Voilà les mini-fics écrites sur le thème "Comment se débarasser de Josh Davidson". Le but n'est pas d'être réaliste ou de coller à la série, mais de se débarasser, d'une façon ou d'une autre du motard...

Donc, je préviens que ce sont de pure délires, et qu'il y a peu, voire pas de chance du tout, que ça se passe dans la série...

Certaines sont très courtes, d'autres plus longues...

Comme toujours, aucun des personnages ne m'appartient, et je me suis pas payer pour écrire ces histoires...

Bonne lecture

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Une histoire de Karma

Comme tout les matins, Josh se réveille de bonne humeur. Il sort avec la femme la plus exceptionnelle de la terre et a parfaitement conscience de sa chance et si en plus il songe qu'elle a préférer être avec lui plutôt qu'avec un homme beau, riche et célèbre, il ne peut s'empêcher d'exécuter une petite danse de la victoire.

Après avoir pris un bon petit déjeuner, il attrape son téléphone et décide d'appeler sa chérie, histoire qu'elle passe sa journée à penser à lui et pour faire enrager l'écrivain qui ne pourra s'empêcher d'écouter la conversation.

Arrivé en bas de son immeuble, il s'arrête sur le trottoir, à côté de sa moto et cherche ses clés. Le téléphone sonne un long moment, mais il attend, pensant qu'elle est probablement sur une enquête. Enfin quelqu'un décroche.

"Allô ma chérie?" sourit-il en continuant de chercher ses clés.

Seul des gémissements lui répondent.

"Kate? Est-ce que tout va bien?" demande-t-il en fronçant les sourcils.

Soudain, il se fige en entendant Kate crier le nom de son écrivain préféré dans un long râle de plaisir. Sous le choc de sa découverte, il ne prête pas garde aux cris qui lui disent de faire attention, alors qu'au-dessus de sa tête, un congélateur tangue dangereusement. Soudain, le dernier câble qui maintenait encore le lourd meuble dans les airs rompt, et Josh lève la tête juste à temps pour faire la bise à l'objet.

Alors que le bruit engendrer par la collision s'atténue, on voit progressivement une immense marre de sang se former et s'écouler lentement dans les égouts. Le téléphone ayant miraculeusement survécu, un passant le ramasse et le porte à son oreille.

"Gina raccroche ce téléphone. C'est celui de Beckett, elle l'a oublier hier soir!"