Chapitre 1

Un mariage avorté

Ha Ni regardait le ciel se couvrir. Le temps semblait je joindre à son humeur. La veille au soir, Seung Jo avait annoncer son mariage avec Hae Ra, son double féminin. Ha Ni en avait le coeur meurtri. Une voix dans sa tête lui disait de se débarrassé du problème, que rien ne devait la séparé de l'homme de ses désir. Mais Ha Ni préféra se boucher les oreilles. Ca faisait longtemps qu'elle n'avait pas entendu cette voix, mais cette fois-ci elle lutta pour ne pas l'écouter. Pour se changer les idées, elle pris son manteau et sorti sous la pluie. Elle avait l'impression que l'eau la débarrassait de sa tristesse.

Elle s'apprêtait à rentrer quand une voiture noir s'arrêta devant elle. Elle regarda un moment avant de tenter de rebrousser le chemin. La vitre s'abaissa laissant apparaître un vieil homme.

- Bonjours, vous rappelez de moi, demanda-t-il?

- Vous êtes le grand père de Hae Ra.

- Bien Montez, j'ai à vous parler.

Elle hésita puis, se décida à monter. Assise devant son interlocuteur, elle commença à paniquer. La dernière fois qu'elle était montée dans un e voiture d'un inconnu, ça s'était très mal passé pour elle. L'homme sorti de sa serviette un dossier bleu roi.

- Vous êtes Ho Ha Ni, Vous êtes née à Séoul, mais avez grandit dans le village Natal de votre mère avant de revenir ici. Vous avez remporté trois fois le concours de couture avant de perdre la quatrième année. Depuis, vous avez disparu des concours. Vous vivez aujourd'hui chez les Baeks.

- Pour en venir où monsieur Yoon?

- Voilà, je pense que vous savez que ma petite fille et Seung Jo vont se marier.

- Oui, difficile de passer à côté de cette info.

- Voilà, j'aimerai que ce soit vous qui vous occupiez de sa robe de mariée et de celle des dames d'hônneurs.

- Pourquoi moi.

- parce qu'ils sont vos amis et je sais que ça ferait énormément plaisir à ma petite fille. Et si ma petite Hae ra est heureuse, moi aussi. Vous me suivez?

- Pour les frais?

- Vous payerez avec cette carte et le code étant votre année de naissance.

- Alors c'est ça le grand final de cette histoire. L'humiliation final.

- Je suis sur que vous ferez du bon travail. Je connais votre don. Vous avez deux mois pour faire la robe.

Ha Ni alla au restaurant de son père. En apercevant Seung Jo et Hae Ra elle se figea, inspira profondément et alla les saluer comme si rien ne se préparait. Dans son coeur, une tempête faisait des ravages, mais le peu de fierté qui lui restait le interdisait. Une voix l'incitait cependant à remettre Hea Ra à sa place et lui proposait de mettre cette géneuse dehors. Ha Ni se contenta d'aller voir son père.

- papa, tu crois que tu pourais me ramener Déméter et Hestéria à la maison ce soir?

- Deméter et... Chéri tu va te remettre à...

- Oui je prend mon matériel de dessin tout de suite

Gi Dong embrassa sa fille, ému. Déméter était le nom de sa machine à coudre, Hertéria s'était celui de son mannequin. Jamais il n'avait pensé qu'elle reprendrait la couture. Cette dernière se retourna ensuite vers le couple qui lui causait tant de peine.

- Hae ra, je ne disais qu 'on ne se connaissait pas vraiment toi et moi. Comme nous allons vivre dans la même maison, je pense que nous devrions passer un peut de temps ensemble. Que dirait tu d'une journée shopping demain?

- Oui, pourquoi pas. Tu va bien Ha Ni?

- oui, très bien. Passe me chercher à onze heure, on mangera un morceau.

- Oui, pourquoi pas.

- Bien à demain alors. A ce soir Seung Jo. A ce soir papa.

Ha Ni reparti avec tout un matériel dessin en laissant tout le monde un peu interloqué.

En rentrant dans sa chambre, elle se mis à pleurer avant d'aller prendre une douche pour se changer les idées. En sortant, Seung Jo l'attendait. Il avait l'air fâché.

- Je peux savoir à quoi tu joues, demanda-t-il?

- pardon?

- Pourquoi tu veux soudainement passer du temps avec Hae ra. Je crois savoir que vous ne vous entendiez pas.

- Je ne joue pas. Au moins moi je ne me suis pas prostituée pour sauver l'entreprise de ton père.

Seung Jo gifla Ha Ni. Choquée, cette dernière entra dans chambre, se glissa dans son lit et pleura. Rester à l'extérieur, Seung Jo regrettait déjà son geste. Après tout elle avait raison sur toute la ligne. Elle avait bien le droit de passer sa journée avec Hae Ra, si ça l'enchantait. Il se mis à réfléchir sur les dernier propos de Ha Ni. Avait elle raison en comparant ce mariage arranger comme une forme de prostitution. Il voulait tenter de s'excuser mais, il avait l'impression que pour ce soir, toute discution allait être impossible.

Le lendemain, Hae Ra vint la chercher. Elle allèrent déjeuner dans un fast food. C'était la première fois qu'Hae Ra mangeait dans un de ce genre restaurants populaires. Elle était plutôt habituée aux établissement chic. Elle n'avait jamais manger avec les doigts non plus.

- Pourquoi as-tu soudainement envie de passer du temps avec moi, demanda-t-elle?

- Ton grand père m'a demander de faire ta robe de mariée. Je dois te connaître pour rendre un travail parfais.

- mais à quoi tu pense encore grand père.

- Je me le demande.

- Ça vas se passer comment?

- Tu parle, on discute, on passe la journée ensemble et je me serai fait une idée de ce que tu est. Je ferai ta robe en harmonie avec ce que j'ai ressenti.

La journée se passa relativement bien. Ha Ni avait pris quelques notes qui devait lui servir pour son croquis. L'après midi avait été dédié au shopping. Elle était encore sidérée par le manque de goût de Hae ra. Au troisième magasin elle n'en pouvait plus et se chargea de conseillé hae Ra. Au passage, elle s'acheta quelque tenu loin de la garde robe qu'elle avait chez elle. Elle se posèrent en suite sur la terrasse d'un café.

- Tu m'a étonnée aujourd'hui Ha Ni, comment ça se fait que tu en connaisse autant sur les vêtements?

- La mode, les vêtements, c'est ma passion. Attention, je ne veux pas dire que je me passionne pour la mode aujourd'hui. Elle ne ressemble à rien. Mon truc, c'est la création.

- J'ai toujours cru que tu ne savait pas t'habiller.

- Mon père n'est pas riche, je me contente de vêtement de supermarché. Autre fois je faisais moi même mes vêtements, mais... enfin on n'est pas là pour parler de moi. Que penses-tu de ta nouvelle garde robe.

- Elle est sensas. Ha Ni, je suis vraiment heureuse que tu m'ai conseillée aujourd'hui. Si je peu faire quelque chose pour toi.

- Rend Seung Jo heureux. C'est tout ce que je te demande. Tu aura les croquis demain. J'y travail ce soir.

- C'est marrant. Dans cette histoire, c'est toi la grande perdante et pourtant tu trouve le moyen de me confectionner cette robe et le temps de t' inquiéter pour lui.

- Je m'inquiète pour lui parce qu'en dépits de ses defauts, je l'aime toujours. Pour une raison que j'ignore je n'arrive pas à le détester alors qu'il m'en fait voir de toute les couleurs. Seulement, il y a aussi une vérité que je ne peu pas ignoré... il ne m'aimera jamais. Il a pris une décision, je dois la respecté, même si je suis profondément contre.

- Tu ne va pas bâclé ma robe au moins.

- Un vêtement c'est comme un écrin qui vient protéger et sublimé une personne. C'est pourquoi un vêtement inadapté à une personne ne fera pas ressortir toute son essence. Normalement, on ne se mari qu'une seule fois. Alors l'écrin doit être exceptionnelle. C'est pourquoi j'ai passé la journée avec toi.

- Tu n'est pas aussi stupide qu'on le pense.

- On dit beaucoup de chose de moi, mais on ne me connais pas.

- J'aime beaucoup cette Ha Ni. D'habitude tu l'air si tête en l'aire, si écervelé.

- J'ai énormément de défaut, je ne sais pas faire grand chose et ce que je tente de faire tourne souvent à la catastrophe,sans compter que j'ai la fâcheuse tendance à me fourrer dans les histoire pas croyable. Mais pour moi, la création de vêtement sera toujours un sujet sérieux et ce que je fait le mieux.

Le temps passa rapidement, au bout d'un mois le travail était presque achevé. Il ne restait à Ha Ni qu'à faire les petits détails. Seung Jo était ,inquiet de la voir enfermer dans sa chambre. Après avoir frappé plusieurs fois, il ouvrit la porte. Elle dormais sur un tas de papier et vit la robe de marié posé sur un mannequin. Il se pencha sur elle et la secoua lentement. Cette dernière se réveilla uniquement pour reprendre une position plus confortable. Il la pris alors dans ses bras et la déposa sur son lit. Cette dernière ouvrit les yeux et lui sourit avant de les refermer. Seung Jo regarda alors les feuilles sur lesquels dormait Ha Ni. C'était des croquis d'une robe de marié avec des agrandissements de broderies, des annotations, le dessin du visage de Hae Ra avec une coiffure différente, coupé court qui mettait en valeur son visage et ses yeux. Elle semblait porter des fleurs et des gouttes dans les cheveux. Il y avait aussi le dessin d'une paire de chaussures. Seung Jo se demandait ce qu'elle pouvait bien faire avec ça. Il eu soudainement l'idées qu'elle avait sans doute volé tout ça pour sabotter le mariage, mais il se ressaisi. Il connaissait bien Ha Ni, elle n'aurai jamais fait un truc d'aussi lâche.

Le lendemain, Hae Ra demanda à voir Ha Ni. Cette dernière la fit monter dans chambre. A la vu de la robe, elle ne pu s'empêcher de s'extasier. La robe était vraiment magnifique et mettait en valeur ses formes.

- Ha Ni cette robe est fabuleuse.

- Et tu n'a pas encore vu les chaussures. Elle ne sont pas encore arrivée. Je les ai fait faire sur mesure.

- C'est pour ça que tu as fait moulage de mon pied?

- Oui. Tu te fera couper les cheveux pour l'occasion et tu portera ce serre tête

- Tu tes vraiment donner du mal.

- Ce n'est pas seulement ton mariage. C'est aussi celui de l'homme que j'aime. La marié doit être au top.

- Ha Ni.

- Je veux qu'il ai le plus beaux des mariages. Je veux qu'il soit aussi parfait que lui.

- Je ressemble à une princesse... Je suis désolé que ce...

- Je te l'ai déjà dit, rend le heureux. C'est tout ce que je te demande.

Quelque jours plus tard, Ha Ni et Seung Jo se retrouvèrent dans le bureaux du grand-père de Hae Ra. Ils ne comprenaient pas pourquoi ils avaient été convoqués. Son regard passa du garçon à la fille puis revint sur le garçon.

- Seung Jo, je veux que tu sache que ton père et avons signé le contrat du jeux il y a dejà un mois.

- Je ne comprend pas.

-Il n' y aura pas de mariage avec Hea ra et toi.

- Pardon?

- Tu es libéré de ce mariage. Je sais que tu aimes bien ma petite fille, mais je sait aussi que tu n'en es pas amoureux.

- Je ne comprend toujours pas.

- Je veux dire que tu n'es plus obligé d'épouser ma petite fille pour le bien de la société de ton père. Je sais que tu aime une autre fille.

- Vous savez que je vous suis pas?

-Tu n'est pas amoureux de ma petite fille n'est ce pas.

- C'était de ça que je voulais vous parler. Hae Ra est une chic fille. Elle me ressemble sur bien des facettes. On aurait même pu dire qu'elle est mon double féminin, mais je me suis rendu compte que dans cette histoire, je faisais deux victimes. Je ne pense pas que Hae Ra serai heureuse enfin de compte d'épouser un homme qui ne l'aime pas autant qu'elle le souhaiterai. D'autre part, je faisait souffrir la seul fille que j'aime vraiment. Excusez moi, je ne suis pas claire je crois.

- Je trouve que si. Je suis heureux de voir que vous avez enfin comprit vos propre sentiments. Hae Ra m'a dit un jours qu'elle était amoureuse d'un bel hommme, intelligent et gentil. Elle m'a dit aussi que ce même homme était un handicapé des sentiments humains et qu'elle ne voulait plus t'épouser à cause de ça.

- Parce que je savais que quand tu t'en apercevra : soit tu me quittera et j'en souffrirai, soit tu prendra tes responsabilté et tu restera avec moi et dans ses cas là c'est toi qui en souffrira, dit Hea Ra en rentrant.

- En fait, j'ai mis du temps à l'accepter, mais... la fille avec qui je veux faire ma vie c'est... Ho Ha Ni. Pardonnez moi.

Hae Ra et son grand père sourirent. Ce ne fut pas le cas de Ha Ni qui tentait d'assimiler ce qui venait de se passer, puis elle le regarda, incrédule. Il était penché vers elle et lui pris les mains.

- Ho Ha NI, je... reste au près de moi pour toujours.

Ha Ni le regardait toujours. Son coeur s'emballait, mais son cerveau était vide. La réunion avait pris une drôle de tournure. « toujours? Demanda-telle ». Il la serra dans bras. Elle se blotti cherchant toujours à comprendre la situation. Hae Ra sourit.

- Alors, redemanda Seung Jo?

Elle répondit par un hochement de la tête. Le grand père enchaina alors sur l'autre sujet qui lui tenait à coeur.

- Ha Ni, où en étiez vous de la robe de marié de ma petite fille?

- Ho heu... Et bien... Je l'ai terminée il y a deux jours. Mais je crois que visiblement il n'aura pas de mariage c'est ça?

- Si, le votre. J'aimerai savoir comment ça s'est passer.

- Heu, au début je l'ai fait à contre coeur. Je pensais que s'était une sorte d'humiliation supplémentaire avant le coup de grâce. Et puis. J'ai commencer à analyser Hae Ra. Pendant qu'elle parlait des images s'imposaient à moi. J'ai commencer à prendre des notes des tonnes de notes. Puis j'ai commencer à dessiner. Je n'arrivais plus à m'arrêter. Il y avait cette excitation que je n'avais plus ressenti depuis longtemps. J'en avait presque oublié les enjeux. Puis j'ai commencer à toucher, à respirer à ressentir les tissus, divers à voir leur mouvement fluide. J'avais oublié l'effet une plume ou un morceau de soie sur ma peau. Je voulais à tout pris mettre au monde mon bébé.

Seung Jo regardait ha Ni. Il y avait chez elle, cette lueur qu'on tous grand passionné du monde. Il sourit. Elle avait donc une passion pour autre chose que lui. Vous vouliez rallumer la mèche que vous aviez éteinte il a longtemps, je me trompe?

- De vous à moi, que pourriez vous dire de la collection de votre adversaire.

- Avec mes yeux d'enfants? Je l'avait trouvé quelconque et loin d'aller au modèle qui devait la porter. La matière était loin d'être noble et la qualité du travail était catastrophique. La découpe était maladroite. Les finitions négligés...

- Vous avez retenu tous ses détails?

- Oui, parce que je me souviens avoir chercher longtemps les raisons de mon échec. J'ai fait des comparaisons entre le travail de mon adversaire, qui n'avait même pas respecté les bases de la coutures. Puis j'ai perdu confiance en moi. Puisque j'avais perdu contre un tel travail, ça voulais dire que le miens ne valait pas un clou. Puis j'ai entendu dire que les juges du concours avait été achetés et j'ai été dégoutées.

- C'est pour ça que vous ne vous êtes pas représentés?

- Oui, je ne voyait pas pourquoi je concourrait pour une victoire décidé d'avance. Vous vous faites des idées si vous pensez que je reprendrait la couture.

- Je vois. Mais au moins votre robe sera prête.

-Pardon?

- celle que vous avez faites pour Hae ra.

Grand père, je crois que vous ne comprenez absolument pas la vision de Ha Ni vis à vis de la tenu vestimentaire, dit Hae Ra. Pour elle le vêtement est un écrin qui protège et sublime une personne et qui doit faire ressortir toute son essence. Donc, une robe qui a été faite spécialement pour moi, ne pourra pas lui aller.

- Si je fait ta taille, elle m'ira. Je serai peut être belle dedans. Mais elle ne fera jamais ressortir mon essence, ce que je suis. Ta robe ne sera qu'une robe, impersonnelle tel un vêtement de magasin. Un vêtement de prêt à porté a été créer pour plaire à une un large publique, crois tu pouvoir cerner la personnalité de plusieurs personne et le ressortir dans un seule et même vêtement? C'est bien pour ça que nous passons un temps infini dans les magasins pour assortir nos vêtements qui nous plaira sur le coup et qui finira fatalement dans le fond de notre penderie. T'es tu déjà fait faire des vêtement sur mesure d'après un modèle que tu as imaginée?

- Oui beaucoup de mes vêtements sont comme ça.

- Quels sont ceux que tu porte le plus, ce que tu as fait faire ou costumisé ou ceux que tu as acheté en magasin?

- D'abord ceux que j'ai costumisé, puis ceux qui ont été fait sur mesure. En général ceux que j'achète en boutique reste en effet dans mon placard.

- tu sait pourquoi?

- Ben...

- Parce que quand tu costumise un vêtements, c'est un peut de toi que tu mets dessus, de tes goût, de ta personnalité.

- Donc pour ta robe.

- Je m'en occuperait le moment venu.

- Je ne pensait pas qu'on pouvait débattre autant sur un morceaux de tissus, dit Seung Jo.

- Parce que c'est bien connu : Les mecs n'y connaisse rien en matière de vêtement. Par exemple, comment tu choisis les tiens Seung Jo.

- Ben je regarde si ça me vas et j'en prends plusieurs modèle pour le change.

- Ho mon dieux, c'est désespérant.

Seung Jo rentra avec Ha Ni. Dans la voiture, c'était le silence complet. Aucun d'eux n'avait évoqué ce soudain retournement de situation. La mère de Seung JO les trouva très calme, puis au moment du dessert, Seung Jo pris la main de Ha Ni. Et se leva en se tournant vers Gi Dong.

- Père, me permettriez vous d'épouser Ha Ni.

-Mais, tu n'es pas déjà fiancé toi?

- Non, j'ai rompu avec Hae Ra. Je... J'avais beaucoup réfléchi et je me suis rendu compte que s'était d'Ha Ni que j'avais besoin.

- Mais tu sais qu'elle ne sait rien faire.

- C'est faux, c'est une pro en couture.

- Tu sais aussi que c'est une gaffeuse, fini?

- Oui.

- Epouse là mon grand, elle t'aime tellement.

Ma mère de Seung Jo laissa éclaté sa joie et alla embrasser Ha Ni. Elle laissa cette dernière monter à l'étage. Ha Ni avait beaucoup de chose à assimiler. La journée avait été longue. Seung Jo la rejoint. Il savait qu'une discution était inévitable.

- La journée a été riche en rebondissement; dit-il.

- Oui.

- Ca vas aller.

- J'essaie de redescendre de mon nuage. Tu vois, ce matin, je devais livrer la robe de mariage de Hae Ra qui devait t'épousé. Ce soir, c'est moi qui doit t'épouser.

- Je sais mais... C'est dernier temps pas mal réfléchi et j'ai imaginé ma vie sans toi.

- Et alors?

- J'ai vu le néant.

Elle se lova dans les bras de cet homme qu'elle aimait tant qui la serra contre lui. Il sourit à l'idée qu'un jours, elle serai sa femme.

( A suivre dans le chapitre 2 : Un amis en commun)