Willkommen, bienvenue, welcome , Benvenuto ,Bienvenido !

sur ma fiction,

J'espère que l'histoire vous plaira !

Je répondrai à toutes les reviews, qu'elles soient privées ou non.

N'hésitez pas à écrire des reviews pour donner votre avis, quel qu'il soit.

Gros Bisous !

Disclaimer :

L'histoire d'Harry Potter (les lieux, les personnages, les noms) appartient à J.K Rowling

Ne sont à moi, que les personnages, lieux, et histoire que j'ai inventé et bien évidemment je ne touche aucune somme de mes écrits.

Note :

Il s'agit d'un canon et l'histoire est vue selon le point de vue de mon personnage.

à présent, je vous laisse la découvrir vous-mêmes,


Chapitre 1 – Annonce et décision


Bonjour (ou encore bonsoir), je me prénomme Néa et je suis une sorcière, puissante certes mais on en reparlera. Vous l'avez probablement deviné mon prénom n'est pas tout à fait Néa. Mes parents ont eu l'idée tordue de me nommer Antinéa Galatée Violine. Je suis française et j'aurais de loin préféré m'appeler Violine.

Je suis de moyenne et très maigre. Je ne comprends pas pourquoi puisque ma maman est mince mais elle possède de belles formes. Moi je suis trop mince, presque squelettique – je dis bien presque ! J'ai les cheveux longs, lisses et noirs d'une telle intensité qu'on les confondrait avec le néant. Encore une chose étrange, maman est blonde comme jamais et papa a les cheveux bruns – du moins, je crois. J'ai la particularité d'avoir des yeux turquoise. Je me trouve très belle Candice et Victoire me le disent souvent donc je ne peux que les croire. Ce sont mes meilleures amies, je les aime comme si elles étaient mes sœurs. Je passe souvent mes vacances chez elles, car mes parents travaillent souvent. Je les accompagnais souvent étant petite mais je préfère désormais rester chez Candice et chez Victoire. Nous sommes les trois plus jeunes de notre classe, puisque nous avons un an de moins que les autres, ce qui ne nous empêche pas d'être les meilleures. Les gens – surtout les professeurs – m'aiment bien, ils font toujours ce que je veux. Je suis très gentille et je n'ai pas un mauvais caractère – bien au contraire, je suis très facile à vivre.

J'étudie dans la plus merveilleuse école de la magie, et de loin la meilleure de toutes : la prestigieuse Académie de Magie Beauxbâtons. Nous ne sommes que des filles à y étudier, les garçons sorciers français étudient soit dans cette école de Magie du Nord de la France soit dans les écoles plus petite. Notre système d'éducation n'est pareil à aucun autre. Notre scolarité commence à six ans – je ne sais pas comment cela se passe dans les autres écoles et je dois dire que m'en fiche complètement. L'Académie est située dans le sud de la France, non loin des Alpes maritimes. Nous avons toujours un temps magnifique – même si je soupçonne Madame Maxime d'y être pour quelque chose. Ce que j'aime par-dessus tout, c'est me rendre près des murailles en glaces éternelles délimitant le domaine et m'y prélasser en regardant la Méditerranée bordée par les montagnes majestueuses aux sommets blancs, pendant que le soleil pénètre ma peau bronzée.

Le domaine est immense le château se trouve au milieu de parcs et de forêts enchantées. Dans l'un des parcs, on peut côtoyer de petites fées, je jouais souvent là avec mes amies quand j'étais petite. Un autre est composé d'arbres et de parterres de fleurs aussi beaux les uns que les autres. Il y un lac d'eau claire, où vivent des cygnes et des nymphes. Celles-ci viennent souvent chanter pendant nos repas. On se rend souvent dans la forêt enchantée pour cueillir les ingrédients du cours de potions.

Le château est doté d'un style féerique, d'ailleurs dans le hall d'entrée gigantesque il y a une statue de fée en glace éternelle. Le château se divise en trois ailes. L'aile centrale est occupée par l'administration, des salons, la salle à manger, des cuisines, et le bureau de Madame Maxime –

notre directrice. L'aile gauche est composée de nos chambres – que l'on peut partager ou pas moi, je partage ma chambre avec Candice et Victoire depuis six ans. Enfin, on retrouve nos salles de classe et nos gymnases dans l'aile droite. Nous pratiquons la danse classique et la gymnastique rythmique, pour obtenir la grâce et l'élégance requises à toute dame. Nous avons aussi une gigantesque piscine – la natation fait vraiment du bien lorsqu'il fait chaud.

Maintenant que je me suis présentée, laissez-moi vous raconter ce qu'il m'est arrivé il y a deux semaines. J'étais allongée au soleil dans l'un des champs de fleurs – alors que j'aurais dû me trouver en cours de botanique – quand l'horrible voix grinçante de Madame Chudleigh arriva jusqu'à mes oreilles.

-Mademoiselle Antinéa ! Antinéa ! criait-elle.

Je me relevai en lui faisant un signe. Elle arriva d'un pas mécontent. Madame Chudleigh est notre surveillante et elle nous donne les cours de bienséance.

-Vous me tuerez, un jour, Antinéa, dit-elle dans un souffle. Ne devriez-vous pas être chez Mlle Marguerite ?

-Vous n'êtes pas encore morte, répondis-je en rigolant. Non, je n'en ai pas besoin.

-Je préviendrai vos parents ! S'exclama-elle.

Moi, je m'étais contentée de ricaner. Elle pouvait essayer de les joindre, elle n'y arriverait pas. Ma mère devait être en train de bronzer à St-Barth, et mon père travaillait au japon. J'en étais sûre pour lui, puisque j'avais reçu une carte postale la semaine avant.

-Mais faites, répondis-je avec moquerie.

-Nous réglerons ceci plus tard, dit-elle. Madame Maxime veut vous voir immédiatement. Dépêchons !

Je croisai les bras et la suivis de mauvaise grâce. En chemin, je me demandai ce que j'avais encore pu faire… je ne me souvenais pas d'avoir provoqué des duels, des explosions, ni fait de ballades au clair de lune. Très vite, je m'inquiétai pour mes parents. On arriva devant l'imposante porte du bureau de la directrice. Madame Chudleigh frappa quelques coups à la porte et entra partiellement.

-Madame la directrice, je l'ai retrouvée, dit-elle. Antinéa, entrez donc.

J'entrai donc en enlevant mon chapeau et m'avançai pour faire une révérence à Madame Maxime.

-Bonjour Madame Maxime, dis-je.

-Mademoiselle Antinéa, je vous présente l'un de mes amis, dit la directrice en me montrant un vieil homme barbu, le professeur Albus Dumbledore, le directeur du collège Poudlard.

Je m'avançai vers lui en faisant une révérence.

-J'ai lu beaucoup de choses sur vous !

-Antinéa, me réprimanda la directrice.

Je rougis légèrement.

-Pardon, veuillez excuser mon impolitesse, monsieur, dis-je. Je suis enchantée de faire votre connaissance.

Le vieux professeur rigola doucement.

-Je vous en prie, Miss, dit-il.

-Antinéa, le professeur Dumbledore veut s'entretenir avec vous, reprit Madame Maxime. Je ne serai pas loin, Albus.

Je fronçai les sourcils ne sachant pas à quoi m'attendre, et me contentai de regarder sa barbe. Elle était si longue, si blanche, on aurait dit une fausse.

-Asseyez-vous donc, Antinéa, dit-il gentiment. Voulez-vous quelque chose à boire ?

-Non, merci, répondis-je en le regardant.

-Le but de ma visite n'est pas anodin, comme vous devez vous en douter, dit-il. J'aimerais vous proposer une place pour venir étudier dans mon école.

Je restai muette un instant.

-Comme un échange scolaire ? demandai-je.

-Oui, on peut dire cela, répondit-il avec un sourire.

-Mais, je ne veux pas tout quitter, dis-je en réfléchissant. J'aime mon école, mes amies, le temps. Où se situe Poudlard exactement ?

-En écosse, répondit-il.

-L'écosse? M'exclamai-je, effarée. Il pleut tout le temps et il n'y a jamais de soleil, je ne pourrai pas y survivre.

-Nous avons de temps en temps de belles température, et je puis vous assurer que le domaine est aussi beau qu'ici, dit-il.

-Non, ça c'est impossible, répliquai-je. Et puis, vos élèves auront-ils un niveau équivalent au mien ?

-Poudlard est l'une des trois meilleures écoles de sorcellerie dans le monde. Je peux vous promettre que nos élèves ont un bon niveau de magie.

-Beauxbâtons est La meilleure école, dis-je. Poudlard se place derrière elle.

-Vous ne pourrez juger de cela qu'après avoir vu, Miss, dit-il.

Je crus l'avoir froissé.

-Mais pourquoi moi ? demandai-je.

-Vous avez un très bon niveau scolaire, et de magie, répondit-il, ce qui eut le don de me faire plaisir. De plus, vous êtes bilingue.

-Comment le savez-vous? Demandai-je, curieuse.

Je prenais des cours avec un professeur pendant l'été depuis mon plus jeune âge, et je partais en voyage avec mes parents étant petite. De plus, je m'étais toujours sentie à l'aise avec l'anglais. Il se contenta de me sourire

-J'aime le changement, dis-je. Je veux bien accepter votre proposition.

-Vous m'en voyez ravi, Miss Pritchard, répondit le vieux directeur enjoué. Vous recevrez une lettre par hibou, sous peu, et notre sous-directrice viendra vous donner plus de détails et vous aider pour l'acquisition de vos fournitures scolaires.

-Merci, monsieur, dis-je en me relevant.

-Nous nous reverrons le 1er Septembre, dit-il. Vous pouvez y aller, je vais attendre Madame Maxime ici.

-Bonne fin d'après-midi, professeur, lui dis-je en sortant doucement.

Drôle d'histoire, n'est-ce-pas ? Je suis rentrée à la maison depuis ce temps-là. J'ai eu le plaisir de recevoir ma lettre et j'attends toujours la visite du professeur McGonagall qui semble être la sous-directrice.


Une semaine plus tôt à Poudlard :


Le professeur Dumbledore était assis derrière son imposant bureau en repensant à la discussion avec Madame Maxime.

« -Vous voulez me voler mon élève la plus prometteuse, voilà ce que j'en dis ! s'était-elle exclamée

-Pas du tout, je veux juste offrir à Miss Pritchard une nouvelle aventure, lui répondait-il. Pareil ici, avait-il répondu Cela pourrait améliorer la collaboration entre nos écoles.

-Vous ne la garderez pas longtemps, avait dit la directrice. En six ans, Mademoiselle Antinéa a fait partir une dizaine de professeurs. Elle est insolente, capricieuse, n'obéit jamais et cela depuis son plus jeune âge.

-Je suis certain que vous extrapolez, ma chère, avait dit le vieux directeur.

-Vous verrez bien, avait dit Madame Maxime.

-Cela veut-il dire que vous acceptez ? avait demandé Dumbledore. »

Il fut sorti de ses pensées par la porte de son bureau qui venait de s'ouvrir sur un Severus Rogue aussi froid qu'à son habitude.

-Mr le directeur, vous m'avez demandé ? demanda-t-il de sa voix lente et froide.

-En effet, mon cher Severus, répondit Dumbledore. Asseyez-vous, je vous en prie.

Il sortit une boite de bonbons au citron.

-Je désire vous faire part des nouvelles recueillies pendant mon séjour, annonça Dumbledore. Voulez-vous un bonbon ? Ils sont délicieux.

Severus renifla avec mépris en fixant froidement le directeur qui ouvrit la boite pour prendre un bonbon.

-Durant vos vacances ? Persifla Severus. Et peut-on savoir où vous étiez ?

-Oui, oui, mais c'était un séjour tout ce qu'il y a de plus professionnel, répondit-il. Je me trouvais chez Madame Maxime, en France, la directrice de l'Académie de Magie Beauxbâtons. La connaissez-vous ?

-Bien sûr, me prenez-vous pour un idiot ?...

Severus devint pâle, son visage se décomposa.

-Qu'êtes-vous allés faire là-bas ? Ne me dites pas que vous avez osé…

-J'ai rencontré Miss Pritchard, dit simplement Dumbledore. Elle viendra étudier ici, l'année prochaine.

Le visage de Severus changea de couleur, il se releva pour dominer le directeur de toute sa hauteur.

-Comment avez-vous pu ? Vous n'aviez pas le droit ! S'exclama-t-il.

-Je sais que vous êtes en colère, Severus, dit le directeur.

-Non, il n'y a pas de Severus, continua-t-il en colère. Vous me l'avez enlevée, je n'étais pas d'accord mais vous avez insisté. Elle devait grandir à l'écart, ne jamais rien savoir ! C'était notre marché !

-Allons, Severus, calmez-vous, demanda Albus. Il en va de sa sécurité, je crains que notre monde ne soit plus en sécurité longtemps. Au moins, au château, elle ne risquera rien.

-Ah vraiment ? dit Severus avec amertume. Elle ira à Serpentard, fera connaissance avec les enfants des anciens Mangemorts, et vous savez comme moi que ces choses-là sont rapides.

-Peut-être qu'elle n'ira pas à Serpentard, dit Albus. D'après ce que Madame Maxime m'a dit, elle aurait plus un caractère digne de Gryffondor.

-Je vous demande pardon ? dit-il en s'énervant de nouveau. Vous connaissez sa généalogie aussi bien que moi. Elle ira à Serpentard, et elle souffrira. Imaginez-vous un peu, être à Serpentard en venant d'une famille de moldus.

-Je suis persuadé du contraire, dit Albus.

-Et si elle venait à l'apprendre ? demanda Severus.

-Je peux vous assurer que personne ne saura qu'elle est votre fille, dit Albus.

-Et vous n'avez pas pensé à moi, dit Severus. Je vais devoir lui donner des cours comme à une parfaite inconnue, alors qu'elle est une petite fille que j'ai vue grandir pendant quatre ans !

-C'est pour son bien, Severus, dit-il.

-Très bien, dit Severus sèchement. Mais je vous préviens, vous en assumerez les conséquences.

Dumbledore le regarda partir en hâte, en claquant la porte de rage. Il soupira et se dirigea vers la cheminée.

-Minerva ? J'aimerais discuter avec vous d'une chose importante.

Le professeur McGonagall arriva une minute plus tard, légèrement contrariée d'avoir été dérangée pendant les vacances et aussi tard.

-Albus ? Avez-vous un souci ? demanda-t-elle en s'asseyant en face du directeur.

-Non, ne vous inquiétez pas, la rassura le directeur. Je voulais juste vous annoncer la nouvelle. Nous allons accueillir une demoiselle de l'Académie de Magie Beauxbâtons qui entrera en troisième année.

Minerva le regarda incrédule.

-L'école pour les jeunes filles de l'Aristocratie sorcière ? demanda-t-elle. Et elle a accepté de venir ? Vous lui avez dit que Poudlard se trouvait en Ecosse ?

-En effet, oui oui ! Miss Pritchard est âgée de douze ans, dit Albus

-Elle ne devrait pas être en deuxième année plutôt ? demanda-t-elle.

-Il semblerait qu'elle ait sauté une classe étant fillette, n'oubliez pas que l'éducation sorcière française commence à six ans, Minerva, dit-il.

-Oui, mais elle va manquer de maturité, dit Minerva.

-Je ne peux pas la placer en deuxième année, elle a déjà un niveau de magie supérieur à celui des troisièmes années. Vous connaissez Olympe, une fervente défenseuse de l'excellence.

-Oh oui, je le sais, répliqua Minerva qui n'aimait guère la directrice française qui avait tendance à vanter ses mérites plus que celui des autres.

-Je peux compter sur vous pour aller lui parler du collège, et pour ses fournitures ? demanda Albus.

-Oui, je m'y rendrai dans deux semaines, dit-elle.


Note :

Je vous préviens qu'il s'agit d'une fiction donc, dans ma fiction Beauxbâtons est vue du point de vue exposé plus haut.

Aussi, l'histoire est vue au point de vue d'Antinéa ( qui vous l'aurai deviné, est egocentrique et orgueilleuse). Ne soyez pas étonné d'entendre qu'elle est belle, etc...c'est son point de vue à elle.

Nous sommes chronologiquement durant l'été précédant la troisième année d'Harry et mon histoire reprends les mêmes dates ( 1993...).

Bonne semaine !