Bonjours a tous, alors j'ai toujours écrit c'est l'une de mes passions mais je n'est jamais osée publiée. Donc sur le conseil de mes soeur de coeurs je prend mon courage a deux et je ne lance. Et quoi de plus génial de réunir mes deux passions l'écrit et Twilight.

Je dédie se premier chapitre a ma Rédactrice en chef (qui se reconnaîtra) qui partage cette aventure avec moi.

A j'ai presque oubliée...ATTENTION c'est un LEMON préparé vous!

*Tout les personnages appartienne a Stephanie Meyer

Chapitre 1

PDV Bella:

Je m'appelle Isabelle Maris Swan , Bella pour les intimes, je mesure 1m62, je sais je suis petite(ppff), j'ai les cheveux bruns, les yeux couleur chocolat, que j'ai hérité de mon père, je suis blanche de peau comme ma mère je ne bronze pas « ppff pas de chance », en faite je suis une fille simple, je passe inaperçu je me fonds dans la masse du monde.

J'ai eu la chance d'entrer à Cambridge, Université à New York section littérature. Mon rêve depuis toute petite les livres sont ma passion, voir ma vie, donc me voilà à New York, à Cambridge, pour devenir professeur de littérature par la suite, accompagnée par ma meilleure amie d'enfance Rosalie qui a voulu me suivre jusqu'ici, on ne voulait pas se quitter nous sommes inséparables depuis le primaire où l'on s'est rencontré.

Donc ça fait 6 mois que je vivais dans ce quartier, je me souviens quand j'ai visité l'appartement pour la 1er fois, j'avais de suite craqué pour cette ambiance. Les immeubles refait tout en respectant leur ancienneté, c'était magnifique, il y avait pas plus de 3 étages à chaque bâtiment. Des arbres tout le long de la rue et des fleurs aux fenêtres, on aurait pu se croire dans les quartiers de «Desperate housewives » . On se sentais en sécurité, c'était calme, on pouvait même entendre les oiseaux dans les arbres et pour New York cela est rare.

Le coup de grâce a été l'appartement, il est tout simplement grandiose, j'en suis tout de suite tombé amoureuse. Le salon paraissait immense avec une baie vitrée faisant rentrer la douce lumière du jour et donnait une vue sur toute la rue, il y avait même un canapé juste devant. je pourrais m'asseoir devant une tasse a café à la main pour regarder les étoiles ou pour lire , la cuisine américaine parfaitement aménagée de couleur gris et blanc, ce qui m'allais très bien .

Il y avait deux chambres : une petite où je pourrais accueillir mes parents pendant mes vacances ou mes amies, les murs étaient blancs en un parfait carré, et une grande qui serait la mienne, bien évidemment, la tapisserie était d'un bleu nuit comme si j'étais dans le ciel par une belle nuit étoilée, l'apothéose : un petit dressing, le bonheur, bon j'ai pas beaucoup d'affaires, je suis du genre jeans, chemise et j'aime bien l'idée même si je ne suis pas du genre shopping. La salle de bain est avec du carrelage d'un blanc nacré sur les murs et au sol ils sont noirs et blancs tout simplement magnifique, et avec une baignoire, parfait !

Je voulais cet appartement, il était parfait pour moi, mais je ne pouvais pas, le loyer ne devrait pas être gratuit, je ne pouvais me le permettre financièrement.

J'avais eu le droit à une bourse d'étude, j'avais des économies car j'avais travaillé durant l'été mais c'était pour les coups durs.

Mes parents voulaient à tout prix me payer un appartement, car je ne pouvais plus vivre sur le campus, je suis bien trop solitaire pour partager une chambre, et entendre leurs fêtes tout les week end, je devenais dépressive à force. Je n'osais pas leur dire que j'avais complétement craqué pour cet endroit. Après la visite, on n'a été boire un café dans un coffee shop pas loin.

-Ce quartier est magnifique et tranquille. « dit ma mère »

-Oui! Très bien et tu n'es qu'à 2 stations de métro de l'Université « dit mon père »

-Oui c'est pratique, mais le loyer est beaucoup trop important pour moi.« dis-je »

- Ma chérie tu es notre seul enfant, tu as réussi à rentrer à Cambridge, avec une bourse d'étude. On peut faire ça pour toi, et puis on peut le faire tout est arrangé. « dit ma mère »

-Mais…« dit je »

-Il n'y a pas de mais, je vais parler de suite à l'agence pour dire qu'on le prend. Tu seras très bien et nous on sera rassuré de te savoir ici. « dit mon père »

-Non je ne peux pas vous mettre dans cette situation, il y a d'autres appartements moins chers qui iront très bien pour une étudiante, et puis c'est ma faute et mon choix, je ne supporte pas le campus. « dis-je en baissant la tête »

-Bella on peut le faire, on n'a l'argent, on a économisé pendant des années pour ça, quand tu as commencé à lire tout le temps, avec ton père on s'est de suite douté que tu ferais des études, alors on a ouvert un compte et quand, petite, tu avais de l'argent on le mettait dessus, et nous on versait tout les mois un petit quelque chose. Alors cet argent est à toi, il n'y a pas à discuter.

Je restais bouche-bée face à ça, mes parent se doutaient que je ferais des études et avaient tout prévu, ils sont supers et me connaissent très bien, mieux que moi même.

-Merci vous êtes les meilleurs parents du monde, je vous aime. « dis-je »

-On t'aime ma chérie, et on veut ton bonheur et c'est de devenir professeur de littérature, alors on fera tout pour ça.

Et voila, comment j'ai atterri dans ce quartier génial et dans ce magnifique appartement rien que pour moi. Ça faisait 6 mois que j'étais installée dans ce quartier. J'aimais vraiment cet appartement, je faisais ce que je voulais, rentrais quand je voulais, mangeais ce que je voulais quand je voulais, invitais mes meilleures amies…tout quoi ! Mon paradis sur terre.

Mais le plus intéressant commence là….

J'avais pris l'habitude de prendre au Coffee Shop au bout de la rue, un café et un cookie à emporter en sortant des cours. Je passais juste devant, je faisais le même trajet jour après jour, et sur le même trottoir (hihihi).

Juste pour passer devant « LUI », cet homme aux yeux vert émeraude, toujours assis sur ses escaliers, à fumer sa cigarette, mon voisin d'en face.

Depuis 3 mois, à chaque fois que je sortais des cours, il était là. Je ne pouvais m'empêcher de passer devant lui, rien que pour le voir, et entendre sa voix de velours me dire un simple « Bonjour ».

Cela me faisait frissonner,je sais!je sais!c'est nul de réagir comme ça avec un inconnu.

Je lui disais aussi bonjour, puis je traversais et oui j'habite juste en face aux 2eme ,montais les escaliers et rentrais chez moi, posais mon sac et m'installais directement sur le canapé devant la baie vitrée, avec mon café et mon cookie.

Puis fixant cet homme, à rêvasser ou à fantasmer plutôt, je sais vous pensez que je suis folle…et OUI…de LUI…sans savoir pourquoi.

Cet homme ressemble à un Apollon, des yeux vert émeraude à vous transpercer le cœur, des cheveux cuivrés coiffés en bataille où on a envie de faire glisser ses mains, un nez fin et droit, et des lèvres à embrasser avec passion, et ce que je pouvais en apercevoir de son corps parfaitement musclé comme j'aime et des jolies petites fesses.

Je ne sais pas pourquoi il m'envoûte autant, je ne le connais ni d'Eve ni d'Adam, mais depuis 3 mois il hante toutes mes nuits et même parfois mes pensées durant la journée. C'est comme s'il m'avait ensorcelé en un seul regard.

Et puis un jour où je rentrais d'une de mes soirées avec Rosalie et Angela, elles étaient mes meilleures amies ici.

Rosalie, on se connaissait depuis notre enfance, elle m'avait suivie jusqu'à New York, elle était dans le mannequinat et cette ville offrait du boulot. Elle ne manque pas de charme, elle est sublime, blonde, grande, fine, belle poitrine elle a tout pour elle, quoi. Elle a un appartement sur Manhattan et oui ça paye bien le mannequinat, et puis il y a Angela, que j'ai rencontré en arrivant ici, elle suit les même cours que moi à l'université, on n'avait de suite accroché en quelque sorte. Je l'avais présenté à Rose « c'est moi qui l'appelle comme ça » et elles se sont de suite appréciées. Et une super amitié s'est installée entre nous, nous sommes devenu inséparable.

Et voila le premiere chapitre j'espere que sa vous donnera envie de continuer cette aventure...

Bisous a tous Céline