Le Ncis reçu un appel en détresse troublant. D'abord perplexe, Gibbs voulu quand même vérifier que c'était bien un canulars et non une victime qu'y allait utiliser un autre tiroir de la morgue. Prenant DiNozzo avec lui, il appuya sur le champignon et fonça jusqu'au lieu du sois disant rendez-vous. C'est à dire dans la ville de Panama City. (:twisted:)
Tony en était tout excité de se retrouver dans cette ville mythique en compagnie de son patron. L'italien se garda toutes réactions d'enthousiasme de peur d'une nouvelle tape sur sa tête dont il avait l'habitude ou du regard de la mort façon Gibbs. Plus les agents s'approchaient de l'endroit où devait se trouver la victime, plus les rues se rétrécissaient. Sans compter que la nuit commençait à s'installer. Les ruelles devinrent si petites qu'elles contraignirent les deux agents à continuer à pieds. Le GPS ne fonctionnait plus par manque de batterie et Gibbs l'envoya valser contre un mur de rage. (Pauvre petit appareil. Je vous suggère 30 secondes de silence pour ce magnifique GPS qui périt dans d'atroces souffrance. D'accord, je continue.) Nous sommes donc en présence d'un Gibbs énervé de faire mener en bateau et d'un Tony ressentant l'irrésistible envie de dire une réplique de film. Cependant, face au regard de Gibbs, l'italien s'abstenu.
Son café dans la main, Gibbs marcha à tâtons en faisant bien attention de ne pas tomber et regarder où il mettait les pieds. Les lampadaires qui venaient de s'éclairer, s'éteignir aussitôt et contraignirent les agents à se servir de leurs autres sens et de leur instinct. Tony loupa une marche, débaroula et percuta son patron. Le café se répandit sur le goudron. Un cri semblable à un loup affamé brisa le silence pesant du quartier.
Gibbs : DiNozzo ! Regarde où tu marches !
Tony : Désolé patron ! Je sais que s'excuser est un signe de faiblesse.
Se retrouver dans le noir avec un Gibbs décaféine est une bien mauvaise nouvelle. Je ne donne pas cher de la peau de l'agent italien. Ils furent stopper dans leur poursuite par un mur. Un mur épais même et haut. Un mur en face, sur les côtés et derrière eux aussi. Des bruits de pas se firent entendre, non loin d'eux, juste dans leur dos. Puis un claquement de porte et une serrure qui se verrouille. Enfin une voix retenti.
La voix : Vous êtes mes prisonniers ! Vous allez payer !
Gibbs, plus énervé que jamais : Qu'avons-nous fait ?
La voix : Vous avez tuez mon mari ? Vous allez le retrouver à présent.
Gibbs : Mais qui est votre mari ?
Pas de réponse. Gibbs ne se calma pas et fit les cents pas jusqu'à donner le tournis à Tony qui se risqua à parler.
Tony : Tu pourrais arrêter ….Voyant le regard de son patron. Non rien. On est pris au piège mais on va trouver un moyen de s'en sortir patron.
Gibbs : T'en es sure DiNozzo ?
Tony baissa le regard et s'approcha de son patron. Ses yeux fixés dans ceux de son boss : Qu'est-ce qu'il nous arrive patron ?
Gibbs septique : Où veux-tu en venir ? Voyant Tony se rapprocher de plus en plus de lui. Je ne veux pas savoir. Tony se rapprocha encore un peu plus et Gibbs lui donna une de ses tapes habituelles.
Tony : Aie. J'aime quand tu me tapes comme ça.
Gibbs lui en met une deuxième : TONY ! CONCENTRE-TOI !
Tony se massant l'arrière du crane : Désolé, patron !