Bonjour à tous^.^Voici enfin le 3ème chapitre! Je voulais remercier tout ceux qui m'on reviewer(même si ça se conjugue pasXD), mit en alerte comme histoire ou comme auteure, merci ça fait toujours plaisir. Bon pour ce chapitre je me suis vraiment laissé allé un peu plus sur les choses, j'espère que personne ne sera choqué et que j'ai fait un bon utilisation de tout cela. Si vous avez quoi que ce soit à me dire, commenter ou suggérer...juste à reviewer, je répond toujours! Sinon j'espère que ça ira pour les fautes, je m'en suis pas encore remis à une Beta alors c'est cela qui est ça...Donc Bonne lecture à tous^.^
Très court, je sais, je m'en excuse :( GOMEN
*Petite modification: Pour chouchou (qui je crois être en review anonyme, je suis pas encore habitué désoléXD) Merci beaucoup pour ton commentaire et Je ne peux rien promettre, mais je vais essayer de mettre le prochain chapitre pour le 2 mai, mais avec mes autres fics qui me trotte dans la tête et «sex pistols» et «Koisuru Boukun» qui sortira à la fin du mois, je ne veux surtout pas rater la sortie^.^
Et pour narutoandsasuke, merci pour ton soutien et je peux très certainement répondre à tes questions...premièrement la fille n'est pas spécialement quelqu'un de l'univers du manga, mais si j'avais à lui donner un nom, se serait probablement Karin, en fait tu me donnes justement des idées avec ça^.^ Et pour les nombres de chapitres, je ne sais pas effectivement je l'écris beaucoup au gré de l'inspiration de mes feelings, mais j'essaie de me forcer quand même à écrire assez souvent pour ne pas faire trop attendre, parce que je dois avouer que aucuns chapitre n'a été écris d'avance...GOMEN^.^ J,espère que tu apprécieras de suivre cette fic et A+ ;)
Il coura dans sa chambre puis revint avec une boîte en plastique.
-Je l'ai acheté quand j'ai eu mon temps mort avec Ita-san, mais je l'ai pas utilisé, il est encore dans l'emballage scellé. Je te le donne pour ton entrainement… attends-moi 30 secondes et je vais te montrer quelques trucs…
Il alla à la cuisine et revint avec une paire de ciseaux afin de défaire l'emballage. Il s'assoya en face de moi, puis Il déballa le tout. Il ne s'y trouvait qu'une sorte de cône sur patte. Peut-être en silicone, je crois. Je crois que mon expression devait avoir l'air figé, car Kiba commença sur le champ.
-Bon, sais-tu ce que c'est?
-Heuuu…non
-C'est un «plug», une merveille de joujou, celui-ci n'est pas très gros, mais ça sera parfait pour commencer.
-Un plu…
-Attends je vais t'expliquer la magie!...Tu vas adorer, c'est facile d'utilisation et ne demande aucune pratique régulière…
-Bon Kiba arrêtes, c'est quoi à la fin!
-Bon ok! Très simple, tu prends un peu de lubrifiant, tu sais c'est quoi au moins?...
-Ok je suis pas si idiot que ça quand même!
-Bon tu enduis la partie connique du «plug» et tu le glisse ici-bas…ça devrait rentrer tout seul avec le lubrifiant…
Kiba avait l'air d'un spécialiste, un habitué, trop fier de tout montrer. Moi j'étais plutôt pivoine en regardant ses fesses qu'il pointait en voulant dire «c'est la seule et meilleure place». Il m'expliqua tout de même toutes les précautions à prendre et autres conseils comme en bon ami qu'il est. Puis vint le plus important et sur lequel il appuya fortement.
-Tu le mets, et tu le portes.
-…
-Ce qui veut dire que tu ne l'enlèves pas avant que je te le dise, c'est ce qui est merveilleux de ce petit jouet, c'est que tu peux le porter des heures…
-MAIS…ET…
-Ne t'en fais pas, Tu fais ce que tu as à faire comme si de rien n'était. Tu vas à l'école, tu manges et pendant ce temps-là, il t'habitue et t'assouplie…c'est bien le but non?
-Oui mais,…
-Met le demain avant de partir pour le lycée…
Je ne pus répliquai et il continua à m'étaler le jouet. Je finis par appeler le resto du coin, car avec l'heure, il était bien trop tard pour commencer à cuisiner. Étrange de penser à manger avec ce truc dans les mains non? Mais mon ventre cris toujours famine, je dois bien le nourrir. Le souper se passa tranquillement devant la télé entre les diverses interventions de Kiba et ses allusions douteuses. Alors que je me brossais les dents, il vint à la porte.
-Au fait Naruto je t'ai pris un rendez-vous pour qu'on vérifie ton piercing, il ne faudrait pas que ça s'aggrave…promet-moi que tu y iras?
-Oui du moment que ce n'est pas avec Sasuke…
-Heu…et bien en fait, c'était le seul de libre alors…
-Mais t'es vraiment toqué ou tu le fais exprès, j'espère que c'est une blague!
-Non mais prend-le du côté positif, ça te feras une occasion de lui parler sincèrement…
-Arrête Kiba comment un Uchiha pourrait accepter un gars comme moi, alors que j'ai de la misère à croire à mon homosexualité naissante!
-Alors fait-le au moins pour moi, je n'ai pas envie que ça empire, d'accord?
Je dois avouer que j'étais en pleine réflexion et que je ne lui ai finalement pas répondu, mais il du le prendre pour un oui, car il ne me le reprocha pas. Il prit un malin plaisir à venir déposer la boîte de plastique en évidence sur ma table de chevet comme si par son insistance, il s'assurait que je respecte ce qu'il disait. Ce soir-là je me couchai relativement de bonne heure, j'avais assez à réfléchir de toute façon. Comment un mec avec un comportement aussi hautain, méprisable et trompeur pourrait avoir des sentiments, et en plus pour moi! Ça serait bien le comble! Pas que je n'ai pas d'estime de moi, mais avouons que si c'était le cas, il avait une maudite belle façon de le montrer! Je crois que je pourrais admettre qu'il soit gay, après tout ce n'est pas normal d'être si bon à sa prémière expérience non? Et c'est louche ses trucs avec Itachi-san…Ça expliquerait aussi le comportement de la jeune fille avec qui il était. Pourtant son désir, sa férocité et sa tendresse semblaient vrais. Est-ce que Sasuke croît en l'amour, le vrai? Peut-il avoir des sentiments? Est-ce que le rang social à une importance? Oui bien sûr! Quelle idée! Aucun n'est digne du corps d'un Uchiha et encore moins moi, Naruto Uzumaki. Pourquoi je me tracasse autant pour lui…
Je ne résolu pas la question cette nuit-là.
Le matin fut bien trop vite arrivé et je tardai à me lever. Une tignasse brune se montra dans ma chambre, me secouant pour m'activer. J'allais supposément être en retard. Malgré toute cette agitation, Il ne manqua de me rappeler le petit bijou qui était toujours sur la petite table. Si la curiosité et un possible intérêt avait là la veille, c'était maintenant la fatigue qui me gagnait. Une chance que j'avais décidé de me coucher tôt!
-Allez Naruto, 5 minutes dans la salle de bain et on y va…
-Ça peut pas attendre à demain…?
-Non allez!
Kiba n'était peut-être pas un génie, mais il savait élaborer ses magouilles et était du genre très têtu. Sauf qu'à ce moment-là je ne vis pas le fond de sa pensé. J'y mis le plus de volonté que j'avais à cette heure du matin. Ce fut étonnament rapide, bien que la final était éprouvante pour un «débutant». Je me surpris à penser que je faisais cela pour Sasuke. C'est d'ailleurs ce qui fit passer la base sans m'en rendre compte. Je du prendre plusieurs minutes avant de trouver la postion la plus comfortable ou du moins la moins encombrante. Lorsque je sorti, Je vis Kiba qui avait clairement envie de rire, mais se retint sachant pertinement qu'il recevrait un bon coup sur la tête. Il me tira par le bras jusqu'à la porte d'entrer et me frappa les fesses pour «me faire avancer». Il est clair que si ma force ne m'avait pas lâcher en cet instant, il serait à terre. J'eus du mal à me retenir, mais je senti clairement que ça frémissait déjà. J'imagine que c'est parce que je viens juste de le mettre et que ce n'est disons pas une habitude…
-Tu es prêt?
Tout ce qu'il eut comme réponse fut un long regard noir. Ne me dites pas qu'il ne savait pas ce qu'il faisait. La première étape fut de descendre la marches de l'appartement. Ça n'a l'air de rien comme ça, mais laisser moi vous dire que lorsqu'on descend un escalier, et bien on plis les jambes! Et du fait-même tout ne reste pas en place. Après avoir réeussi à descendre près de 20 marches, respirant fortement, je me frappai mentalement de ne pas en avoir sauter la moitié! La position assise n'était pas des plus confortable, appuyant fortement plus ou moins profondément, mais le trajet était court. Kiba m'a bien montré nombreuses personnes le portant, me convaincant qu'il ne disait pas n'importe quoi, mais ça ne devait certainement pas être leur première fois parce que franchement jamais je ne pourrai afficher une tête aussi sereine qu'ils leur paraissait. J'ai bien beau avoir un orgueil et un self-contrôle énorme, il ne faut pas pousser la chose trop loin! Et c'est le cas de le dire…
Le cours ne furent que plus torturable et je passai mes pauses aux toilettes, à tenter de me rafraîchir, parce que imaginez-vous donc que ça m'a tout pris pour ne pas gigoter sur ma chaise, mais que rester sans bouger pendant près de trois heures, ça vous engourdit et là c'est pire! Je ne sais pas ce que Kiba a pu raconter comme conneries, mais la moindre de mes réactions ou petits sons devaient être justifier. On aurait dit qu'ils s'étaient tous suspicieusement mis à m'observer. Je dois avouer que vers le début du midi j'y fut assez habituer pour contrôler tant bien que mal les sensations et mes réactions. Après trois heures, il était bien temps que je trouve une position un peu plus convenable non? Mais tout de même, je le retiens ce Kiba…Il s'est bien moqué de moi, alors je crois que ça suffira pour aujourd'hui. Direction l'appart pour un peu de repos, si ça continue je vais finir par être raqué du fessier.
J'étais bien parti pour m'éclipser, mais qui ne fut pas la personne qui me trouva au coin du couloir…Kiba.
-Hey mec, où tu vas?
-À l'appart pourquoi?
-Me dis pas que…
-Kiba c'est déjà exceptionnel que j'ai accepté tes idées tordus alors n'ambitionne pas non plus!
-Non, mais ça avait l'air de commencer à bien aller non?
-Oui t'as raison…je dois avouer que…que c'est…que c'est mieux que ce que je croyais, mais là je veux juste me relâcher un peu…
-Te relâcher…hein? Hummm…Hey n'oublie pas que t'as un rendez-vous chez le perceur, avec Sasuke…
-Heu je crois pas que…
-Et t'as intérêt à y aller!
-Je vais y réfléchir, au pire il y a sûrement un autre salon en ville ou je pourrais aller juste pour me renseigner.
-Naru…
-Oui je sais.
Sur ce je partis. Je savais que si je restais, il allait finir par me convaincre et je n'avais pas envie de me replonger dans tout cela aussitôt. Même si certains pourraient penser le contraire, je ne suis tout de même pas idiot au point de me laisser infecter, Sasuke disait d'ailleurs que ce piercing allait amélioré mon corps non? Il ne faut donc pas tout gâcher cela, c'est pourquoi je me rendis sur l'avenue principale où tous les meilleurs commerces avaient leur place. Je commençai par le bas de la rue opposé à la vitrine des Uchiha. Je la parcourai en long et en large sans trouver ce que j'étais venu pour, et finis par m'arrêter dans un petit café. C'est en m'assisant avec un latte et un dessert digne des patisseries de Paris que la réalité me frappa. Je n'étais finalement pas passé par l'appartement et donc…ça se ressentait encore très bien ici-bas. En ressortant, je m'autorisai à faire le pan de rue étant le plus éloigné des deux frères, mais tout ce que je réeussi à faire, ce fut de m'essoufler. C'est à croire qu'il y avait seulement le clan Uchiha qui était masochiste, parce que je ne vis aucun autre salon, que ce soit pour se faire tatouer ou percer, rien, que dalle. C'est en marchant à reculons que j'abandonnai et me rapprocha tranquillement de la boutique.
Le dernier cours emmerdant outrageusement Kiba, il décida de le manquer autant que son ami. Il se rendit donc à leur habitation, mais la découvrit totalement vide. Cela fesait seulement environ vingt minutes que Naruto était partis, il se mit donc au volant de sa voiture, direction Ita-san. Il pourra ainsi aussi vérifier si Naruto y était vraiment aller. Il traversa donc la rue et reconnu rapidement une chevelure dorée marchant d'un pas calculé et quelque peu coincé. Il n'avait donc pas pris le temps de se «relâcher». Il allait donc pouvoir encore s'amuser avec ce bijou de modernité. Et ce fut , dans le bureau d'itachi, avec un sourire espiègle qu'il sortit un petit dispositif lorsque celui-ci lui confirma que le beau blond n'était toujours pas passé.
Je marchais toujours en direction de la boutique, me convaincant de plus en plus qu'il n'y avait rien là et qu'au pire Sasuke me devait toujours sa part de l'«entente». C'est alors que je sentis un léger engourdissement, partant des reins à l'échine. Je fis un rapide alte, pensant avoir fait un pas de travers. Non, il avait littéralement de profondes décharges électriques qui me parcouraient le corps. Puis je réalisai enfin ce que je ressentais, ça vibrait. À l'intérieur de moi, tout devenait mou pour ensuite se contracter. J'essayai de passer outre, mettant tout cela sur un effet seondaire ou qu'il était normal d'un tel effet après une longue durée. Je commençai tout de même à sentir ma température corporelle augmenter et mon contrôle m'échappais tranquillement. Je defis la cravate du lycée, puis les premiers butons de l'uniforme et vint ma george qui manquait douloureusement, peu à peu, d'air, me faisant haleter. Le tout était retenu et presque silencieux, mais je ne pu m'empêcher de m'accôter à un mur, alors qu'un nouveau rythme s'imposait. En effet, j'étais maintenant pris de spasme à intervalle régulier et force constante. Comme j'atteignis le coin de rue adjacent au salon des frères, je m'écroulai faiblement sur les genoux. Mes jambes m'avaient vite lachées sous l'assault de vibrations plus fortes que jamais. Mais le pire c'est que je ne pouvais plus les prévoir, les calculant en avançant. Elles se pointaient entre toutes les une, deux ou trois secondes ne me laissant aucune chance. Je me redressai tant bien que mal, laissant échapper quelques «ahhh» presque douloureux, tellement la force des répercussions était grande et me raccrocha, bien malgré moi, à la seule source de confiance qui se trouvait proche, soit le «salon Uchiha». J'empoigna lourdement la poignée et cru ne jamais réeussir à l'ouvrir tellement elle semblait lourde. Dans une certaine chance, la réceptionniste qui m'accueillait habituellement, n'était pas au comptoir. Ça me fit mal de l'avouer, mais je comptais maintenant totalement sur l'aide du beau brun. Je mettais toute mes forces dans l'espoir que j'arriverais à trouver Sasuke dans son bureau et qu'il voudrait bien m'aider. Je me trainai donc longuement dans le couloir en évitant toute personne ayant une chance de me reconnaître. Je parvins finalement à l'entrebaillement de la porte et m'y raccrocha du mieux que je pus. Soupirant fortement, je jettai un regard embrumé dans le bureau et finis par lâcher d'une voix suppliante et haletante…
-Sas…Sas'ke…Tasukete…te…te kudasai…
Juste un petit ajout, si jamais quelqu'un ne sait pas la signification de cette dernière phrase, en gros c'est: Sasuke, aide-moi s'il te plait. Donc on se revoit au prochain chapitre^.^