Yo, me voila de retour avec une nouvelle fiction. Cette fois-ci, ce sont les animaux de nos chères mafieux qui vous raconteront les petites aventures de leur maitres adorés. J'ai eu l'idée en lisant un doujinshi 8059 ou le narrateur était Uri. Chaque chapitre sera sur une des boites animales de la famille Vongola.
Je commence par Uri car j'adore cette petite boule de …flamme? Et puis, c'est grâce a cette boite-animal que la fic m'est venue a l'idée ^^
Bref a vous de juger après tout .
Prairing: Yama-goku
Bonne lecture!
Chapitre un: Chat alors?
Mon ventre gargouillait, j'avais déjà envie de manger. Le pire étant que je n'ai rien avalé hier, je suis rentré bien tard. Et mon sympathique maitre n'as pas du trouver cela normal de me donner ne serai-ce que les restes quand il est venu m'ouvrir la fenêtre, a part se plaindre, il ne sait pas faire grand chose, je vous jure!
Huit heure sonné et je fut bien obligais de quémander a sa porte, ou j'aurais finis par mourir de faim, sans blague…
Les pattes poser sur le bois, j'entrepris a gratter et miauler aussi fort que je le pouvais, a ce rythme je pensais qu'il ouvrirait la porte fou de rage et qu'il voudrait me donner un bon coup de pied. J'étais prés a esquiver et lui sauter au cou pour lui dire ma façon de penser…
Le bougre ne se décidait pas a prendre un peu de temps pour s'occuper de moi, je redoubla d'efforts jusqu'à entendre des bruits de pas arrivés a l'entrée, la porte s'ouvrit sur un jeune homme métis, un grand brun tout souriant. J'avais presque oublier que son mâle était entrer avec lui dans la soirée, je devrais m'en rappeler pourtant! Avec le boucan qu'ils ont foutu hier…
Je me blottis entre ses jambes et frotta tout mon dos a son survêtement en implora du regard comme le ferait un de mes cousin d'un film de Dreamworks. Il sourit encore plus en me voyant faire mon numéro, il me prit dans ses bras et me dit
"-Ma ma… on t'as oublier hein?
-**Et comment!**
-Bon, je vais m'occuper de toi…"
Ça, c'est un chic type! Il m'amena a la cuisine et me posa sur le bar, il fouilla les placards et en sortit une bouteille de lait et mes croquettes préférée. En déposa dans ma gamelle et me versa un peu de lait dans un bol.
"- Monsieur est servi, régale toi! " Je me précipita sur la pitance et en quelques secondes, il ne resta plus rien de mon petit déjeuner. Lui, resta tout ce temps a me zieuter en sirotant son propre verre de lait, je l'aime bien ce type. Des qu'il est à la maison, je suis un pacha, l'autre(mon maitre) est tout heureux, comme une jeune jouvencelle, bien sur, il ne le dira jamais… et même l'appart' a le droit a un bon lifting, il se tape le ménage en regardant un match de "je-ne-sais-plus-quoi-ball" et fait même la cuisine, il faudrait qu'il vienne vivre ici, se serait top, je pourrais me goinfrer de sushis et jouer toute la journée avec Jiro et Kojiro qui sont aussi gentil que leur maitre. Comme quoi, on dit "tel chien, tel maitre" mais je pense que ça touche tout mes collègues a plume ou a poil qui vivent avec un humain, qu'il sortent du boite ou non. On prend leur habitude et leur mimique. C'est pourquoi moi je suis, comment dire….tout feu, tout flamme? Enfin, ceci explique cela quoi… c'est pas de ma faute mais des que je vois mon maitre s'énerver pour un rien, j'ai juste envie de lui rappeler que ça pourrait être pire comme situation et je me sens obliger de le griffer ou le mordre pour le ramener sur terre. C'est pas comme si je l'aimais pas, c'est juste que c'est notre façon de nous montrer que l'on tiens l'un a l'autre. Qui aime bien châtie bien n'est-ce pas?
Tiens, en parlant du ramassis d'hormone, le voila qui se ramène pour prendre son café.
"-Salaud, si Takeshi n'avais pas était là, je t'aurais mis mon pied ou je pense
-** Mais moi aussi, je t'aime, mon cochon…** Je snoba mon comparse et descendit du bar pour me caler sur le fauteuil prés de la fenêtre. Rien que l'entendre m'énerve déjà alors que ce n'est que le matin…
"-Pauvre petit, on l'a oublier hier, c'est normal qu'il soit venu nous demander de manger. C'est pas comme si il le faisait tout les matins…
-Bin vas-y, prend son parti tant qu'on y est!" Le mâle de mon maitre s'avais comment calmé ses ardeurs, il s'approcha de lui et le prit par la taille pour lui donner un baiser. Celui ne résista pas et mis ses mains derrière la nuque de Yamamoto Takeshi. Ils sont mignon tout les deux, comme ça, il me donnerais presque envie d'avoir un compagnon moi aussi…heu compagne, compagne! Oui, bon, c'est pas vraiment facile de s'entendre penser avec les deux qui se tripote comme ça ,de bon matin. Il fallait que je sorte, tiens. Je me dirigea d'un pas nonchalant vers la fenêtre et me mis a miauler pour me faire entendre dans cette ambiance trop romantique a mon gout. Mon maitre lâcha enfin les lèvres de son mâle et se retourna vers moi.
"-Ça va, ça va… c'est pas comme si on s'avait pas que tu était là hein?
-**Qu'est-ce que je disais? des que Mister roi du sushis est entre ses murs, le fumeur se sent d'humeur prude et ne se jette plus sur moi pour m'étriper a tout bout de champs. je serais presque un chat libre…**" il vint m'entrouvrir l'oeil de boeuf, je respire enfin!
Avant de partir, M'sieur "l'énervé du pétard" me dit
"-Soit de retour pour le repas, je pense que Takeshi aura fait un bon plat…" Il se sent vraiment obliger de rougir des qu'il sort ce prénom? C'est débile d'être amoureux…
Après une bonne balade pour faire régner l'ordre dans le quartier, je rentra au territoire du Smoking' Bomb et de moi même. L'odeur de poisson me titilla la truffe depuis le percheron. Je gueula encore plus fort que ce matin pour me faire entendre, la bouffe, c'est sacré! Hayato me fit entrer avec un petit sourire en coin
"-Tiens, voila le parjure…
-**c'est de moi qu'il parle? j'vais t'en coller du parjure…** Je snoba une foi de plus l'argenté en lui laissant un petit souvenir de moi…
"-Oh, l'enfoiré." jura t-il tel un lépreux
"-Quoi?" gueula le métis qui était dans la cuisine.
"- Ce p'tit con a lâché une comédie musicale a l'entrée!
-Hein?" faut dire qu'il était pas très loquace le Takeshi…
"-Je dis qu'il a lâché un caisse avant de rentrer!
-Surement parce que tu l'as insulter…Tu sais, il a pas la parole, comme nous. Il fait ce qu'il peut pour se défende…
-Oh, toi, ça va…" Il referma aussi sec la porte et se dirigea vers la table basse ou il avais poser son ordinateur portable, il se remit a tapoter du bout des doigts le clavier, avec ses lunettes poser sur le bout de son nez qui reluisait la lumière de l'écran, on dirait un véritable…hum, comment on dit déjà? ah oui, Geek. J'aime bien me payer sa tête sans qu'il ne s'en rend compte. Jiro et Kojiro était sortit de leur boite, je m'en alla les saluer. Le brun entra dans le salon avec un couteau a la main, il ferait presque peur si il ne porter pas un tablier rose sur lequel était écrit "A mon unique frère…" Bianchi pouvait faire preuve d'humour elle aussi. Comment ça? "c'est sincère" c'est surtout tordant de voir le fumeur avec le dit tablier quand il fait la popote…(moi, mesquin? …Vous plaisantez?).
"-C'est prêt, a table!" on dirait une vrai maman, ça me donne la chair de poule rien que d'y penser.
"-oui, oui. Je finis ce rapport pour le Judaime et j'ai… QU'EST-CE QUE?" Hayato s'était retourné et avais put constater le désastre vestimentaire cité plus haut.
"-Quoi? T'aime pas?
-Tu veut ma mort!" Pour la première fois de la journée, j'étais d'accord avec mon maitre, Jiro et Kojiro aussi d'ailleurs…
"- Bin quoi? je trouve qu'il me vas bien non?" on acquiesça tous de la tête négativement. La joie du brun disparut aussi vite qu'elle n'était apparut.
"-Très bien, je l'enlève. De toute façon, c'est fait. Je t'attend.
-j'ai finis." J'accouru accompagné de l'Akita inu. Les assiettes déposer sur la table ont vite était nettoyer, j'ai même réussi a piquer une part de l'assiette de mon fumant maitre!
Tout fière de moi, je quitta les lieux bien vite pour ne pas recevoir une godasse en pleine tête…
Il se fessait tard, une bonne nuit de sommeil me ferait le plus grand bien. Comment ça? ,{il est pas tard?} je ferait bien de vous rappelez, chères ami(e)s que je suis un félidé, il me faut au moins 16 heures de sommeil. Et je n'ai pas trop eu le temps de feignasser cette nuit, avec le tintamarre des deux amoureux… bref, il me faut un bon lit étai-je en train de penser. La chambre de mon maitre étant parfaite pour faire un somme, je me glissa dans les draps propre (pour une fois) et m'endormis.
Le charme fut rompu lorsque j'entendis un bruit strident. Il me fallut un peu de temps pour me rendre compte que le soleil était couché depuis peu. Le salon était éclairé d'une lampe poser sur le buffet prés du canapé qui éclairait jusqu'au couloir où des ombres bouger au niveau du mur d'en face, il se passait quelques perturbations inhabituelle au niveau de la salle principal.
Le bruit qui m'avais réveiller se révéla être un verre qui venait de rencontrer le sol. Je pris peur en me demandant si il n'y avait pas des agresseurs dans l'appartement, des rivaux de notre famille quoi. Je bondis comme un diable dans le couloir, toute griffes dehors. Le salon n'était pas dans un sale état, l'hypothèse de la famille rivale tomba a l'eau. Ce n'était rien d'autre que cet abruti de maitre qui venait de lâchait un verre, son mâle en face de lui, d'un air impassible. Mais qu'est ce qu'il ont a nous la joué " les feux de l'amour", j'vous jure. Je me rapprocha pour mieux écouter leur conversation.
"-Mais… qu'est-ce que c'est que cette question?" demanda mon "pénible" maitre en gardant les yeux écarquiller.
-Hé bien, j'aimerais juste s'avoir si tu ne voudrais pas qu'on vivent ensemble?" lui répondit tout bonnement Yamamoto. Je me cacha derrière le canapé pour ne pas me faire remarquer.
"-Et tu voudrais que je dise quoi? que j'aimerais tu viennent vivre ici, on pourrait être un de ses couples qui se disent amoureux, certes on pourrait, mais…
-Je t'aime, Hayato." Le plus grand des deux venait de lui couper la parole et ,de ce que je pouvais voir, le souffle par la même occasion.
Un silence se posa tout doucement entre les deux humains. Hayato regardait Takeshi dans les yeux comme si ce dernier était un extra-terrestre. Je pense qu'il préférerait être confronté a un millier de "M.A.N.I"* plutôt qu'a son comparse en ce moment même.
"-Je t'aime, Hayato Gokudera. Je voudrais vivre toute le restant de ma vie avec toi." répéta t-il. L'argenté ne s'avait plus quoi faire, faut dire que même moi je n'y avais jamais trop penser a leur sentiments, je me disais juste que ce serait cool qu'il deviennent coloc' mais sur le coup. Enfin, je ne savait plus quoi faire pour ma part… rester là a les écouter jusqu'à ce que l'argenté nous fassent une crise cardiaque ou me barrer le plus loin possible pour éviter tout débris d'explosions de dynamite dans l'appartement.
"-C'est a toi de décider…" Termina "Mister sushis" avant de se protéger le visage avec ses bras en attendant lui aussi les coups venir.
Les coups en question ne venant pas, il redressa la tête pour voir dans quelle état était Hayato. Ses mèches grise était tombé sur les yeux, il serrait les poings. je le sentait mal…
"-Idiot." c'est tout ce qu'il avait a répondre dans ces moments-là. Je me sentit de suite rassuré, faut dire que je ne le connaissait que trop bien, il était vaincu. Takeshi aussi ,commencer a le connaitre, d'ailleurs il vint le prendre dans ses bras. L'autre accrocha ses poignets fins dans le dos du bretteur, les jointures blanchie , il serra le tee-shirt de son amant. Je put entendre le reniflement du nez de l'idiot jusque ici et me dit qu'il fallait mieux les laissait pour l'instant. Je sent que je vais encore passer une nuit de merde moi…
...
*M.A.N.I= "mystérieux animal non identifié" certifié par gokudera lorsqu'il a rencontré shitt-p.
Alors, Vous aimez?
Faut-il que je demande une petite attention de votre part pour me dire si vous appréciez?
Moi, non. Je ne vous le demanderez pas ainsi, voyons…*sbarf*
Prochaines "Boite-Chapitre": Nuts