Coucou c'est moi ^_^
Comme j'ai fait dans le sombre jusqu'ici pour mes updates, j'ai décidé d'alterner un peu et pour fêter la sortie de HP7, je vous offre en plus d'un nouveau chapitre du Respect dû à un Black version HPSS, le début de cette fic limite PWP qui, comme souvent chez moi vient d'un jeu de mots : ici c'est à partir de la mode de porter des dessous dessus, vous connaissez mon esprit pervers, il ne m'en faut pas plus :b
Hein que je suis gentille de poster deux fois, hein ? Non, je ne cherche pas les compliments c'est pas vrai ! lol N'empêche que ça ne m'arrive pas souvent de poster autant donc j'espère que cela vous fera plaisir.
Je sais que j'ai des fics en cours, mais je m'y remets, promis, cf le Respect, et je n'oublie pas les autres, mais à ma décharge, c'était censé être un OS ce truc entre Harry et Ron, juste pour le fun et le lemon, mais ils n'ont rien voulu entendre et donc ce sera une fic, mais une ficlet je pense…
Alors, je regrette mais je ne suis pas JKR, je ne me serais jamais permis d'écrire le Tome 7 ainsi sinon, c'est pourquoi bien que je me place après guerre, je ne tiens pas compte de ce que je n'aime pas dans le tome 6 et du tome 7 dans son intégralité et le premier qui ose me demander pourquoi, je le mords ! lol Je sais, c'est un peu contradictoire vu que je poste pour la sortie au ciné de la première partie du tome 7 mais je suis imprévisible c'est ce qui fait mon charme.
D'autre part, j'écris toujours du yaoi, rated M donc homophobes et prudes, suivez la flèche verte jusqu'à la sortie, pour les autres, j'arrête mon laïus et je vous souhaite juste bonne lecture !
Dessus dessous
Chapitre 1 : In bierraubero veritas
An 1 PV (post Voldemort) dite aussi deuxième septième année pour le Sauveur et ses condisciples. Salle commune des Gryffondors.
- Tu sais, au départ, je trouvais ça pas cool de nous obliger à refaire une 7ème année pour qu'on passe nos ASPICs dans les règles, mais finalement, c'est pas mal de se poser dans notre bon vieux Poudlard avec les potes, j'apprécie de pas avoir tout de suite à me comporter en adulte. J'ai encore le droit de faire des conneries...
- Attends, t'es pas en train de me dire que Snape a eu raison, là ? Allez, avoue Ron, t'as bu combien de bièraubeurre ?
- 4. Mais je ne suis pas bourré... Enfin pas à ce point. Snape est toujours un bâtard graisseux, mais retrouver la routine scolaire a fait du bien à tout le monde, tu ne peux pas le nier.
- Non, t'as raison. En plus, Poudlard est un des rares lieux à avoir été épargné... Et puis, on a presque pas eu de morts dans nos rangs donc ça va c'est pas trop sinistre.
- Dis donc, t'as l'alcool triste mon Sauveur adoré...
- M'appelle pas comme ça !
- Allez, Harry, raconte à ton vieux pote ce qui te turlupine.
- Toi d'abord. Je te fais remarquer que c'est toi qui m'as proposé cette soirée beuverie, alors à toi l'honneur.
- Non, mais j'ai rien de particulier, c'est que je m'étais aussi dit que c'était une année de plus à passer avec Hermy avant qu'elle entre en fac et...
- Et que vous baiseriez comme des lapins. Pervers !
- Attends, tu crois que je pense que vous enfilez des perles avec Ginny ! J'essaie de pas trop y penser parce que c'est ma sœur et que... Beurk... Bref... Mais dis pas que je suis le seul obsédé ici !
- En même temps, c'est pas moi qui ai mis le sujet sur le tapis. Alors, pourquoi ça se passe pas comme tu veux ?
- C'est elle. J'ai jamais mon mot à dire. Tu comprends, j'ai rien contre le fait qu'Hermione prenne des initiatives, mais là… C'est elle qui décide, toujours. Tu vois, elle décide de quand, de où et même... enfin tu vois... Et être dessous, à la longue, c'est fatigant.
- Franchement, crois-moi, être tout le temps dessus, c'est pas le top non plus. Je sais que c'est ta sœur, Ron, mais j'ai l'impression de baiser une poupée gonflable. Elle a aucune réaction, c'est si… silencieux… C'est flippant. Je ne sais même pas si elle apprécie.
- Ah moi, elle apprécie, mais uniquement quand je me laisse faire. Si j'essaie même de l'embrasser sans autorisation, elle se détourne… J'suis un homme objet…
- J'en connais qui seraient comblés.
- Oui, je l'étais au début. Seulement, j'aimerais bien… tu vois, pouvoir lui faire l'amour quand j'en ai envie et pas seulement quand ça entre dans son planning. " on, Ron, pas ce soir, il faut que je m'avance pour les 3 années à venir !"
Harry rigola en voyant Ron imiter à la perfection sa chère et tendre.
- En même temps, c'est pas à Hermione que tu devrais en parler ?
- Je te retourne la question pour Ginny !
- Ouais... Tu sais quoi, je pensais que tuer Voldemort serait la fin de mes soucis mais...
- Bienvenue dans le monde des gars normaux !
- Clair... Mais du coup je vois pas bien ce que je peux faire pour toi.
- Rien, je voulais juste me faire plaindre par mon meilleur pote... Putain, je deviens une vraie gonzesse ! Harry, aide-moi !
- Ok, ok. Bon, dis-moi d'abord ce que tu voudrais faire et je mettrai mon côté serpentard sur le coup pour élaborer un plan sexe de folie. Enfin, j'imaginerais quelqu'un d'autre qu'Hermione parce que... Beurk. Comme toi pour ta sœur... Bref, je t'écoute.
- Franchement, le pied pour moi ce serait de la prendre en levrette. J'en rêve. La tenir enfin sous moi, contrôler mon rythme...
- Tu veux être le mâle dominant quoi.
- Ouais... La voix de Ron était rêveuse... Le mâle dominant...
- Eh mec, reste avec moi ! Sinon, tu vas encore devoir te branler sous la douche et tu oublieras le sort de silence et les autres vont encore se foutre de toi !
- Putain, c'est arrivé une fois, une seule fois bordel !
- Et on s'en souvient encore !
Harry se pencha pour éviter un coussin. Il manqua se casser la figure. Il était bien imbibé et il l'aurait sans doute pris en pleine poire si Ron n'avait pas été dans le même état et donc incapable de viser correctement. Le malheureux coussin le manqua donc d'un bon mètre et alla s'écraser sur un tableau qui se réveilla en sursaut et les agonit d'injures une bonne minute avant de s'apercevoir que les deux gryffondors étaient morts de rire et de disparaître pour aller se plaindre à qui de droit de ce que les jeunes n'ont plus de respect de nos jours, que voulez-vous ma bonne dame...
- Bref, revenons à nos moutons, ou plutôt à nos lévriers.
- Oh, quelle subtilité dans le changement de sujet, Ron, chapeau !
- Oh ça va ! Tu veux m'aider ou pas ?
- Oui, oui... Mais ça va pas être simple c'te histoire.
- Merci, je l'avais pas compris tout seul !
- Si t'es sarcastique, j'arrête d'essayer de réfléchir, ça me donne mal à la tête.
- Mec, t'as promis !
- Me fais pas ces yeux-là, je ne peux pas te résister... Ok, ok... réchéflissons...
Harry ferma les yeux et marmonna : volonté de tout contrôler, soumission, jeu... Puis se tut.
- Harry James Potter, si tu t'es endormi, je te jure que je dis partout que tu couches avec Trelawney !
- Quoi ?
- Tu dormais !
- Mais pas du tout !
- Menteur !
- En fait, j'ai bien une idée, mais je sais pas si elle va te plaire.
- Je suis désespéré mec, je ferais n'importe quoi là !
- N'importe quoi ?
- Juré !
- Et tu ne m'en voudras pas de ce que je te propose, quoi que ce soit ? Qu'on sera toujours les meilleurs amis après ?
- Tu deviens flippant là, mec.
- Promets ou je ne dis rien.
- Ok, ok, je te donne ma parole de sorcier.
- Bon. Je crois que j'ai trouvé une solution à nos deux problèmes. Si je résume, toi tu veux décider, dominer... Si tu pouvais non seulement la prendre en levrette, mais sodomiser Hermione, ça te plairait ?
- Elle voudra jamais.
- J'ai dit "si". Tu aimerais ?
- Grave.
- Bon... Donc toi tu veux... ce que je viens de dire et moi j'aimerais ne plus être celui qui prend l'initiative, mais être le soumis face à un dominant.
Harry voyait bien que Ron essayait vraiment de comprendre où il voulait en venir, mais en vain. Il soupira. Il allait devoir lui mettre les points sur les i.
- Ron, tu sais que je suis bi.
- Ouais.
- Ron, tu pourrais faire un effort, merde !
- Désolé, mec, mais à part qu'on est deux à pas être satisfait au lit, je vois pas en quoi nos problèmes peuvent avoir une seule solution.
- Moi dessous, toi dessus. C'est plus clair ?
- Toi dessous, moi dessus... Attends, attends, tu me proposes la botte ?
- T'as promis de pas t'énerver.
- Je m'énerve pas, je m'énerve pas... Mais tu sais que je suis 100% hétéro, moi.
- Oui, je sais, mais bon, un cul est un cul, non ? Je veux dire, t'es pas obligé de me toucher ou quoi, tu me prendrais juste.
- Tu l'as déjà fait avec un mec ?
- Non, mais je connais la théorie et je pense que tu sais ce qu'est une prostate ?
- Je vois pas le rapport... Oh... Ah...
- Ouais.
Harry était rouge comme une tomate et Ron comme une écrevisse, ce qui jurait avec ses cheveux.
- C'est moi ou t'as vraiment un souci avec les rouquins ?
- Ron, te fous pas de moi !
- Je me moque pas, j'essaie de réfléchir sérieusement à ta proposition démentielle et indécente en plus.
- Si tu veux pas, hein...
- Non, non... Enfin... Laisse-moi deux secondes d'ac ? J'avais jamais, au grand jamais, envisagé une chose pareille donc...
- Ok, ok.
Ce fut au tour de Ron de fermer les yeux, le front plissé... Puis son front se détendit...
- Ron, si tu t'es endormi, ça va saigner !
- Quoi ? Mais non !
- Ouais c'est ça !
- Arrête ton char, tu crois que je pourrais m'endormir comme ça ? répliqua Ron avec un geste plus qu'explicite.
- T'as la gaule ? Mais je croyais...
- Ben, c'est l'idée en fait...
- Et donc tu voudrais bien ?
- Franchement, mec, je garantis rien, mais tu sais ce qu'on dit sur les remord et les regrets. Mais jure à ton tour que même en cas de fiasco total on restera potes à la vie à la mort !
- Juré, Ron. T'es mon pote et ça changera pas. Parole de sorcier.
- Bon... On fait ça quand ?
- C'est à toi de décider, mon cher.
- Très drôle.
- Non, tu le voulais, tu l'as. Tu domines, de A à Z et moi je suis à ta disposition.
- Putain, j'ai encore plus la gaule à t'entendre dire ça !
- Et donc ?
- Et donc tu vas te déshabiller et te mettre à quatre pattes devant la cheminée fissa que je te fasse ta fête !
- A tes ordres !
Harry se déshabilla en quatrième vitesse et se mit en position. Lui aussi était plus que dur.
Ron déglutit. Il n'avait enlevé que son pantalon de pyjama. Il avait cru avoir besoin de fermer les yeux pour phantasmer à l'aise et oublier qu'il faisait ça avec un garçon, mais voir Harry ainsi… Oh, il était bien un garçon, sans nul doute possible, mais cela ne lui posait plus aucun problème. Et quand un tube de lubrifiant atterrit dans sa main droite, il se redressa de toute sa taille et alla fermement enserrer les hanches de son ami de toujours. Il se posa simplement contre lui, et se sentit grossir encore en entendant sa respiration se faire plus rauque. Il lubrifia rapidement sa verge, tout en glissant un doigt inquisiteur et dûment oint lui aussi dans l'intimité que la cambrure d'Harry dévoilait en toute impudeur. La sensation le prit au dépourvu. C'était à la fois tout et rien de ce qu'il attendait. C'était si étroit et si souple à la fois. Quant aux sons qu'Harry faisait… Il ajouta un deuxième doigt et poussa un peu plus loin. Ah, il avait dû trouver sa prostate.
- Rooooooon…
- J'arrive, t'inquiète… mais je crois qu'il faudrait mieux que je mette encore un doigt, sans me vanter je suis bien plus gros que ça.
- Je sais mais… s'il te plaît…
- Je me dépêche, mec, mais je ne veux pas te faire mal.
- Tu me fais du bien, mec, que du… bien !
- Tu aimes, hein ?
- Ouiiiiiii.
- Tu veux que je te prenne ? Tu veux que je te baise, profondément, durement, longuement, dit Ron d'une voix de plus en plus gutturale, ajoutant un dernier doigt puis ponctuant chaque adverbe d'une poussée plus profonde qui faisait gémir Harry de plus en plus fort.
- Oui, oui, baise-moi !
Ron devint fou en voyant Harry bouger ses hanches, essayant de s'empaler de lui-même sur ses doigts. Il voulait s'enfouir dans sa chaleur, dans ce fourreau qu'il avait préparé pour lui, qui était uniquement à lui.
- Je vais te prendre maintenant.
- Oui, viens, viens !
La voix d'Harry n'était que luxure et Ron se recula juste assez pour pouvoir s'introduire en lui. Il glissa lentement, savourant chaque seconde, sentant le fourreau de chair se contracter autour de lui, l'attirer toujours plus profond.
Une fois entré jusqu'à la garde, il poussa sans même s'en rendre compte un grognement de satisfaction purement animal. Harry gémit en retour.
Ron ressortit presqu'entièrement, revint plus fort et Harry cria.
- Tu aimes ça n'est-ce pas ? Tu aimes, hein ?
- Oui, Ron, recommence, plus fort, encore...
Les mots d'Harry rendirent Ron frénétique et il se lança encore et encore plus profond, plus vite, s'agrippant aux hanches de Harry pour le tirer vers lui, pour aller encore plus loin en lui comme Harry lui hurlait de le faire, lançant lui aussi ses hanches à la rencontre de ce sexe si dur, brûlant, gonflé, qui lui faisait tant de bien, qui le besognait si fort qu'il oubliait le reste de son corps, ne sentant que ce membre qui l'ancrait dans le plaisir et qui l'amenait proche, si proche de...
- Encore, encore... Plus...
- Je vais, Harry, je vais...
- Rooon, si près...
- Mas...tur...batio !
Sentir le sort lancé par son ami agir sur lui suffit pour propulser Harry au septième ciel dans la seconde.
- ROOOOOOOOOON !
Harry hurla, s'arqua et tout son corps se contracta, retenant le sexe de Ron au plus profond de lui, le serrant encore plus et c'est cela qui amena le roux au pinacle. Il n'avait jamais connu un orgasme d'une telle intensité il ne sut même pas s'il avait crié, il eut comme un blanc et quand il reprit ses esprits, il était par terre, sur Harry dont les bras avaient lâché. Il se retira aussi délicatement que lu permettaient ses membres engourdis et roula sur le coté pour arrêter de peser de tout son poids sur le brun. Harry se tourna lui aussi et ils restèrent face à face, haletants, sans se quitter des yeux.
Sans réfléchir, Ron se rapprocha et embrassa doucement les lèvres où les marques de dents étaient encore visibles tant Harry les avaient mordues sous le coup du plaisir. Le baiser fut doux, juste un effleurement, et Ron fut surpris du frisson que cette caresse engendra. Il recommença, pour vérifier, et lorsqu'Harry ouvrit la bouche, il engouffra sans hésitation sa langue dans l'antre chaude pour y retrouver sa jumelle avec qui elle entama un lent ballet qu'il ne voulait jamais voir finir.
Ils s'embrassèrent pendant longtemps, reprenant leur souffle sans jamais se séparer tout à fait et ils finirent complètement enlacés, chacun voulant être plus près, encore plus près. Le frottement de leurs corps leur procura une nouvelle érection mais s'embrasser était trop bon alors ils se contentèrent de se frotter plus fort et jouirent ensemble. Ce fut à ce moment-là que leurs bouches se décollèrent et ils se contentèrent de respirer ensemble, de respirer en même temps, l'air encore plein de l'odeur de leurs plaisirs mêlés.
- Harry, je… se décida enfin à dire Ron.
- Tais-toi… gémit Harry
- Non, écoute, j'ai adoré.
- C'est vrai ?
- Pas toi ?
- Si, c'était fabuleux mais j'avais peur que…
- Chut… Je ne veux pas me poser de questions. Pas maintenant. Tout ce que je sais, c'est que j'ai pris mon pied comme jamais.
- Et donc ?
- Et donc si c'est pareil pour toi, et je crois que ça l'est…
- Clairement.
- Tu voudrais qu'on recommence ?
- Euh… je suis pas sûr d'être en état, là…
- Je voulais pas dire tout de suite obsédé ! rigola le roux
- Désolé, soupira Harry
- T'excuse pas, c'est pas l'envie qui m'en manquerait à moi non plus. Et je connais des sorts qui…
- Non, c'est bon ! Tu t'arrêtes tout de suite, faut qu'on aille se coucher et chacun dans son lit si on veut pas se faire prendre et pouvoir recommencer.
- OK, t'as raison. Dis, pourquoi…
- Tais-toi. Dodo maintenant, demain les questions.
- D'ac, soupira Ron en se levant et en commençant à se diriger vers l'escalier.
- Ron ?
- Quoi ? demanda Ron en se retournant à moitié.
- Je crois que je vais avoir besoin d'aide… T'y est pas allé de main morte…
- Mec, j'suis désolé.
- Pas de quoi, j'ai adoré. C'est juste que maintenant tu vas devoir m'aider à atteindre mon lit.
- Viens là, petite chose fragile.
- He !
- Je rigole. Mais bon, c'est moi le mâle dominant.
- Oh, tu m'as fait assez mâle pour que je m'en souvienne.
- T'es encore capable de faire des blagues grivoises ? C'est que j'ai pas bien fait mon boulot alors.
- T'inquiète, je vais m'évanouir dès que ma tête touchera l'oreiller.
- Bien. Mais avant, je te ferai un dernier baiser pour la nuit.
- J'aime ce programme.
Ils avaient fini de monter l'escalier et Ron pensa à leur lancer un sort de silence avant d'ouvrir la porte le plus doucement possible.
Il porta Harry jusqu'à son lit, lui lança un sort de nettoyage, lui remis le bas de son pyjama qu'il avait ramassé avant de monter et l'embrassa doucement.
- Dors bien mon cœur.
- 'Ci Ron, 'nuit.
- Bonne nuit 'Ry.
Harry dormait déjà le temps que Ron se couche dans son propre lit. A peine eut-il le temps de se nettoyer à son tour que la fatigue le terrassa et il s'endormit comme une masse.
Alors ?
Première pour moi sur ce couple… mais j'en ai d'autres en réserve… Je les fais, je les fais pas ?
Une review pour m'encourager à écrire encore plus vite (chibi eyes). Le deuxième chapitre est presque fini… Non, je ne fais pas du chantage à la review, ce serait indigne d'une déesse telle que moi voyons :b