Hello le monde...me revoilà avec le dernier chapitre !
Snif...oui, c'est la fin, vrai de vrai
MERCI THANK'S GRACIAS enfin, vous aurez compri à quel point je veux vous remercier de m'avoir suivi, moi qui pensait vraiment ne pas être à la hauteur, et ne pas tenir la longueur.
J'ai lu plusieurs fois que le chapitre précédent était pour quelqu'unes d'entre vous, votre chapitre préféré...J'avoue que c'est étonnant, je pensais qu'il serait décevant, même si j'ai aimé l'ecrire..Merci encore une fois, c'est répétitif mais y a pas d'autres mots !...Personnellement, j'ai beaucoup aimé écrire les retrouvailles de notre couple, après le viol de Bella, c'est toujours plus facile de décrire une joie, plutôt qu'une peine.
Voilà donc mon épilogue, pas évident à écrire, quand je veux qu'il plaise à tout le monde, j'espère que ça vous plaira comme fin, j'avoue que ça a été difficile, et le résultat ne me semble pas trop bien, enfin, je suis toujours pessimiste en ce qui concerne mes chapitres, on sait jamais que ça plaise pas quand on pensera que ce sera le contraire
Cessons les bavardages, je vous laisse lire ce tout dernier chapitre, dîtes moi une dernière fois ce que vous en avez pensé, et pourquoi pas le chapitre qui vous as le plus plu, et celui qui vous a presque donné envie d'abandonner mon .
Enorme bisous à toutes mes lectrices...vous êtes les meilleures !
PDV Levy
C'était donc la grande histoire de ma mère...Y avait trop de secret dans cette famille, et ne pas avoir de réponse était frustrant...Alors je m'étais mis à chercher des papiers, quelque chose, pour finir par trouver tous ces journaux intimes qui contaient les moindres moments de sa vie.
Et si j'ai toujours vu ma mère, comme une mère ouverte, et généreuse...Aujourd'hui, je la voyais comme la femme la plus forte au monde, la plus courageuse, et la plus respectable. Et à cet instant, je comprenais l'amour fou que lui voué mon père.
D'après mes oncles et tantes, ces deux là, sont inséparables...j'avais remarqué...Il était interdit de rentrer dans leur chambre, à toute heure de la journée, quand ils étaient libre, à défaut de les prendre en position embarrassante...D'ailleurs avec tout cet amour qu'ils partageaient parfois plusieurs fois par jour, je me demandais comment je ne pouvais être fils unique...En même temps, je comprenais mieux quand des assiettes volées, si leur amour était une violente passion, leurs disputes étaient loin d'être banales.
Bella : Levy, je peux entrer
Ouais vas y
Ma mère entra, sourire aux lèvres.
Bella : Mon fils à 21ans...tu pourras boire légalement (m'adressant un clin d'oeil)
C'était mieux quand Em et Paul me saoulaient en cachette
Bella : Tu vas bien, t'as l'air chamboulé ? (décoiffant mes cheveux)
Non, je viens juste de réaliser que je t'aimais beaucoup trop
Bella : Toi, tu es comme ton père, un « je t'aime » dès qu'il lui faut quelque chose
Pas du tout, je voulais juste que tu le saches, je sais que je te mène la vie dure parfois, mais je t'aime vraiment
Bella : Seulement parfois ? (sourire malicieux)
Je suis un très gentil garçon
Bella : Levy James Cullen, dîtes moi ce qui se passe ?
James n'est pas mort pour rien, tu fais honneur à son coeur (déposant un baiser sur sa tempe)
Soudain, elle baissa les yeux, surement attristé par mes mots.
Bella : Cette année, t'es pas obligé d'aller au cimetière avec nous, je sais que tu voudrais fêter ça avec tes potes
Dis pas n'importe quoi
Edward : Ta mère dit toujours n'importe quoi (entrant dans ma chambre)
Bella : Ne me descends pas devant mon fils
Edward : Joyeux anniversaire Levy
Merci papa...bon, on bouge les vieux, je veux fêter mes 21ans avec les fous qui me sert de famille
Tous les ans, j'étais heureux de retrouver notre grande fratrie pour mon anniversaire.
Une fratrie qui s'était agrandi au fil des années. Seul fils chez mes parents, j'aimais retrouvais mes cousins :
- Alex et Zac, 19ans, les jumeaux de ma tante Rose, et oncle Em
- Lili, 20ans et Rose, 18ans, sœurs et filles de mon oncle Jasper et tante Alice,
- Ensuite il y a, Teddy 20ans, Sarah 19ans, aussi ma petite amie, depuis un an, June 18ans, et Deliah 17ans, les 4enfants de Paul et sa femme Clara,
- Ma tante Alyssa, avait une fille de 20ans aussi, Victoria, dont elle était séparé du père
- Tante Jane avait fini par se caser avec un danseur, et allait donnait naissance à son premier enfant...40ans, autant dire qu'elle a voulu profiter de sa vie,
- Ma tante Angie quand à elle, s'était marié avec un grand nom de la médecine, avec qui elle avait Dean 15ans, et Lou 10ans,
- Et enfin oncle Jake, qui s'était marié depuis avec Leah, sa fiancée depuis 10ans, qui ont eu une Chloé y a un an
29, autant dire que les repas de fêtes étaient animés !
Voilà c'était mon histoire, enfin l'histoire de ma famille...si certain se demande ce qu'ils foutent dans leur famille...Merci mon Dieu, d'avoir pu vivre dans celle ci !
PDV Bella
21ans, et ça me fait toujours la même chose
Contrairement à la perte de mes premiers amis, j'ai préféré faire l'autruche, et ne pas sombrer dans une énième dépression...Mon coeur n'était plus le mien, il me l'avait donné, je me devais respecter ce bien.
Pendant longtemps pourtant, j'ai eu ce raisonnement en tête : Si j'avais accepté de ne pas mettre au monde mon fils, James n'aurait pas à traverser la ville en plein hiver, pour rejoindre sa petite soeur qui accouchait...Et puis tout disparaît quand je vois Levy, je ne regrette pas mon fils
Ça faisait 21ans que je n'écrivais plus dans mon journal intime, alors si je devais encore noircir une page, et faire un bilan de 21ans, 45ans de vie, dont 23ans à avoir l'esprit torturé...
Je ferais surement ce constat, d'avoir rencontré quelqu'un d'exceptionnel en perdant des êtres chers...Ça doit être ça la vie, perdre des gens pour en rencontrer d'autres.
Et puis la vie ne m'a pas fait souffrir seulement, Edward la comble depuis 25ans, qui l'aurait cru, et je me surprends moi même à avoir passé autant de temps auprès de lui...C'est lui ma force, et il étonnant de voir qu'un amour peut parfois être éternel, moi qui pensait le contraire.
Edward : Regardes là encore rêvasser
Je ne rêvasse pas monsieur Cullen
Edward : Tu fais quoi, tu comptes le nombre de tatouages qu'à Megan Fox sur ce poster
Exactement
Hey ouais, même dépasser la quarantaine, on passe notre vie à se chamailler, pour mieux se réconcilier ;)
Levy : Je me disais un truc
Non
Levy : Tu sais même ce que je vais te demander ?
Ce que tu me demandes depuis 2ans, un tatouage
Levy : Toi et papa, vous en avez plein
Edward : C'est ta mère le mauvais exemple, j'en ai qu'un moi (feignant l'innocence)
C'est fou ce que je me sens soutenu devant mon fils (ironique)
Edward : Chacun pour soi devant les reproches
C'est pas toi qui disait qu'on devait se soutenir dans nos décisions ?
Edward : Peut être
Focus
Levy : On peut en revenir à moi deux secondes
Hors de question que tu te tatoues cette magnifique peau de bébé
Levy : T'abuses maman
Non, je veux pas voir un seul tatouage sur ce corps que j'ai conçu, t'es ma propriété monsieur
Levy : J'ai 21ans, je suis majeur, et ce corps est à moi
J'approchais et le serrais contre moi. Ce gosse était beaucoup trop grand.
T'es sûr de vouloir contrarier ta mère, ta si gentille maman qui t'aime tant, et qui veut juste que son fils, son seul fils soit parfait
Edward éclatait de rire. Je faisais ça à chaque fois, un chantage affectif à la Swan...
Levy : Argh, tu m'énerves...Ok je ne dessinerais rien sur ce corps
Et j'obtenais ce que je voulais !
Nous passions comme chaque année sur la tombe de James. Chaque année où je le remerciais de m'avoir donné une seconde chance.
Puis comme chaque année, mon moment préféré : le déjeuner en famille dans la villa des parents d'Edward à L.A...hey ouais, c'est deux là ce sont offert une jolie retraite
Se déplaçant en groupe, toute notre fratrie possédait la moitié des villas de Beverly Hills...histoire d'être toujours reliés...même si nous passions notre vie dans les différents états, prient par nos activités personnelles.
Comme d'habitude, c'est nous les derniers
Edward : Si madame ne prenait pas autant de temps dans son dressing
Je pris sa main, et la passer par dessus mon épaule.
Ça te gêne pas d'habitude que je passe autant de temps dans mon dressing, pour choisir une robe qui te plaira (le sourire coquin)
Edward : Pourquoi faut toujours que tu me fasses des avances, quand on est en public, et que je ne peux te faire montrer de quoi ton mari est capable
T'en fais pas, j'ai des tas d'images qui décrivent à merveille ce que tu sais faire
Sourire aux lèvres, mon amour prit mon visage en coupe, et m'offrit un délicieux baiser langoureux.
Levy : Ils recommencent
Nous traversions la villa, pour rejoindre le jardin, où tout le monde y était.
Hello L.A
Emmett : Bells, on est pas dans un de tes concerts
C'était une façon de saluer tout le monde, idiot
Pendant plusieurs heures nous fêtions l'anniversaire de mon fils. 21Ans, ils grandissent trop vite ces bouts de choux.
Je riais quand Edward attrapa ma main, pour nous isoler derrière un des arbre qui était planté dans le jardin.
Assis au sol, je lui faisais face.
Tu sais ce que m'a demandé Levy...un autre enfant
Edward : Pitié non, un ça suffit
Je suis bien d'accord...et puis, je te veux pour moi toute seule
Edward : Dois je te rappeler, le nombre de fois où tu m'as planté pour aller faire joujou avec Levy
Oh mon chou...je suis toute à toi maintenant
Edward : Et je compte bien en profiter (baisant mon cou)
Prends tes pilules bleus surtout, je voudrais pas t'épuiser
Edward : Ah ah ah...ton humour me fera toujours tordre de rire
Je sais
Les yeux encrés dans les siens, je lui donnais un baiser, lent, prenant tout mon temps pour lui donner envie de continuer...Qui dirait que j'ai été malheureuse, certes j'ai souffert, mais qui n'a pas eu d'embûches dans sa vie, qui n'a pas versé de larmes, ou voulu abandonner la vie après une dure épreuve...On a tous vécu ça au moins une fois, ce qui compte c'est ce qui se passe ensuite, cette renaissance, se battre pour avoir notre lot de bonheur. Mon fils fait de moi la mère la plus fière, et mon mari...Ah mon mari, il serait impensable de revenir en arrière. Que ce serait-il passé si je n'avais pas soudainement décidé de vivre chez mon père ? Une simple décision, anodine, et elle a changé toute ma vie...Edward n'est pas que mon amour, l'homme de ma vie, il est le point de départ de la vie que j'avais envié pendant un an, alors que j'étais en centre de redressement...Et si le message d'un tatouage, n'est pas éternel, c'est loin d'être vrai pour le mien, il a fait cette promesse de me rendre heureuse, de rendre ma vie plus douce...Il a fait bien plus que ça ! Il est cette dose d'amnésie quand tout s'écroule autour de moi
Je t'aime Edward Cullen
Edward : Je t'aime encore plus Isabella Cullen
Pourquoi faut toujours que tu surenchérisses ?
Edward : Et voilà qu'elle recommence, tu peux pas te taire deux secondes, et m'embrasser comme tu sais si bien le faire
Je trouve que c'est une belle fin pour mon journal intime...J'ai plus le temps d'écrire ma vie, juste de la vivre.
XOXO Isabella Cullen ;)