité avac toi qu'avec nimporte qui d'autre, il est bien trop précieux pour elle. » me répondit Yubaba.

« Je ne vois pas pourquoi il serait plus en sécurité avec moi. On m'a demander de ne pas le laisser les autres humain y accéder. Zeniba est introuvable à mon retour. Je suis loin d'être puissante ici. Je ne posséde aucun pouvoir qui me permette de protéger ce livre et à peine assez de force physique pour faire reculer Haku. Et, Zeniba m'aurait choisie comme gardienne de son bien le plus précieux? C'est absolument délirant! » me rebellai-je.

« À peine assez de force physique pour... pour faire quoi ?! Chihiro, est-ce que vous vous êtes battus? » s'indigna Lin.

« Nous ne savons rien des plans de Zeniba, et, qui sait s'il ne lui est pas arrivé malheur entre-temps. » tempéra Haku.

« Attends, n'essais pas de détourner la conversation et réponds à ma question ! » le sermona Lin.

« Il ne voulait pas me laisser sortir. » lâchai-je.

« Haku, je te jure que si tu lui fais du mal, je te le ferais payer. Crois moi, tu le regretteras. » le menaça Lin.

« Assez, Lin. Quant à vous deux, vous devriez partir sans plus tarder. Je ne sais pas ce que ma soeur manigance. Mais, ce qui est sûr, c'est que Chihiro sera en danger aussi longtemps qu'elle possèdera se livre. Personne ne doit savoir qu'il se trouve en ta possession. » nous mit-elle en garde.

« Merci, grand mère, nous y allons. » la remmerciai-je.

Une dernière chose. Ne t'en sépare plus, il te protégera si tu es en danger. Maintenant, partez, tout les trois. » nous congédia Yubaba.