# Titre : Trois petits mots.

# Pairing : HG/DM (oh wiii!)

# Résumé : Il se détestaient. Ils se détestaient, mais quand il la vit sortir seule dans la nuit, il n'a pas hésité. Et maintenant elle espère qu'il lui dira ces trois mots, qui la libéreront. Mais pensent-ils à la même chose?

# Rating : Boon, ça n'est pas à proprement parler choquant, je les fais pas copuler comme des lapins, mais... Je sais pas, je me suis dit : warning! Donc si ça ne vous choque pas, désolée, je n'ai pas cultivé l'esprit pervers dans mes écrits, et si ça vous choque (vous savez, Draco en sueur, nu dans le lit... Ooh elles se sont évanouies!) eet bien, désolée!^^'

# Disclaimer : Je ne suis pas blonde, je ne suis pas anglaise et je ne m'apelle pas JKR. Rien ne m'appartient, à part la porte d'Hermione (vous verrez) et la petite robe noire!:D Haha!

.

# Note de l'auteur (pour les courageuses) :

Coucou tout le monde!:DD

C'est avec une graande joie que je vous offre de si bon matin cet OS qui, comment dire... A été coupé en deux.^^' En gros c'est un two-shot... Hum.

Je sais, je pars toujours dans des écrits trop longs, et ça plus mon envie de vous laisser patauger dans la semoule avec le suspense et tout ça et tout ça (ben, oui, j'aime frustrer mes lecteurs!... Non? Alleez, faut avouer que ça donne une dimension en plus à l'histoire! Hihi) ont fait que j'ai décidé de couper au point culminant de l'histoire:D Niark niark! Mais ça se finira bien! No panic!:D

Pour ceux/celles qui lisent Indepted, vous commencez sûrement à me connaitre, aussi ne serez-vous pas surprise de savoir que :

1) C'est un HG/DM,

2) C'est basé sur un quiproquo :D

3) Notre cher petit couple ne se comprend jamais!

Eet oui, j'aime quand il y a de la difficulté! Mais ne vous inquiétez pas, encore une fois, ça se finit bien :3

Comme je l'ai dit à quelque-unes ( ça y est, j'ai abandonné l'idée qu'il y a avait des mecs par ici... :'C ), j'ai cette idée en tête depuis une bonne semaine, depuis 10 jours en fête (c'est un jeu de mot, pas une faute), je voulais poster pour mon anniv (tadaam!):D

Mais j'avais ma fiction à continuer, donc j'ai dû reporter cela aux vacances x)

Boon, promis, là, j'arrête de blablater (vous avez vu, j'ai vraiment du mal à me retenir!xD) et vous laisse en juger par vous-même(;

J'ai adoré l'écrire, j'espère que vous apprécierez le lire:3 La suite vient tout à l'heure!

Bonne lecture! Enjoy, les amis!:D

Et n'oubliez pas de me donner vos impressions, c'est important! 8')


Trois petits mots.

J'ouvrai les yeux.

Malefoy était encore là.

Comme c'était étrange. D'habitude il partait à l'aube, avant que je ne me réveille. Bien sûr, il partait la retrouver.

Je la détestais tellement d'exister. D'être tout son monde, alors que moi je n'étais que ses nuits.

Je ne sais pas comment j'en suis arrivée là. Je ne sais plus combien de fois il est venu, dès qu'il peut, le soir, me retrouver.

Je suis devenue son jouet, son passe-temps, et cela à mes dépens. Je me suis laissée entraîner dans ce tourbillon de passion, cette relation de malheur. Si on peut appeler cela une relation.

Un homme qui entre sans prévenir, qui m'entraîne sans un mot dans ma chambre, qui croit que je suis à lui.

Je le déteste de m'avoir poussée à m'attacher à lui, à toujours avoir envie de de son corps, de sa peau. A me perdre moi-même.

Il a suffit d'une fois pour que je tombe dans ses filets.

.

.

* Flash *

Cela avait pourtant commencé normalement. Une réunion au Ministère, qui se termine tard dans la nuit. Tous les collègues décident de finir la soirée au restaurant, ou au pub, selon l'heure, avant de retourner à leurs appartements.

Malheureusement, Malefoy est un de mes collègues.

J'ai toujours su qu'il m'en voulait, depuis cette année à Poudlard où je l'avais frappé. Humilié, et rabaissé, donc. J'avais compris dès lors qu'il me vouait une haine sans borne. Je pense que j'avais été la seule à m'être un jour interposée à lui, car depuis, il me portait une attention particulière.

Bien sûr, cela se traduisait par des regards haineux, des insultes encore plus blessantes, des moqueries de ses amis...

Je crois que c'est parce que Malefoy n'avait jamais connu si dure résistance. Bien au contraire, il avait pour réputation de faire tomber toutes les filles, quelque soit la difficulté du pari - parce que ses conquêtes étaient des paris entre serpentards, soyons honnêtes.

Toutes exceptée moi.

Alors quand, quelques années après la guerre, et mes études, j'ai été acceptée à un poste de députée, et que je me suis rendue compte que Malefoy y travaillait déjà, une petite lumière rouge s'était allumée en moi.

Il avait été gracié et innocenté car il avait joué un double-jeu lors de la guerre, et s'était tourné vers le bon camp à temps.

Danger, me disait mon subconscient, danger.

Et j'avais eu raison. Il avait d'abord commencé à m'ignorer dignement avant de se remettre au lancer de regards assassins.

Je savais qu'il s'en lasserait bientôt, il voulait me faire du mal, et ce n'était pas comme cela qu'il y arriverait.

Et là encore, j'avais visé juste. Il avait ensuite changé de comportement. Dès que j'étais dans les parages, il se mettait à parler de sa sublime petite amie Astoria qui représentait la perfection à ses yeux.

Belle, issue d'une famille noble, riche, et surtout sang-pur.

Il se plaisait à insister sur ce point-là.

Il me rabaissait intentionnellement, de manière détournée, et évidemment, personne ne s'en rendait compte. C'était là tout l'art de sa vengeance.

Bien sûr cela me retournait le coeur. La seule chose que je souhaitais était d'oublier toutes ces stupidités sur le sang et ce qui me rappelait Poudlard, mais il ne voulait décidément pas me laisser.

Alors je me suis mise à l'éviter. Je ne prenais plus l'ascenseur quand il y était, je ne prenais pas mes pauses à la même heure que lui, j'essayais aussi de minimiser les rencontres avec ses collègues, car il n'était jamais loin.

Petit à petit, j'avais réussi à le semer.

Mais la seule chose que je ne pouvais éviter était ces réunions nocturnes. Là, tous les députés du service étaient appelés et bien entendu, Malefoy était présent. Cependant je réussissais toujours à rester loin de lui en ne discutant qu'avec les personnes avec qui il n'avait pas d'affinités, et donc de lien avec lui.

Ainsi, il ne pouvait se joindre à nous et placer nonchalamment ses sous-entendus venimeux.

Malheureusement, ayant réussi à maintenir la distance plus d'un mois, à la dernière réunion en date, la chance tourna.

.

C'était un vendredi soir, et nous avions décidé à l'unanimité de nous rendre dans un café qui venait d'ouvrir, et qui restait ouvert très tard, afin de bien commencer le week-end. Il s'appelait le Lemon Café, un nom idiot pour un lieu agréable.

Je n'avais rien prévu de toute façon, depuis que Harry et Ginny étaient partis s'installer en Irlande, et que Ron ne m'adressait plus la parole suite à notre rupture. Je ne sortais plus.

J'avais donc accepté avec joie, mais me serais sûrement désistée si j'avais su ce qui m'attendait.

Bref, nous nous étions tous retrouvés à l'entrée, après la réunion, pour fêter le week-end. J'en avais profité pour retirer mes habits de travail et remettre ma robe noire, ma préférée, celle que Ron détestait - elle était soit-disant trop courte...

J'avais retrouvé Helena et Gabrielle, deux collègues avec qui je m'étais liée d'amitié, et Luna, qui avait ouvert une boutique de bijoux (assez originaux, je dois l'avouer) dans la rue adjacente. Elle attendait Neville, qui ne viendrait probablement pas ( lui et sa mémoire...).

Nous nous étions postés vers la fenêtre, à une table à quatre. J'avais volontairement désigné la fenêtre : Malefoy était installé à l'opposé, près du bar.

Je suivais la discussion tout en observant le ciel, à ma droite, et je m'aperçus bien vite que c'était la pleine lune.

- Excusez-moi, je sors quelques minutes, il fait vraiment chaud ici! Continuez de discuter, je reviens tout de suite!

.

En vérité, je voulais observer la Lune. C'était devenu une habitude, lorsqu'elle était pleine, de sortir quelques minutes l'admirer.

Cela me rappelait Remus, Tonks... Sirius, la nuit où nous l'avions sauvé, lui, et Buck... Les soirées que je passais avec Ron et Harry dans la Grande Salle, éclairées par ses seuls rayons, à discuter de tout et n'importe quoi.

Cela me rappelait aussi la nuit où j'ai dû protéger mes parents, en leur effaçant la mémoire, qui était un soir de pleine lune.

Oui, cet astre reflétait beaucoup en moi, et continuait de m'apaiser de toutes les épreuves traversées.

Aussi, je me dépêchais de sortir du café, bruyant, et de me réfugier dans le calme de la nuit.

J'avais contourné la rue, pour ne plus entendre qu'un lointain brouhaha, et m'étais appuyée contre un mur. J'étais bien. La lune me faisait face, et j'avais en quelques secondes réussi à oublier tout ce qui me serrait le coeur.

Ce que je n'avais pas vu, c'était que quelqu'un était sur mes pas.

J'avais fini par sentir une présence, mais lorsque je voulus me redresser, ce fut trop tard.

Malefoy se tenait devant moi, la mâchoire serrée et les yeux plissés.

Il fut beaucoup plus rapide que moi, et me poussa contre le mur, avant de bloquer mes poignets afin que je ne puisse le frapper.

Il dégageait quelque chose de menaçant, mais cela ne m'empêcha pas de me débattre.

- Lâche-moi, espèce de brute!

Il resserra son emprise sur mes poignets. Je gémissais de douleur. Il me faisait mal!

- Tu m'évites, Granger, siffla-t-il, menaçant. Et c'est quelque chose que je ne supporte pas.

- Et moi, c'est toi que je ne supporte plus!, lui répondis-je, sur le même ton.

- Attention, Granger, tu n'es pas en position de force!

J'essayais de le repousser avec des coups de pieds mais il fut plus rapide que moi; il bloqua mes jambes et se pressa contre mon ventre.

- Et alors, quoi? crachais-je. Tu vas me frapper, comme je l'ai fait en troisième année? Histoire de me rendre la pareille? Quoique... Non, ça serait trop doux pour toi.

- Ferme-la, murmura-t-il.

Je l'ignorais. J'étais hors de moi. Il était maintenant si proche que je sentais son souffle sur mon cou. Il voulait que je le regarde, je le savais. Mais je ne lui ferai pas ce plaisir. Plutôt me faire frapper. Je fixais un point, à gauche.

- Tu vas me refaire ton discours sur ta magnifique Astoria, si belle, si pure, si digne de toi, et qui est tout l'opposé de moi, la Sang-de-Bourbe qui te répugne au plus haut point?

- Ferme-la!, répéta-t-il, plus fort.

- C'est sûr qu'elle ne doit pas te résister, elle, et comme elle doit t'être fidèle! Elle n'est pas comme moi, elle ne se rebellerait pas, et ne te contrarierait pas. Une parfaite petite femme comme tu les aimes, Malefoy, n'est-ce pas?

- Je t'ai dit de la fermer!

- Ah oui? Et pourquoi je ferais cela?

- Tu la souilles en prononçant son nom avec ton immonde bouche! explosa-t-il.

.

Je me figeai.

C'était vraiment un beau salopard.

Et voilà, il avait réussi.

J'encaissais, en essayant de ne pas réagir à l'insulte.

Oui, je ne devais pas lui montrer qu'il avait réussi à me toucher. Malheureusement des larmes montèrent toutes seules. Je me détestais de lui offrir ce spectacle.

Il relâcha à peine son étreinte. Quel visage victorieux il devait avoir! Et quelle lueur de douleur avait du passer dans mes yeux... Vive la nuit, sombre malgré l'éclat de la lune.

Je m'attendais à une autre remarque acerbe et insultante.

J'attendis, prête, ou du moins, je l'espérais... mais il ne se passa rien. Sa voix ne brisa pas ce silence fier.

Je sentais encore son souffle sur moi, mais il était irrégulier, frénétique.

.

J'attendis. De longues seconde. Avant d'enfin oser lever la tête. Et là, j'eus le souffle coupé.

.

Il me regardait douloureusement, et... non je ne rêvais pas, il y avait de la culpabilité dans ses yeux. Je détournai le regard immédiatement.

- Que...?, commençai-je.

- Pourquoi faut-il toujours que tu m'oblige à te briser, Granger?

.

Il se pencha, s'approchant doucement de mon visage. Il passa ses doigts sur ma joue. Je frissonnais, perdue.

- Ça aurait été tellement plus simple que tu m'aies laissé t'avoir...

Mon coeur battait à tout rompre. Je ne pouvais plus bouger. Son souffle se perdit dans mon cou, et je tremblais de... je n'en savais rien.

- Qu'est-ce que tu veux Malfoy? réussis-je à murmurer, d'une traite.

- Regarde-moi, souffla-t-il.

Non, je ne voulais pas lever les yeux. Mais il se rapprochait de plus en plus et je ne pus que redresser ma tête, confuse et perdue.

Non, je n'avais pas rêvé. Il y avait une lueur menaçante dans ses yeux, une flamme redoutable.

Ses yeux s'étaient assombris.

J'eus bien peur d'avoir compris. Il me prit par le menton, et m'enlaça, après avoir murmuré:

- Je te veux toi.

* Back *

.

.

Je ne sais pas ce qu'il s'est passé ensuite dans ma tête. Je sais juste que j'avais perdu toutes mes notions et ma conscience dans ses yeux, et que je n'avais pas réagi quand il nous a fait transplaner dans une chambre d'hôtel.

Toute la nuit, il n'avait cessé de m'agripper, d'enrouler ses bras autour de ma taille, mes hanches, mon cou. Pour ne pas que je parte.

Pour ne pas que je gagne.

Et je n'étais pas partie. Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait, pourquoi je brûlais là où il posait ses mains, pourquoi j'étais parcourue de tremblements là où il me caressait, pourquoi je me mettais à bouger à son rythme, encore plus vite, encore plus follement...

Je vibrais à ses caresses, je répondais à ses étreinte. Nous avons fait l'amour, avec passion, avec force, et jusqu'à l'apogée, au point de non-retour, je lui ai répondu.

Je n'avais jamais ressenti cela, il m'avait possédée comme personne. Il était sur moi, suant, exténué, me dévisageant, me dévorant du regard.

C'est là que je repris mes esprits. Je le repoussais violemment, m'étais rhabillée plus rapide que jamais et avait transplané chez moi sans m'être retournée. Il avait essayé de m'agripper le bras pour me retenir mais j'avais hurlé.

- Ne me retouche jamais!

.

Je n'avais pas pu dormir cette nuit-là, horrifiée par ce qu'il venait de se passer. Ni le reste du week-end, d'ailleurs.

Alors j'avais décidé de ne plus y repenser, et le lundi, j'avais ignoré Malefoy avec toute la force qu'il m'était donné d'avoir.

Je n'ai pas besoin de préciser qu'il n'avait pas apprécié, aussi, je ne m'étonnais pas de sentir son regard insistant me chercher pour ne plus me lâcher.

Mais j'avais tenu bon, je n'avais pas flanché. J'avais réussi à imposer une distance entre lui et moi, même si je savais que cela serait temporaire.

Et encore une fois, j'avais visé juste.

.

Le soir-même la sonnerie retentit, et avant même de regarder dans l'oeil de boeuf, j'avais su que c'était lui.

.

- Ouvre cette porte ou je la défonce, avait-il dit d'une voix dure.

J'aurais voulu qu'il ne mette pas son plan en action, et qu'il ne l'explose pas en mille morceaux.

Il était hors de lui, furieux comme jamais.

- Tu me dois une porte, avais-je simplement rétorqué.

- Et toi des explications! avait-il aboyé.

.

Je tentais de rester calme, et cela l'horripilait. Même si intérieurement c'était la guérilla, même si je venais de me rendre compte qu'il était vraiment beau.

- Non, je ne te dois rien, tu me dois des éclaircissements, Malefoy! C'était quoi, ça? Tu m'as coincée dans une ruelle, tu m'as emmenée dans une chambre d'hôtel, et tu m'as fait l'amour!

- C'est vrai. Mais tu ne t'es pas débattue, Granger, répliqua-t-il en se dirigeant vers moi.

Il eut un rire mauvais.

- Tu avais même l'air d'aimer ça.

Il continuait d'avancer. Je me reculais de la même manière.

- Je n'ai PAS voulu cela! Pourquoi, Malefoy, pourquoi tu reviens me voir? Tu as gagné! Arrête d'avancer...

Je butais contre le mur du couloir. Il fondit sur moi, et frappa le mur de ses poings, à hauteur de ma tête. Il me bloquait le passage.

.

- Ça n'a jamais été un jeu, Granger.

Je tremblais de tout mon être. À nouveau, mon ventre se contracta, et une chaleur commença à l'envahir. La même chaleur que la dernière fois.

- Tu as une femme, Malefoy, pus-je seulement répondre.

Il me lança un regard noir.

Il n'aimait pas que je parle d'elle.

- Astoria sait que je l'aime et me pardonnera tous mes écarts. De toute façon, tu ne lui arrives pas à la cheville, Granger. Ne me parle plus elle.

Comment pouvait-il être aussi insultant? Comment pouvait-il avoir envie de moi et me trouver repoussante à ce point?

- Sors de chez moi.

J'avais parlé d'une voix dure, sans appel. Mais tremblante. Et il s'en était aperçu.

- Non.

.

Et il captura mes lèvre dans un baiser violent, outrageux, intense.

Je ne répondais plus de rien. Il m'avait arraché mes vêtements, avant de me porter jusqu'au canapé, qu'il avait repéré depuis son entrée.

.

Et ce fut cela à chaque fois.


Tadaaam!

Alors? Je vous avais dit que j'aimais cultiver le suspense ;)

Ne vous inquiétez pas, je finis de parfaire la fin, et je vous la poste!

En attendant...

Please can I have a little review? That's for my birthday :33

Ce n'est pas pour avoir un maximum de review à mon actif, non, ça je m'en moque, mais j'aime beaucoup avoir vos impressions, ça me motive pour la suite et me permet de voir ce qui ressort le plus de mes écrits!

( C'est très étudié, tout cela... c: )

Bon, je m'arrête là, et cette fois-ci ça sera deux petits mots :

A suivre... :)