Titre: J'ai couché avec la profe de littérature

Auteure: Elizabeth Mary Masen

Spoilers : Aucun

Rating : T (Lemon)

Genre(s) : Général/Romance

Disclaimers :
-L'histoire appartient à Elizabeth Mary Masen
-Tous les personnages, lieux et autres appartiennent à Stephenie Meyer
-L'auteure fait cette fanfiction par plaisir d'écrire et ne gagne rien si ce n'est des reviews en écrivant cette histoire.

Pairing: Edward/Bella

Notes:
Une petite review (quelque soit votre avis) fait plaisir.


Pov Edward

Je faisais l'amour avec la profe de littérature. Elle m'avait demandé expressément de la suivre. C'est pour cela qu'à presque 23 heures, j'étais à moitié nu dans la salle des profs du lycée de Forks. Je contemplais le corps presque nu de l'enseignante dans la salle vidée du corps enseignant qui envahissait d'habitude cette pièce.

Qu'elle était belle ma profe, le chocolat de ses yeux assombris par le désir me semblait être un appel au plaisir et à la luxure. Le galbe parfait de ses seins me faisant envier celui, qui dans quelques mois les auraient pour lui seul.

Mon amante achevait de me dévêtir avec douceur et délicatesse comme son caractère semblait le présager. Sous ses mains expertes, je frissonnais. Sa culotte de coton dont j'appréciais beaucoup le petit noeud de soie bleu rappelant la couleur du soutien-gorge assorti trahissait son envie évidente de voir nos corps s'unir.

Je la caressais fiévreusement, de la naissance de ses seins rendus sensibles par sa situation, à ses plis féminins qui semblaient palpitants et brûlants. Je la vénérais comme la déesse antique d'un culte oublié par les hommes. Les doigts qui avaient forgés ma réputation de pianiste quand j'étais enfant semblaient avoir un effet des plus intéressants sur elle; elle s'abandonnait au plaisir comme quand on sait que l'on ne peut résister, qu'il serait même idiot d'essayer.

Une fois qu'elle eut repris pied, (1) Madame de Saint-Ange décida qu'il était plus que temps de rendre la pareille à Dolmancé et pour reprendre des mots de Sade, elle me pollua divinement le vit et j'étais sur le point de décharger. Mais ce n'était pas le plus poli de décharger avant qu'elle n'eut elle-même exprimer sa jouissance.

Nous ne fûmes pas brutaux mais les retrouvailles de nos corps furent aussi puissantes que celles de deux amants qui ne se sont pas vus depuis longtemps et la tendresse s'est installée là où régnait la passion, feu dévorant, il y'a encore peut-être 15 ans.

Nous avions jouis de nos corps mais bien plus encore de nos cœurs.

Vers minuit et demi, nous quittâmes les lieux.

Ce soir, le prof de maths avait couché avec la profe de littérature.

Ce soir, Edward Cullen avait couché avec Isabella Cullen.

Ce soir, j'avais couché avec ma meilleure amie depuis mes 5 ans.

Ce soir, j'avais couché avec l'héroïne de tous mes rêves mouillés.

Ce soir, j'avais couché avec la femme que j'aime…j'avais couché avec mon épouse.


(1) La Philosophie dans le boudoir ou Les instituteurs immoraux est un ouvrage du marquis de Sade, publié en 1795. Le sous-titre est Dialogues destinés à l'éducation des jeunes demoiselles.

L'ouvrage se présente comme une série de dialogues retraçant l'éducation érotique et sexuelle d'une jeune fille de 15 ans. Une libertine, Mme de Saint-Ange, veut initier Eugénie « dans les plus secrets mystères de Vénus ». Elle est aidée en cela par son frère (le chevalier de Mirvel), un ami de son frère (Dolmancé) et par son jardinier (Augustin).