Je vous remercie pour vos reviews ^^^^.
Pour répondre à Alicia : Oui, je me suis inspiré d'un Harlequin ^^. J'espère que tu aimeras quand même ma fiction ^^^.
Je remercie ma béta : Sailorslayer
Chapitre 15
Draco lança un regard hargneux vers la BMW voisine dont la conductrice, une beauté, n'arrêtait pas de le klaxonner.
Ah ! Et puis il y avait cela aussi : à cause de Harry, impossible de retrouver les plaisirs simples que lui procurait d'habitude le sexe opposé. Comme tout homme qui se respecte, il adorait regarder les femmes. Mais depuis quelque temps, il lui semblait que la seule fonction des femmes qui l'entourait était de lui rappeler Harry.
Il n'était surement pas trop tard pour retourner à sa vie ordonnée et prévisible, mais cela lui demanderait quelques efforts — plus qu'il ne l'aurait cru. Il se montrait impatient avec son équipe, et à peine poli avec sa nouvelle collaboratrice qui avait pris la place de Blaise, Hermione Granger. Cette femme était aussi belle qu'intelligente. Même Théo n'avait pu résister à la belle brune. Pour une fois, Draco avait eu le plaisir de voir son ami se plier en quatre pour attirer l'attention de la demoiselle. Il sourit à cette pensée. Il regarda sa montre et soupira.
Le congrès des écrivains devait être terminé, à présent. Mais il se refusait à l'appeler sur son portable. Il avait trop peur que sa voix ne l'envoute comme le chant des sirènes et ne le persuade d'abandonner sur-le-champ son travail, pour l'épouser et couler des jours heureux.
Il arriva chez lui en nage, et excéder de s'être fait klaxonner tout le long de la route. Les femmes de New York n'avaient-elles donc rien de mieux à faire ? Furieux, il jeta les clefs de la voiture à travers le jardin où elles atterrirent dans une haie.
Tout plutôt que rester seul dans la maison vide. Il avait intérêt à se trouver un costume pour la soirée d'anniversaire de Théo, qui organisait un bal masqué dans la tradition de sa jeunesse.
Harry courut à travers sa chambre pour répondre à son téléphone. Il s'étonna lorsqu'il vit le nom sur son portable.
-Monsieur Nott! Comment allez-vous ?
-Appelle-moi Théodore ou Théo. Ce soir, j'organise un petit bal masqué pour mon anniversaire. J'aimerai que tu viennes.
Enfermé dans le studio qu'il louait non loin du centre de New York, il était si complètement immergé dans son nouveau roman qu'il en perdait la notion du temps. Avec les cours d'anglais qu'il donnait à des enfants le soir et le week-end, il ne lui restait plus beaucoup de temps à consacrer à sa vie sociale.
-Je ne pen…, commença à dire Harry
Théo le coupa.
-Il t'aime
-…
Le cœur de Harry s'arrêta.
-Cet imbécile t'aime, continua Théo. Il ne travaille plus, il est tout le temps absent. Il n'écoute plus lors des réunions et surtout il est insupportable avec tout le monde. Tu lui manques. Viens. De plus, ne dois-tu pas lui rendre sa voiture ?
-Je…
Lorsqu'il était encore marié, il avait emprunté la voiture de Draco. Depuis lors il ne l'avait toujours pas rendue. C'était comme s-'il se refusait de lui rendre car en faisant cela, il couperait tout lien avec son beau blond mais il fallait qu'il oublie pour son propre bien.
-Je viens.
Depuis l'annulation de leur mariage — qui n'avait tenu la une des journaux qu'une petite journée —, le nom de son ex-mari apparaissait régulièrement dans les pages économiques et les comptes rendus mondains. Il frissonna au souvenir de cette photo où l'on voyait Draco tenant une splendide créature brune à son bras.
Comme il préférait ignorer ce qu'il devenait depuis son départ, il décida d'arrêter de lire les journaux. De toute façon, il était bien trop occupé pour se soucier des potins mondains. Il venait de signer pour la publication de son premier livre — l'éditrice, Luna, qui l'avait remarqué, en avait acquis les droits durant le congrès, et le deuxième progressait rapidement.
Il poussa un soupir. A quoi servait de retarder l'inévitable ? Ce soir, il allait revoir Draco.
Ayant reçu ces dernières semaines plus d'attentions de la part des hommes qu'en vingt-cinq ans d'existence, il se sentait plus sur de lui-même à présent. Il le devait à Draco.
Le temps qu'il avait passé avec lui et, paradoxalement, la demande en mariage absurde qui avait clos leur relation, lui avaient enseigné qu'il pouvait survivre et même réussir sans servir de béquille à personne, et que dans la vie il était aussi important de recevoir que de donner.
A 18 heures, Harry se rendit chez Théo.
—- Entre, Harry, dit Théo qui le tira à l'intérieur en refermant vivement la porte.
— -Un problème ? s'enquit Harry en regardant autour de lui.
— -C'est juste une petite fête…Pour mon anniversaire, lança Théo qui cherchait quelqu'un du regard.
— -Une petite fête ?
— -Oh ! Pas plus de trois cents invités. Beaucoup moins que l'an passé, je t'assure, affirma Théo en lui prenant l'avant-bras.
Théo s'arrêta et fit son plus beau sourire.
-Bonsoir Mademoiselle Granger.
Harry observa la jeune femme devant lui. La même femme que celle qu'il avait vue dans le magazine. Elle était bien plus belle en vrai qu'en photo.
-Bonsoir Nott, répondit-elle en fixant Harry.
-Je vous présente Harry Evans. Harry, je te présente la remplaçante de Blaise, Hermione Granger.
-Enchanté de faire votre rencontre Mademoiselle Granger, fit Harry tout en lui tendant sa main droite.
Draco n'avait jamais aimé les hommes. Cette femme pouvait rendre fou n'importe quel homme et le regard de Théo confirma les pensées de Harry.
-Appelez-moi, Hermione, lui répondit-elle en souriant.
Harry vit Théo se raidir et serrer le verre de champagne qu'il avait en main.
-Tu as de la chance Harry, Mademoiselle de glace t'autorise à l'appeler « Hermione », dit-il en fixant Hermione. Il se tourna vers Harry. Sache que c'est un privilège qu'elle n'accorde à peu de personne.
Hermione lui sourit avant de boire une gorgée de champagne.
-C'est un « privilège » que je n'accorde qu'aux personnes que j'estime, Monsieur Nott.
-Que faut-il faire pour en être digne ?, demanda-t-il tout en la fixant droit dans les yeux.
-Essayer d'être vous-même, proposa Hermione en levant le verre avant de boire une gorgée.
Théo grogna avant de s'excuser pour rejoindre d'autres invités.
-Draco sera là dans 20 minutes, fit Hermione en le fixant.
Harry écarquilla les yeux tout en rougissant.
-Draco et moi...on… n'a jam… n'est plus…
Elle lui sourit avant de lui tourner le dos et se fondre dans la masse des invités.
D'abord abattu, puis de plus en plus irrité, Draco avait fait le pied de grue jusqu'à 23 heures devant la porte de Harry.
Il avait intérêt à ne pas s'être rendu à un rendez-vous galant ! Conscient que sa jalousie était irrationnelle, il cherchait à la refouler, mais ne pouvait néanmoins s'empêcher d'en souffrir.
Il fallait se résigner. Même s'il en avait très envie, il ne verrait pas Harry ce soir. Alors, puisque cette soirée était ratée, autant ne pas blesser son cher ami Théo en manquant sa fête d'anniversaire.
Devant chez Théo, les choses lui apparurent sous un tout autre jour. Dans l'éclat féerique des lumignons suspendus auxpiliers de la véranda, garée devant la porte d'entrée, se trouvait
son Aston Martin ! La voiture qu'il avait prêté jadis à Harry et qu'il ne lui avait toujours pas rendu.
Euphorique, il grimpa les marches quatre à quatre pour se ruer dans la maison bondée. Des invités se pressaient dans les moindres recoins entre le vestibule, l'escalier et la tente du
jardin. Il pénétra dans la salle de bal et reconnut Harry aussitôt.
Il discutait avec un homme. En voyant l'homme se pencher à l'oreille de Harry pour lui murmurer quelque chose, il se raidit, poings serrés, avant de se détourner au contact d'une main légère sur son bras. C'était Théo.
—
-Désolé d'être en retard, s'excusa-t-il distraitement, sans quitter des yeux Harry qui souriait à une plaisanterie de son cavalier.
-C'est vrai que tu fonctionnes au ralenti, depuis quelques mois. Mais ce soir, ça va, tu n'es pas trop en retard.
-Hein ? répliqua-t-il en sursautant.
Se tournant vers son ami, il vit qu'il aussi regardait Harry. Si Théo lui avait caché la venue de son brun ce soir, cela faisait surement partie d'un de ses plans subtils pour les remettre ensemble. C'était typique de Théo.
-Merci, lança-t-il d'un ton brusque, ému de gratitude.
-Va, répondit-il en souriant. Va revendiquer tes droits sur ton homme, avant que Marcus Lovington III ne lui grignote un bout de l'oreille.
-Si j'ai bonne mémoire, observa-t-il soudain en se figeant, ton anniversaire est en novembre. Cette fête, ce n'est pas pour toi que tu l'as organisé… C'est pour moi et Harry.
-Eh oui, une ≪ parade nuptiale ≫ de plus, soupira Théo sans paraître le moins du monde repentante. Je sais que je n'aurais pas du, mais…
-Merci, l'interrompit-il.
Il se rendit vers Harry d'un pas décidé.
Lorsqu'il fit face à Harry, il fut paralysé. Que dire à Harry ? Comment le convaincre de sa sincérité ? Marcus sentit qu'il était de trop et salua Draco et Harry avant de s'éclipser.
-J'ai lu des articles sur toi dans le journal, commença Harry..
-Tu as vu la photo, avec cette femme ? demanda-t-il. Quel est le terme utilisé en psychologie pour designer cela ? Sublimation, substitution ?
-Substitution ? A quoi ?
-Depuis ton départ, je n'ai pas touché une seule femme. A part un ou deux baisers de pure politesse sur la joue.
-En deux mois…
-Certaines personnes mettent du temps à comprendre, expliqua-t-il tout en manœuvrant pour le diriger vers la porte qui menait sur l'arrière de la maison.
Ils émergèrent dans l'air frais de la nuit, et il le guida vers un banc proche où, après avoir ôté son masque, il l'aida sans un mot à enlever le sien.
-J'ai une mauvaise nouvelle à te dire. Nous sommes toujours mariés.
-Comment ? Pourquoi ? balbutia Harry.
-Je dois avouer que c'est entièrement ma faute, confessa Draco sans paraître le moins du monde repentant. Je ne pouvais plus supporter le mensonge.
-Quel mensonge ? De quoi parles-tu ?
Il semblait savourer avec délice son indignation.
-Marcus m'a donné une copie du jugement d' il se trouve que le juge s'était laisse convaincre par deux arguments de poids : premièrement nous ne savions pas que le mariage était valide, et deuxièmement nous n'avions pas…
-… consommé le mariage ! Oh ! Ce n'est pas vrai, gémit Harry.
-Si c'est ta seule réaction à l'évocation de cette fameuse ≪ consommation ≫, ce n'est pas particulièrement flatteur pour moi, s'insurgea-t-il.
-C'était donc une simple question de vanité masculine ? Tu ne supportais pas qu'on écrive partout que tu n'avais pas pu coucher avec ton époux ?
-Le jugement n'a pas été rendu public, rétorqua Draco en accentuant son emprise. La décision était à huis clos. Si j'ai adressé une pétition à la cour pour casser l'annulation,
c'est parce que je refuse de renier la plus belle nuit de ma vie.
-La plus belle… ? murmura Harry, bouleversé.
-Marcus, qui a défendu la cause devant le tribunal du conté, m'a informé il y a quelques heures que le juge avait bien révoqué l'annulation.
-Et alors ? On va devoir divorcer ?
-Le temps est venu de te parler de mon nouveau rêve. Celui de passer le reste de ma vie à me laisser provoquer, étourdir et séduire par toi.
-Draco, tu m'as déjà demandé de t'épouser et j'ai refusé.
-Cette fois, je pose des conditions très strictes, dit-il.
-Ah bon ? répliqua Harry, un peu vexé.
-Tu pourrais penser qu'il suffit de ressentir de l'affection pour ton mari, mais, moi, je n'exige rien de moins qu'une adoration mutuelle, énonça Draco en portant ses doigts à ses lèvres pour les baiser.
Plongeant son regard dans celui de Draco, il y découvrit tout ce qu'il avait besoin de connaitre de ses sentiments pour lui.
-De l'adoration ? C'est beaucoup demander, répliqua Harry pensif. Tu risques d'attendre longtemps si tu cherches une femme ou un homme qui t'adore.
-J'attendrai, répondit Draco
-Et le testament de ton père ? Et le bébé que tu souhaites pour raffermir ton entreprise ?
-C'est fini, tout ça, répondit Draco. Peu après ton départ, ma tante a annulé ses poursuites. Il est apparu que mon cousin n'avait pas du tout envie de prendre la tête de la société et qu'il voulait devenir entraineur de tennis de haut niveau — tout en touchant régulièrement d'abondants dividendes, bien sûr. J'ai dit que ca pouvait s'arranger.
-C'est magnifique !
-C'est après que tu l'ai sermonnée, en lui disant qu'il fallait souhaiter le meilleur à ceux qu'on aimait, que ma tante en est arrivée là. Elle a demandé à son fils ce qu'il voulait
vraiment, et il a trouvé le courage de le lui dire.
Voyant arriver un couple qui sortait de la maison, Draco leur lança un regard si noir qu'ils battirent aussitôt en retraite dans la salle de bal.
- Dès que ma tante a abandonné ses poursuites, reprit- il, Marcus n'a eu aucune difficulté à faire ôter cette clause litigieuse du testament de mon père.
-Tu n'as donc plus besoin d'une épouse, conclut Harry.
-Si, j'ai besoin de toi, répliqua Draco en lui serrant les doigts. J'ai besoin de ta présence, de ton amour, de ta confiance en moi, de ta manière de me pousser à devenir meilleur.
-Et le bébé ? demanda Harry. Parce que si tu en as besoin aussi…
-On trouvera une solution, répondit Draco avec insouciance. Peut-être pourrons-nous envisager d'adopter, si tu désires en avoir un autant que moi. Je sais que tu serais un père formidable, enfant biologique ou non.
-Je me suis trompé, dit Harry en se lovant contre lui avec un petit rire.
-Toi, te tromper ? Impossible ! déclara Draco en lui embrassant les cheveux.
-Quand tu affirmais qu'il fallait être égoïste, je croyais être d'accord avec toi. Je disais que je voulais un amour sans chaine, sans contrainte. Mais non ! Je veux t'être attaché,
Draco, et que tu me sois attaché.
-Dans l'amour vrai, on s'enchaine de soi-même, dit-il, les yeux brillants d'émotion.
Harry sentit son cœur se gonfler d'allégresse. C'était trop beau pour être vrai. Il avait trouvé l'âme sœur !
-Es-tu sur que nous sommes toujours mariés ? l'interrogea Harry.
-Absolument.
-Alors je sais ce dont j'ai envie, lança Harry en lui tendant la main.
Ils fendirent la foule avec une détermination opiniâtre, main dans la main, pour rejoindre au plus vite une des nombreuses chambres d'amis de Théo.
Harry poussa Draco sur le lit avant de se placer sur son blond. Il lui murmura :
-Je t'…
Soudain Harry ouvrit les yeux et se leva d'un bond. Il était toujours dans la salle de classe de Sibylle Patricia Trelawney, professeur de divination.
-Mes chères élèves, voici ce que correspondrait votre vie dans un monde sans magie, expliqua-t-elle. Je remercie les professeurs Black et Snape d'avoir participer à ce cours. Je…
Harry ferma les yeux et n'écouta plus les explications de son professeur de divination. Dans ce monde, il s'était marié avec Malefoy, il avait couché avec Malefoy et surtout il avait aimé CA.
Il jeta un regard à Ron, Est-ce qu'il avait été dans le même monde que lui ? Si oui, il avait eu une relation avec Blaise Zabini. Vu la pâleur de son visage et le regard mi- surpris, mi- dégouté qu'il jeta à Zabini confirma la supposition de Harry.
Harry leva la tête et croisa les yeux gris de Malefoy avant que celui-ci ne détourne le regard et dise quelques mots à son ami, Blaise Zabini.
-Si vous avez des questions à me poser, continua le professeur de dévination.
-Moi j'en ai une, cria Severus tout en se levant. Dites-moi que ce qui s'est passé là-bas n'a aucune influence sur nos comportement et que je n'éprouverai pas de sent…. Que les sentiments, les sensations dans ce monde n'ont rien avoir avec moi ? Que le Severus de là-bas n'est pas moi ?
Un silence régna dans la salle de classe.
-Bien sur que non, Professeur Snape, dit le professeur de divination.
À cette nouvelle, plusieurs élèves soufflèrent de soulagement,
-Mais…
-Mais quoi ? fit Sirius à son tour tout en jetant un regard froid à sa collègue et en se plaçant à côté du professeur de potion.
-Les sentiments de vos doubles sont les leurs, essaya-t-elle d'expliquer tout en reculant prudemment. Ils ne peuvent influencer les vôtres mais leurs sentiments étaient réelles et vous avez à travers eux, vécu leur doute, leur joie,… et …
-ET ? firent les deux professeurs en faisant un pas dans sa direction.
-Et ….il se pourrait que grâce… à eux…vous ressentiez votre monde différemment, finit-elle avant de sortir en courant de sa salle de classe en criant le cours est fini.
Un silence se réinstalla dans la salle de classe.
Sirius se tourna vers son collègue et il croisa son regard. Ils se jetèrent un regard de pure haine avant de détourner les yeux.
Sirius était sûr qu'il avait été dans le même monde et ils avaient… Putain il avait couché avec Snape. Non, son double avait couché avec lui, pas lui, c'est ce qu'il se répéta tout en se dirigeant vers la sortie.
Severus ferma les yeux. Il fallait qu'il se calme. Non, il n'avait jamais couché avec Black, c'était son double, son putain de double qui devait être hétéro.
-Le cours est fini, répéta Severus avant de sortir à son tour.
Il fut suivi de la plupart des élèves, qui se levèrent tout en reprenant leurs esprits. La plus part était content de cette expérience, ce qui n'était pas le cas du trio d'or.
-Harry est- ce que dans ton monde tu étais marié à M… ?, fit Ron tout en mettant ses mains sur son visage.
-Oui, coupa Harry tout en fermant les yeux. Et Blaise et toi ?
-Oui
Hermione observa l'échange entre ses amis. Alors ils étaient dans le même monde sauf que dans ce monde, elle n'était pas encore leur amie mais l'employée de Malefoy et cela voulait dire que Nott et elle…Non…ce n'est pas possible.
Elle regarda autour d'elle, il restait qu'eux dans la salle de classe.
-Ce n'était pas nous, fit Hermione en rangeant ses affaires. Ok, ce n'est pas nous.
-Mais Jade, fit Ron en levant les yeux vers Hermione.
-Es-tu attiré par Zabini ?
-Non
-Non, répéta-t-elle. Tu le côtoies depuis plus de 7 ans bientôt 8, vu que le ministre veut que tout le monde repasse son diplôme que ce soit notre année. Est-ce qu'il t'a inspiré du désir ?
Ron secoua la tête.
-Le problème est réglé, finit Hermione tout en souriant. Ils n'étaient pas nous.
Tant Harry que Ron lui sourirent. Leur Mione avait toujours raison.
FIN