DISCLAMER : pulupulupulu*Katchat* Moshi-moshi Minna ! C'est pour dire que les perso appartiennent à Oda-Sama… mais l'univers nous appartient à moi et Ryu chan ^^

Mais bon… ceci est un RPG que nous sommes en train de faire justement sur un excellant forum de One pièce. (Si ledit forum vous intéresse envoyé moi un message privé ou inscrivis le en Review) et comme l'idée semblait VRAIMENT intéressante, nous avons décidé de vous partager de super Rp avec vous (pour ceux et celle qui ne son pas habituer avec le Terme RPG = Role plait game donc ça signifie que chaque personne a un rolle et elle l'assume sans empiété sur celui de l'autre.)

Alors, les Rôles sont :

Tameka-swan= SANJI !

Ryurin-Chwan= ZORO !

Résumé : Zoro ce perd, encore, et Nami ordonne a Sanji d'allez le cherché, encore. Sauf que nos deux compagnons se son perdu dans une jungle extrêmement sauvage ou tout peu arrivé… des animaux ultras puissants, aux mamies a dos de tigre en passant par un aperçu de demis Zombie — cannibales. Si si… tout se peut lorsque l'on recherche Toshijun, la cité disparut au milieu de L'ile de Orenji. Beaucoup d'action… des touches de romantisme, beaucoup de délires ^^, M pour violence, parfois vulgarité et peut-être futur Citron…

Cette histoire n'est pas linéaire… donc ne vous attendait pas à un roman. Chaque personnage vie l'aventure différemment alors si vous avez une plainte, le bureau est ouvert… quelquefois au hasard par semaine XD a vous de trouvé. (Ou un reviens feras l'affaire xD)

bonne lecture!

PoV Sanji

Une belle journée en perspective. Si ce n'était qu'il commençait à y avoir quelque nuage qui perlait le ciel ici et là. La forêt est calme pour le moment, on entendait les cris des animaux au loin et tout près de moi. J'avais surement quelque feuille de prise dans les cheveux, mais rien de bien grave. Les lianes se balançaient tranquillement sous les brises humides, je m'arrêtai tranquillement sur le bord d'un point d'eau, enlevant mon chapeau pour essuyer la sueur qui perlait mon front. Je bus quelque gorgée de ma gourde et entrepris une petite inspection des lieux. Je suis perdu quelque part dans la jungle. Si, si, dans une jungle. Comment me suis-je retrouvé là... il faut remonter quelque heure juste avant mon départ.

Flash-back :

* Je cuisinais tranquillement quand j'entendis Luffy hurlé comme un demeurer.

— « TERRE, NAMI! IL Y A UNE ÎLE! UNE NOUVELLE AVENTURE! »

Après avoir enlevé tout chaudron sur le feu, et rangé les aliments sur le comptoir dans le frigo du Sunny, j'ai immédiatement sorti ma tête de la cuisine et vis au loin une île se profile. Je sentais une excitation se profiler. Puis Nami-san identifia L'île en question, pendant que l'équipage se rassemblait sur le pont.

— « C'est une autre île D'été. Elle est habitée, mais par qu'un seul petit village qui vie sur la côte est de l'île. Le nom de cette île est Orenji, je crois. Le reste de cette île n'est que jungle et forêt hostile. Donc on s'informera un peu sur cette ile en ville et on achètera ce qu'il faut. Compris?

L'équipage répondit à Nami puis Robin chan finit par prendre la parole.

— » je crois avoir lu quelque part une légende à propos de cette île...

Elle n'eut même pas le temps de terminer sa phrase que déjà Nami et Luffy lui sautaient dessus. La pauvre.

— « UN TRÉSOR? »

— « DE LA VIANDE À VOLONTÉ? »

Le bateau accosta sur l'île, dans une petite baie un peu plus loin du village pour éviter de les alerter. Luffy avait déjà préparé son costume d'aventurier, et j'avoue que je m'étais moi-même changé pour allez en ville. Comme l'ambiance sonnait safari aventure, je sortis un chapeau qui étais réservé pour mes futures explorations dans le domaine sauvage. J'allais conquérir le cœur des charmantes demoiselles. Quelque membre c'était aussi changer puis Robin continua son histoire.

— « malheureusement, il n'y a pas de Viande Sensho-san, mais trésor il y a. sauf qu'il y a un petit problème... personne n'a trouvé ce trésor, car il n'est sur aucune carte... donc il y a de fortes possibilités qu'il n'y ait rien, mais encore nous avons plus de chance de nous perdre.

Au mot perdu, tout le monde soupira... si on se perdait, il y avait de chance que le Mari...

— » où est Zoro? «

Je relevai la tête et me retourna pour voir Nami le cherché du regard. Il n'était plus sur le Sunny... à moins qu'il ne soit remonté dans la vigie... Puis chopper se dandina comme s'il cachait quelque chose... je m'approchai tranquillement de notre petit médecin.

— » Chopper si tu as quelque chose à nous dire, fait le maintenant... comme ça le marimo souffrira moins. »

Il me regarda, coupable, puis fondis en larme dans mes bras.

— « Il a dit qu'il partait prendre une marche et qu'il reviendrait plus tard… il m'a dit de garder le secret. J'étais trop content d'avoir un secret que je n'ai pas pensé qu'il se perdrait… GOMEN! »

Je soupirai à nouveau. Décidément, il commençait à avoir ses propres feintes le Marimo.

— « Sanji tu ira le chercher pendant qu'on remplit le navire de ce dont on a besoin. J'espère qu'il n'est pas parti en forêt ce crétin… ramène-le avant ce soir. »

Fin du flash-back

Voilà comment, MOI, j'étais pris à parcourir la jungle à la recherche d'un marimo perdu. J'avais demandé quelque information dans le village s'il n'avait pas vue passé une plante sur pattes avec trois katanas à la ceinture, et un des hommes. Le plus près de cette forêt danse, m'avais dit qu'il l'avait vue entré dans la jungle et qu'il n'était pas revenu depuis. Alors dans mes conclusions... j'y étais entré à mon tour, sous le regard affolé du bonhomme. Je n'ai pas vraiment les forêts, jungles et autres nids d'insecte le plus dégoûtants les uns des autres... mais cette fois c'était moi qui étais à la recherche d'une sauterelle. J'étais sûr d'être sur le bon chemin, car en route j'avais croisé des cadavres de grosse bébêtes qui avaient fait l'erreur de leur vie... s'attaquer au Marimo.

Mais revenons à moi... j'étais tout près de mon point d'eau. Je me détendais après mes 3 heures d'expédition sans résultats, puis au moment où je sortis de mes pensées, j'entendis un craquement sourd tout prêt de moi. Je fixai la jungle tentant de voir ce qui s'en venait vers moi... la tension était palpable, le silence dans les alentours de l'endroit ne me disait rien qui vaille. J'allais me relever et partir quand la bête surgit...

Un singe. Tout petit, presque mignon. Je soufflai puis m'accroupis pour attirer l'animal.

— « hey... salut toi!...Viens,! »

Puis lui tendit un fruit que j'avais emporté... j'aimais ce genre de rencontre. Il me sauta dessus et joua un peu dans mon dos avant de prendre le fruit et de s'éloigner un peu. Je m'approcha tranquillement... il me regarda approché, tranquille, puis s'enfuis de terreur. Voilà ce que j'aimais moins, c'était que le petit singe tout mignon parte en peur à cause d'une plus grosse bête qui se trouvait dans mon dos. Je me retournai pour y voir un énorme gorille, il faisait au moins 10 fois ma taille en grandeur et 20 en largeur... pourtant, je n'étais pas impressionné. Il grognait pour me faire fuir, mais je restai sur place. Je déposai mon sac au sol et pris une clope en bouche avant de l'allumer et de fixer le gorille droit dans les yeux.

— Tss, j'imagine que tu n'as pas croisé le Marimo, toi! »

Il tapa au sol, enragé et allais me foncer droit dessus quand je pris mon élan pour l'attaqué... j'espérais au moins que le bruit que je ferais attirait le Marimo... sinon j'allais devoir cherché.

Fin PoV sanji

PoV Zoro

Pourtant, tout commençait par une journée normale, banale. Je m'étais levé après le soleil, comme d'habitude. J'avais déjeuné, en évitant soigneusement d'avoir affaire à l'occupant de là où j'ai pu manger, c'est-à-dire la cuisine et donc le cuisinier. Puis, j'ai commencé mon entrainement quotidien. Ouais, quelques milliers de pompes pour m'échauffer, puis des tractions. J'étais passé par toutes sortes d'exercices. Comme d'habitude. Quoi? Si je suis un taré? Peut-être bien. Mais pour devenir le meilleur, je suis bien obligé de passer par là!

Ensuite, après tous ces entrainements physiques, j'avais renforcé mon oubli de moi-même avec de la méditation. Par chance, j'avais pu récupérer la vigie comme salle d'entrainement. Ou planque tout simplement. Au moins, personne ne venait me déranger. Même pas pour manger. J'entendais au loin Luffy le crier dans ce cas. C'était... parfait. Après quoi, le déjeuner fut servi. Après un repas que j'ai dû protéger des bras de mon capitaine et quelques soutes verbales avec Sanji, j'étais parti vers la douche pour ensuite entamer une sieste à la vigie.

Je ne l'avais pas vu venir celle-là. Ouiii je sais, la vigie, c'est mon domaine donc mon rôle! Mais l'île m'avait... surprise. Par chance, quelqu'un d'autre l'avait détecté. Pour éviter les foudres de la navigatrice, j'étais sorti discrètement et m'étais caché quelque part à l'arrière du bateau. Pourquoi? Parce que Nami frappait fort. Je n'étais pas son punching-ball non plus! Mais grave erreur, Chopper m'avait vu.

— Zo..Zoro? Qu'est ce que tu fais?

— Ah Chopper ! Eh bien... Je voulais me dégourdir un peu les jambes après ma sieste. Je vais faire un tour.

— Mais on vient à peine d'arriver! Et...

— Ne t'inquiète pas, je ne cours aucun risque je reviendrai vite. Mais chuut. C'est un secret, d'accord?

— D'accord!

Le petit renne semblait heureux que je lui confie une telle mission. J'esquissai un demi-sourire avant de sauter sur la terre ferme. Après tout, pourquoi pas? J'avais inventé ça sur le coup, mais ça me permettait de fuir la navigatrice, mais aussi de me dégourdir les jambes. Je m'enfonçai donc dans la végétation qui s'offrait à moi, l'air totalement inconscient.

Tout était banal oui. Sauf que je m'étais... perdu? Non non non ! C'était à droite de l'arbre avec une liane, j'en étais sur! Je pris donc le chemin que je m'étais indiqué. Sans plus de succès. Alors, je dresse le topo. Je m'étais aventuré dans une jungle. Oui, une jungle. Au début, je me suis dit que ça serait comme Little Garden. J'allais ramener du gibier pour le cuistot, histoire de prouver que je suis le meilleur et revenir tranquille, après que tout le monde ait oublié l'incident de la veille. Mais non. S'il existait un Dieu là haut, hormis Ener, je crois qu'il me déteste. Je tournai donc en rond dans cet endroit plus que douteux. Bon, ce n'est pas comme si j'étais en danger. Cette pensée fut ponctuée avec un grognement sinistre. Je me retournai pour voir une panthère version géante. D'accord, je n'étais presque pas en danger.

— Hey, le matou! Tu tiens vraiment à avoir affaire à moi?

Ledit minou répondit par un feulement et bondit sur moi. Bon ben... tant pis pour lui. Sans plus attendre, je fondis sur lui et lui trancha net le ventre. Il s'effondra au sol en poussant un gargouillis douteux en tant que gémissement de douleur. C'est de sa faute après tout! Il n'avait pas qu'à m'énerver! À force de tourner en rond, je commençai à l'être vraiment. J'avais soif, faim et je ne demandais qu'à faire une sieste. En plus de ça, plusieurs créatures plus ou moins grandes avaient décidé que je leur servirais de déjeuner. J'ai dû tous les tuer un par un.

— MAIS QU'EST-CE QUE JE FOUS LA MERDE!

Une volée d'oiseaux s'enfuit sous mes cris. Les autres bestioles se tirent à carreaux. J'étais une bête plus sauvage qu'ils ne pouvaient l'être, enfin je crois que c'est ce qu'ils ont compris. Je continuai de marcher en pestant contre la végétation envahissante et le fait que cet arbre autour duquel j'avais tourné à droite n'était jamais le repère que j'avais, et ce, sans savoir pourquoi. Mais je ne m'étais pas perdu, ça non. Jamais!

Après plusieurs heures de marche, j'avais fini par grimper dans un arbre, histoire de me reposer un peu. C'est là que j'entendis, après quelques instants, quelqu'un parler. Par un grognement non, une voix. Bien humaine. Une forme de vie compréhensible! Je descendis donc de mon perchoir pour aller voir à qui appartenait cette voix. J'entendis alors un grognement des plus invitants. Un..Singe géant? Ouais, ça devait être ça. Lorsque je fus assez proche, je vis un gorille géant. De ce côté-là, j'avais raison. Puis je vis une tête plus que connue. Plutôt grand, svelte et blond. Une autre bestiole encore plus féroce que celles qu'abritait cette jungle. Sanji. Pourquoi lui?

Nan, j'exagère un peu. Je préfère le voir lui qu'une horde de Marines. IL était utile tout de même! Enfin bonne, la question n'est pas là. Qu'est ce qu'il foutait là? Comme il avait l'air de bien s'amuser avec son gorille, je lui laissai le temps de le mettre au tapis avant de m'approcher. J'attendis qu'il me voie avant de parler :

— Hey, Love cook ! On peut savoir ce que tu fous là? Besoin de ravitaillement? Bien que je doute que le gorille soit une viande de qualité...

Je n'en dis pas plus. Son regard en disait long. En fait, je préférai les Marines. C'était plus facile à vaincre. Lui, il jouait jeu égal avec moi. Pas facile de gagner l'avantage. Et là, j'avais l'impression qu'il allait passer en mode berserker. Enfin, je crois. Ou alors c'est le gorille. Oui, c'est sans doute ça. J'entendis un faible gémissement monstrueux, mais ne daigna pas de me retourner. En fait, la plus dangereuse créature de la forêt se trouvait en face de moi et si je n'étais pas vigilant auprès d'elle, j'allais y passer...

Fin Pov Marimo

PoV Love Cook

Je hais la jungle... surtout lorsque je dois chercher un arbre sur patte au milieu de ses congénères. Ce que je déteste encore plus, c'est le nombre de bêtes qui désirent vous avoir comme petit déjeuné. Triste pour eux, je suis plutôt mauvais pour la digestion et encore plus lorsque qu'on me cherche. Je venais à peine de me reposer que déjà on me cherche des ennuis. Un gorille, un ÉNORME gorille. Je trouve très étrange que le plus part des animaux dans cette foutue jungle, est une taille démesurément énorme.

Je lui mis quelques coups de pied bien placés en m'attendais a en avoir finis avec lui avec juste ça. Mais il para mes coups sous mon étonnement le plus total et contre-attaqua. Alors là j'étais sur le cul. C'était presque comme les foutues bêtes sur l'île céleste de Merveille enfin... plus ou moins céleste... elle était tombée alors. Mais les bêtes qu'il y avait sur cette île sont des plus sauvages et intelligents que j'ai rencontrés. Puis ce gorille. Il me chargea avec une force incroyable et je me pris l'arbre gigantesque qui était derrière moi, dans le dos. Ça faisait très mal. Ce satané gorille était coriace. Je me mis en position de garde au moment où il s'énerva le plus, c'était risqué. Surtout lorsque la bête était hors d'elle. Elle se mit à m'attaquer à grands coups de poing dévastateurs. Je sautai en l'air, pour esquiver son attaque. Toujours en l'air, je m'accroupis sur moi même pour me mettre à tournée dans les aires. Je visais spécifiquement sa nuque, car le crâne d'un gorille est trop solide, surtout une de sa trempe. Tournant de plus en plus vites, puis mis mon pied en position d'attaque, hors de question de me faire battre par un babouin. Tournant de plus en plus vite, je finis par atteindre sa nuque dans un coup surpuissant.

— « Concassé! »

Il dit gorille s'écrasa au sol dans un énorme Boom. Il sentit les os craqués sous mon coup, mais il ne se brisa pas, comme si ses os étaient plus résistants. J'atterris au sol, puis me retourna pour voir ma victime. Il se releva, complètement hors de lui et tenta, par tous les moyens de m'attraper. J'esquivai ses coups puis s'en suivis d'un enchaînement de coups de pied.

— « Collier, Épaule, Côtelette, Selle, Poitrine, Gigot... »

Chaque coup étais de plus en plus puissant puis a la fin, je me revirai en dans un coup de pied surpuissant...

— « MOUTON SHOT! »

Je lui mis un coup au ventre et il revola contre le cap de roche qui faisait office de barrière. Il bloqua la petite chute d'eau douce qui coulait et tomba dans le point d'eau, ou je me reposais il y a quelque instant, mort. J'étais enragé, complètement hors de moi. Je ne bougeai plus depuis quelque instant puis réalisa que mes effets étais toujours aux mêmes endroits. Je rageai contre cette abrutie qui c'était perdus, contre cette jungle qui me répugnait du plus profond de mon être, du fait que j'étais loin en se moment même de Nami-swan et de Robin-chwan, de ce foutu gorille qui m'avais frappé a plusieurs reprise, mais par-dessus tout, du FOUTU sens de l'orientation de ce Marimo de merde. Je replaçai mon chapeau sur ma tête et au moment ou j'allais reprendre mon sac qui est juste a coté de la patte de se monstre qui a essayé de me tuer, j'entendis la seule et unique chose que je ne voulais pas entendre en ce moment : le Marimo.

— « Hey, Love cook ! On peut savoir ce que tu fous là? Besoin de ravitaillement? Bien que je doute que le gorille soit une viande de qualité... »

J'étais prêt à parcourir les mers à la nage pour trouver All Blue, mais entendre le marimo, me dire ce que je faisais ici, en cet instant, en cet endroit, j'aurais échangé mon rêve de All Blue pour pouvoir le tuer. Je me retournai et lui lança un regard de psychopathe en liberté, prêt à massacrer. Sur le coup, je le sentis frissonné a mon regard, tant mieux, il savait qu'il allait passé un sale quart d'heure. Une plante martyrisée voila à quoi il ressemblerait après mon savon...

— « Dit donc tête d'algue je peux savoir ce que TOI tu FOU ICI? »

Je m'approchai tranquillement de lui et à chaque pas que je faisais, la rage augmentait. J'étais censé le ramené avant le soir, mais je ne savais plus trop il était quelle heure à cause de la végétation étouffante qui me cachait le soleil ainsi que l'humidité qui se faisait de plus en plus pesante. Je savais que je ne pourrais pas être la pour le dînez à cause de lui et en plus... j'avais oublier une boussole tellement je suis parti énervé... MERDE.

— « PAR TA FAUTE ON EST PERDUS DANS CETTE FOUTUE JUNGLE! »

La c'était définitif, j'allais devoir m'excusé a Luffy... je tuerais moi-même son second, qui plus est bretteur officiel du navire. J'avais à peine fait deux pas que je m'arrêtai. Quelque chose n'allait pas. La rage redescendit rapidement pour laisser place à l'adrénaline. Quelque chose n'allait vraiment pas. Je regardai Zoro dans les yeux et vis qu'il était constamment dérangé par un mouvement. J'allais me retourner quand un cri bestial énorme retentit à quelque centimètre de moi. Je tournai mon visage pour y voir le Gorille à nouveau debout.

* C'est... c'est... impossible.*

À à peine un mètre de moi, il avait déjà commencé à m'attaquer. Je n'avais pas été assez vite pour l'apercevoir, ni lui, ni son attaque-surprise. Ma première réaction fut de me préparer mentalement à la douleur, voire même quelque blessure grave. Je fermai les yeux et me protégea de mes bras, même si je détestais devoir le faire puis attendis le choc pour pouvoir contre-attaqué une fois qu'il aurait terminé. Je sentis le noir, un frisson, un courant d'air, mais rien d'autre.

Fin PoV Sanji

PoV Zoro

Un frisson me parcourut. Pourtant, la chaleur ambiante combinée à l'humidité étouffante ne devait pas me permettre d'avoir froid. Mais pour une fois, je me l'avoue à moi même, je n'étais ni malade, ni frigorifié. Ce léger frissonnement trahissait la peur que j'avais en voyant le regard de tueur en série que me lançait le cook. Oh, il n'a pas duré longtemps. Je sais me reprendre tout de même. Mais je me demandais simplement ce que j'avais pu faire pour qu'il me regarde ainsi.

— « Dit donc tête d'algue je peux savoir ce que TOI tu FOU ICI? »

Ah ben tient! Je lui avais posé une question et il ne me répond même pas! Que c'est sympathique! Je ne fis aucune remarque. Je sentais déjà que j'allais finir en compote d'algue, façon Sanji, si j'osai ouvrir la bouche pour commencer une joute verbale. Remarque, ça détendrait peut-être l'atmosphère... Ou pas. Il m'énervait aussi, celui-là! Je suis là si je veux! Pourquoi me reprochait-on tout le temps que je me balade? Ce n'est pas comme si je me perdais...

Tandis qu'il avançait doucement vers moi, sans pour autant cacher sa fureur, je lui retoquai, histoire de garder un peu de ma fierté :

— Je me baladais. C'est pas interdit tout de même, si? T'es pas ma mère, à que je sache!

— « PAR TA FAUTE ON EST PERDUS DANS CETTE FOUTUE JUNGLE! »

Perdus? Nous sommes... perdus? Mais non... Enfin... Si, peut-être un peu. C'est peut-être pour ça que mon repère ne marchait plus! J'étais paumé! Je regardais autour de moi, pour éviter le regard du cuistot. Ouais, ça ne me disait rien cet endroit. J'ai dû me tromper de chemin à un moment. Et donc, vu que je ne revenais pas, le cook avait dû me chercher. Enfin, plutôt sous la dictature de Nami. Elle l'utilise vraiment comme elle veut. Ça m'énervait ça aussi. Une vraie guimauve, ce type. Il ne se rebelle que devant ses ennemis... et moi. Et vue comme je connais cette sorcière des mers, elle est loin d'être patiente. Le temps, c'est de l'argent. Donc pour elle aussi. Je soupirai. Bon, savoir qu'on est perdu, c'est une chose. Mais y remédier en est une autre.

Je voulus répliquer en lui répétant que je n'ai pas pu me perdre, ce que je maintenais toujours, mais un bruit me stoppa. Comme le gémissement de tout à l'heure. Je regardai derrière le blondinet pour voir le gorille monstrueux bouger. Un faible mouvement, mais mouvement quand même. J'alternai mon regard entre la bestiole géante et le cuistot, qui ne manquait pas d'être dangereux lui aussi. Puis, celui qui était à terre se releva. Et merde... Le Love cook eut à peine le temps de se retourner que la bête fonçait déjà sur lui. Re merde. À la vitesse de l'éclair, je tirai mes sabres et contra le coup de poing qu'il voulait asséner au cuisinier. Cuisinier, soi-disant passant, qui s'était mis en position de défense. Tss...

— Alors blondinet, même pas capable d'estourbir une bestiole comme ça? Tu me déçois... Ce n'est pas demain la veille que tu me battras!

La croix que formaient mes sabres se brisa pour projeter le gorille un peu plus loin. Un coup d'oeil à mes katanas. Ouais, costaud quand même. Normal que le cook ait eu du mal. Le tout allait se jouer en quelques coups. Je ne voulais pas non plus risquer la vie de mes précieux outils. Le gorille me fixa enfin de ses petits yeux enragés. Il me remarque enfin? Ce n'est pas parce que j'ai la couleur de cheveux digne d'une fougère que j'en suis une! Je plaçai mon troisième sabre entre les dents, prêt à l'attaque.

— Bon, toi, si tu veux de la baston, t'en auras! Mais ne viens pas te plaindre après si tu as mal!

En parfaite symbiose, moi et la bête nous ruâmes à l'attaque. Je plaçai mes deux bras à l'arrière, parallèle. Puis, je fis un mouvement ample pour les ramener en bas, avec le torrent d'énergie qui va avec.

— Tora garni!

Le gorille fut touché. Mais cela ne devait être qu'une égratignure pour lui. C'est à peine si on voyait deux traits sanguinolents couler. Mais il était fait en quoi? En acier trempé comme Franky? Mais arrêtons le délire! Sous l'effet de surprise, il réussit à me toucher et m'envoyer dire bonjour à un cousin cocotier. Triple merde. Ne jamais, je ne dis bien JAMAIS, se laisser distraire ou impressionner par un ennemi! Je manquais d'entrainement, ça se voyait. Je voulus me relever, mais une noix de coco m'assomma temporairement. Je m'écartai d'une roulade au sol pour voir l'endroit où je m'étais posté précédemment se recouvrir de noix de coco. J'avais eu chaud sur ce coup là. Je me relevai et dénoua le bandana qui était accroché à mon bras gauche pour le nouer autour de mes cheveux. Il n'allait pas vivre longtemps, celui-là. Mais il m'avait donné une idée. Je replaçai mes bras derrière ma tête, mais de façon à former un rond. Puis, je relâchai le tout sur la bestiole :

— Hyakuhachi Pound Hou!

La bête fut projetée non loin, mais pile sur un autre cocotier. Avant même que le gorille puisse bouger, une mare de fruits lui arriva sur la tête, l'assommant encore plus. Je profitai de cet instant pour concentrer ma force dans mes bras, jusqu'à gonfler mes biceps. Les noix de coco ne furent pas longtemps diversion, mais juste assez. J'étais prêt. La bête se releva en mugissant effroyablement et je fonçai sur lui, prêt à frapper de toutes mes forces sur son torse :

-Nigori zake !

Je ne réussis encore une fois qu'à lui faire de faibles coupures, mais le choc avait suffi pour le calmer. Surement que les noix de coco et la séance de coups de pieds de Sanji avaient déjà fait effet. IL s'effondra dans un dernier gémissement. Je rangeai donc mes sabres et enleva mon bandana. J'avais l'impression qu'il allait encore se relever et je priai pour qu'il reste faire la sieste. Je n'avais jamais vu un singe aussi résistant. Et ça s'annonçait mal pour la suite. Je m'assis ensuite par terre, un peu essoufflé. Puis, je m'adressai au cook :

— Puisque tu as l'air de mieux savoir que moi où nous sommes, c'est quoi la suite des opérations? Je ne tiens pas à rencontrer d'autres bêtes de ce genre alors arrange-toi pour que ce ne soit pas le cas. Pour moi, le Sunny était à gauche d'un bananier, mais il n'y en a pas par ici. Pourtant, j'étais sûr de mon coup...

Presque sur... un nouveau regard sur les alentours. Non, vraiment, je ne savais pas où j'avais atterri. Il avait beau dire que nous étions perdus, le cook devait avoir une idée, non? Du moins, je l'espérai. Parce que passer la journée à me fatiguer contre des bêtes géantes, non merci! C'est un bon entrainement, mais j'avais autre chose à faire que d'abîmer avec du sang et de tels chocs mes sabres. Quant à passer plus de temps avec un Love cook enragé, très peu pour moi. Seulement, j'avais comme la nette impression que je n'allais pas avoir le choix...

Fin Pov Zoro

PoV Sanji

La douleur ne venait pas et pourtant j'étais sûr qu'il allait m'arracher la tête ce foutu gorille. Il était coriace et pas à peu près. Je sentis un courant d'air frais passé tout près de moi. Je rouvris les yeux pour voir ce qu'il se passait. Le gorille étais maintenant dos a moi et m'ignorais complètement, une bonne chose, ce qui l'étais moi, étais qu'il avait toute son attention après Zoro. Il avait paré son point avec ses katanas et... il m'avait sauvé d'une certaine façon. Je reculai de quelque pas, sous le choc un peu, puis fixa le marimo qui combattais le gorille.

— « Alors blondinet, même pas capable d'estourbir une bestiole comme ça? Tu me déçois... Ce n'est pas demain la veille que tu me battras! »

Je piquai à sa réplique, mais je n'osai pas répondre, voyant bien qu'il avait autant de difficulté que j'avais eu à vaincre ce macaque géant. Cette jungle devait avoir quelque chose en particulier pour pouvoir maintenir des animaux aussi sauvages et coriaces qu'eux. Je m'étonnais encore de voir le gorille briser la garde de Zoro en un coup et chargé à nouveau. Le marimo se prit son poing gigantesque en pleine tronche et revola contre le cocotier le plus près. Il se reçut une noix en pleine tête.

Le moment aurait pu être cocasse et très farfelue s'il n'y avait pas ce babouin je me ruais pas sur lui pour lui arraché la tête avant du gobé tout rond... ce qui serais bien moins cocasse a regardé... disons que de voir les tripes et organes internes du Marimo tombé dans une pluie sanguignolante c'est un projet que je ne veux pas voir de si tôt.

Le gorille se pris de plein fouet quelque attaque puissante et continua de chargé. J'étais étonné et j'allais lui venir en aide a l'aide d'une Réception bien placée, mais Zoro eu, enfin je pense, l'idée la plus brillante qu'il est eu pour le combat. Comme si la noix de coco qu'il avait reçue sur la tête lui avait illuminé le crâne pour un moment. Il envoya un de ses lus forte attaque contre le Singe et il se planta directement contre un autre cocotier. Une pluie de noix de coco lui tomba dessus, l'envoyant de l'autre monde une seconde fois. J'étais consterné par la résistance d'un seul et unique animal. Je n'imaginais pas ce que ça donnerait si nous tombions sur autre chose. J'espérais seulement que ce macaque était tout ce qu'il y avait de plus puissant dans cette forêt, car sinon nous n'étions pas sortis de l'auberge.

— « Puisque tu as l'air de mieux savoir que moi où nous sommes, c'est quoi la suite des opérations? Je ne tiens pas à rencontrer d'autres bêtes de ce genre alors arrange-toi pour que ce ne soit pas le cas. Pour moi, le Sunny était à gauche d'un bananier, mais il n'y en a pas par ici. Pourtant, j'étais sûr de mon coup... »

Alors là, pour une fois je n'avais pas la moindre idée. Je regardai Zoro avec un petit regard fautif, un peu comme ceux qui se font prendre la main dans le sac, en train de piquer des sucreries ou quelque chose du genre. J'avais complètement oublié la carte avant de partir à la recherche du Marimo et comme les boussoles ne fonctionnaient pas sur grand Line. De plus, J'étais parti rapidement j'ai un peu oublier de faire des points de repère sur les arbres. J'avais glandé un peu partout en le cherchant avant d'atterrir sur le bord d'un point d'eau, celui-ci a l'occurrence, puis j'avais trouvé le Marimo. Enfin, il m'avait trouvé en train de battre un singe qui n'était pas mort au final.

— « Je n'ai rien! Il n'y a pas de suite des opérations. Il n'y a que toi et moi pour la suite. J'ai oublié la carte de l'île et les boussoles ne fonctionnent pas sur Grand Line alors on se débrouille jusqu'à ce qu'on sorte de cette foutue jungle. Désolé, mais pour aujourd'hui on se contente de ce que j'ai dans mon sac et peut-être de la viande sauvage. Le gorille à trop de nerfs et de tendons pour faire de la viande mangeable alors laisse le faire sa sieste. »

Je ne désirais pas plus rester ici, mais je l'avoue... nous étions perdus pour une fois. Je me levai et me dirigea vers mon sac qui était resté a sa place depuis tantôt. Je sortis une bouteille d'eau et lui tendis. Nous étions deux dans cette situation alors valais mieux se serrer les coudes pour le moment. Puis je pris la direction du sens contraire d'où se trouvait le gorille. Hors de question de passer près de lui. J'ai faim et je n'ai pas envie de me battre avec lui le ventre vide. Mon sac sur l'épaule, mon chapeau sur la tête je me retourna avant de m'enfoncé dans les fougères pour voir si le marimo me suivait.

— « Tâche de ne pas me perdre de vue, Mister bushido, car je n'ai aucunement envie de m'arrêter a toutes les 15 minutes pour te ramené sur le chemin. »

Puis je m'enfonçai. Je fis une ligne droite, tentant du mieux que je pouvais d'enlever les fougères et les lianes qui pendaient dans mon chemin. Avec les petites éclaircies que les arbres permettaient, j'arrivais à voir le ciel ennuagé. C'était mauvais présage, on allait devoir se dépêcher a trouvé refuge dans une grotte ou en haut d'un arbre pour y faire un feu... sinon nous n'aurions pas de dînez tout court. Au même moment, on entendit le ciel grondé... la pluie approchait.

Je pris un élan donna un coup de pied sur une énorme branche morte qui tomba derrière moi, espérant que le marimo ne se l'est pas pris en pleine tronche.

— « On va devoir se trouver un abri pour la nuit. Il va surement pleuvoir alors rend toi utile un peu et transporte le bois sec... »

J'allais vérifier l'heure sur ma montre de poche, mais en l'ouvrant, je réalisai qu'elle était brisée. Le choc que m'avait porté le macaque plus tôt avait dû être de trop pour ma pauvre montre. Je soupirai en la regardant, passant mon pouce sur la vitre qui protégea le cadran et la referma. Ma si précieuse montre, j'allais devoir la faire réparer, encore. Si cet abruti ne s'était pas perdu..., elle ne se serait pas brisée. J'eus un petit moment de nostalgie, la voir brisée une fois de plus me brisait le coeur. Je serrai mon poing contre ma montre puis j'ajoutai plus pour moi-même qu'autre chose :

— « Tsss! Fais chier. »

Je me repris rapidement et remis la montre dans ma poche, faisant pendre la chaînette sur mon pantalon comme je l'ai toujours fait. Je continuai mon chemin à la recherche d'un arbre assez gros pour nous accueillir ou une petite grotte.

Fin PoV Sanji

PoV Zoro Vu les yeux que me lançait le cook, nous n'étions pas sortis de l'auberge. Je ne sais pas pourquoi, mais je m'en doutais un peu. Trop facile peut-être? Non, je crois plutôt que c'était à cause du mec là-haut, s'il y en a un vraiment. Il doit vraiment me détester. Mais je ne vais pas croire en lui juste pour ça. Y » avais pire dans l'existence. Prenons ça comme un entrainement. Maintenant, ça risquait d'aller mieux, vu que le gorille était dans les vapes et que le cuistot semblait un peu plus calmé. Il me répondit néanmoins, d'un ton relativement calme :

— « Je n'ai rien! Il n'y a pas de suite des opérations. Il n'y a que toi et moi pour la suite. J'ai oublié la carte de l'île et les boussoles ne fonctionnent pas sur Grand Line alors on se débrouille jusqu'à ce qu'on sorte de cette foutue jungle. Désolé, mais pour aujourd'hui on se contente de ce que j'ai dans mon sac et peut-être de la viande sauvage. Le gorille à trop de nerfs et de tendons pour faire de la viande mangeable alors laisse le faire sa sieste.

Boooon, c'est bien ce que je pensais. Mon pressentiment se révélait être vrai. J'allais devoir passer un moment seul avec le blondinet, pour une durée indéterminée. Génial! Je laissai un soupir traverser ma gorge. Bon, d'accord, j'y étais un peu pour quelque chose. Non, je ne suis pas fautif! Ce crétin aurait pu prendre de quoi se repérer! Mauvaise foi? Moi? Noon.

Enfin bon, j'exagère un brin. Si je compare avec les autres membres de l'équipage... Luffy, pas une idée. Il ne penserait qu'à manger et son sens de l'orientation est pitoyable. Nami ? Plutôt mourir! Elle sait se diriger, certes, mais pas question de rester plus longtemps avec cette sorcière des mers. Avec toutes ses dettes à répétition, j'aurais pu voler loin. Usopp? Même pas la peine. Il pouvait faire preuve de courage et d'ingéniosité, mais la plupart du temps, il restait peureux et il se cacherait sans cesse derrière moi. Chopper, c'est un peu la même chose. Ses connaissances sont très utiles, mais sa naïveté inhibe cette qualité. Robin? Je ne lui fais pas confiance. On aurait vite trouvé le chemin et même plus, mais malgré tout, je n'arrivais pas à la cerner et c'est ce qui me gênait. Franky? Me balader avec un pervers en slip? Plutôt mourir oui! Quant à Brook, je sens que je n'aurais pas supporté ses blagues longtemps. Ouais, en fait, Sanji était un choix de première classe. Enfin, il ne faut pas trop exagérer quand même! Si on pouvait faire une trêve, par contre, ça serait sans doute mieux.

Il avait dû penser à la même chose, le cuistot, parce qu'il me tendit une bouteille d'eau le plus naturellement du monde. Je le remerciai d'un geste avant de prendre la bouteille et boire un peu. Nous n'avions pas grand-chose et même s'il y avait des sources, il valait mieux économiser. Puis, le cuistot commença à marcher en remettant son chapeau en place. Tiens, je ne l'avais pas remarqué ça. Ça lui donnait un certain style.

— » Tâche de ne pas me perdre de vue, Mister bushido, car je n'ai aucunement envie de m'arrêter a toutes les 15 minutes pour te ramené sur le chemin. »

— Tss... Comme si je pouvais me perdre...

Je me levai et lui emboîtai le pas. Je me concentrai un peu plus sur sa silhouette que sur les alentours afin de, effectivement, ne pas le perdre. Mais je restai toujours aux aguets. Après un gorille, pourquoi pas un perroquet géant? Enfin bon, visiblement, ce n'était pas ça qui inquiétait le plus le cook. Il leva les yeux vers le ciel lorsqu'il était possible de l'apercevoir et je pus voir avec lui des nuages. Mauvais signe ça... Nous continuâmes à avancer un peu, en essayant de nous empêtrer le moins possible dans les lianes et autres végétations jusqu'à ce qu'un grondement menaçant retentit. Je regardai vivement autour de moi avant de comprendre que c'était le ciel qui était à l'origine de ce bruit.

À ce moment-là, le Love cook frappa dans une branche morte. Je m'écartai au dernier moment afin de ne pas me la prendre. J'allais l'injurier, mais je me retins. Ce n'était pas le moment et il n'avait pas l'air en forme. Simplement pas la tête à ça. Moi non plus d'ailleurs, mais c'est moi qui ai failli me retrouver assommé. Il dit néanmoins :

— « On va devoir se trouver un abri pour la nuit. Il va surement pleuvoir alors rend toi utile un peu et transporte le bois sec... »

— Ouais... Pour une fois, tu as raison...

C'est ainsi que je m'attelai à ma tâche. Sans trop m'écarter, bien sûr, pour maintenir en vu la chevelure blonde du cuistot. Je sortis un sabre pour couper un des arbres qui s'écrasa dans un fracas effroyable. Enfin, ce que j'aurais imaginé, mais visiblement, j'étais tombé sur un caoutchoutier qui ne fit que rebondir un peu. Mouais, pas une bonne idée n'en fait. J'entendis un singe me gueuler dessus pour avoir détruit son abri.

— Ouais, c'est bon, je m'excuse! Tout le monde a le droit de se tromper!

J'allais repartir un peu plus dans la direction du cook lorsque je le vis regarder sa montre d'un air ennuyé. Je m'arrêtai un instant avant de l'entendre pester :

— « Tsss! Fais chier. »

Ouais... Vaut mieux pas l'embêter. Je retournai donc sur mes pas et sous les cris du singe, je coupai un autre arbre qui, lui, s'écrasa dans un fracas effroyable. Puis, je le découpai en plus fines planches, afin qu'on puisse le transporter et s'en servir. Tout à coup, les petits cris du singe s'arrêtèrent. J'entendis un grognement. Je me retournai tout doucement pour voir une mignonne petite panthère noire. Mignon oui. À part qu'elle voulait elle aussi me bouffer, par rapport au gorille, c'était un chaton. Je souris machiavéliquement. La bête prit peur, mais trop tard, je l'avais déjà fauché. JE la remercie d'être venue avant de la mettre sur mon dos, en plus du bois, pour retrouver Sanji. Je le vis en train d'inspecter les environs, surement pour trouver un abri. Je l'avertis donc de ma présence :

— Hey Love cook ! J'crois avoir notre diner!

Je lui montrai la bestiole, ainsi que quelques noix de coco que j'eusse récupéré avant de partir. Eh oui, des fois, j'étais prévoyant. Je les avais planqués dans mon haramaki et pour une fois, je pouvais servir à quelque chose plus « utilement ». Mais j'arrêtai de sourire lorsque je sentis une goutte tomber sur mon nez. Puis une autre, et enfin une myriade des fines gouttelettes nous tombèrent dessus. Je poussai un juron bien placé :

— Et Merde...

J'allais me plaquer sous un arbre, voyant bien que c'était inutile. J'entendis tout à coup un énorme fracas. Un arbre oui, mais pas seulement. La foudre. Et ça, c'était d'autant plus dangereux. Je lançai donc un regard au cook, pour l'avertir que s'il n'avait pas plan, nous étions cuits, au sens propre du terme. Je vis soudainement une brèche quelque part, un endroit qui ne subissait pas la pluie. Je courrai vers cette brèche. Trop fine pour nous accueillir, je pus tout de même mettre le bois. Maintenant trempé jusqu'aux os, je m'écriai :

— Et maintenant? Une idée?

Là, par contre, ça ne pouvait pas tomber pire. Un autre arbre tomba. Je l'esquivai. Juste devant la brèche. Je le découpai d'un coup de sabre. Et pourtant si, ça pouvait. Je regardai autour de moi une nouvelle fois. Où pourrions bien nous planquer? Non seulement des intempéries, mais aussi des animaux? Parce que les rugissements que j'entendais signifiaient qu'une chose. Les créatures de cette forêt avaient peur de l'orage...

Fin PoV Zoro

PoV Sanji

J'observais les environs, j'apprenais petit à petit notre futur terrain, car si nous avions un problème qu'elle compte, l'avantage du terrain nous aiderait grandement. Je ne suis pas un grand amoureux du plein air... le camping, très peu pour moi. Mais je savais quoi faire durant les situations crise comme celle-ci... malgré l'humidité, j'arrivais à sentir un vent contre ma peau. La tempête arrivera bientôt et c'est ce qui m'inquiétait le plus. Comme nous n'avion aucunement de vivre pour le diner et surement le petit déjeuner de demain, en plus de ne pas avoir de planque pour la nuit... nous étions dans de beaux draps, Zoro et moi. Je fixai un arbre depuis quelques minutes... pensant avoir trouvé une grotte, mais l'épaisseur des fougères, et l'arbre en question bloquait le chemin. J'allais vérifier par moi même quand j'entendis le Marimo faire sentir sa présence.

— « Hey Love cook ! J'crois avoir notre diner! »

Je me retournai, pour y remarquer qu'il traînait par lui même une panthère énorme et quelques planches de bois fraîchement coupé de sa lame experte... bah là j'étais impressionné. J'avais l'habitude de le voir traîné à l'arrière de nos groupes d'excursion, avec l'équipage... et il attendait toujours les ordres avant de faire un geste. Surement que le plus part du lorsqu'il fait un geste, soit il se perd... soit il se fait rétamé par Nami-san. C'était les deux options possibles dans l'ensemble de possibilités d'un Marimo. Mais cette fois, il avait vraiment fait fort... c'est même moi qui étais à la traîne cette fois. Mais au moment ou j'allais lui répondre une petite remarque sanglante... histoire d'allégé la situation... malgré sa légère complexité, je sentis la pluie se mettre a tombé... lentement puis en quelque instant, un torrent tombait du ciel. J'eus exactement la même réaction de la tête de cactus.

— « Merde... »

Puis je le vis tenté de mettre a l'abri le bois, malgré qu'il était déjà trempe a lavette... je n'eus même pas le temps de lui hurler de s'éloigner de l'arbre qui étais tout près que la foudre s'abatis dessus. J'étais au comble de l'étonnement. Le destin nous en voulait à ce point là. Zoro sauta pour trancher l'arbre en feu qui tombait dans sa direction puis une fois au sol, se tourna vers moi pour me demander la suite des évènements.

— « Et maintenant? Une idée? »

Nous avions quelques petits problèmes, de un la tempête s'intensifiait rapidement et de deux, l'arbre qui étais tombé, malgré le fait que Zoro l'est tranché pour se protègé... avait réussi a écrasé la proie et le bois que le Marimo venait à peine de récolté... Bon tant pis pour les vivres, il était plus important que l'on trouve refuge, avant que la tempête ne dégénère encore plus. Le vent soufflait déjà très fort, à un tel point que mon chapeau avait été projeté par en arrière, la chance que j'avais de l'avoir attaché a mon cou. Le ciel devenait de plus en plus noir, qu'on aurait pu se tromper et dire que la nuit était arrivé... mais on voyait clairement devant nous... pour le moment.

— « Il faut trouver un abri maintenant... viens! Laisse tomber la nourriture pour le moment!...»

Puis je partis dans cette direction ou je pensais avoir vu une crevasse dans une montagne tout près. Mes vêtements étaient trempes et je sentais la morsure du froid contre ma peau... la température tropicale avait laissé place à une plus froide... qui pourrait s'avérer mortelle. À peine a quelque minutes de marche, la tempête continuait d'augmenté en force, mais je finis par trouvé la brèche que j'avais vue... sauf qu'elle était plus haute que je ne le pensais. Trop haute pour l'atteindre seul... mais assez basse pour s'y rendre a deux et en ressortir sans problème. Je regardai autour de moi... malgré le vent et la noirceur qui commençais a nous incapacité moi et Zoro... je trouva une Liane, elle avait l'air assez robuste pour support un poids comme le mien... je l'enroulai autour de mon bras et parti en direction de Zoro.

— « Prend la corde et rend toi en haut pour m'aidé a monté. »

Bien sûr, expliquer comme ça... ce plan avait l'air débile, voire même un peu retardé. Mais je reculai en arrière de lui et pris un grand élan avant de me diriger ver lui en hurlant

— « ARMÉ DE L'AIR...!»

Puis je le bottai assez fort, qu'il soit prêt ou non, pour qu'il se rende dans cette foutue grotte, mais pas trop pour éviter de l'encastrer dans le mur...

— « POWER EMERGENCY SHOT! »

Un feu d'artifice de Marimo en pleine jungle qui subit la colère d'une tempête tropicale... c'était un spectacle rare et spécial... je le vis atterrir dans la grotte, mais je ne vis pas la corde redescendre... bon j'avais peut-être tiré un peu trop fort... mais je savais qu'il était plus résistant que ça... d'habitude...

— " OI ZORO! ENVOIE LA CORDE! ARRÊTE DE GLANDER, BORDEL! »

Je commençais déjà à grelotter de froid, attendant patiemment mon seul moyen de monter dans notre abri de fortune. La température avait surement atteins son point le plus froid de la soirée. Et la pluie qui continuait de s'abattre comme un monstre sur la jungle. Je n'entendais plus un son... sauf celui de l'eau qui s'écoulait comme une chute d'eau. Aucuns animal, aucune bestiole... tous n'avais pris refuge dans la jungle pour ce couvrir de cette tempête.

Fin PoV Sanji