Fin du cauchemar, début du rêve . . .
PROLOGUE
Début Décembre – 21 heure
Quelque part dans une rue de Washington.
De dos un homme vêtu tout de noir et ganté, fume en observant l'immeuble face à lui. Quelques fenêtres éclairées prouvent la présence de leurs occupants.
Il jette sa cigarette au sol et avance d'un pas lent mais décidé vers le bâtiment.
Il sonne à l'interphone.
Une dame : Oui qui est-ce ?
L'homme d'une voix grave : Le livreur de pizza !
Dame : Je n'en ai pas commandé . . . à moins que se soit pour l'italien du cinquième.
L'homme : Oui c'est cela, il ne répond pas et. . .
Dame : Normal, j'entend sa musique, je vous ouvre. . .
L'homme : Merci madame !
Tuut. La porte s'ouvre.
Il entre dans le grand hall de cet immeuble rétro mais huppé et s'engage dans l'ascenseur.
Dans la montée il sort une arme de son manteau et y met un silencieux.
L'ascenseur se stoppe au cinquième. Il avance vers la dernière porte au bout du couloir d'où provient une musique.
Il sonne.
A l'intérieur de l'appartement sur l'air de « Bitter and Blue » un homme sort d'une pièce en jogging gris avec une serviette en guise de sèche-cheveux.
Deuxième coup de sonnette.
L'homme en jogging se met un t-shirt blanc.
Il dit : J'arrive !
Il avance à la porte d'entrée.
Il demande : Qui est-ce ?
L'homme : Votre nouveau voisin du dessous. Je suis venu voir l'italien qui a les mêmes goûts musicaux que moi.
Cela fait sourire l'intéressé et ouvre.
L'homme en pontant son arme : Bonsoir DiNozzo !
Pan. Un coup de feu retenti.