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Dimanche : ouverture des hostilités

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-Sherlock ! Sherlock !

Aucune réponse…

-Sherlock ! Réponds pour l'amour du ciel !

John fronça les sourcils ne recevant aucunes réponses à ses appels. Que Sherlock ne se déplace pas pour le rejoindre lorsqu'il l'appelait, ça n'avait rien de bien surprenant, mais qu'il l'ignore purement et simplement même au bout de dix minutes d'appel incessant, là ça devenait inquiétant.

En temps normale le détective finissait toujours par lui répondre, à contre cœur certes et dans le simple but de retrouver sa tranquillité, mais n'empêche qu'il répondait. Qu'avait-il donc trouvé de mieux à faire dans la cuisine au point de s'y cloitrer pendant plus d'une heure sans donner signe de vie ? Peut-être devrait-il lui envoyer un sms pour attirer son attention ? La majorité du temps c'était ainsi que le docteur s'y prenait pour faire émerger son ami de ses pensées. Technique originale s'il en était, mais plus efficace que n'importe quelle autre, ça c'était une certitude.

Il souffla de désespoir face au tragique abandon de son compagnon qui avait pourtant promis de l'aider à ranger l'appartement avant l'arrivée de sa nièce. Cette même nièce qu'Harry devait lui déposer dans…

Non de Dieu ! Moins de trois heures avant qu'elles ne débarquent toutes les deux ! Et il était encore loin d'avoir terminé. Oui, il aurait sûrement dû s'y prendre un peu à l'avance, mais sincèrement il n'avait aucune idée de ce qui allait lui tomber dessus une fois qu'il se serait mis à fouiner un peu à la recherche de tout ce qu'il ne fallait pas laissé traîner à la portée d'une enfant de quatorze ans… C'est vrais qu'en apparence leur appartement était à peu près bien tenu, oui en apparence seulement ! Parce qu'entre les trucs dangereux et variées que laissé traîner Sherlock sois disant parce qu'ils lui étaient utiles lors de ses enquêtes, les expériences pour le moins dégoutantes, écœurantes ET dangereuses que ce même Sherlock effectuait à travers toutes les pièces de l'appartement et enfin tous les dossiers de Scotland yard, qui d'ailleurs n'aurait jamais dû se trouver là puisque confidentielle, que … attendait, mais oui ! Sherlock éparpillait dans tous les coins, il avait vraiment, mais alors là vraiment du mal à s'en sortir. Raison pour laquelle il avait demandé au fouteur de trouble cité plus tôt de participer au déblayage.

Ne parlons pas de toutes les réflexions désagréables qu'il avait dû supporter de la part de son ami au sujet de l'inutilité de ce qu'il lui demandé et son scepticisme face à la perspective d'accueillir une pré-ado boutonneuse et certainement des plus importable sous leur toit.

Mais Sherlock ne s'en sortirait pas comme ça, pas aujourd'hui ! C'était lui le responsable de tout ce foutoir alors il n'allait certainement pas tout ranger à sa place. Il n'était pas sa femme de ménage, pour l'amour du ciel ! Son colocataire, ok. Son collègue de travail, oui on pouvait dire ça comme ça même s'il avait plutôt l'impression d'être un radar à connerie Sherlockienne. Son ami, sans aucun doute et il en était fier. Son amant, non…mais les choses n'étaient pas encore tout à fait claire de ce côté-là. Mais ce qui était sûr, c'était qu'il n'était pas sa bonne ! Raison pour laquelle il sorti de la salle de bain, qui était l'un des endroits les plus dangereux que John ait jamais vu jusqu'à maintenant, (sérieusement qui aurait pu avoir l'idée de stocker de l'arsenic, du cyanure et du phosgène dans le même placard ! Et pour l'amour du ciel il se demandait encore plus pourquoi dans la salle de bain ? Son ami n'avait-il pas trouvé un endroit un peu plus approprié ?), pour se rendre directement dans la cuisine.

Il y trouva Sherlock, le nez perdu dans le fond du frigo entrain de marmonner tout seul :

-Sherlock ? Mais qu'est-ce que tu fais ? Ne me dit pas que tu as encore été fourré des morceau de corps humain dans ce putain de frigo ?

Le détective consultant ne prit même pas la peine de se redresser et de lui faire face, se contentant simplement d'un vague haussement d'épaule. Ce même haussement d'épaule qui n'était en fait que le réponse qu'il servait à tout le monde quand il faisait quelque chose qu'il savait ne pas devoir faire… Oui, autrement dit il se défilait purement et simplement ! La plus part des gens se trouvait si exaspéré par ce petit et insignifiant mouvement d'épaule qu'ils abandonnaient rapidement les questions ! John devait bien avoué que c'était surement la technique la plus efficace de décourager les curieux qu'il n'ait jamais vus.

Mais il n'était pas n'importe qui et Sherlock ne l'aurait pas comme ça, pas aujourd'hui.

-Sherlock, j'ai passé la matinée à nettoyer la cuisine. Je ne veux pas que tu laisses traîner tous tes trucs dans cette pièce, ni dans aucune autre d'ailleurs ! Va empiler tes expériences en cours dans un coin de ta chambre, quitte à ce que tu ne puisses même plus accéder jusque ton lit.

-Pourquoi ? s'écria Sherlock en jaillissant du frigo tel un clown sortit de sa boîte.

-Quoi, Pourquoi ? Je t'ai demandé de m'aider à ranger, c'est plutôt claire non ? Alors sois gentil et vire moi ce…, John jeta un coup d'œil à l'intérieur du frigo avant de reprendre en grimaçant légèrement,… cette tête du bac à légume.

-Pourquoi ? D'habitude ça ne te gêne en rien, alors pourquoi aujourd'hui je dois tout enlever ?

-Tu as répondus toi-même à ta question : « d'habitude ». Je ne sais pas si tu t'en souviens mais nous avons une invité qui devrait arriver dans moins de trois heure et que c'est une enfant.

-Et alors ? demanda encore son ami en fronçant les sourcils.

-Et alors ? J'y crois pas, tu me demandes « et alors ? ». Sherlock, il y une différence entre un ancien médecin militaire qui a fait l'Afghanistan et une gamine de quatorze qui n'a probablement jamais vus un cadavre de sa vie ! Alors enlève-moi cette tête du frigo !

Son ami allait répliquer quand le bruit de la sonnette se fit entendre.

-Va ouvrir John, ce sont-elles.

-Quoi ? Mais non, Harry a dit qu'elle ne passerait pas avant dix-sept heures.

-Peut-être mais elles sont-là, se contenta de répondre Sherlock.

John l'observa un instant, cherchant à savoir si oui ou non il se moquait de lui. Sherlock était certainement capable de déduire au seul brut de la sonnette qui se trouvait derrière la porte mais il pouvait aussi lui faire croire qu'Harry était là, histoire de pouvoir fuir cette conversation qu'il voulait éviter à tout prix. Apparemment Sherlock était loin d'être enthousiasme à l'idée d'accueillir chez lui une adolescente pendant toute une semaine. Pourtant il aurait dû s'estimer heureux, John avait réussis à convaincre Harry que lui laisser sa fille pendant toutes les vacances d'été était vraiment une très, très mauvaise idée. A coup sûr Sherlock aurait fini par faire bien pire que de tirer des coups de feu dans le mur si son colocataire le privait de ses expériences pendant tout ce temps.

Un nouveau coup de sonnette retentit, mais les deux hommes continuèrent de s'affronter du regard. L'un cherchant à savoir la vérité, l'autre exaspéré par leur situation plus que ridicule. Pourquoi John avait-il accepté de garder la gamine ? Comment allaient-ils pouvoir continuer leurs enquête s'ils l'avaient sur les bras toute la journée ? Et il était hors de question qu'il laisse John en arrière et conduise une enquête seul. Tout d'abord parce qu'il trouvait très gratifiant d'avoir au moins une personne dans son entourage qui soit à chaque fois impressionné par ses déductions et n'hésite pas à lui faire part de son admiration. Il aimait sentir le regard fier de John sur lui, il aimait se sentir si important pour une personne. En plus de cela il avait découvert que la présence de John et ses réflexion sur les énigmes face auxquelles ils se trouvaient lui facilité grandement la tâche. John était comme un conducteur de pensée. Il trouvait toujours le bon mot, inconsciemment bien sûr, qui le mettait sur la piste des criminels qu'ils recherchaient. Et puis John ne le laisserait surement pas partir seul sur une enquête de toute manière. Il le traité presque comme un enfant et Sherlock avait beaucoup de mal à comprendre pourquoi il était aussi protecteur avec lui, pourquoi il voulait toujours veiller sur lui. C'était perturbant pour lui. La seule personne qui n'ait jamais essayé de prendre soin de lui, d'une certaine façon, était Mycroft. Mais c'était différent… Pourquoi ? Il n'était pas sûr de savoir. Ça avait probablement un rapport avec les sentiments qui les lié tous les deux.

Les sentiments…

Il avait vraiment du mal à les comprendre.

Pas au sens scientifique du terme. Il savait reconnaître la colère, l'angoisse, la haine, le mépris, l'amour… Il savait les identifier sur le papier, lorsqu'ils concernaient d'autres que lui… Mais en pratique, il était perdu.

Il savait que quelque chose le lié à John, quelque chose de fort, d'intense. Une sorte de connexion. Mais il n'arrivait pas clairement à identifier ce qu'il ressentait. Ce creux à l'estomac, sa gorge serré, la chaleur de son corps qui augmentait lorsqu'il était prêt de l'ancien soldat, son poux qui s'emballait lorsqu'il le touchait… C'était nouveau pour lui. Nouveau et troublant. Surtout depuis que John lui avait avoué à mots couverts quelques semaines auparavant qu'il éprouvait des sentiments pour lui.

Bien sûr John ne l'avait poussé à rien, et son attitude envers lui était restée la même. Bon il lui avait semblé qu'il avait été moins tendu après ça, plus serein et libéré après ses révélations. Mais objectivement parlant il n'avait rien, rien de tangible.

Dans un sens Sherlock aurait préféré que son ami lui en dise plus, qu'il lui explique. Car pour la première fois de sa vie il avait l'impression de ressentir quelque chose, quelque chose de fort. Et il ne savait pas comment le gérer.

Finalement leur duel fut interrompu par Mme Hudson qui déboula dans l'appartement, une jeune fille sur les talons.

-Les garçons ! Cette jeune fille sonne à la porte depuis dix minutes au moins. Vraiment il faudrait que vous soyez plus attentif à l'avenir. Je ne suis pas votre domestique vous savez.

-Oncle John, s'écria la gamine en s'élançant vers le su nommé.

John reçut sa nièce dans ses bras, surpris par son entrée soudaine. Sherlock ne se fichait vraiment pas de lui en fin de compte…

Vite revenu de sa surprise répondit à l'étreinte de la jeune fille, un sourire éclatant sur les lèvres : elle lui avait manqué. Ils ne s'étaient pas revus depuis prête de quatre ans au moins ! Son service militaire et sa mésentente avec sa sœur y étant pour beaucoup.

Brisant l'étreinte il l'observa un moment.

-Non de Dieu, ce que tu as grandi Lizzie !

Et en effet, la dernière qu'il l'avait vu elle n'était qu'une gamine de dix ans, gentille, mignonne et un peu renfermé. Là il retrouvait une adolescente de quatorze ans, apparemment pleine d'assurance et de joie de vivre… Finit les petites robes blanches, les sandales vernies et le petit dans les cheveux. Et bonjours au slim extra moulant, à la coupe de cheveux courte et teint en blond platine, et converses à talons…

Il avait du mal à la reconnaître.

-Bah normale oncle John ça fait un bail qu'on s'est pas vue !

Ok, le langage aussi avait changé…

-Où est ta mère ? questionna-t-il pour éviter de s'étendre plus avant sur les éventuels autres changements qui avait ou se produire ces dernières années.

Pourtant il réalisa bien vite que cette question n'était peut-être pas la plus intelligente qu'il ait jamais posée. Elle avait eu sur Elizabeth l'effet d'une véritable bombe : plus de sourire, plus de pétillement dans les yeux,… Un visage fermé, le même que le sien lorsqu'il se retrouvait face à sa très cher sœur.

-Eh bien tu sais… Elle était pas vraiment en état de conduire ce matin alors… Enfin je voulais vraiment venir te voir et comme je me doutais que son état allait pas vraiment s'arranger avant quelques temps j'ai pris le bus pour venir.

-Quoi ? Tu veux dire toute seule ? Mais…

John était complètement halluciné. Il savait que sa sœur avait de sérieux problèmes avec l'alcool mais de là à laisser sa fille traverser la moitié de l'Angleterre toute seule en bus ! Et sans l'avertir en plus.

-Bah, tu sais j'ai l'habitude en fait. Il ne faut pas trop compter sur elle en ce moment. J'ai pris de l'argent pour le trajet dans son portefeuille et je suis partie tôt ce matin. Je lui ai laissé un mot, au cas où elle émergerait avant la fin de la semaine… Enfin y'a peu de chance.

-Lizzie…

John souffla ce nom, douloureusement. Parce qu'il savait que si sa nièce semblait ne prêter aucune importance à tout cela il n'en restait pas moins que sa mère venait de la décevoir. Et que ça n'était surement pas la première fois.

Il n'avait qu'une seule envie c'était d'aller la voir et de lui balancer une bonne fois pour toute sa façon de penser au visage. Elle était si irresponsable.

Mais ça n'était pas le moment. Il devait d'abord prendre soin d'Elizabeth. Elle avait fait pas mal d'effort pour les rejoindre. Il aurait probablement dû lui faire des remontrances pour ce qu'elle venait de faire. Prendre le bus comme ça… Il aurait pu lui arriver n'importe quoi ! Mais il n'en avait pas le cœur. Elle était sa nièce et il l'aimait. Alors pour une semaine il allait lui faire oublier un peu ses problèmes et lui offrir des vacances, de vraies vacances, où elle pourrait être l'ado insouciante qu'elle devrait être tous les jours.

Première chose à faire : lui changer les idées.

-Elizabeth, je te présente Mme Hudson que tu as déjà rencontrée. C'est la propriétaire, et c'est aussi une merveilleuse cuisinière. Elle fait des gâteaux succulent alors n'hésite pas à lui rendre visite quand tu as un petit creux !

-John ! s'insurgea le vieille femme, un sourire accroché sur le coin des lèvres. Combien de fois faudra-t-il vous le dire ? Je ne suis pas votre gouvernante.

-Et mon colocataire, enchaîna John en faisant un clin d'œil amusé à sa nièce. Sherlock Holmes.

-Celui de ton bloque, questionna Elizabeth en détaillant l'homme qui se tenait face à elle.

Il était plutôt grand, fin et surtout, surtout, carrément craquant ! De son avis ce mec était surement le plus canon qu'elle ait jamais rencontré ! Bon il était en pyjama et en robe de chambre, complètement débraillé, pas coiffé et apparemment il lui manquait quelques heures de sommeil vu les cernes qui pendaient sous ses yeux… N'empêche qu'elle en aurait bien mangé !

-Quoi tu lis mon blog ? questionna John, complètement surpris pour le coup.

-Carrément ! C'est trop cool ce que tu écris. J'adore la première histoire, celle de l'affaire en rose !

Elizabeth avait répondu sur un ton quasi hystérique, sans cesser de dévorer Sherlock des yeux.

Un Sherlock qui se demandait bien pourquoi elle le fixait de cette façon. De toute les fois où quelqu'un l'avait détaillé c'était bien la première qu'il ne ressentait aucune hostilité. Au contraire, même. Il pouvait y lire l'admiration, l'excitation,… En fait ça ressemblait un peu à la façon dont John l'avait regardé quand il lui avait fait pour la première fois une démonstration de ses capacités de déductions.

C'était peut-être de famille non ?

-Content que ça te plaise. Je ne savais pas que tu aimais ce genre d'histoire, répondit John qui doutait effectivement que toutes ces histoires de meurtres soit adaptés aux gamins de quatorze ans.

-Tu rigoles ! J'adore le polard et puis au moins j'ai des nouvelles de toi comme ça. D'ailleurs depuis que les copains savent que tu étais mon oncle je crois que je suis devenu la fille la plus populaire du quartier !

-Oh, Ok alors…

Sherlock se décida enfin à bouger, rejoignant John et Elizabeth il tendit la main à cette dernière dans l'intention de la lui serrer. La jeune fille fut prise de rougissement et bégaya un « bonjours » hésitant qui fit sourire son oncle. Oui il n'y avait pas à dire, Sherlock était très séduisant, même quand il était aussi débraillé. Et apparemment sa chère nièce avait aussi bon goût que lui-même.

Le détective consultant fronça les sourcils, surpris par l'attitude timide de leur invitée. Elle qui semblait si joyeuse et expansive un instant auparavant. Il ne comprenait pas ce qui avait bien pu causer ce soudain changement. Et il aurait aimé pousser ses réflexions plus avant mais une exclamation à mi-chemin entre la surprise et le dégoût se fit entendre.

C'était Elizabeth dont le regard c'était porté derrière lui, vers le fond de la cuisine. Elle regardait vers… le frigo !

-Non de Dieu ! Mais qu'est-ce que c'est que ça ?

-Sherlock ! Ferme le frigo maintenant ! Je t'avais dit de ne pas laisser ça ici ! s'insurgea John en attirant Elizabeth dans le salon.

-Lizzie, ça va ?

La jeune fille le regarda un instant hébété avant de finalement poser La grande question :

-C'était bien une tête qu'il y avait dans votre frigo ? J'ai pas rêvé, hein ?

-Eh bien… oui, c'était une tête, confirma le médecin à contre cœur.

-C'est pour une expérience. Rien de bien dangereux, juste de quoi m'occuper, signala Sherlock en faisant irruption dans la pièce.

Ignorant le regard furieux que lui lança John il partit s'affaler sur le canapé, résigné. Il prévoyait déjà les cris et les jérémiades. Vraiment quelle idée avait eu John de l'inviter chez eux.

-Une tête…dans votre frigo…pour des expériences… c'est… trop COOL !

Surpris les deux hommes de la pièce se questionnaire du regard. Pour une fois Sherlock était aussi surpris que John. Ce n'était pas vraiment le genre de réaction à laquelle il s'attendait. Ils n'eurent pas le temps de se poser plus avant des questions, déjà Elizabeth reprenait avec un entrain qui aurait surement dû les effrayer compte tenu de la situation :

-Sérieux ! Je m'y attendais trop pas, c'est trop la classe ! Vous l'avez eu où ? Et vous travaillez sur quoi ? Est-ce que…

Et John perdit rapidement le fil des questions dont sa nièce accabla son colocataire. Là il était dans la merde… Il avait un Sherlock bis sur les bras à gérer !

Le détective consultant de son côté se dit que finalement cette semaine ne serait pas si pénible qu'il l'avait pensé au début…

Cette fille était… intéressante.

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Salut la compagnie !

Tout d'abord j'espère que vous avait aimé ce chapitre ! Ensuite merci à ceux qui m'ont encouragé à écrire une suite à mon OS !

Dons cette fic se composera d'environ une dizaine de chapitres je dirais, pas beaucoup plus en tout cas. Je ne garantis pas la cadence à laquelle je vais publier les chapitres mais normalement ça devrais être plutôt rapide^^ Et surtout j'ai très envie de l'écrire, j'ai pleins d'idées !

Alors dites-moi, comment vous l'avez trouvé Elizabeth ? Je voulais faire un perso assez surprenant et surtout qui s'accorderait plutôt bien à Sherlock. En tout ça je peux vous dire que la relation qui va se développer entre ces deux-là va être explosive ^^

Vous allez voire Sherlock dans tous ses états et John ne sachant plus où donner de la tête

N'hésitez pas à laisser des com, plus y'en plus la publication sera rapide parce que c'est ça qui me motive le plus à écrire !

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