Chapitre 19 : Pensée insaisissable.

Je les regardai de là où j'étais. De là-Haut. Une fille aux cheveux noirs aux reflets bleus m'accueillit. Elle m'expliqua qu'elle était désolée, qu'elle ne s'était rendu compte de son erreur que bien trop tard. Elle s'appelait Kuina. Elle m'expliqua que j'étais la fille de Luffy et de Nami, et que je ne devais apparaître que bien plus tard. Ils n'étaient même pas encore au courant de leurs sentiments réciproques.

Alors, toujours choquée, je compris que je devais attendre le temps que Luffy et Nami m'aient, et après, j'irai dans leur monde, et je reprendrai tout de zéro, sans souvenirs, sans rien. Je demandai alors, avec un espoir : « Leur avez-vous laissé leur cadeau ?

- Bien sûr. Regarde, tu peux les observer d'ici ! ».

J'observai alors mes nakamas. Non, je ne devais pas pleurer. En y repensant bien, j'allais tout de même les rencontrer. Dans quelques années, mais qu'importe ? Même si je ne m'en souviendrai pas, il restera toujours quelque chose. J'en suis certaine. Ce sentiment d'amitié, plus fort que tout. Je ne vous oublierai pas. Jamais.

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Je faisais mes échauffements, comme d'habitude le matin. Je me demandai encore pourquoi on avait fait la fête hier soir. Je ne sais plus. C'est alors que j'entrainai et que des mots me vinrent à l'esprit : « Ma garde n'est pas bonne, or je n'ai que des longues lames, et si mon adversaire s'immisce dans ma garde, il pourra faire ce qu'il veut de moi. Il faut que je referme plus mes bras. ». Zut, j'ai l'impression que quelque chose m'échappe. Je m'en rendis encore plus compte lorsque je me rendis compte que quelque chose trainait dans la vigie. Tiens. Une épée. Merde alors, c'est quoi cette matière... ? On dirait de l'eau…

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Comme d'habitude, Sanji m'avait proposé un cocktail à Navigatrice-san, mais là, je vis quelque chose qui m'interpela. Un livre. Son titre : Amitié. Un livre fait d'une drôle de matière. Lisse. Douce. Très étrange. Je ne me souviens pas l'avoir acheté ou l'avoir eu quelque part. Mince alors. Malgré mon sourire, j'étais contrariée. J'avais oublié quelque chose. Puis, je souris en voyant Sanji et Zoro. Ils avaient eu une discussion normale l'autre jour, et Sanji avait embrassé Zoro… Pour lui prouver qu'il ne rêvait pas. C'est ça. Mince, mais… Je n'arrive vraiment pas à me souvenir… D'où vient ce livre ?

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J'étais assise sur mon transat avec Robin, lorsque je me rendis compte de quelque chose d'étrange. Avec mes mandariniers chéris, il y avait un autre mandarinier. Je me levai et m'approchai. Ce n'était pas un vrai, et cette sculpture était d'une finesse exquise. Et, chose encore plus étrange, je n'avais pas envie de vendre cet objet ! Comme s'il faisait partie de moi… Bizarre.

Ce n'est pas si grave. J'espère juste que les autres imbéciles ne vont pas l'abîmer… Tiens, Luffy vient de passer devant moi. Pourquoi je rougis moi ?…

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Je jouais du violon à qui voulait bien l'entendre, lorsque je remarquai quelque chose dans ma chambre. Un piano. Mince alors. Un piano, aussi beau, dans ma chambre ? Je souris (même si je n'ai plus de bouche. YOHOHO Squelette Joke !). Je commençai à en jouer et la mélodie me vint toute seule. C'était une mélodie joyeuse, pourtant avec un accompagnement assez triste. Bizarre.

Mais, tout heureux de mon nouvel instrument, je n'y fis pas beaucoup attention, au début. Mais…

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Pendant que je bricolai un nouvel engin qui allait ravir notre capitaine, je vis une perruque posée sur mon plan de travail. Je l'essayai, et la matière était… Parfaite ! Alors, je commençai à danse ma Franky danse et à dire des « SUUUUUUPERS », mieux les uns que les autres. Ensuite, je remarquai une bouteille de cola vide, faite dans la même matière que ma perruque. Etonnant…

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Je faisais sécher mes herbes, lorsque je cherchai des petits flacons pour les mettre dedans. Par contre, je pense qu'il ne m'en reste que… ça alors ! J'ai plein de petits flacons ! Trop cool ! Mais, c'est bizarre, ce ne sont pas mes flacons ! En plus, ils sont parfaitement lisses quand je les touche…

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Je m'apprêtai à me diriger vers Chopper, pour lui raconter encore une histoire du grand Sogeking. Mais je pense que je devrai d'abord reprendre mon masque. Ça alors… J'avais deux masques de Sogeking ! Un, le mien, et un autre, transparent, que je pouvais peindre à volonté, ou le laisser comme ça… Mince, mais je ne m'étais pas atteler à créer un seconde masque de Sogeking ?... Mince alors… Des pailles…

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Pendant que j'étais assis à mon siège spécial, j'observai Nami. Bah oui, on m'avait dit que j'étais amoureux d'elle. On ? Enfin… Mais, qu'est-ce que c'est que ça ? Un chapeau de paille, mais pas en paille… Tiens, c'est tout doux… bah voilà, ça fera une coque de protection à mon chapeau de paille, quand il pleuvra, parce qu'il commence à s'abîmer, et je ne veux pas l'abîmer. C'est mon TRESOR.

Je jetai encore un coup d'œil à la rousse, visiblement embêtée avec ses mandariniers. Mais qui m'avait dit que j'étais amoureux d'elle… QUI ?

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Je faisais tranquillement la cuisine (oui, Luffy n'était PAS venu me DERANGER UNE SEULE FOIS !). Alors, midi approcha. J'appelai tout le monde, et je commençai à mettre la table, lorsque je vis… Un service complet dans une matière inconnue. Ça alors… Ben, j'allai l'essayer. Je ne sais pas quand on l'avait acheté, mais ça devait être sûrement Robin d'amour ou Nami chérie, avec leurs goûts magnifiques, qui avaient du acheter ceci *yeux en cœur*.

Mince, je vis aussi une petite sculpture… Nous représentant ! Et si je m'approchai bien, on pouvait lire « Les Mugiwaras, à jamais », et un petit cœur était sculpté à côté. Nous n'avions pas pu acheter cette sculpture de nous-mêmes quelque part. Mais, d'où venait-elle ?

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Alors, tout le monde, en même temps, hurla : « MAIS POURQUOI AI-JE L'IMPRESSION QUE QUELQUE CHOSE M'ECHAPPE ? ». D'en Haut, je souriais, et une larme de bonheur se permit de rouler sur mes joues. Moi aussi, je vous aime.

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Hé voilà ! C'est (enfin) fini ! J'ai pris beaucoup de plaisir à écrire cette fiction, qui me tenait vraiment à coeur. Je tiens aussi à vous faire remarquer qu'Ace, qui devait venir le soir de l'anniversaire de Luna, n'est pas venu. En vérité, il était occupé à manger. Et vous savez, lorsqu'il mange...

Bref, j'espère que cette histoire vous a plus ! Ciao ! (Review :3 ?)