Bonjour bonjour ! Et oui, me revoila ! Plus tot que prévu, je sais ! Voila la suite, vous l'attendiez, apres la révélation de Maria ! Je compte publier tout les 15 jours (je sais, ça va paraitre long) mais je n'ai pas beaucoup d'avance sur cet fic, et je compte prendre mon temps. Quand j'aurais terminé Aimer et Attendre, je publierais une fois par semaine ! Juré ! Treve de blabla, voila l'histoire ! Si vous voulez un bref résumé de Partir pour revenir, dites le moi !


Edward POV

- Un… Un petit frère ? Demandai-je.

- Oui.

- Vous… vous allez le mettre où ? Tu vas refaire ma chambre ?

- NON ! Hors de question ! Nous allons refaire la chambre d'ami. Nous irons acheter le papier peint tout les trois quand il arrivera. Ce serait bien si toi et Bella veniez à la maison pour son arrivée…

- Je vais lui en parler ce soir. Ca va lui faire un choc d'apprendre qu'elle va avoir un beau-frère.

- Ca va ?

- Il faut que je m'y fasse… Je suis tellement sur le cul que j'essaye encore de réaliser…

- Je ne pouvais pas te l'annoncer par téléphone. Charlie est anxieux de ta réaction.

- Tout va bien. Je… je dois te laisser. On va diner en ville ce soir.

- Passe une bonne soirée !

- Toi aussi ! Je l'aidais à rejoindre sa voiture avant de monter dans la mienne. Je rejoignis ma maison. Sans leur aide, nous n'aurions jamais pus l'acheter.

FLASHBACK.

- Edward, tu peux venir ce week-end ? demanda maman au téléphone.

- Ouais, mais ça m'embête de laisser Bella toute seule, elle se sent pas bien, je veux pas qu'il lui arrive quelque chose.

- Elle peut venir avec toi, je ne l'ai pas vue depuis longtemps.

- Ok. J'ai réservé le train. Vous pouvez venir nous chercher à Port Angeles ?

- Pas de blem'. A demain soir !

- Bisous maman !

Je partis dans la chambre, où Bella était allongé avec un énorme mal de tête. Elle avait été plus que compréhensive avec moi. Je devais passer le concours cette année, alors qu'elle avait terminé ses études. Elle avait trouvé un job d'un an dans une librairie. Elle avait envoyé un CV à Forks pour pouvoir tenir la bibliothèque du collège ou du lycée. Elle devait recevoir les réponses dans la semaine. Je dois passer le concours écrit en janvier. Si tout va bien, oral en février, et ensuite, formation jusqu'en juin sur : comment tenir une classe et tout ce qui va avec.

- Tiens, je lui tendis un verre d'eau et du paracétamol.

- Tu sais que je t'aime beaucoup beaucoup toi !

- Oh oui ! Je déposais un baiser sur son front, avant de m'allonger à coté d'elle. Ma mère me demande si on veut passer le week-end à Forks. J'ai dis oui, mais si tu veux pas j'annule.

- Non c'est bon ! Je ferrais nos bagages pendant que tu seras en cours, et je viendrais te chercher.

- Viens là, dis-je la décalant pour qu'elle tombe entre mes jambes, dos à moi. Je fis des mouvements sur sa tête, pour la détendre.

- Dites-moi, professeur de biologie, pourquoi j'ai mal à la tête ?

- La cause principale : le stress. Ca va mieux ? Demandai-je.

- Non, c'est comme un marteau qui frappe du métal. Je massais ses épaules, en appuyant fortement, mais pas trop non plus. Je fis ça de longues minutes.

- Et là ? L'interrogeai-je.

- Un peu, mais j'ai toujours mal.

- Il y a une autre solution pour te détendre, et là, ça va marcher !

- Pourquoi tu ne l'a pas dit plus tôt ? C'est quoi ?

- Les endorphines. Ca te détend. Tu peux en provoquer en faisant du sport.

- J'ai une tête à aller faire un jogging ? dit-elle, blanche comme une colombe.

- Tu peux en libérer autrement.

- Comment ?

- Il va falloir que je donne de ma personne, mais je me sacrifie volontiers. Je retirais son pull. Pas besoin de décrire ce qui se passa après.

Le lendemain, en cours, je n'étais pas concentré sur le prof parlant de… je ne sais même plus ! Bella me récupéra devant la Fac, et nous partîmes vers la gare. Une heure trente plus tard, nous retrouvions la ville déserte de Port Angeles. Ma mère me serra, comme toujours dans ses bras.

- Tu as encore maigri. Tu le nourris bien j'espère !

- Mais oui Maria, c'est lui qui ne mange pas. Il a le nez dans les bouquins. Je commence à devenir jalouse ! Je ne savais pas, à l'époque, que nous allions avoir un vrai conflit la dessus. Mais je vous raconterez ça plus tard. La, je vous parle de l'achat de notre maison !

Apres un bon repas où je me serais fait exploser le ventre, maman commença à parler argent.

- Tu passes tes concours quand ? Demanda-t-elle pendant que Charlie apportait le café.

- Ecrit en janvier, et oral en février.

- Et après ?

- Formation jusqu'en juin, et on va essayer de s'installer dans le coin.

- Tiens. Elle nous tendit à Bella et moi une enveloppe pleine d'argent. Je pus voir ces yeux chocolats s'agrandirent au maximum, comme les miens.

- Maman, c'est quoi cet argent ? Il y a combien la dedans ? Nous ne pouvons pas accepter cet argent, tu t'en rends compte ?

- 150 000 dollars. Ton père a remboursé toutes les pensions alimentaires qu'il me devait. D'après ces calculs, et j'ai revérifié : 300 000 dollars. Nous étions deux dans cette galère. Quand nous étions Masen. Monsen, et maintenant Cullen. Tu as souffert, et je veux que tu utilises cet argent pour faire votre bonheur. A tout les deux. Je me levais de ma chaise pour serrer ma mère dans mes bras. Bella suivit. Jusqu'à ce que Charlie prenne la parole.

- J'aimerais ajouter quelque chose. Nous le regardâmes tout les trois. Suite à de nombreuses et interminables discussions avec ta mère, j'ai convenu que j'allais vendre ma maison. L'agence pense pouvoir en tirer environ 220 000 dollars. Si ça arrive, je vous donnerais 110 000. Ce fut ma mère qui répondit la première.

- Charlie !

- C'est mon beau-fils. J'ai bien le droit de l'aider aussi, non ? Nous le serrâmes également dans nos bras, avant de les remercier un nombre incalculables de fois. Il faisait un geste financier énorme en notre faveur. Nous ne l'oublierons jamais.

FIN FLASHBACK.

Nous avons tout mis sur un compte. Charlie avait réussi à tirer 240 000 dollars, et nous ajouta 120 000. Esmée et Carlisle nous avaient donné 100 000 dollars. Economie personnel et tout… Nous avions trouvé notre maison. Dans un quartier pas trop éloigné du centre. Du voisinage assez sympa, mais nous n'avions pas fait connaissance outre mesure.

Je me garais à coté de sa voiture et rentrais. Bella était assis sur le canapé en train de lire.

- Alors, Maria va bien ? demanda-t-elle.

- Il faut que je te parle. Elle posa l'ouvrage sur la table basse.

- J'ai peur. Dis-moi. Elle se cala dans mes bras.

- Tu… vas avoir un beau-frère. Surprise !

- Elle est enceinte ? Ses yeux brillaient de joie.

- Non, ils vont adopter. Il a 12 ans, et il arrive dans 15 jours. Maman et Charlie veulent qu'on vienne l'accueillir.

- Pas de souci ! C'est une super nouvelle !

- Je réalise pas tellement.

- Ca va venir avec le temps.

- Oui. J'ai une surprise pour toi ! Elle frappa dans ses mains. Je partis dans la chambre pour aller chercher la robe que je lui avais achetée. Je m'étais servie de Rose, enfin surtout de son corps, pour regarder la taille. Elle ne se doutait d'absolument rien.

- Tiens. Elle déplia la robe bleue nuit.

- Elle est sublime ! Elle me sauta au coup ! En quel honneur ?

- Je ne dis rien. Mets là, et prends ce qu'il te faut pour une nuit.

- Une nuit ?

- Oui. Allez !

Elle partit dans notre chambre se préparer pendant que je retournais dans mon bureau pour continuer la correction de mes interros. Les notes étaient globalement bonnes. En même temps, le sujet était plutôt facile. Je terminais tout ça et passais dans la chambre récupérer mes vêtements. Je dus attendre que madame finisse de mettre son maquillage. J'avais choisi une chemise blanche avec un pantalon et une veste noire. Classique, mais classe. Il était presque 19 heures.

- Tu as fait ton sac chérie ?

- Oui, tout est prêt !

Je sortis de la salle de bain et attrapais son sac. Elle était sublime dans sa robe bleue. J'avais très bien choisi ! Elle avait mit des ballerines et avait laissé ses cheveux détachés.

- Bon, assez de mystère, on va où ? demanda-t-elle.

- Encore dix minutes et tu verras.

Je mis tout à l'arrière de ma nouvelle voiture, une Volvo, acheté d'occasion pour seulement 500 dollars. Une aubaine !

Bella régla la radio et je me garais en face du restaurant. Je vérifiais que l'écrin se trouvait toujours dans la poche de mon pantalon. Je lui tendis mon bras et nous entrâmes dans le restaurant. Il était de style classique, avec des tables recouvertes de nappes blanches, et plein de verres dont je ne connaissais pas tous l'utilisation.

- Bonjour, j'ai réservé au nom de Cullen.

- Suivez moi je vous prie. Nous prîmes le pas du maitre d'hôtel et il nous laissa devant une table, situé vers les murs. Je tirais la chaise de ma princesse. Elle rougit et je pris place face à elle.

- Lundi, nous aurons deux heures rien que toi et moi.

- Pourquoi ?

- J'emmène mes scientifiques faire un exposé à la bibliothèque du lycée. Et il me semble que c'est toi, la nouvelle bibliothécaire.

- Parfait !

Nous commandâmes les apéritifs et le menu en même temps. Elle me parla d'Angela. Elle était allée la voir hier, elle se remettait de l'accouchement de la petite Cindy. Et oui, Eric et Angela ont déjà un bébé. Bella était la marraine.

- Elle était toute belle dans son pyjama rose ! Elle se plongea dans ses pensées.

- Bella, si tu veux me faire comprendre que tu veux que nous ayons un enfant, tu peux me le dire clairement ! Elle rougit et elle voulu prendre la parole. Mais le serveur la coupa en apportant notre salade.

Ce fut à mon tour de lui donner des nouvelles de Rosalie. Emmett et elle vivaient encore à New-York. Rosalie, en fac de médecine, avait encore 4 ans d'études, alors qu'Emmett avait déjà pour job d'entrainer des petites mémés dans une maison de retraites. Le pauvre n'avait pas trouvé mieux.

Durant tout le repas, nous parlâmes de nos amis, et tout le reste. J'avais eu des nouvelles de Benjamin récemment. Je l'avais retrouvé à Seattle, en me baladant.

FLASHBACK.

Pour une fois qu'il fait beau dans cette ville, j'en profitais pour sortir. Bella était en cours, et je venais juste de terminer mes exam. Je me baladais dans le parc, en réfléchissant à ce que j'avais pus louper dans mes examens, quand je reconnus une voix.

- Monsen, c'est toi ? J'avais pris l'habitude de réagir à trois noms : Masen, Monsen, Cullen. Je me retournais et le reconnus.

- Amazones ? Demandai-je

- Putain, ça fait un baille ! Il me sauta dans les bras.

- Qu'est ce que tu fais ici ?

- Ben j'habite là. Et toi ?

- Pareil, avec ma copine !

- T'as une fille ? Toi, celui qui lui évitait comme la peste ?

- Ouais. Passe à l'appart, il faudrait qu'on parle !

FIN FLASHBACK.

Je lui avais raconté mon passé, mon identité, et il avait rencontré Bella. Il habitait toujours Seattle, mais faisait des virées par ici de temps à autre.

- Edward, pourquoi tu m'as invité ici ? Demanda-t-elle au dessert. Il y a bien une raison, non ?

- Oui.

- Quelle-est-t-elle ? Je respirais deux grandes goulées d'air avant de me lancer.

- Tu sais, ça fait bientôt 5 ans que nous sommes ensemble. Depuis nos 17 ans. Elle hocha la tête. Aujourd'hui, nous en avons 21. Et depuis ce temps là, je n'ai jamais été malheureux, pas une seule fois. Sauf quand nous avions 17 ans, avec nos disputes pour des choses futiles. Elle rigola. J'étais très heureux quand nous avons eu notre premier appart', quand nous avons eu notre maison, quand nos affaires se sont mélangées pour la première fois. Je me levais.

- Maintenant, il serait temps que notre amour soit officiel, devant un pasteur. Je mi un genou à terre. Elle mit une main sur sa bouche et essaya de refluer ses larmes Je te l'avais promis quand nous sommes parti à Londres. Et j'honore ma promesse. Isabella Mary Swan, je promets de t'aimer chaque seconde de notre vie. Acceptes-tu de devenir Madame Cullen ? Je sortis la bague et ouvris l'écrin

- Je t'ai déjà donné la réponse quand nous avions 17 ans. Mais je vais te la redire : Oui, Edward Thomas Cullen, je veux devenir ta femme. Pour l'éternité. J'attrapais sa main gauche et passais la bague. Elle était magnifique. Mais la personne la portant était encore plus belle. Je me relevais pour l'embrasser et sceller tout ce que j'avais dis.


J'espere que ce début est à la hauteur de vos espérances ! Je vous donne rendez-vous samedi 19 pour lire la suite ! Donnez moi votre avis ! Plein de bisous !