Salut mes chéries...Je vous retrouve une dernière fois sur cette histoire. Ca fait tout drôle !

Avant tout, il n'y a aucun mot pour vous dire à quel point votre soutient, m'a fait plaisir au fil des chapitres ! Vous m'avez fait rire, émue ! J'écris pour mon plaisir, aussi pour le votre, et si les choses sont parfois maladroites, vous m'aidez à les rendre meilleures.

Je suis désolée, si parfois, j'ai pu choqué de la mauvaise façon (je dis ça pour un chap en )

Merci à vous de m'avoir lu, d'avoir suivi l'histoire, tout en étant sincère dans vos reviews, c'est tout ce que je demande. Vous êtes exceptionnelles mes chéries !

Comme depuis peu, j'ai répondu aux inscrites, par MP.

Ilonka, twilight0507, diana, fandefanfic et Petitesfrimousses : MERCI LES GIRLS ! Je vous aime !

Merci aussi aux ajouts, en tout genre !

Voilà donc le dernier chapitre. J'avoue ne pas être sûre d'avoir fait passer les sentiments que je voulais, et je suis insatisfaite, de voir que ce n'était pas pareil dans ma tête...comme toujours. Dîtes moi ce que vous en pensez.

*la robe de mariée est sur mon profil si ça vous interesse*

Bonne lecture. XOXO


Épilogue :

Quelques jours, après cette journée de fiançailles, si je puis dire, nous nous retrouvions dans un vol L.A-Miami. « Isabella Swan va se marier », cette phrase n'arrêtait pas de tourner en rond dans ma tête. Mariée ! Moi, l'anti-mariage, je vais me marier. Parfois, j'ai l'impression de vivre une de ces stupides fins de conte fée : Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfant.

Et même si, ça me rendait heureuse, de voir le large sourire de mon homme, je pouvais pas m'empêcher d'avoir peur de l'avenir. J'ai confiance en son amour, c'est dans la durée de notre relation, que j'ai un doute. Je pouvais pas m'empêcher de voir mes collègues, tous divorcés, ou seuls. Eux aussi avaient tous prétendus aimer leurs conjoints, seulement l'amour, une union est un travail de tous les jours. Et quand vous n'êtes pas toujours là, les questions émergent rapidement dans l'esprit de votre moitié.

Edward : Ma puce, tu vas bien ?

Je sortais rapidement dans mes pensées, quand je vis les lèvres de mon homme bougeaient.

Tu disais ?

Edward : On vient d'arriver, ça va ?

Ouais, je vais bien, je me suis perdue loin

Edward : Tu prends Olivia, je vais chercher nos bagages

Doucement, il déposa notre fille, endormie, dans mes bras. Nous étions les derniers a arrivés à la villa. Partant pour quelques semaines, j'avais du transmettre, mes dernières conclusions sur une enquête, et tapais quelques rapports, qui devenaient poussiéreux sur mon bureau. Je reverrais mes collègues, le 31août, pour fêter mon mariage. Mariage...J'arrive vraiment pas à m'y faire !

Je n'avais rien voulu d'extraordinaire. Seulement même le simple, demandait de l'organisation. Avec nos proches, nous avions simplement choisis, les plats, la musique, et le décor. Mais il restait les robes. Et même si, je trouve exagéré d'acheter une robe pour une seule occasion, je tenais tout de même, à être resplendissante devant Edward.

Donc notre grande famille, avait du partir plus tôt, pour téléphoner aux traiteurs, décorateurs, fleuristes, et autres boutiques utiles à la grande fête. J'étais plutôt fière de moi, en pensant que j'avais du organisé tout cela, seule, pour Alice et Jazz.

J'étais ravie de voir Sacha, venir nous chercher à l'aéroport. Comme tous ceux qui la croisaient, il fut raide dingue d'Olivia, qui venait d'ouvrir les yeux. Nous parcourions rapidement l'heure et demie, qui nous séparaient de mon havre de paix. J'étais particulièrement fatiguée, Olivia avait fait une crise de larme, dans l'avion. Et en plus d'essayer de la calmer, je devais supporter les critiques des autres passagers, à crois qu'ils ont tous été muet, bébé.

Arrivée chez nous. J'avais le droit dire que c'était chez nous, puisque j'avais appelé un notaire, pour mettre ma villa au nom de mon homme aussi, en cas de décès. Donc, arrivés chez nous, je fus surprise de voir tout le monde éparpillé un peu partout pour préparer notre noce. Nous rejoignions mes, nos appartements, où je fus émue de voir que Dora, avait installé tout le matériel nécessaire, pour ma fille.

Dora : Tu devrais te reposer avec ton homme, je vais m'occuper de cette princesse

T'es sûre que ça te dérange pas ?

Dora : Bien sûr que non

Elle n'a pas encore mangé, donc si tu pouvais le faire

Dora : Pas de problème

J'embrassais ma puce, son père fit la même chose, et nous la laissions partir avec Dora. Mon amie faisant partie de la famille, Olivia était à l'aise avec elle. Seuls, je sautais sur mon lit, avant de rire, quand Edward s'allongea contre moi, sans faire peser son poids. Malgré son sourire, j'aperçus son inquiétude.

Dis moi ce qui y a ? (caressant son visage)

Edward : Je vais bien

Joli coeur, je te connais, et je sais que t'es inquiet, je veux juste savoir pourquoi

Edward : Tout à l'heure, t'as dit être perdu dans tes pensées...est...est ce que tu doutes ?

Pour rien au monde, je douterais de faire ma vie avec toi, tu peux pas savoir comme je prends conscience qu'il a fallu d'une décision, une seule, quitter Phœnix pour Forks, une décision, est ça a écrit toute l'histoire de ma vie, je t'aime Edward, ne crois jamais que je puisse avoir peur de finir ma vie avec toi, j'ai rêvé de le faire, chaque nuit où tu étais loin de moi, j'ai attendu 10ans, en espérant chaque seconde te voir revenir vivant, et c'est arrivé, tu es venu, et tu as détruit toute cette peine que j'avais en moi, alors oui, Edward Masen-Cullen, je veux t'épouser, et je suis certaine de n'avoir aucun regret à le faire

Mon coeur se combla de joie, comme à chaque fois qu'il souriait.

Edward : Je t'aime

Avant que je n'ai pu lui répondre, il scella nos lèvres, dans un baiser langoureux. Si je n'étais pas aussi crevée, j'aurais pu lui demander qu'il me fasse l'amour, mais mes yeux se fermaient tout seuls, quand il mit fin à notre baiser, pour se poser à côté de moi. Dans ses bras, en sécurité, je m'endormais rapidement.

ooOOoo

31 août : Le grand jour

ooOOoo

Après des jours et des jours, a poursuivre l'image de la robe parfaite, a crié après le pâtissier, pour avoir le gâteau à temps, faire des courbettes au fleuriste, pour qu'il commande les plus belles orchidées blanches (mes fleurs préférées, signifiant ainsi à l'autre, qu'il est objet de nos désirs, mais aussi signe de séduction, de sensualité, et de perfection), et a passé des heures entre les mains de Rose, pour qu'elle s'exerce à choisir la bonne coiffure...Nous y voilà, enfin ! Aujourd'hui, j'officialise mon couple.

Dans mon lit, j'ai ce sourire idiot...aller savoir pourquoi ? Comme le veut la tradition, j'ai dormi seule. Mon terrain est carrément divisé en deux, pour que Edward et moi, nous nous n'apercevions même pas.

Rose : Bells, arrête de rêvasser, faut que tu te lèves, on a du boulot

Ma dernière soirée de « célibataire », je l'ai passé en compagnie d'un gogo-dancer, qui m'a laissé complètement froide. Jamais rien ne pourra faire scintiller mon regard, que le physique à croquer de mon soldat . Avec toutes les femmes de notre famille, je dis bien TOUTES, nous avons passé la soirée, à boire dans le carré VIP d'une boite, rien de bien original, mais très marrant. Voir nos mères se lâcher était déjà quelque chose de fascinant et d'exceptionnel !

Rose : Bells, lèves ton cul !

Est ce qu'il est réveillé ?

Rose : Tu ne sauras rien de la journée, de ton futur mari

Je soufflais, trouvant stupide, cette tradition de ne pas nous voir avant le mariage.

Où est Olivia ?

Rose : Ta mère lui donne son biberon...Bells !

Oui, ça va, je me lève

Il est 10heures, et le programme de ma journée commence avec une longue douche.

11 heures : Coiffure

12heures : Déjeuner

13heures : maquillage

14heures : manucure/pédicure

15heures-17heures : même programme pour le gang des mamans, et demoiselles d'honneur

18heures : Ahhhhhhhhh ! Il est l'heure !

Devant la grande glace, Esmée referme ma robe. J'ai opté pour un bustier sexy, soulignant à merveille ma poitrine ronde. Elle tombe jusqu'à mes pieds, dans une traîne pas très grande, restant souple. Loin des chignons sophistiqués, j'affichais une longue tresse grecque, ce que je trouvais très beau.

Alice : Il va en tomber par terre (vaporisant légèrement mon cou du « Flower » by Kenzo)

Renée : Tu es sublime ma puce (ajustant mon bustier)

Dora : Somptueuse

Esmée : Sexy

Alessandra : Étincelante

Sue : Éblouissante

Tant qu'on y est, Rose ?

Rose : Je suis sans voix

Je riais, en voyant pour la première fois, ma meilleure amie, les larmes aux yeux.

Alessandra : Je crois que tout est prêt

Soudain, le portable d'Esmée sonna.

Esmée : Le futur mari (décrochant)...Oui chéri...Oui...Ne t'inquiètes de rien...Non...encore quelques minutes

Elle raccrocha.

Il va bien ? (inquiète)

Esmée : Il pense que tu as changé d'avis

Renée : La tradition, n'oublions pas

Toutes autour de moi, ma mère fut la première à s'avancer.

Renée : Quelque chose de prêter

Caractérisant la chance et le bonheur du couple.

Elle me tendit une barrette en argent, où un papillon, dont les ailes scintillaient, que je reconnus comme étant celle qu'elle portait le jour de son mariage avec Phil. Rose la prit, et l'inséra dans ma coiffure. Ma mère m'embrassa alors que je la remercier. Ce fut ensuite autour d'Esmée.

Esmée : Pour moi, ce sera quelque chose de vieux, c'est un bracelet, qui appartenait à la grand mère d'Edward, elle l'avait transmit à sa mère, pour qu'elle puisse la donner à l'élue du coeur de son fils...alors le voilà

Symbolisant le lien familial de la mariée, et sa vie jusqu'au mariage. Certes ça n'ai pas un bijou de ma famille, mais ça compte quand même.

Dans un coffret, qu'elle ouvra, je fus émerveillée, par le bracelet qui portait de toutes petites émeraudes, un peu comme ma bague.

Esmée, il est magnifique (subjugué par la beauté du bijou)

Esmée : Comme celle qui le porte

Je levais mon bras gauche, pour que ma belle-mère me l'attache. Alice, vint ensuite.

Alice : Quelque chose de bleu

Caractérisant fidélité, et pureté du couple. On fera pas attention, à la dernière condition.

Nous éclations de rire, en voyant un porte-jarretelle. Esmée et Rose soulevèrent ma robe, pour que Alice puisse me l'enfiler.

Rose : Donc, moi ce sera quelque chose de neuf

Référence au succès et la réussite à venir.

Ma meilleure amie, me tendit une paire de ballerines blanches.

Rose : La fête sera longue, je te vois pas porter des talons, donc j'ai acheté ça

Elle se baissa, et je tendais les pieds, pour qu'elle me les chausse.

Dora : Mesdames, c'est le moment

Chacune m'embrassèrent la joue, avant que Dora m'aide à descendre, en relevant la petite traîne. Dans la cuisine, j'attendais seule, que mon père arrive. Je crois que c'est à ce moment là, qu'on réalise que plus rien ne compte. Oublier les doutes, vous êtes certaine de ce que vous faites, avant même d'avoir dit « oui ».

Mon père arriva, dans son uniforme noir, de chef de police hautement gradé. Un large sourire se dessina sur ses lèvres. Pendant quelques minutes, il ne dit rien, visiblement ému.

Si tu te mets à pleurer, je vais pouvoir me retenir de faire la même chose

Charlie : T'es sublime ma puce

Tu es très beau aussi

Charlie : Avant qu'on les rejoigne, il faut que je sois certain que tu es heureuse

Je pourrais pas te décrire, à quel point je suis comblée papa, j'ai tout ce que je souhaite

Charlie : Je suis alors le plus heureux des pères

Il me tendit son bras replié, et je passais mon le mien dessous.

Charlie : T'es prête ?

Plus que jamais

Sur le long tapis rouge qui menait à l'autel, je vis mes demoiselles d'honneur Rose et Alice faire leur entrée, après que Jade est lancé des pétales de roses blanches sur l'allée.

Cette fois, c'était à mon tour. Mon coeur s'affola en entrant en scène.

Les yeux rivés droits devant, j'eus le souffle coupé, devant la beauté de mon amour. Son physique d'adonis, valorisé par son uniforme, il était époustouflant ! Perdu dans la connexion qu'avait crée nos regard, j'avançais sans en prendre conscience. Je souriais, quand Edward mima un « je t'aime». Devant mon futur mari, nous nous arrêtions.

Lucas qui était notre marieur, entra en jeu.

Lucas : Qui donne cette jeune femme à cet homme ?

Charlie : C'est moi

Je me détachais de mon père, après qu'il ait déposé un baiser, sur ma joue. Je liais avec une forte émotion, mes mains tremblantes, à celles d'Edward.

Lucas : Mes chers enfants, nous

T'es sérieux là ? (l'interrompant) On est pas à une messe

Lucas : Chut !...Mes chers enfants, nous sommes réunis ici, pour unir deux êtres amoureux

Encore heureux

Tout l'assemblée ria, à ma remarque.

Vas y continue (devant les yeux fusillant de Lucas)

Lucas : Les mariés ont souhaités exposer leurs vœux, Isabella

Merci le waterproof !...Aujourd'hui, nous sommes censés célébrer 4ans d'amour, j'en célèbre 15, 15ans où j'ai lié ma vie à la tienne, nous nous sommes trouvés, puis perdus, et pour mon plus grand bonheur, on s'est retrouvés...Méfiante quand à l'homme, je n'ai rien voulu accepter du vendeur de rêves que tu es

Je levais les yeux vers les cieux, sentant les larmes faire leur apparition, en repensant à nos débuts.

Il n'a fallu pourtant que quelques jours, avant de m'accrocher à ce que tu me donnais, tu m'as vendu une vie faite d'étoiles, et de passion, tu m'as rendu dépendante à tes sourires, à ton parfum, tu m'as vendu de l'espoir, des promesses, que tu as ensuite réalisé...Tu as façonné ma vie, de sorte à ce qu'elle soit la plus douce possible...Après tout ça, comment oses tu me demander si j'ai des doutes sur notre vie, quand tu fais de moi, la princesse d'un conte

Je me tournais, et me penchais pour prendre l'anneau en or blanc, posé sur le coussin que tenait Jade.

Par cet anneau, Edward Anthony Masen-Cullen, je lie ma vie à la tienne, te promettant d'accomplir tes envies, effacer tes craintes, t'accompagner dans la joie, te soutenir dans la peine, et de porter fièrement ton nom

Doucement, je glissais l'alliance sur son annulaire.

Lucas : Pffiou, voilà que je pleure comme une madeleine (séchant ses larmes)

Regardant mes invités, je souriais en les voyant tous avec un mouchoir.

Lucas : Major, je t'en prie

Edward : J'ai l'impression que je pourrais pas faire mieux

Lucas : Tant mieux, parce que je viens de perdre tout honneur, avec ce que ta femme m'a foutu dans les yeux

Nous éclations de rire, devant l'air dramatique du soldat.

Edward : En revenant d'Irak, j'ai pensé que mon combat, n'était rien quand à celui que je devais faire, pour réussir une vie, loin de ce chaos...j'ai rêvé pouvoir rencontrer une femme, qui saura me délivrer de mes cauchemars, et tu l'as fait, j'ai rêvé pouvoir m'oublier, je le fais toujours dans tes yeux...Tu dis de moi, être ton marchand de rêves, tu fais pour moi bien plus, de l'amour passionnel que tu me donnes chaque jour, tu fais de moi, un homme comblé...Tu comptes le nombre de tes absences, je compte le nombre de sourires qui porte ton nom, je compte le nombre de fois où on s'unit, je compte les heures où tu es dans mes bras, je compte le nombre de battements que tu créais en moi, et je compte le nombre de photos qui raconte notre amour, notre complicité, notre vie...Et c'est beaucoup plus que tu ne le penses (les larmes aux yeux)

J'ose une main vers ses joues, pour les effacer.

Quand à moi : Merci le waterproof ! Merci le waterproof !

Il se pencha, et prit la seconde alliance, faite aussi en or blanc, où la date de nos retrouvailles y est inscrites, comme sur la sienne.

Edward : Par cet anneau, Isabella Marie Swan, je lie publiquement ma vie, à la tienne, je te jure un amour éternel, partageant ton bonheur, te rendre forte dans la peine, et te rendre fière d'être mienne

Il vissa l'alliance, sur ma main gauche.

Lucas : C'est ainsi que je vous déclare mari et femme, major, tu peux embrasser la mariée

C'est sans attendre, que mon amour, se pencha, et m'offrit un délicieux baiser. Gêné par notre différence de taille, il me porta, pour que j'approfondisse cette exquise caresse.

Edward : Je t'aime Bella Masen

Je t'aime

Un dernier baiser, et il me fit descendre. Liés par la main, nous traversions l'allée, au milieu des invités qui sifflaient.

Quand la passion est aussi forte que ce qui m'unit à Edward, il n'y aucune raison de douter quand à l'avenir. Y a 4ans, j'ai prit la décision de laisser mon coeur être le bien de mon premier amour, je ne regrette aucunement cette décision. Et si le mariage est une institution inutile, elle a au moins, le mérite d'avoir des principes, que je me plais à respecter, que ce soit aujourd'hui, ou dans 10ans. Le monde saura ainsi que même le temps passé, ne m'aura pas séparé de mon amour, mon tout premier, et mon dernier.

Est ce que j'ai le droit de savoir où on va, pour notre lune de miel ?

Edward : Toujours pas, je te promet juste qu'elle sera fantastique

Je n'en doute pas

Le monde ne m'a jamais bercé d'illusion, grâce à ce que je fais, je sais ce qu'il en ait. Et si longtemps j'ai cru, que je n'aurais jamais droit à ma part de bonheur, je sais aujourd'hui, que je n'ai pas souffert pour rien. Cette fois, c'est Cendrillon, et autres princesses de pacotilles, qui jalousent ma destinée.

Je suis Isabella Masen, femme d'Edward Masen, l'homme qui a inventé mon bonheur, et je viens de vous conter l'histoire de ma vie.

XOXO