Disclaimer : ni les personnages ni l'univers ne m'appartiennent mais à notre chère JKR.
Certaines scènes ne m'appartiennent pas non plus mais à leur auteurs qui sont nombreux en fait !
Note de l'auteur :Bon , salut tout le monde ! C'est ma première fois donc je flippe à mort là.
Je suis absolument accro au couple SS/HG et enfin je me décide à en faire une moi-même alors pleaaaase reviewer moi ! ça m'encouragera à continuer !
Cette fic n'est pas des plus originales car c'est en fait le résumé et mes scènes préférées des autres fics rassemblées dans le même texte, d'ailleurs si un auteur n'aime pas mon idée qu'il se manifeste maintenant je supprimerai sur le champs !
Je ne sais si je me suis fait comprendre mais j'ai l'impression que tous et flou…
En tous cas, Bonne lecture !
Merci à ma Beta correction: Love Gaara of the Sand
Chapitre 1 : Légilimens ?
Elle ne pouvait pas, elle ne devait pas avoir le béguin pour un professeur et surtout pas Severus Rogue, LA chauve-souris des cachots, LE professeur le plus abominable que le monde de l'enseignement ait pu avoir.
La guerre était finie, Voldemort vaincu grâce à Harry, bien sûr, et Rogue fut innocenté encore une fois, mais cela n'avait pas amélioré son caractère, au contraire. Il semblait encore plus renfermé et plus asocial qu'il ne l'avait jamais été. Malgré tout, cela attirait Hermione au plus haut point et elle n'arrivait pas, depuis la rentrée, à s'arrêter de fantasmer sur l'homme. Elle conclut vite que c'était dû à ses hormones déchainées de jeune adolescente.
Nous étions lundi 8h30, ce qui signifiait le début du cours de potion. Elle s'installa au premier rang et ressortit ses affaires ainsi que ses ingrédients pour commencer le travail. « Vous allez préparer une potion de régénération sanguine qui demande beaucoup de concentration, dit-il en jetant un regard à Neville. Mais je n'attends pas de vous des résultats surprenants vu votre niveau qui ne dépasse pas celui d'un veracrasse écervelé. »
Il tapota le tableau avec le bout de sa baguette et aussitôt les instructions apparurent.
- Commencez, lâcha-t-il sèchement.
Il s'installa derrière son bureau, sortit de l'un de ses tiroirs une paire de lunettes de lecture, et commença à feuilleter un épais grimoire dont les pages étaient jaunies et surtout, vierges.
Hermione, quant à elle, essayait vainement de se concentrer sur sa potion, ce qui relevait du défi étant donné le spectacle qu'offrait son professeur penché sur ce qu'il lisait, lunettes sur le bout du nez, ses cheveux de chaque côté de son visage lui donnant un air encore plus séduisant. Elle ne pu faire autre chose que de penser à lui et parfois, lui jeter des coups d'œil furtifs.
Severus, lui aussi, ne pouvait se concentrer sur son grimoire qui n'était autre qu'un vieux livre sur la magie du sang. Il était trop proche de la jeune femme et cela le rendait de moins en moins capable de retenir les émotions qui s'emparaient de son corps. Et puis, elle pensait trop fort, et en bon légilimens, il se trouvait incapable de se retenir de pénétrer dans son esprit pour savoir pourquoi elle était si agitée.
« Mais pourquoi, pourquoi lui ? Nom d'une gargouille parlante, c'est un professeur, je ne peux pas, je ne dois pas ! Pourtant, je le veux tellement… il est trop sexy, ARGHHH ! Bon, la potion, la potion, donc ces mandragores, il faut les couper ou les hacher déjà ? »
- Il faut les couper Miss Granger, en fines rondelles. Échappa le professeur. Il était tellement concentré sur les pensées de la jeune femme, elle pensait fort et apparemment, elle était aussi attirée par son professeur. Cette déclaration avait rendu l'homme sans voix, puis elle avait posé cette question et il ne savait quel diable l'avait poussé à lui répondre !
Cette simple petite phrase se répétait sans cesse dans l'esprit d'Hermione : «Il faut les couper, Miss Granger, en fines rondelles.» Elle ne pouvait pas croire ce qu'elle avait entendu, il l'avait écoutée ! Il l'avait écouté en train de fantasmer sur lui ! Qu'allait-elle faire ? Merlin, dans quel pétrin elle s'était mise !.
Elle inspira profondément. En bonne Gryffondor, cette situation, aussi puérile soit-elle, devait être dépassée et placée dans la partie « souvenirs embarrassants » de sa mémoire.
- Est-ce que vous écoutiez dans mes pensées monsieur ? Demanda-t-elle.
- Non, répondit-il simplement.
- Alors comment avez-vous su que j'hésitais sur la façon de manipuler les racines ?
- J'ai vu que vous alliez les hacher, alors je vous ai corrigé, c'est normal pour un professeur.
Quelle était donc cette chose qui le poussait à se justifier devant elle ? Il était professeur bon sang, il n'avait pas à se justifier devant un élève.
- Mais alors, dit-elle en se passant la main sur la bouche, comme si elle réfléchissait. Vous n'écoutiez pas dans mon esprit ?
- Non, rugit-il aussitôt.
« Piégé ! » Pensa-t-il. Il se leva de son fauteuil et s'avança dangereusement vers elle. Arrivé au niveau d'Hermione, il s'inclina légèrement et continua à avancer son visage vers elle, ce qui eut pour effet de faire reculer la jeune femme, plus intimidée qu'effrayée.
- Votre potion est ratée, Miss Granger.
Leurs visages étaient si proches qu'elle pouvait sentir le souffle chaud de son professeur contre ses lèvres.
- Vous allez…
La voix de l'homme n'était plus qu'un murmure rauque. Hermione avait le cœur qui battait à tout rompre et elle était sûre que si elle avait été debout, ses jambes n'auraient jamais pu arriver à la porter. Il était… trop proche.
- … avoir une retenue, jeudi soir, pour votre impertinence et votre manque de respect envers un professeur. Sa voix était forte et glaciale, puis Hermione tomba de très haut.