Lost Feelings Chapter 2: Chapitre 2 !, a harry potter fanfic

Hello les gens !

Voici la suite et fin de Lost Feelings. J'espère qu'elle vous plaira et sera à la hauteur de vos attentes.

Merci à toutes les personnes qui ont mis cette fic en favori ou en alerte et merci encore pour toutes vos reviews et d'avoir pris le temps de lire mon texte.

Merci aux anonymes diane, Chris52 (qui ne sait pas mettre son pseudo hein :p), aiko-chan, Cyann, adenoide et Ness (je suis si contente d'avoir embelli ta journée *_* j'espère que t'auras pas raté ton bus. Tu roxx poulette ! /love NESS /kiss NESS)

Sans plus tarder, la suite !

-Je suis Gabriel-Eugène Aristide Malfoy Potter, déclara le blond d'une voix forte, et voici Sidonie-Angèle Rosa Malfoy Potter, ma sœur jumelle.

Des exclamations choquées fusèrent de partout et tous les regards se portèrent immédiatement vers Draco Malfoy et Ethan Potter avec des lueurs interrogatrices.

Des murmures s'élevèrent rapidement à toutes les tables vite interrompues par une exclamation plus forte de Potter.

-Quoi ! C'est quoi ce bordel ? Pourquoi est-ce que mon nom est associé à celui de ce connard de Mangemort ?

Malfoy était sur le point de se lever pour lui régler son compte et l'autre blond semblait avoir une soudaine envie de le frapper aussi quand la brune les coupa dans leur élan en s'exclamant soudainement.

-Papa !

Potter ouvrit des yeux choqués puis outrés quand, à la surprise de tout le monde, la fille s'élança en courant vers un type de Poufsouffle avant de le serrer de toutes ses forces contre elle.

Harry n'en menait pas large. Cette fille qui portait son véritable nom et celui de Malfoy venait de lui sauter dessus sans prévenir, manquant de lui causer une crise cardiaque. Et voilà qu'elle continuait dans ses élucubrations.

-Papa je suis si contente de te voir ! Comme tu es beau !

Harry ne savait vraiment plus où se mettre et semblait sur le point de s'évanouir d'embarras à chaque instant.

-Euh…je…excuse-moi, tenta-t-il timidement en tapotant le dos de la jeune fille.

-Oh ! Pardon ! Désolée Papa, j'ai encore un peu de mal à maitriser ma force parfois, pouffa Sidonie-Angèle.

Elle lui fit un clin d'œil et Harry se sentit fondre d'une tendresse sans nom.

Il ne savait pas pourquoi, mais il se sentait des liens profonds avec cette jeune demoiselle inconnue qui portait son nom. Il lui adressa un sourire doux qu'elle lui rendit avant de le saisir par le bras et de le trainer à sa suite vers son frère.

Le garçon lui sourit de toutes ses dents provoquant des soupirs énamourés de la part de la gent féminine qui augmentèrent en les voyant tous trois réunis.

HD
Les élèves se demandaient qui était ce troisième, ils ne l'avaient jamais vu à Poudlard avant. Et pourtant, c'était Harry.

Mais il avait toujours su se rendre invisible parmi la foule et il avait réussi à passer inaperçu aux yeux de tout le monde, ou presque, en se cachant derrière ses cheveux pendant les minutes précédentes.

Il avait déjà évité le trajet en train comme Dumbledore lui avait proposé de rester à Poudlard pour l'été pour qu'il s'adapte parfaitement à sa nouvelle condition.

Harry avait accepté avec joie. Il n'était vraiment pas intégré parmi les autres élèves, mais le château l'enchantait toujours infiniment, et rester là où il se sentait le plus à l'abri de sa famille et du malheur l'avait rempli de bonheur.

Dumbledore l'avait prévenu que sa nouvelle apparence le ferait très certainement sortir de l'anonymat, et, s'il savait n'avoir noué que très peu de contacts avec les autres, il avait tout de même pensé que quelques personnes l'auraient reconnu.

Mais à cet instant, tout le monde tendait la tête vers lui pour le dévisager alors qu'il n'avait même pas fait d'apparition stupéfiante dans un nuage de fumée.

Il fallait dire que son corps fin, ses hanches étroites et son visage aussi sensuel qu'enfantin avaient attiré plus d'un regard.

Et la douce aura de puissance qui s'échappait de lui par vagues ondoyantes et invisibles, agissait comme un aimant sur les autres élèves.

Draco Malfoy n'y faisait pas exception. Mais lui, il les voyait tous ces regards envieux et pervers qui se posaient sur son âme sœur, et ça le mettait dans une rage indescriptible.

Il se leva brusquement et marcha à grands pas vers le trio qui se tenait au milieu de la Grande Salle.

-Ah ! s'exclama Gabriel-Eugène avec un sourire, je me demandais quand Père allait arriver.

-Père ? s'étonna Harry.

-Ben oui Papa, c'est Père.

-Euh, ça vous parait peut-être clair, mais moi je comprends rien du tout.

Malfoy arriva à ce moment là et Harry se tut aussitôt avant de rougir à une vitesse impressionnante.

-Oh ! T'es trop chou Papa avec tes joues toutes rouges, s'exclama Sidonie-Angèle, ça me rappelle quand Père arrête pas de te taquiner en te disant des choses cochonnes en douce aux réunions de famille.

Harry croisa le regard de Malfoy et rougit encore plus.

S'il avait bien compris ce que ces deux là disaient, Malfoy et lui étaient…une bouffée de chaleur s'empara de lui. Et visiblement ils avaient…Olala ! Harry allait finir par vraiment tourner de l'œil.

Et comme si ça ne suffisait pas, Malfoy s'avança vers lui et lui posa une main sur l'épaule, les sourcils froncés par l'inquiétude.

-Est-ce que ça va ?

-Je…oui ! Ça va très bien, souffla Harry d'une petite voix.

Les yeux de Malfoy s'assombrirent et Harry sentit ses jambes flageoler.

-Bon va falloir qu'on fasse quelque chose 'donie sinon Père va violer Papa sur place.

La jeune fille pouffa et fit un signe de tête à son frère pour lui indiquer la sortie. Il acquiesça et ils attrapèrent Harry et Draco par un bras avant de les tirer derrière eux.

Ils les conduisirent dans une salle vide et poussiéreuse et fermèrent la porte d'un sort.

Sidonie-Angèle fit disparaitre la saleté avant de s'installer avec grâce sur une table.

-Bon, écoutez moi tous les deux au lieu de vous dévorer des yeux, ordonna-t-elle fermement.

Harry et Draco se détournèrent, l'un le visage flamboyant, l'autre avec une légère rougeur sur les joues.

-Très bien, répondit Draco en levant le menton, vous êtes qui exactement ?

-Nous sommes vos enfants.

Harry ouvrit grand les yeux mais Draco resta imperturbable.

-Mais encore ?

-Et bien, nous venons du futur et nous sommes venus vous aider à battre Voldemort.

-Du…du futur ?

-Battre Voldemort ?

-Oui !

-De quelle année exactement ?

-Comment ?

Harry et Draco avaient posé leur question en même temps ce qui fit rire leurs…enfants.

-Nous venons de l'an 2013, répondit Gabriel-Eugène, et vous saurez plus tard comment on vous aidera.

-2013 ça fait…seize ans à peu près, calcula Harry. Mais vous avez quel âge ?

-Et ben seize ans comme vous.

-…Et tu dis que vous êtes n…nos enfants ? demanda Harry en rougissant.

-Oui.

-Mais on vous a f…fait à quel âge ?

Les jumeaux se regardèrent un instant avec un sourire gêné devant la question posée avec tant d'innocence par Harry. Puis Gabriel-Eugène répondit :

-A…hum…à seize ans Papa. On est nés à la fin de votre sixième année.

-Ss…sei…seize ans ? Si…sixième année ?

-Je crois que tu l'as choqué frérot.

-On dirait bien.

Dire que Harry était choqué était un euphémisme. Draco l'était tout autant mais il le cachait bien.

Enfin il fallait avouer qu'apprendre qu'on va être père avant la fin de l'année scolaire avait de quoi ébranler les plus solides.

Ils se dévisagèrent un instant avant de piquer un fard monumental.

Merlin ! Ils allaient être pères…ensemble !

Les jumeaux ricanèrent avant de se lever.

-Bon, on va vous laisser digérer tout ça, nous on va bavarder un peu avec Dumbledore. A plus !

Sur ce ils sortirent de la salle, laissant les deux garçons complètement abasourdis.

-Euh…tenta brillamment Harry.

Harry et Draco haussèrent les sourcils très haut avant de se tourner l'un vers l'autre.

Draco laissa s'échapper un ricanement nerveux qui fit pouffer Harry tout aussi nerveusement…et ils explosèrent de rire.

Au bout de quelques minutes de crampes abdominales et de la mâchoire, ils réussirent à se calmer.

Ils essuyèrent leurs larmes de rire en se tenant le ventre et retrouvèrent lentement leur respiration.

-Et ben ça fait du bien en tout cas, dit Harry.

-Ça c'est sûr, approuva Draco, ça faisait je ne sais pas combien d'années que je n'avais autant ri.

-Il faut croire que tu en avais besoin, lui fit remarquer le brun avec un joli sourire.

Draco se figea devant cette vision angélique. Le petit brun rougit sous son regard devenu intense et recula timidement pour s'appuyer contre un mur. Il sursauta en sentant la pierre froide contre son dos et resserra les bras autour de son corps comme une barrière entre le blond et lui.

Draco s'approcha d'un pas de prédateur et le Poufsouffle eut l'impression de se retrouver devant un puissant et magnifique loup. Il frissonna sous le regard presque animal et se mordit la lèvre encore une fois.

Draco grogna et se plaqua contre lui, lui plaquant les poignets de part et d'autre de sa tête. Harry couina et se tortilla, essayant de se dégager de la poigne de fer du Serpentard. Il réussit simplement à l'exciter d'avantage par ses petits frottements de chaton en détresse.

Draco poussa son bassin en avant, bloquant totalement l'autre sous son poids, le clouant du regard.

Harry arrivait tout juste à soutenir son regard tellement les sensations qui parcouraient son corps étaient intenses. Il laissa échapper un gémissement désespéré et Draco se jeta sur ses lèvres.

Le contact fut une explosion de saveurs et un déferlement d'émotions qui bouleversa leur cœur. C'était comme retrouver des sentiments perdus, enfouis au plus profond d'eux-mêmes. C'était comme s'ils s'étaient toujours aimés depuis la nuit des temps.

Ils en étaient sûrs maintenant, ils étaient faits l'un pour l'autre et rien ne pourrait les séparer.

Ils se détachèrent à regret pour mieux replonger l'un sur l'autre et presser leurs bouches avides, affamées du corps de l'autre. La passion prit le pas sur l'émotion et ils se retrouvèrent bientôt à se presser indécemment contre le mur, ondulant de concert vers la jouissance qui les prit presque par surprise et les laissa dans une paix intérieure qu'ils auraient aimé prolonger plus que tout.

Mais une énorme explosion retentit et les murs du château tremblèrent violemment.

Les deux garçons se décollèrent précipitamment du mur et coururent dans le couloir pour voir l'origine de ce bruit. Ils arrivèrent dans le grand Hall et s'arrêtèrent net.

Devant eux, au milieu des portes branlantes du château, se tenait Lord Voldemort et ses Mangemorts.

En face d'eux, Dumbledore et les professeurs de Poudlard se tenaient prêts au combat, baguette à la main.

-Amène-nous Potter, disait Voldemort au vieux sorcier, et nous repartirons sans faire le moindre mal à tous tes précieux petits élèves.

-Lequel ? demanda avec amusement Dumbledore.

Voldemort fronça les sourcils, un instant déstabilisé.

-De quoi me parles-tu vieil homme stupide ?

-J'aimerais que tu me précises quel Potter tu veux que je t'amène Tom, répondit calmement le Directeur.

-Il n'y en a qu'un que je veuille ! s'exclama le mage noir, et tu sais très bien lequel !

-C'est moi qu'il veut, s'écria une voix à la droite de Dumbledore.

Ethan Potter sortit de l'ombre et se plaça entre les deux groupes de sorciers.

-Quel abruti ! s'exclama à voix basse Draco, c'est vraiment bien un idiot de Gryffondor !

-Mais il va se faire tuer, s'horrifia Harry. Il faut faire quelque chose !

Et avant que Draco ait pu faire le moindre geste, le petit brun se précipitait déjà à la rescousse de l'autre débile de rouge et or.

Draco devint livide mais resta dans l'ombre pour essayer de trouver une solution afin d'aider au mieux son amour.

-Je suis aussi un Potter, disait justement celui-ci en faisant face au plus grand mage noir de tous les temps.

Draco ne put s'empêcher de trembler de peur et en même ressentit une immense fierté à voir son petit brun se tenir là avec tant de bravoure alors qu'il l'écoutait raconter son histoire à Lord Voldemort. Il apprit ainsi pourquoi leurs enfants porteraient le nom des Potter à côté du sien. Une profonde bouffée d'amour pour cette créature si parfaite qui avait jeté son dévolu sur lui, le prit soudain à la gorge ce qui le fit presque manquer ce qui se passait quelques mètres plus loin.

Voldemort venait de tendre sa baguette en direction des frères Potter et Draco vit avec horreur Ethan jeter son amour sur le sort vert qui se dirigeait dans sa direction.

Le sang de Draco ne fit qu'un tour et il se transforma aussitôt en un magnifique loup blanc et traversa les quelques mètres qui le séparaient de son amour en quelques bonds.

Il arriva juste à temps pour se placer entre Voldemort et son ange et reçut le sort en pleine poitrine. Il eut juste le temps d'entendre son petit brun hurler avant de sombrer dans l'inconscience.

Harry était dans une rage et un désespoir sans limites.

Les larmes coulaient à flots sur ses joues et un vent sorti du néant faisait claquer ses robes contre ses jambes. Des vagues de pouvoir tourbillonnaient autour de lui, soulevant ses cheveux, révélant la cicatrice en forme d'éclair qui lui barrait le front. Ses yeux luisaient de haine et sans même y penser, il tendit la main vers Voldemort.

Aussitôt, une boule de lumière verte et dorée jaillit de sa paume et se dirigea droit sur le cœur du Lord Noir.

Celui-ci hurla à la mort avant de s'effondrer dans un petit tas de cendres.

Voldemort n'était plus.

Les Mangemorts se rendirent aussitôt et se jetèrent aux pieds de Harry pour implorer sa clémence.

Harry leur lança un regard chargé de colère et s'apprêtait à lever une nouvelle fois le bras quand une petite main se posa sur son poignet.

-Arrête Papa, c'est fini, chuchota Sidonie-Angèle à l'oreille de son père.

Ces simples mots agirent immédiatement sur Harry dont la colère se calma peu à peu.

La magie reflua dans son corps mais on aperçut un instant avant que la dernière étincelle de pouvoir ne disparaisse dans sa paume, les silhouettes fantomatiques de Salazar Serpentard et Godric Gryffondor qui sourirent à Harry comme pour lui donner leur approbation avant de disparaître dans un nuage de fumée.

Baissant les yeux, Harry aperçut le corps sans vie de son amant et s'effondra en sanglots.

Sa fille vint tout de suite se serrer contre lui et il sentit la main de Gabriel-Eugène sur son épaule.

-Ne t'inquiètes pas Papa, le rassura le garçon, nous pouvons encore le sauver.

-M…mais comment ? s'exclama Harry.

-Grace à notre sang, chuchota Sidonie-Angèle. Je suis à moitié loup-garou et Gabriel-Eugène est à moitié vampire. Grace à ta magie veela, et en combinant nos sangs, nous pouvons ramener Père à la vie.

Harry acquiesça en silence et se laissa guider par ses enfants. Ils s'entaillèrent les paumes avec un couteau et se tinrent par les mains, formant un cercle autour du corps de Draco.

Harry commença instinctivement à prononcer l'incantation d'un sortilège ancien et une lumière blanche et pure les entoura d'un halo scintillant.

La bulle de lumière se concentra au sommet pour retomber en une pluie d'étoiles sur le corps de Draco qui se mit à briller à son tour.

C'était comme si le blond était maintenant composé de mille diamants d'une pureté étincelante.

L'instant disparut et Harry retint son souffle. Là, devant lui, la poitrine de Draco se soulevait doucement.

Bientôt le blond commença à bouger et il gémit doucement avant d'ouvrir difficilement les yeux.

Il eut à peine le temps de s'habituer à la lumière qu'il recevait un petit corps tremblotant en pleine poitrine, lui coupant le souffle. Il inspira doucement et son nez s'emplit de l'odeur délicate et fruitée de son amour.

-Mon ange, chuchota Draco, calme toi mon amour. Je suis là, je suis vivant.

-Oh Draco j'ai eu si peur, s'exclama le petit brun, j'ai cru que je t'avais perdu pour toujours.

-Chut, le calma le blond en lui caressant doucement la tête, je suis là, tout va bien.

Quelques heures plus tard, Harry et Draco étaient confortablement installés dans la chambre de préfet du blond à se câliner amoureusement sur le canapé. Leurs enfants étaient repartis dans le futur, leur mission accomplie, et ils avaient hâte de les revoir.

Mais pour cela, ils devaient d'abord les concevoir.

Et c'était plutôt bien parti pour se faire.

En effet, des petites caresses anodines, on était vite passé aux attouchements sulfureux débordant de luxe et de sensualité.

Draco n'en pouvait plus de sentir ce petit derrière si étroit s'agiter contre son sexe. Il l'attrapa à pleines mains et le pressa plus fort contre son érection.

Harry gémit lourdement dans sa bouche et rejeta sa tête en arrière. Le blond allait le rendre fou.

Draco souleva son amour et le porta jusqu'au lit où il l'étendit de tout son long avant de se saisir des cordelettes des rideaux de son baldaquin pour attacher son ange aux montants du lit.

Il finit de le déshabiller tout en déposant des baisers partout sur son corps. Pendant ce temps Harry gémissait en secouant la tête de droite à gauche, éperdu de plaisir. Sa petite bouche rouge luisait de la salive de leurs précédents baisers, faisant durcir un peu plus l'érection de Draco.

Pour punir son amant d'être si désirable, Draco se vengea en prenant brutalement le sexe de son amour profondément dans sa bouche. Il effectua des va et viens qui firent perdre totalement l'esprit à Harry qui n'en finissait plus de crier son nom entre deux gémissements affolants.

Draco inséra lentement un doigt, puis deux, puis trois dans l'intimité chaude et palpitante de son ange et frémit d'anticipation devant l'étroitesse de son antre.

Quand Harry n'en put plus et qu'il le supplia, au bord de la rupture, de le prendre, Draco cessa de le tourmenter et se présenta devant son entrée. Délicatement, il s'inséra dans l'anneau de chair, tentant de faire le moins souffrir possible son ange.

Une fois son sexe entré complètement en Harry, il se saisit de ses mains et commença de longs et puissants va et viens. La magie se mêla à eux, et des poussières d'étoile semblèrent tomber du plafond.

Les yeux dans les yeux, ils fusionnèrent leur corps, leur âme et leur cœur, et là dans ce lit de la chambre de préfet du Serpentard, une nuit de septembre 1996, fut créée la Vie.

FIN