À trop vouloir chercher, on finit par trouver, petit Serpent.
« Les apparences, on ne le sait que trop, ont cette faculté d'être aussi trompeuses qu'un politicien en campagne électorale. »
~ Jean Dion
Jeudi 18 Septembre 1997, Ecole de Sorcellerie de Poudlard.
Elle s'était endormie sur des pensées positives, pourtant. Cela n'avait cependant pas suffit à écarter le monstre d'elle. Il revient la hanter encore une fois pendant la nuit.
Le château français. Les miroirs. Les yeux blancs. Les crocs. La Mort.
Lorsqu'elle se réveilla en sursaut, la peur habituelle couplée au fait que la Bête était potentiellement réelle lui coupa le souffle, et elle eut du mal à retrouver sa contenance. Par chance, elle avait pensé à fermer ses rideaux à baldaquins la veille, et n'eut donc pas à justifier à ses camarades de chambre son air effaré.
Elle descendit les escaliers après s'être douchée et fut surprise de voir Tom déjà en bas, en train de lire un livre sur le canapé. Lorsqu'elle eut fini de descendre les marches, il leva les yeux et l'interpella doucement :
« Hermione, comment vas-tu ? »
Il avait l'air inquiet et la lionne se sentit désolée de la scène de la veille. Une telle perte de contrôle de sa part…
« Une nuit agitée après notre soirée agitée, malheureusement, Milord. Comment allez-vous vous-même ?
- Surtout … inquiet pour vous, et vos amis également. Votre petit épisode n'est pas passé inaperçu et tout Poudlard y va de ses hypothèses. »
Il avait signalé son inquiétude la tête légèrement penchée, comme posant silencieusement la question. La belle n'y prêta guerre attention et leva les yeux au ciel à l'entente de sa dernière phrase. Elle regarda son Lié :
« La machine à ragots est toujours aux aguets, cela passera. Avez-vous vu Harry et Ron ? Ils ne vont pas laisser tomber cela aussi facilement que les autres élèves.
- Ils sont descendus petit-déjeuner déjà, allons les retrouver. »
Il tendit son bras à la jeune femme qui s'en saisit, avant de descendre pour se rendre dans la Grande Salle. Rien qu'en entrant dans la pièce, elle reconnut le bruit incessant d'une nouvelle rumeur. En voyant les regards inquiets d'Harry et Ron, elle comprit qu'en effet, sa petite scène n'était pas passée inaperçue.
« Mione ! Comment ça va ? On s'est fait un sang de calamar ! s'écria Ron en la voyant.
- Un sang d'encre, Ronald, répondit la jeune lionne en roulant des yeux mais avec un petit sourire sur le visage. Je vais bien, ne vous inquiétez pas, les garçons. »
Cela sembla convaincre Ron qui se lança dans une conversation avec Seamus, mais Harry la regardait avec inquiétude. Depuis son retour avec Tom, il la dévisageait sans cesse, comme s'il essayait de la reconnaître. La jeune femme se jura d'y prêter plus attention et de se reconcentrer sur lui, afin d'éviter les soupçons.
À la table des Serpentards, un jeune homme avait également son regard sur la jeune femme et son nouveau camarade de classe. Il n'arrivait pas à comprendre ce qui intéressait tant son père, mais foi de Malefoy, il n'allait pas le décevoir. Il devait d'abord observer, comprendre, puis la questionner. Cette petite Sang-de-Bourbe ne semblait pas avoir une vie très originale, mais si elle possédait un coffre dans les entrailles de Gringotts, elle devait avoir quelque chose. Sa réflexion s'arrêta lorsqu'il croisa le regard froid comme de la glace du nouvel élève. Un frisson de peur le saisit, et il détourna vite le regard. S'il devait découvrir les secrets de la Sang-de-Bourbe, il allait devoir la suivre pour pouvoir l'isoler du jeune homme qui lui faisait froid dans le dos.
°o$.$o°
Quelques jours plus tard…
L'occasion se présenta pour Drago lorsque Tom Zéphir fut convoqué par sa Directrice de Maison pour faire le bilan de son premier mois chez les Gryffons.
Sachant que la jeune lionne serait seule pendant au moins une heure – l'équipe de Gryffondor avait en même temps entraînement de Quidditch – il se mit en quête d'aller la chercher. Il la trouva bien évidemment à la bibliothèque, comme tous les samedis, ou presque. D'habitude, un de ses idiots de gardes du corps étaient avec elle, et Drago avait dû ronger son frein pour enfin se retrouver seul à seule avec elle.
Il s'approcha silencieusement et s'arrêta net lorsque la voix de la jeune femme retentit dans ses oreilles :
« Qu'est-ce que tu veux, Drago ?
- Que…
- Eh bien ? Cela fait plus d'une semaine que tu me suis, tu dois bien avoir quelque chose en tête ! »
La voix de la lionne était différente de ses souvenirs. Dans sa mémoire, elle avait une voix énervante, haut perchée et souvent cassée à force de lui crier dessus. Au contraire, cette fois-ci, Granger lui parlait avec une voix suave presque… sensuelle. Il retint un frisson et la dévisagea alors que la lionne n'avait même pas pris la peine de relever la tête de son essai. Il se reprit et s'avança, sa voix cinglante et traînante à la fois, comme lui avait appris à le faire son père :
« Tu crois quoi, Granger, hein ? Ne prends pas tes rêves pour la réalité, qu'est-ce que je ferais à suivre une Sang-de-Bourbe comme toi ? »
La femme leva ses yeux vers lui et cette fois-ci, il était certain que ce n'était pas la même Hermione Granger qu'il connaissait. Elle était presque effrayante. Elle le regardait avec dédain et froideur, et il ne comprenait pas ce qu'il en était. Elle eut un petit sourire narquois en voyant sa réaction et ne put s'empêcher de le faire se tortiller de malaise :
« C'est bien la question que je me pose, mon cher Drago. Qu'est-ce que le fils de Lucius fait donc à suivre une misérable Sang-de-Bourbe dans tout le château ? Serais-tu amoureux ? Souhaites-tu braver l'interdit ? Ou serais-tu un traître ? Devrais-je tout raconter à ton papa ? »
Sa dernière phrase avait été lancée avec une voix froide et il se surprit à avoir un mouvement de recul.
« Alors, Drago, tu n'assumes plus d'être un Mangemort et tu viens charmer la Sang-de-Bourbe afin de trahir le Seigneur des Ténèbres en toute sécurité, c'est ça ? »
Elle s'était levée et commençait à marcher vers le jeune Serpentard. La jeune femme pointa sa baguette sur lui et, d'un mouvement de poignet, elle l'empêcha de se déplacer. Lui qui était venu intimider la jeune femme, il en avait pour son compte. Ne voulant pas montrer sa faiblesse, il releva son menton pointu et son regard devint plus dur – quoique manquant de son tranchant.
« Granger, si je suis en effet un Mangemort comme tu ne dis, il n'est pas dans ton intérêt de faire de moi ton ennemi, lui dit-il d'une voix froide, et en sortant sa baguette.
- Oh, mais voyons, Drago, tu n'as pas l'air d'avoir compris… Tu n'es pas vraiment en position de me menacer. »
Sur ces mots, la jeune lionne désarma Drago, le laissant pris au piège avec une folle et sans moyen de se défendre. Il leva les yeux au ciel en une lente supplication. Son père ne l'avait pas préparé à ça.
.
.
.
Hermione regardait Drago Malefoy qui, bien que toujours debout, semblait fébrile devant elle. Plus tôt dans la semaine, elle avait discuté avec le Lord qui lui avait dit que lui aussi avait remarqué que son plus jeune Mangemort la suivait à la trace depuis quelque temps. Ils s'étaient mis d'accord pour que la jeune femme piège le garçon et s'assure que sa loyauté soit toujours auprès de son Lord. Et, si tel était le cas, il pourrait être un allié au sein de l'école de sorciers.
Voyant que Drago n'en menait pas large, elle ne tourna pas autour du pot. Sa baguette toujours pointée sur le jeune serpent, elle cingla :
« À qui es-tu fidèle, Drago Malefoy ? Dans quel camp te vois-tu mourir ? Le camp des perdants, ou celui des vainqueurs ? »
À sa dernière question, elle forma un sourire en coin sur sa bouche. Sa voix était envoûtante et Drago se sentit très jeune tout d'un coup. Il ne s'imaginait pas que la jeune sorcière devant lui avait seulement 18 ans. Elle paraissait tellement plus âgée, plus mature, moins… innocente. Il ne savait que répondre et se surpris à avoir peur. Elle ne semblait pas rire, et ses questions n'étaient pas celles d'une camarade de classe, mais bien d'une guerrière sur un champ de bataille.
Il choisit la vérité.
« Granger, je ne sais pas ce qui te trotte dans la tête, mais tu me fais flipper. Je vais te dire la vérité, parce que je n'ai pas le choix, et je sais que tu vas vite aller courir vers tes petits amis pour tout leur raconter. La vérité c'est que je ne sais pas. Ma loyauté réside avec mon père, et ma famille. S'il se tourne vers le Seigneur des Ténèbres, alors je serai loyal au Seigneur des Ténèbres. S'il choisit la lumière, alors je serai loyal à l'Ordre du Phénix. »
Affligée devant tant de soumission et devant un tel manque de personnalité, Hermione ne put s'empêcher de lever les yeux au ciel et de souffler.
« Et si ton père venait à disparaître ? N'as-tu donc pas de convictions ?
- Je… Drago commença sa phrase, hésitant, avant de se raviser : honnêtement, aucun des deux camps n'a rien fait pour moi. Le Seigneur des Ténèbres m'a donné une mission impossible alors que j'avais 16 ans, et l'Ordre du Phénix me pourrit la vie à longueur de journée. » – à cela, Drago lança un regard appuyé à la jeune femme, qui roula des yeux une nouvelle fois. Il reprit : « J'imagine que mes loyautés ne seront jamais avec Potter et toi, Granger. Je n'ai pas d'amour pour les Moldus, et j'abhorre les Sangs-de-Bourbe. Et les Traîtres-à-leur-Sang comme Weasley me font mal à l'estomac. »
Hermione fut satisfaite de sa réponse. Soit, il n'était pas encore tout à fait loyal à Tom, mais au moins, il ne risquait pas de courir vers les laquais du Phénix. Haussant les épaules, elle tenta le tout pour le tout :
« Et si je te disais que le Seigneur des Ténèbres pouvait récompenser ta loyauté ? Te donner tout ce que tu désires ? Jusqu'où pourrais-tu aller ? Visiblement, tu ne serais pas prêt à tuer pour lui… Serais-tu prêt à mourir pour lui, Drago Malefoy ? »
Son nom dans sa bouche et les implications de sa question lui donnèrent des sueurs froides. Allait-elle le tuer ? Testait-elle ses limites pour se décider ? Essayait-elle de le détourner du Seigneur Noir ? Il se rendit compte qu'il jouait à un jeu dangereux. La vérité, et il pouvait mourir. Un mensonge, et il pouvait mourir. Il ne savait pas quoi dire, et il en informa la lionne :
« Je ne sais pas où tu souhaites aller avec des questions pareilles, Granger. N'as-tu pas encore compris ? Je ne vais pas rejoindre ton petit Ordre à la noix. Je ne deviendrais pas un espion, si c'est ce que tu cherches à faire en ce moment. Je pense que la réponse à la question est évidente, donc. À l'opposé même de tous les principes ancrés dans mon être, je pense être capable de mourir pour mon Maître. »
Et, avec horreur, il vit la terrifiante jeune femme en face de lui, celle qui l'interrogeait sans ciller depuis une dizaine de minutes, esquisser un vrai sourire. Le genre de sourire qui nous fait nous sentir fier de nous. Un sourire de récompense et, vraiment, qui pouvait facilement être addictif.
Elle baissa alors sa baguette et commença à se déshabiller.
« Granger…
- Ne te fais pas d'illusion, idiot. Je dois te montrer quelque chose. »
Il reprit un peu contenance en entendant son changement de ton. Elle semblait amusée. Il se dit qu'il pouvait se contenter d'une Hermione amusée – bien moins effrayante que celle à qui il avait affaire depuis le début de la conversation.
La jeune femme semblait avoir fini de sortir sa robe de sorcière et son pull noir, et ne portait plus que sa chemise blanche. Elle remonta sa manche gauche et Drago écarquilla les yeux de surprise. Elle ne pouvait tout de même pas… Il baissa les yeux sur la peau claire de la lionne et ne vit rien. Il soupira légèrement de soulagement (une surprise comme celle-ci lui faisait un peu peur). Son soulagement fut bref puisque sur peau blanche de la jeune femme, un serpent noir venait d'apparaître et de s'enrouler autour de son avant-bras.
« Oh. »
Donc Hermione n'était pas une Mangemorte. Elle était LA Mangemorte. Leurs yeux se croisèrent et il y vit la vérité. Il tomba alors au sol et baissa la tête avec révérence :
« Milady. »
Hermione esquissa un sourire.
.
.
.
« Alors, comment s'est passé ta rencontre avec notre cher Drago ?
- Oh, plutôt bien. Figurez-vous que vos Mangemorts m'appellent également Milady, à présent.
- C'est tout à fait normal, ne pensez-vous pas ? Ils doivent vous montrer le respect que vous méritez. Racontez-moi donc ce qu'il s'est déroulé à la bibliothèque… »
Elle lui raconta l'interlude et le Seigneur des Ténèbres ne put s'empêcher de rire légèrement lorsqu'elle lui décrivit l'air déconfit du jeune Malefoy lors de l'apparition d'Altaïr.
« Il était tellement choqué lorsque j'ai sorti ma robe ! Et quand j'ai commencé à relever la manche de ma chemise, il est devenu encore plus blanc à l'idée que je sois une Mangemorte ! Finalement, quand Altaïr est apparu, je pense que j'ai grillé son cerveau… Je dois avouer qu'il s'est vite repris, et il a directement montré son respect en s'agenouillant devant moi.
- Il s'est agenouillé ? Bien, très bien. Lucius a dû lui parler de vous. Avez-vous abordé la raison pour laquelle il vous suivait ?
- Il s'avère que Lucius était curieux de la raison pour laquelle j'ai un coffre très gardé à Gringotts. Il m'aurait vu sortir de la cheminée principale et souhaitait récupérer des informations pour vous les communiquer. Très loyal de leur part à tous les deux, je lui ai dit que j'allais vous en parler. Il n'a pas l'air de se douter que vous êtes son Maître, mais son état de choc était tel qu'il n'était pas au mieux de ses capacités de réflexion. Il ne devrait pas tarder à réaliser la situation et j'ose espérer qu'il restera discret lorsqu'il s'en rendra compte. Si ce n'est pas le cas, nous allons devoir accélérer notre plan.
- Hm, oui… Même si je pense que nous avons encore le temps, Potter ne se doute de rien concernant la destruction de mes Horcruxes, du temps qu'il trouve le premier, nous avons au moins quelques mois devant nous. D'autant plus que vous allez lui mettre quelques bâtons dans les roues.
- J'aimerais tout de même rester à Poudlard pour pouvoir commencer à me renseigner sur les Prophéties à la bibliothèque. Je vais prétexter auprès de McGonagall que je souhaite rechercher celle qui vous lie à Potter, mais j'ai un pressentiment que nous avons mal compris celle qui nous lie tous les deux.
- Je vois ce que vous voulez dire. Nous devrions en discuter sous peu, mais en attendant, j'aimerais trouver des informations sur ces morts chez les Moldus. Si ce que vous pressentez est véridique, alors nous avons un gros problème et que nous devons nous y préparer. Je vais discuter avec Lucius et Bella pour qu'ils organisent des attaques chez des membres de l'Ordre du Phénix. Je pense qu'ils en savent un peu plus que ce qu'ils laissent paraître… Notamment parmi les plus anciens. Si cette Bête vous recherche, cela doit avoir un lien avec les elfes, et la dernière fois qu'ils ont été aperçus dans le monde magique, c'est lors de leur génocide par l'Ordre du Phénix, dans les années 1980. »
Hermione frissonna légèrement à la mention de cette Bête et de la possibilité qu'elle ait été envoyée à sa poursuite par l'Ordre maudit. Cela expliquerait la raison pour laquelle elle avait été cachée chez les Moldus par ses parents. Personne ne laisserait son enfant entre les griffes d'une Bête aussi dangereuse. Et, maintenant qu'elle avait 17 ans, sa trace magique elfique avait été activée, et la Bête avait été réveillée…
« Cette théorie est très cohérente, Milord. Je n'avais jamais pensé que cette Bête avait été envoyée lors de la destruction des elfes et de la fuite de mes parents. Nous devons nous renseigner sur ce génocide pour connaître les tenants et aboutissants. Je vais interroger M. Binns à ce sujet dans la semaine prochaine, j'aimerais comprendre pourquoi il y a un tel tabou sur cette histoire. Très peu de personnes semblent être au courant de l'existence des elfes, et du rôle de l'Ordre dans leur chasse.
- Il semblerait que nous ayons un plan, donc, Mia. Celui-ci arrive à point nommé, étant donné que le dîner ne devrait pas tarder à être servi. »
Sur ces paroles, le Lord pris la main de la jeune femme et la guida en dehors de la salle de classe abandonnée dans lequel ils s'étaient enfermés pour débriefer avant le dîner. Ils restèrent main dans la main jusqu'à ce qu'ils rejoignent la table des Gryffondors, et ce geste anodin ne passa pas inaperçu. Lavande et Parvati pouffèrent, Seamus sembla pensif et Ron devint légèrement rosé. Même s'il avait fait son deuil de sa relation avec la lionne, il n'en était pas moins gêné devant une telle démonstration. La réaction la plus drôle, cependant, fut celle d'une certain Serpentard qui poussa un cri aigu avant de tousser fortement.
Hermione ne put s'empêcher de commenter d'une voix mielleuse :
« Oh, je crois que notre petit Serpentard vient de s'étouffer avec ses petits pois. Je me demande bien pourquoi… À ton avis, Tom ? »
Ce dernier lui répondit avec un sourire en coin et des yeux pétillants. Hermione ne l'avait jamais trouvé plus charmant qu'à ce moment-là, et elle ne put s'empêcher de lui serrer la main un peu plus fort, en souriant malicieusement elle aussi.
Salut tout le monde,
Ce chapitre était un peu plus court que d'habitide, mais j'espère qu'il vous a plu ! J'aime beaucoup jouer avec Drago, et il va encore avoir quelques apparitions dans la fiction.
Je vais être honnête avec vous, c'est un peu compliqué de garder la motivation à écrire quand j'ai si peu de retours. Je suis très contente d'en avoir quand même, détrompez-vous, mais je n'arrive pas vraiment à continuer à écrire autant que je le voudrais, et je me surprends à venir sur ff juste pour vérifier mon nombre de reviews/MP. S'il vous plaît, prenez une minute pour me faire un commentaire ? Bon ou mauvais, avec ce que vous voulez, des hypothèses, etc. J'ai encore un chapitre d'écrit sous la manche, il faut que je me dépèche à m'y remettre pour ne pas vous abandonner une nouvelle fois !
Avec tout mon amour,
~ Alice