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A l'attention des plus jeunes ou des plus pudiques, YAOÏ, lemon et rating M :

Impliquent une relation entre deux hommes avec scènes érotiques suggestives implicites ou explicites selon les sensibilités qui ne conviennent pas à tous les lecteurs et peuvent les choquer.

Vous êtes responsables des choix de lecture que vous faites.

N'allez pas au risque de vous générez du malaise, au-delà de ce que vous êtes capable d'aborder ou d'accepter.


Disclamer : propriété intellectuelle : Akira Amano que je remercie pour l'emprunt

OS : TYL/SQUALO/XANXUS/romance/OCC/

Résumé : Echec du goûter de ligre. La vengeance de Squalo sera terrible, enfin il l'espère…

Je vous souhaite une bonne lecture.


La vengeance de Squalo est un plat qui se mange chaud !

Il tournait en cage comme un lion… Non ! Il tournait dans un bocal comme un requin qui s'était fait baisé. Et ce n'est pas peu dire !

Dans tous les sens du terme comme dans tous les sens sans terme et de façon magistrale, son arrière train s'en souvenait encore !

Magnifique, dévorant et excitant, complètement épuisant mais putain quel pied phénoménale !

Et maintenant… quelle rage phénoménale ! Un plan qui avait foiré comme jamais à cause de ce scélérat de Reborn et des bonnes idées de cet idiot de Decimo de XXXXX à la noix !

Depuis leur petit interlude « romantico-sexo-torride », Squalo avait des envies… de fraises ? Non-non, c'est bon pour les femmes ces conneries… Non, des envies de rétrécir de quelques centimètres ou élaguer de quelques membres les crétins : de son équipe, le Decimo, le bébé, la femme de ménage, le majordome, le facteur, le chien et les couillons de piafs. Enfin bref, des envies de meurtres sanglants et violents pour calmer ses nerfs de grand stratège qui comme Napoléon sur le front Russe avaient été mis à rude épreuve !

Bon, les crétins étaient repartis après ce week-end où il avait perdu en tout et pour tout son corps et sa voix deux nuits de suite en plus de l'après-midi fatidique. Si ses calculs étaient bons, cela faisait 3 rounds à 0 pour son enfoiré de Boss. Squalo s'affaissa sur la moquette de sa chambre frappant du poing le sol qui absorba un peu de sa rage. Devant la glace de son armoire, nu comme au jour de sa naissance, les cheveux s'étalant autour de lui comme les doux pétales de la fleur qui éclot sous le soleil… Putain de poésie quand tu nous tiens ! Il se releva brutalement et accessoirement coincé légèrement au niveau des reins.

Non il n'avait rien d'une fleur qui éclot, il ressemblait à un vétéran de la Bataille de Vittorio Veneto sorti tout droit du Piave merde ! Sa peau était parsemée de tâches sombres dues aux succions indécentes de ce sale ligre, ses mains qui l'avaient maintenu restaient gravées, bon nous dirions plutôt marquées sur ses hanches et ses cuisses, il était zébré comme s'il était passé par les barbelés et il avait mal partout. En gros, il venait de refaire la guerre de la Tri-Ni-Sette à lui tout seul. L'abîme appelant l'abîme et le Quianti les pastas, Squalo se devait de rendre coup pour coup, œil pour dent et la sienne était particulièrement aiguisée.

Deuxième campagne pour allonger son boss et cette fois, oui, il serait victorieux !

Première chose de l'information, seconde chose de la subtilité, troisième chose la mise à mort par KO. Pas trop compliqué en théorie mais poisson appâté craint l'hameçon, il était hors de question de demander à qui que ce soit d'intervenir dans sa bataille. Mais commençons par le commencement se dit-il, les antalgiques et du chocolat en barre pour retrouver ses forces. Cahin-caha il se dirigea vers la salle de bain, fouillant dans le tiroir pour mettre la main sur ces fichus cachets qui allaient lui permettre d'éviter toutes remarques des merdeux et les perfides sous entendus de son enfoiré.

Xanxus paraissait dans son lit un sourire sadiquo-tendre aux lèvres. Son braillard l'avait quitté discrètement ce matin non sans quelques difficultés dans la synchronisation de ses mouvements moteurs. Un week-end des plus enchanteurs… qui plus est devant la réédition certaine de ces interludes et ce pour la 40ène d'années à venir : programme spécial du boss de la Varia, décida-t-il. Néanmoins connaissant son capitaine, il se doutait que l'homme allait chercher la vengeance et quelle vengeance… Il ne put s'empêcher de rire à l'idée. Quel été en perspective !

Il sauta du lit car lui le pouvait et parti prendre une bonne douche. L'eau tiède dévalait avec plaisir sur les muscles de l'homme alors qu'il passait négligemment ses mains mousseuses sur leurs reliefs. Ses pensées étaient loin d'être chaste, il avait encore à l'esprit les gémissements rauques de son Squal et son affriolante souplesse. Et merde ! Le voilà bandant à nouveau ! Il se frictionna plus durement, attention il se devait de garder la tête froide à défaut du bas de son corps. Impossible avec ces images qui revenaient en boucle pour lui rappeler qu'il était bon d'être le Boss et d'avoir ce petit poisson aguicheur et dépravé comme amant. Mécontent de n'avoir pas de maîtrise mais résolu à régler le problème rapidement, il s'occupa de son excitation, regrettant simplement que l'épéiste ne soit pas sous cette douche et lui le punissant en bonne et due forme pour ces effets secondaires non désirés.

Comme il est de mise en été où le travail se fait moins intense, l'équipe prenait le temps de vivre donnant ainsi la représentation la plus exhaustive de l'art du Farniente si cher aux italiens. Ce n'est pas avant 10h tapante que les hommes de la Varia descendirent pour le petit-déjeuner. Celui-ci fut servi sur la terrasse et pour le deuxième matin consécutif, Bel, Fran et Lussuria notèrent que Squalo portait une chemise à manche longue légère certes, mais à manche longue tout de même dont le col était fermé comme la soutane d'un prêtre sicilien en plein geste pêcheur derrière la sacristie.

Lévi n'ayant d'yeux que pour le Boss passa à côté de la preuve où tout du moins l'indice majeur qu'il se passait des choses inhabituelles, se demandant juste si le fameux prêtre était dit pêcheur en raison des armes et de l'argent qu'il passait aux hommes du parrain ou en raison de l'étrange position de sa bonne appelée Annie. Bel et Fran avaient reçu les ordres indiscutables de Xanxus la veille sur l'absolue interdiction d'émettre une remarque ou soudoyer financièrement Squalo, Mammon étant reparti avec la tribu des bambino et de leur chef à moufles, l'affaire était réglée, close… En un mot comme en deux : l'omerta était de circonstance s'ils voulaient vivre encore quelques années.

Lussuria qui ne pêchait pas par son incroyable perspicacité, restait néanmoins d'un niveau bien supérieur à Lévi. Pas de petite mise au point pour lui mais l'homme amateur d'hommes ne pouvait que sourire ce matin là. Ce n'est pas à lui qu'on allait mettre le bikini rose et l'appeler la Cicciolina ! Son Boss ! Son incroyable, terrible et sadique Boss se faisait son incroyable, magnifique et tempétueux capitaine de son cœur. Il eut un petit pincement à l'endroit concerné mais ne résista pas longtemps à la joie égoïste de ce grand et merveilleux secret, prévoyant déjà la nouvelle garde robe du dit Capitaine moyennant pièces sonnantes et trébuchantes évidement, ces services avait fait le tour des familles les plus réputées. Ces deux hommes étaient fait l'un pour l'autre et foi de Lussuria, s'il pouvait aider son capitaine nouvellement rebaptisé son Cavalier de Cœur dans la conquête définitive du Roi de Pique, il l'aiderait plutôt deux fois qu'une. Bien, en tout bon mafieux normalement constitué, il gardait au fin fond de son esprit comme de sa manche, un calcul de probabilité sur la possibilité de négocier une partie à trois avec ces deux bêtes sexy. Mais qui avait besoin de le savoir !

Xanxus arriva superbe, rayonnant d'autosatisfaction comme seul le Boss de la Varia pouvait le faire. Un sourire plus sauvage, plus agressif et plus tentateur s'affichait sur son visage et que dire de son regard voilé en partie par des paupières à demi-fermées, un regard velouté, profond, de chasseur repu après un festin de lion. Félinement dangereux, voilà comment le Boss apparu. Il s'assit nonchalamment et commença tranquillement à tartiner de panna son cornetto, le regard posé sur son capitaine. Son sourire releva ses dents blanches devant la mine du dit capitaine qui serrait les dents dès qu'il bougeait sur sa chaise.

Squalo ne pipa pas un mot et détourna son regard furieux, il décida de snober purement et simplement cet enfoiré si satisfait. En rageant, il étala sa confiture et parti tout de suite dans ses pensées, plus exactement dans son nouveau plan. Le regard de braise du chef s'attendrit alors qu'il laissait un petit rire lui échapper, bien Monsieur faisait sa princesse outragée.

La journée passa sans changement de la part de Squalo, Xanxus comprenant qu'il avait peut-être rattrapé un peu vite toutes ses années pour une première, décida qu'il laisserait son requin se calmer tranquillement. Néanmoins, il nota que l'homme passait beaucoup de temps à lire sur la chaise longue près de la piscine. Les déchets semblaient apathiques et spectateurs de la situation. La résidence qui pulsait habituellement aux cris en ut mineur et en balles de calibre non définie restait silencieuse et Fran se retournait parfois en sursautant toujours surpris de ne rien voir pas même la lame de Bel.

Deux jours passèrent, Xanxus commençait à sentir l'huile d'olive lui monter au nez. Passe encore une journée sans un mot et une nuit seul dans son lit mais là pour la seconde fois !

Le château de la Varia retrouva le son en même temps que l'image. Les grognements, les déchets et les balles du Boss refirent surface avec plus d'énergie qu'à l'accoutumé et ce malgré les températures avoisinant les 32 degrés. Lévi redécouvrit le plaisir avec un brin de masochisme des puissants coups du maître et les trois zozios restant commencèrent à fréquenter assidument la piscine et la plage. Squalo restait drapé dans sa dignité de super stratège bafoué comme dans sa chemise mais surtout peaufinait son plan II, insensible à la dégradation rapide de son environnement.

Il avait revisité les bouquins de bondage masculin, note à lui-même, il ne voyait son enfoiré que dans un bondage léger histoire de pimenter le rapport et puis la mise en scène allait très certainement lui poser des problèmes. Difficile en effet de ligoter le Boss d'une belle corde, il aurait tout à fait le temps de mourir une bonne 10ène de fois avant de l'avoir enroulé ne serait-ce qu'autour d'un biceps. Il lui restait donc les menottes, plus du pays ceci dit et l'exotique chapelet Thai (cadeau de Yamamoto) pendant qu'il serait occupé.

Il en était encore à feuilleter son bouquin, allongé de tout son long sur la chaise longue qu'il fut interrompu par une sauvage attaque. Occupé et concentré, il avait relevé ses cheveux en masse désordonnée retenue par un crayon à papier et remontait sa petite paire de lunettes d'un doigt négligeant de temps en temps quand il levait les yeux au ciel en imaginant les sévices qu'il pourrait imposer à un Xanxus dans l'impossibilité de bouger. Son esprit vif lui fit comprendre qu'il ne devrait pas se retrouver balloté sur l'épaule solide du dit Boss, qu'il ne devrait pas voir les couloirs à cette vitesse et qu'il ne devait pas voler pour la seconde fois en 5 jours dans une pièce qu'il commençait à bien connaître. En gros, le plan II venait de se prendre encore une fois un retour de l'armée adverse dans les dents.

Rebondissant sur le matelas moelleux qu'il avait appris à apprécié pour son exceptionnel qualité, il se releva prestement et commença à hurler tout simplement. Sa chemise qu'il avait ouverte, se pensant seul dans le château, baillait librement laissant sa peau tachetée de marques possessives au regard gourmand et ravi de Xanxus. Vociférant son mécontentement et sa rage, le regard gris-bleuté brûlant d'une flamme de dragon (nota bene : mutation de la flamme du requin en temps d'extrême tension), il crachait ce qu'il avait sur le cœur. Xanxus ne disait rien admirant le spectacle. La chevelure avait perdu le crayon dans les escaliers et bougeait en cadence avec les gestes bruts et coupants du capitaine.

On est Boss ou on ne l'est pas ! Xanxus était le digne descendant du 9ème quand même, il avait tout simplement obligé Lussuria à espionner pour lui. Il se trouvait donc que sur la table de chevet, on pouvait voir deux paires de menottes, un chapelet Thai, du lubrifiant, un bandeau et une longue corde de 7 mètres. Décorations que ne nota pas Squalo tout occupé à chanter plus puissamment que la Callas son mal de vivre. Aussi tranquillement qu'il l'aurait fait seul, Xanxus commença donc à retirer ses vêtements laissant son bellâtre furieux lui refaire le remake de Gokudera en mode je pète un plomb.

Finissant pas être lassé quand même un peu, il s'approcha sans un mot et stoppa la harangue par un baiser langoureux et long. Divinement long… et qui eut l'énorme avantage de faire taire son braillard pendant plusieurs secondes qu'il mit à profit en laissant pantalon et boxer mourir sur le sol. Nu comme au jour de sa naissance, les plumes rouges sang et turquoises reposant sur son torse… Putain de poésie quand tu nous tiens ! Il laissa les lèvres roses et sauta sur le lit sans oublier de prendre dans l'action les menottes. Il s'assit, les passant autour de ses poignets, il en ferma une au montant gauche du lit et laissa sa main jouer avec l'autre en attendant que « Monsieur le stratège » réagisse.

Bug dans la matrice, bip et le cœur s'arrête, Squalo le regarda stupéfixé et tout cela sans baguette avant de se décider approchant avec méfiance. Xanxus souffla…

— Alors petit poisson, qu'attends-tu ?

— A quoi tu joues enfoiré !

— Je ne joue pas Squal. J'ai viré les déchets, j'ai du temps à te consacrer aujourd'hui.

Oh joie, il le tuait ou le tuait, choix difficile... Superbi prit enfin conscience des objets qui se trouvaient sur la table de chevet, il tiqua quand même un peu en reconnaissant son attirail. Il se décida donc, devant le sourire sarcastique de l'enfoiré qui semblait complètement à l'aise d'être à sa merci, il referma les menottes côté droit. Il vira ses bottes mais garda ses fringues, il y avait quelque chose d'excitant à être habillé devant l'homme nu. Il s'agenouilla, remontant en glissant sur la peau chaude et atteignit les lèvres qu'il décida de redessiner de sa langue avant de prendre possession de la bouche désirée. Xanxus ne dit rien et se prêta au jeu.

Enfin il put marquer cette putain de peau au goût paradisiaque sans être interrompu ou finir lui-même en consommé pour le Boss, sa langue traina lentement de muscles en muscles parfois remplacé par ses dents. Mordillée, excitée, effleurée par ses attentions, elle se vêtit de teintes pourpres et trembla sous des ongles qui la ripaient amoureusement. Xanxus avait fermé les yeux, pas la peine de laisser les mêmes preuves que le prêtre sicilien se voir, sa respiration augmentait aussi sûrement que la tension dans ses reins.

La langue de Squalo jouait maintenant avec ses doigts de pied, sa bouche exécutant ce qu'il pensa à juste titre être sa future torture sur une partie de son anatomie beaucoup plus sensible. Il entrouvrit un œil. Le salop était beau, débraillé comme une garce, se mouvant comme une anguille sur son corps, remontant jusqu'à son sexe qui n'attendait que cela.

— Rhaaa…

La prise fut profonde et la pression dosée avec perfection, putain de requin qui avait décidé de le torturer avec ce rythme lent. Ce n'était pas un squale pour rien, le mouvement fluide, profond et régulier, cette langue terrible glissant savamment sur la peau si douce et cette aspiration, son sexe englouti dans cette chaleur moite et brûlante malmenée par ces massages rencontrant le fond de cette gorge et ces doigts qui l'enserraient avant la délivrance pour recommencer ce manège le faisaient gronder méchamment. Spectateur de son propre plaisir, il voyait les lèvres brillantes, les joues creusées, la salive et son propre fluide se mêler à cet incessant ballet, le regard gris-bleuté le fixait intense, brûlant, dévorant.

— Haaa…

Il pensait enfin la torture terminée quand il sentit l'air sur son corps en surchauffe. Squalo s'était relevé, se pourléchant les lèvres satisfait, les iris troublés par le plaisir qu'il prenait. S'asseyant sur le rebord du montant les jambes largement écartées, sa main ouvrit son pantalon et alla réinventer une chorégraphie sensuelle au rythme de Parla Piu Piano.

Xanxus regarda fasciné cette main qui stoppa alors que le bassin amorçait doucement la danse de la pénétration. Sous le charme du requin qui avait penché sa tête à l'arrière laissant ses cheveux se balancer librement, la main droite caressant son téton, il le vit glisser après quelques minutes de cette exposition indécente sur le matelas et sur le final et une dernière accélération, il se cambra jouissant en râlant son prénom. Squalo remonta sa main et suça lentement ses doigts avant de retomber mollement, sa crinière couvrant le bas ventre de Xanxus qui se déversa dès qu'il sentit les lèvres chaudes et humides se poser sur lui.

— Haaa… enfoiré !

Même le pipe show du coin n'aurait pu lui offrir mieux que son capitaine cette après-midi. La respiration rapide des deux hommes était le seul son de la pièce. Putain de requin mais aucun regret !

De longues minutes de contentement mutuel passèrent dans la douceur des heures chaudes de l'été. C'était parfait, les doigts doux qui jouaient sur le bas ventre de Xanxus de savantes formes faisaient naître de longs frissons qui remontaient jusqu'à sa poitrine, son esprit se refocalisait sous la brûlure d'une bouche gourmande avant de se reperdre dans l'extatique sensation dans lequel son corps baignait.

Si Xanxus avait observé son capitaine au lieu de laisser vagabonder son imagination sur de potentiels moments jouissifs futurs, il aurait peut être pu éviter ce qui se produisit.

En effet, Squal, meilleur stratège de tous les temps qu'est connu la Varia laissait son regard s'attarder sur la table de chevet avant de profiter à nouveau des douceurs du corps alangui sous lui. On aurait pu entendre, si les criquets ne chantaient pas aussi fort, le bruit plus spécifique au fonctionnement de l'esprit. Plan 467 alinéa 8 dans le plan II, que faire ? Ses lèvres remontèrent tranquillement le long du Piavre pour s'attarder à la source et ravir la bouche languide du Boss, il se contorsionna un peu pour aller à tâtons prendre le bandeau sur la tablette avant d'étourdir Xanxus sous un jeu de langue diablement divin et lui ôter la vue. Le râle de plaisir du Boss qui lui parcourut l'échine le fit douter un instant de son plan mais c'était une bataille !

Il continua pendant quelques instants avant de se relever brusquement en hurlant.

— humm… pourquoi tu brailles encore ?

— Rhaa… ça mettait sorti de la tête… tu bouges pas, tu restes comme ça… je reviens vite !

Xanxus sentit le matelas se creuser avant d'entendre la porte claquer laissant un silence des plus prometteurs prendre place. Non… non, non non, pas de trip ridicule n'est-ce pas ! On n'est pas le digne fils du 9ème qui a essayé de buter son père pour rien quand même ! Il donna exactement à son requin 60 secondes pour ramener ses fesses sexy dans la pièce et continuer le boulot commencé. Il commença à gronder à la 27ième seconde. A la 42ième, il grogna, c'est à la 60ième qu'il rugit furieux, il s'était fait baisé !


De l'autre côté de l'océan, Mammon qui discutait avec Reborn fut interrompu par un coup de téléphone. Alors qu'ils sirotaient un thé tranquillement, le bruit strident du portable qui reprenait Parla Piu Piano, la nouvelle lubie de Squalo qui avait fait de cette chanson mythique l'hymne de la Varia, les stoppa. Reborn sortit une sucette rose haussant son regard vers le ciel.

— Troisième round gagné par Squalo.

— Allez, allez, que va nous dire Bel ?

Il décrocha.

— Mammon, on a un problème, une partie de l'aile ouest du château est explosée. Le Boss n'a jamais été aussi furieux, quand on est revenu de la plage on l'a vu partir rageur, il avait sorti Pesta. Bizarre, il avait une corde enroulée autour de son épaule et un bandeau autour du cou.

— Où est Squalo, Bel ?

— Le seul truc qu'on a récupéré dans les décombres, c'est un morceau de papier. Le capitaine a écrit qu'il avait un rendez avec Dino et qu'il reprendrait la session en rentrant. Ishishi… Dino va devoir être sur ces gardes s'il veut que ses fesses et son manoir n'explosent pas. Il est peut être temps d'accéder à un autre statut, pas sûr que Squalo revienne.

Mammon et Reborn se regardèrent, si Xanxus était parti avec la corde alors le capitaine allait être le même encore longtemps. Mais pour l'heure il était question de rétribution…


Ciasso

Ha l'été en Italie, c'est fichtrement sympa, vous ne trouvez pas !

shoupi… shoupi…