Bonjour tous le monde ! Je suis nouvelle sur le quartier NCIS. Pour ceux qui aiment aussi Supernatural, j'ai déjà écris trois fiction dessus.
Bref ! J'avais cette idée dans la tête et l'envie folle furieuse de l'écrire. Ce qui est fait, ou du moins ce qui est commencé. Je suis fan de NCIS depuis longtemps.
Alors pour tous ceux qui commenceront cette histoire, j'espère vraiment quelle vous plaira. C'est le début et si ça vous plais je continuerais, sinon... Je resterais sur les fic Supernaturaliennes.
Assez parlé de moi ! Bonne lecture.
Le froid… L'obscurité… La solitude… La douleur… La peur ? Non pas la peur. Il ressentait beaucoup de choses, mais en tout cas, la peur n'en faisait pas partie. Il ouvrit les yeux et fut surprit de se trouver ici. L'endroit était réellement très sombre. Il ne distinguait que quelques formes devant lui.
Lui ! Il prit alors conscience de son corps. Il essaya de bouger les bras mais son mouvement fut bloqué par se qui semblait être des menottes. Il réitéra son geste, mais lorsque ses poignets furent meurtris il arrêta net en esquissant une grimace de douleur. Il ne se souvenait pas comment il était arrivé là… Il se souvenait avoir laissé ses agents finir leur rapports, et, pour une fois il était partit plus tôt qu'eux.
Pourquoi ? Aucun souvenir n'arriva jusqu'à son esprit. Il tenta de déchiffrer ses quelques bribes d'images qui se rappelaient à son souvenir. Il ouvrait la porte de chez lui… Pénétrait dans l'entrée… Posa son badge d'agent du NCIS sur la petite table… Et descendit dans sa cave où était le bateau du moment… Puis… Plus rien. Rien jusqu'à ce qu'il se retrouve ici. Il ne savait où, attaché sur une chaise et ligoté. Il entendit alors un bruit nerveux de claquement et mit un certain temps pour savoir que c'était lui qui produisait ce bruit. Et plus précisément, ses dents. Elles claquaient rapidement. Il avait froid. En effet il remarqua bien vite que la température de la petite pièce n'était pas beaucoup élevée… Et il sut quand il sentit un courant d'air, qu'il n'était pas non plus très couvert.
Ce courant d'air avait été fait avec l'aide de l'entrebâillement de la porte de métal. Celle-ci s'ouvrit laissant entrer, avec elle, de la lumière vive qui l'obligea à fermer quelques instants les yeux. La lumière n'était pas la seule à avoir pénétré dans la chambre où il était captif. Non… Un homme suivit de deux autres aux allures de catcheurs rentrèrent dans la pièce. Les deux pleins de muscles restèrent un peu en retrait tandis que le premier entré s'avança vers lui. La lumière du jour fut alors obscurcie par une lampe de plafond artificielle et le prisonnier pu enfin voir parfaitement où il était. La pièce était assez grande finalement… Il se trouvait au milieu, plus ou moins. Devant lui était la porte qui menait vers la sortie… Ou plutôt, la liberté pour lui. Et sur le coté gauche était un lit en bois. Ça promet… se dit l'agent.
L'homme habillé d'un smoking noir d'une grande marque s'approcha encore plus de lui et commença son récital de fou qui kidnappe un agent du NCIS.
_ « Agent Gibbs. Vous êtes enfin réveillé. »
_ « Oui visiblement… Et là tout de suite je le regrette ! »
_ « De l'humour ! C'est bien. Vous en aurez besoin… »
_ « Assez parlé. Qu'est-ce que vous voulez ? »
_ « Oh… Pas grand-chose en vérité… Le nouveau nom et l'adresse du témoin protégé du FBI, qui avant s'appelait Mike Fillighan. »
_ « Ahhh… Et bien vous vous êtes gouré d'agence… Moi c'est le NCIS. »
_ « Non absolument pas. Justement. Je sais que vous connaissiez ce Fillighan. C'est vous, avec le FBI qui avez arrêté le patron du cartel de drogue qui avait tué la femme de ce pauvre Mike… »
_ « Peut-être bien. Et alors ? Ce n'est pas ici que je pourrais vous le dire… ! »
_ « Si. Car je sais que vous savez où est la nouvelle demeure de Fillighan. L'agent du FBI Fornell c'est ça ? Il vous en a fait part. Et aussi, Mike lui-même voulait que vous sachiez. Il vous appréciait beaucoup et il savait qu'il pouvait vous faire confiance. »
_ « Tout à fait. Alors si vous aussi vous savez qu'il peut me faire confiance, pourquoi m'avoir kidnappé ? Parce qu'aucune tortures bidon dont vous pourriez avoir le secret ne me fera dire où il est. »
_ « Ohhh… Ne vous en faite pas agent Gibbs, nous aussi ne le savions. Nous sommes moins bêtes que vous pourriez le penser. Nous avons fait notre enquête et nous savons ce qui pourra vous obliger à parler. »
Avant que Gibbs ne puisse rétorquer quoi que ce soit, l'homme devant lui ria de toutes ses dents jaunies par la cigarette et fit un signe de tête aux deux gardes derrière lui. Ils sortirent laissant Leroy Jethro Gibbs, seul avec ses pensées dans le noir. La seule chose à laquelle il pensait maintenant était à ses agents. « Ils vont bientôt voir que j'ai disparu et ils vont me retrouver ! »
L'espoir d'être retrouvé est tout ce qu'il vous reste quand vous êtes seul dans une pièce noire. Gibbs avait cet espoir. Il savait que son équipe était la meilleure. Il avait déjà eut à faire à des kidnappeurs. Et on l'avait toujours retrouvé. Il n'avait pas peur. Ce n'était pas une de ses règles, mais elle aurait pu en faire partie « Ne jamais paniquer en cas d'extrême situation qui pourrait avoir tout l'air de désespérée ».
Il ne paniquait pas, il était seulement préoccupé par le « plan » de ses ravisseurs. Oui il connaissait la nouvelle vie facticement fabriquée par le FBI de Mike, mais jamais oh grand jamais il ne révélerait quoi que se soit. Alors pourquoi l'homme avait-il l'air si sur de lui ? Gibbs se mit à réfléchir à une chose qui pourrait le faire parler… Mais rien ne lui vint à l'esprit. Rien n'avait assez de valeur à ses yeux pour trahir un ami… Rien…Enfin non ! Il réalisa la phrase de l'homme richement habillé « Nous avons fait notre enquête ». Que voulait-il dire ? L'avait-il observé pendant des mois… Si oui ça lui sauterait aux yeux. L'affection qu'il portait pour son équipe serait facilement décelable. Gibbs n'avait pas eut peur. Mais maintenant il sentait son cœur battre plutôt rapidement. Si le plan qu'avait cet homme était de l'atteindre par ses agents. Gibbs aurait beaucoup de règles à remettre en question. Néanmoins il retira cette pensée de son esprit, l'homme ne pourrait pas avoir mit un plan aussi complexe à exécution. Son plan était surement autre chose. Et il était pressé de le découvrir, pressé mais anxieux.
Une ch'tite review ? Sii vous plais... Comme ça je saurais si ça vous plais et si vous avez envie que je la continue. Merciii !