CHapitre 2

Réunion Canine et mystère du chef.

Quelques jours après le premier baiser de Feliciano et Ludwig, le soir venu, des ombres serpentaient dans les rues de la ville en direction du square de lupus a 2 minutes a l'est de l'hypercentre. Les silhouettes animales se faufilaient entre les barreaux et se retrouvaient devant la grande statue de loups qui tronnait devant la fontaine au milieu du parc.

Les chiens s'instalaient en cercle et Günter ouvrait la réunion canine malgré les protestations de hoover vite calmé par ce on vieux Genghis, affalé contre la fontaine, attirant le Jack russel contre lui, sous sa grosse pate.

- Gut! alors aujourd'hui voyons l'avancement parmis nos très chers maitres. Bon je commence, avec Dolce. Nos maitres ont passé le cap du baiser mais ils ne sont pas aller plus loin... ScheiSS "le petit Chef" n'a pas été totalement satifait quand il est passé nous voir, je crois. Mais c'est mieux que rien. A vous!

-veewoof! Pasta!

- Aru wuf, nous tout va bien, Inari et moi avons poussez nos maitre l'un vers l'autre, aru wuf... malheureusement, ils ont a peine dépassé le cap du baiser également. Le " Chef" nous a passé un savon.

- Vous êtes des mauvais acteurrr DA! laissez moi vous rrraconter pour nos maitrrrre !

- Mais, mais, mais, mais... nan! Genghis, t'avais promis que c'etait moi! je suis le superdog ici! A moi, a moi, a moi! aboya hoover en sautillant sur place.

- Niet, ya pas de superrrdog ici! Mais j'ai prrrromis, alors, rrrraconte Da!

FLASH BACK...

Le Russe suivait le blond vers le café ou ils se rendaient. Il avait finalement accepter de le connaitre d'avantage, et Ivan ne souhaitait absolument pas laisser passer cette chance.

Il s'instalèrent dans le Pub, face a face et commencèrent a discuter, les chiens toujours a leurs pieds.

La discution allait de bon train entre les deux hommes, bien que les piques volaient souvent. Ivan avait commander une vodka bien fraiche, et l'americain, un coca glaçon.

Une heure et demi s'était écroulé et les chiens trouvaient que rien avançait. Genghis regardait hoover et lui murmura qu'il faudrai passer au plan B, le plan du "CHEF" . Celui ci aquiesa, et, sous la table, il aida le chien Russe a se débarasé de son colier pour récuperer son contenu.

Quand cela fut fait, le plus petit s'eloigna de la table, puis commença a hurler a la mort, attirant ainsi l'attention de toute la clientelle. Genghis en profita pour verser une poudre dans le vers du blond.

Un peu plus tard dans la soirée, Alfred ne se sentait plus aussi bien, et marchait comme s'il avait vidé une bouteille de vodka russe pur . Ivan, dans sa grande bonté, le soutint pour l'aider a rentrer chez lui.

Dans son salon, le plus jeune s'écroula purement, attirant dans sa chute Ivan lui tombant lourdement dessus. Genghis attira alors Hoover avec lui hors de la pièce, c'est a son maitre de jouer désormais. Ils restèrent cependant pas très loin histoire de surveiller l'avancement.

- Shit, fucking comuniste! bouge de là, tu m'écrase! tenta l'americain, affaibli par la drogue.

- Tu m'as pas l'air trrrès convaincu parrr ce que tu demandes, DA?

Alfred grogna mais se laissa tout de même faire quand le plus vieux l'embrassa passionnement. Sa langue alla cherché sa jumelle et commencèrent un ballai enflammé, rendant le baiser plus brulant. Il se séparèrent quelques seconde plus tard par manque de souffle. Ivan lui sourrit puis se releva.

- Continu stupide communist! j'en veux plus! s'il te plait, prend moi!

Pas le moin du monde perturbé par les parole crue du jeune homme, Ivan souffla:

- Sa suffit pourrr ce soirrr. j'ai pas l'imprrression que tu soit dans ton état norrrmal, Da!

Le blond ne chercha même pas a protester, il était déja somnolant et savait que le russe avait raison... Il grogna cependant quand il fut soulevé comme une princesse et ammené a sa chambre.

Fin du FLASH BACK...

- Mais... ils n'ont rien fait? commença Günter

- Niet, pas cette nuit, da... mais le matin, aprrrès une petite hausse de voix, ils n'ont pas rrrrésisté. DA!

...FLASH BACK

Le bond se reveilla, un peu somnolent encore , et scruta la pièce ou il se trouvait. Il reconnu sa propre chambre grâce au drapeau americain sur la porte, a l'empire state building sur le mirroir et de la statue de la liberté sur sa couverture. Cependant, la forme imposante allongé a ses cotés attira son attention.

Il blanchit et hurla reveillant ainsi le russe qui emergeait difficilement. Voyant le regard paniqué de son vis a vis, il consentit a se levé de mauvaise grâce.

- Mais qu'est ce que... quoi... que... On a fait quoi hier!

Ivan se gratta le crâne, relativement habitué a etre réveillé par des hurlements. Il repondit tranquillement.

- Nous n'avons pas fait grrrrand chose, je t'ai arrrrèté avant, j'ai vu que tu n'était pas dans ton état norrrrmal, et sa me plait pas de prrrrofiter des gens.

Le blond eu le bon gout de rougir puis baffouilla en remerciant le russe de ne pas avoir profité de sa faiblesse.

- Et puis, je prrréfère quand tu es en pleine possession de tes moyens, ton carrrractère me plait enorrrmement.

Alfred se fondit dans le regard d'amethyste du plus vieux, hypnotisé par l'intensité de ses yeux. Il n'ajouta pas un mot.

- J'aimerrrai que l'on continu ce qu'on avait commencer hierrrr, DA?

Sans attendre sa réponse, Ivan fondit sur ses lèvres, les dévorants littéralement et forçant le passage de ses lèvres. Le blond, d'abord sonné, se rendit compte de sa position actuelle, mais préfera profiter du baiser possessif de son vis a vis et y répondit avidement.

Les mains du Russe se faufillèrent jusqu'au torse halé du plus jeune, le caressant doucement, et flattant ses tetons durcit par l'envi. Alfred grogna pour la forme mais apprecia le traitement malgré tout.

Ses mains passèrent sous le T-Shirt du plus grand, et se placèrent dans son dos musclé, caressant les fines cicatrices qu'il y sentit.

Ivan en profita pour soulagé le blond de sa chemise de nuit , embrassant chaque parcelle de peau ainsi découvert. Alfred soupirait d'aise, écartant légèrement les jambes, invitant, sans le savoir, le Russe a aller beaucoup plus loin.

Celui ci sourriait constatant la soumission de son amant, et l'appréciant a sa juste valeur. Il en profita pour le débarassé du reste de ses vetements.

Il s'arreta et ce leva, apréciant la vue du plus jeune, allongé, nu et rougissant sous lui. Son érection bien visible, le russe se lecha les levres et, sans prevenir, engloba la totalité de la virilité dressée devant lui, arrachant un gémissement de pur satisfaction au blond.

La main du russe glissa vers l'intimité du plus jeune, la caressant d'abord puis inserant un doigt préalablement lubrifié, arrachant un sifflement de mécontentement a l'americain, qui serra cependant les dents, laissant Ivan l'habituer a sa présence.

Il ajouta un second doigt et fit quelques mouvement de ciseau et cherchant avidement le point qui fera hurlé Alfred. Quand celui ci jeta la tete en arrière et laissa échappé un cri étouffé, un sourrire fleurit sur ses lèvres.

Il passa son bras sous le dos de l'américain et le souleva pour le rapprocher de ses hanches et placer son erection douloureusement gonflée a l'entré de l'intimité désirée. La respiration d'Alfred s'accelera en sentant l'imposant membre entrer en lui.

La douleur est forte mais il serra les dents pour la supporter. Le Russe s'arreta lorsqu'il fut totalement entrer, histoire de laisser le blond s'habituer a sa présence.

Alfred en réclama plus peu de temps après et Ivan commença ses coups de reins, d'abord lent et appliqué, puis plus violent, faisant hurlé l'americain comme jamais.

- Aw fuck me! fucking comunist!

Ivan ne se le fit pas dire deux fois et pillona sans vergogne le plus jeune. Il furent atteind par un orgasme foudroyant qui les laissèrent pentelant et essoufflé. L'americain dit tout de même:

- Dit moi, Ivan, si tu veux tu peux rester chez moi pour un moment...

Le russe lui sourit.

-Da!

... FIN DU FLASH BACK

- Certe, aru. continua Mushu. Mais vous avez tricher! vous avez utiiser de la poudre blanche aru!

- veewoof!

- Niet, le "petit CHEF" a dit que l'idée était exelente, il était très satisfait. Da!

- Pfff amateur, fit Engel.

- hon hon hon, chers amis agés, certe sa a été rapide pour vous, mais vos maitres se sont attendu depuis des années!

- Yes, the froggidoggie is right ! Ils etaient tellement en manque qu'ils émettaient plus d'hormones que la petite KUVASZ Hongroise du 3 eme district lors de ses chaleurs!

- pfff idiotas, ils auraient attendu un peu et nos maitres auraient été les premiers! BASTARDOS !

- Du calme Onda! grogna Anziano

- oui Anz! mais avoue que c'est vrai! Mierda.

- SI, Piensa que Onda es de verdad!

- vous voyez, Salvado est de mon avis! vous avez eu la moitier du travaille de fait Bastardo!

- Veewoof, fratello, soit pas comme sa!

- Enfin bref, le "CHEF" s'est montré particulièrement ravi pour vous, soyez en fier , coupa Günter, et vous, Zeus, Loukoum, vous en ètes ou?

- Zeus étant endormi sur moi, comme vous le constatez, je vais vous expliqué le probleme.

- veewoof, Il y a un souci? Vos maitres ne s'aiment pas?

- c'est pas nos maitres... c'est moi...

Le chien grec se reveilla et ajouta:

- il a du mal a s'habituer a mes chats.

le reste des chien présent pouffèrent légèrement.

- Fait toi violence Loukoum, le "chef" a apprecier vos effort, alors continuez ainsi , bon, passons, et vous? vos maitre? ou en sont t'il?

- hon hon hon, tout va bien... n'est ce pas lancelot.

- a part que les objet volent dans tout les sens dans la maison, oui, le courant est bien passé. Sa me fait mal a l'avouer mais le "Chef" avait raison. Et puis, Clovis n'est pas aussi invivable que je le pensait.

Pour réponse, le cavalier king charles se pris une lechouille sur le sommet du crane, il grogna pour la forme mais appreciait secretement les traitements du chien français.

- Ja, sehr Gut... Ont ils passés le cap?

- Oh que oui! le "chef" etait au premières loges.

- Parfait, le " chef " a du bien vous récompenser... passons au dernier couple... Hanatamago, nous raporte tu de bonne nouvelles?

- Oh que oui! nous aussi ils ont passé le cap, sa c'est passer hier!

- M'gnon.

- Vaktar a raison, c'était adorable! Le berwald a été plus que romantique! il a offert des roses, ammené le petit déjeuné au lit, mon pauvre petit maitre ne pouvait plus marcher après sa nuit. Le chef nous a récompenser également.

- Soit, dans ce cas, la réunion est terminé, rentrez bien. A dans 2 lunes! (environ 2 mois) finit le berger allemand avant de tirer le petit Dolce a sa suite.

Anziano rejoin Engel en route vers le manoir Beilschmits. Ils marchèrent côte à côte dans les rue déserte de la ville quand le plus vieux s'arreta.

- j'y pense, Engel, pourquoi le "chef" voulais a tout pris que nos maitres consomment leurs nuits? demanda Anziano.

- Hm la question est pertinante... de plus, pourquoi garde t'il le sobriquet de "chef"... Personne ne connait son nom parmis nous... de plus, il ne se montre presque jamais sans sa capuche... personne n'as jamais pu voir son visage.

- Oui, il est trop mysterieux... ce n'est pas vraiment une habitude chez ce genre d'animal! Oh, ne pense pas que je soit raciste ou quoi que se soit. Mais j'aurais eu plus confiance si il avait été un chien...

- Enfin bref, un jour peu etre aurons nous le fin mot de cette histoire.

... Pendant ce temps, a 2 minutes de l'hypercentre, dans une petite maison, 3 eme district...

- Fantastique! ses clichés sont tout bonnement parfait pour ma petite collection! Oh mon petit Chef tu est le meilleur!

- Piu!

- c'est super gentil de m'avoir aidée pour ses photos, je n'aurais jamais réussi a en avoir de si belle par moi même. Et puis, ses "pas doués" ne se seraient jamais trouvés sans toi et tes amis canins!

- Piu!

- ah, comme Gilbert a de la chance de t'avoir! Mon petit Gilbird... vient ici, je vais t'offrir les meilleur graines du marché... Après tout, tu as fait ta part du contract, et il ne sera pas dit qu'Elizaveta ne tient pas ses promesses.

fin.