Comme toute chose à une fin, je poste le dernier chapitre d'immortel. Je déteste les histoires à rallonges dans lesquels ils ne se passe presque plus rien, je ne veux donc pas écrire une suite juste pour écrire.
L'histoire s'achève donc ici :'-)
Je fini bien sur sur un POV Edward, la boucle est bouclée :D
Je remercie toutes celles et ceux qui m'ont lu et reviewé.
Je vous demande aussi de remercier par review ma chère et tendre Vivi, ma fan n°1 et ma courageuse béta, sans qui mes fictions n'existeraient pas.
Je vous souhaite bonne lecture et j'espère à bientôt sur une autre fic :D
Bisous Vivi, je t'aime 3 :D
Disclamer: Tout appartient à S.M. Nous ne faisons que jouer avec ses personnages.
-Mlle Isabella CULLEN, voulez vous prendre pour époux Mr Edward MASSEN ici présent. Promettez vous de le chérir et de l'aimer, dans la joie comme dans l'adversité et de lui être fidèle et dévouée ici et maintenant, et jusqu'à l'heure de votre mort.
Isabella noie son regard dans les yeux dorés de son amoureux. Elle est comblée plus qu'elle ne l'avait rêvée. Elle est d'autant plus radieuse. Alice a ramené sa robe de mariée haute couture directement de Paris. Une robe crème, en soie crème et beige, avec des touches de bleu porte bonheur. Le cerceau est si grand que l'assemblée se demande comment elle pourra bien approcher le marié pour l'embrasser. Des lacets épais plus foncés sur le devant et noués tel un corset font remonter sa belle poitrine. La traine cuivrée en mousseline fine et transparente est démesurément grande. Elle est difficilement manœuvrable et une partie est encore à l'extérieur de l'immense salle de bal. Le tout, cheveux compris, est parsemé de fragments de plumes de paons, de petites roses Bordeaux, de petits diamants, et de motifs brodés aux fils d'or. Une parure complète en diamant, impressionnante, qu'on pense sortie de la collection des joyaux de la reine d'Angleterre, vient compléter le tout.
- OUI, JE LE VEUX.
Sa voie chantante fait courir un frisson de bonheur parmi les invités.
Elle passe l'anneau qui devait les lier à jamais, au doigt d'Edward. Un anneau en or cuivré très large qui s'accorde avec sa belle chevelure flamboyante. Sa main tremblote devant l'irréalisme de la scène.
Il est sien.
- Mr Edward MASSEN , voulez vous prendre pour épouse Mlle Isabella CULLEN ici présente. Promettez vous de la chérir et de l'aimer, dans la joie et dans l'adversité et de lui être fidèle et dévoué ici et maintenant, et jusqu'à l'heure de votre mort.
Edward aussi se noie dans les yeux miel de sa belle. Il nage enfin dans le bonheur. Il allait tirer un trait complet sur son passé et devenir Mr Edward CULLEN. Il allait oublier ce qu'il avait été pour se donner entièrement à Bella. Alice avait ramené son costume en même temps que la robe de Bella. Il s'agit d'un costume queue de pie entièrement blanc dont les pans de la veste touchent le sol. Le revers de la veste est en satin blanc, comme la pochette assorti ainsi que le revers de pantalon et le tour du haut de forme. Sa chemise blanche en soie porte un jabot imposant. Sa ceinture en croco blanc assortie aux chaussures est des plus inhabituelles. Seule une rose bordeaux et un nœud papillon Bordeaux viennent trancher son costume d'ange. Il garde son haut de forme sous le bras. Une montre Rolex titane directement fabriquée sur commande en Suisse trône à son bras.
- OUI, JE LE VEUX
Sa voie puissante trahit son désir d'appartenir à Bella. Si l'assemblée n'était pas si surnaturelle, on aurait certainement eu droit à quelques évanouissements. Alice la première, malgré le fait qu'elle revivait la scène pour la dix millième fois.
Il passe l'anneau au doigt de Bella. Il prend son temps et s'attarde à profiter du satin frais de sa peau. Cette bague qui coulisse lentement sur son doigt vient finir de sceller leur union. La bague en or blanc est finement ciselée tel un enchevêtrement harmonieux de petites racines rehaussées ici et là, de fins diamants cristallins.
Elle est sienne.
- Je vous déclare unis par les liens du mariage, déclare alors Carlisle dont le visage irradie de joie.
- Vous pouvez embrasser la mariée.
- Vas-y frérot ! C'est le moment, assure les cachous !
Le cerceau souple s'écrase à l'approche d'Edward au grand soulagement de tout le monde.
Leurs yeux se rapprochent, leurs mains se trouvent instinctivement. Leurs doigts s'enlacent. Leurs lèvres s'attirent inexorablement. Plus rien n'existe sinon eux. Ils sont seuls dans un nuage qui gomme toute vision, tout bruit, toute odeur. Leurs nez se frôlent, ils ferment les yeux, entrouvrent les lèvres. Leurs haleines se mêlent. Un choc électrique les parcourt lorsqu'ils se touchent. Ils se savourent. Ils se goutent comme au premier jour. Leurs langues viennent se retrouver, se caresser sensuellement. Leur parfum les enivre.
...
Leurs bouches se quittent. Leurs regards se retrouvent. Ils se tournent vers la foule sous un tonnerre d'applaudissements, de cris, de sifflets et de vivas. Leurs doigts refusent de se démêler. Edward reçoit un puissant jet de riz dans la face.
La soirée est extraordinaire. La musique doit s'entendre jusqu'à Seattle. La salle est richement décorée. Alice en est fière, c'est dire la démesure. Des fontaines de Champagne de trois mètres, des tables de fruits sculptés, des pièces montées qui frôlent le plafond dont certaines sculptées à l'effigie de Bella et Edward. Des fleurs et des plantes rares dans tous les coins diffusent leurs parfums délicieux.
Les invités sont conquis. Jake, le témoin d'Edward est détendu, tout comme ses frères et sœurs. Les autres invités aussi, personne ne se permet la moindre remarque sur la proximité des loups et des vampires. La maison des Cullen est territoire neutre. Lestat profite de la soirée regrettant seulement le régime alimentaire imposé. Qu'importe. Il ira finir la nuit dans une boite Newyorkaise. Égal à lui même, il profitait de sa non-vie au maximum et avait oublié Bella dans les bras d'une blonde pulpeuse du clan des Denali.
Tous les Cullen sont aux anges.
La robe dorée moulante de Rosalie assortie à la longue chevelure blonde fait fureur. Elle danse et rit de bon cœur.
Alice est merveilleuse dans sa robe en mousseline blanche et verte. Sa joie déborde plus que d'ordinaire, c'est dire.
Jasper porte son uniforme de cérémonie d'officier Sudiste, épée comprise. Il pouvait enfin profiter de la compagnie d'Edward, enfin le peu de temps que Bella s'écartait de lui, c'est dire combien il fallait être rapide.
Qu'importe, ils s'appréciaient grandement et se rattraperaient plus tard.
Esmée, dans sa robe de soirée noire et argent, est resplendissante. Le bonheur d'avoir un nouveau fils est sans égal pour elle. Avec Carlisle, en costume crème, ils sont des hôtes exemplaires et attentionnés.
Emmett est surexcité. Le costume d'Edward en témoigne, il est perforé de multitudes de petits trous fait par les grains de riz tirés plus puissamment qu'avec un fusil de chasse.
...
La jarretière est un combat épique entre Alice et Emmett.
Tout le monde ayant capitulé rapidement. On trouve maintenant dans le pot mis à part une quantité impensable de billets verts, appartements, chalets à la montagnes, villas aux quatre coins du monde, bateaux, voitures, jets privés, iles paradisiaques.
Mais comme toujours, la lutte est vaine contre Alice qui remporte la mise avec une collection d'œuvre d'art à faire pâlir le British Muséum.
Edward passe son costume de rechange queue de pie Bordeaux, rose blanche et nœud papillon blanc prévu par Alice.
Apres trois jours entiers de fête non stop, Bella et Edward embrassent chaque invité et prennent congé dans une limousine blanche de quatorze mètres de long qui tombe en panne après seulement quelques mètres.
Merci Emmett. Rosalie règle le problème en un clin d'œil. Ils repartent, trainant un flot de casseroles et une pancarte Just Married Power, prendre leur jet privé, puis une deuxième limousine qui les amène vers une destination surprise offerte par Alice.
...
_oO°
...
POV Edward
Je suis maintenant solidement sanglé, comme Bella. Je la vois, juste à ma droite, mais regrette de ne pas pouvoir la toucher. Alice est décidément folle. Des vibrations intenses commencent à nous secouer dans un vacarme assourdissant. Le compte rebour arrive à son terme. Five... Four... Three... Two... One... Zéro...
Une poussée extraordinaire nous scotche au siège. Une poussée d'accélération de plusieurs G nous arrache au sol pour notre plus grand bonheur. La sensation est exceptionnelle, inoubliable. Mon corps pèse plusieurs centaines de kilos. Je profite entièrement de cette puissance alors qu'un humain perdrait sûrement connaissance.
...
Après trois heures de vols, nous sommes enfin libérés. La sensation d'apesanteur est magique. Je vole vers Bella et nous nous embrassons amoureusement. Nous profitons du spectacle unique. Notre petite planète ronde et bleu devant nos yeux nous émerveille. La vision indescriptible qui passe dans nos yeux de vampire surdéveloppés est féerique. Nous restons un long moment l'un contre l'autre flottant dans le cockpit de la navette spatiale. Avant de rejoindre la partie privée qui nous est réservée.
…
Nous ôtons nos épaisses combinaisons. Je me retrouve en caleçon moulant doré (merci Alice) qui valorise mon petit cul ferme et mon paquet.
Bella me fixe de son regard de braise, vêtue d'un body doré assorti à mon caleçon.
Ses formes sont parfaitement mises en valeur. Je parcoure du regard les courbes de son corps de déesse. Sa croupe, la chute de ses reins, son dos, ses seins, ses jambes. Je nage vers elle et passe ma main dans ses cheveux fins.
Nous nous embrasons fougueusement. Nos mains parcourent nos corps pour les apprivoiser. Le tissu de son body fin et délicat parait rêche comparé à la douceur de sa peau. Elle s'éloigne. Seuls nos parfums mêlés nous relient encore. Elle défait son body qui part flotter dans la cabine. Je la vois entièrement nue pour la première fois. La vision est enchanteresse. Je souhaite bondir sur elle mais je me retiens, savourant chaque détail des parties de son corps qu'elle m'offre enfin.
Ses petites fesses bombées qui attirent la main. Ses seins parfaits et fermes. Ses auréoles roses cerclent ses tétons qui pointent de désir. Sa fine toison châtain clair forme un V qui désigne son fruit défendu. Son abricot d'amour totalement lisse qu'il me tarde maintenant de croquer.
- Je n'ai pas de mot pour décrire ta beauté Bella. Tu as le corps le plus attirant de la création.
- Qu'attends-tu pour céder à la tentation dans ce cas Edward ? Viens prendre possession de ta femme. Je t'offre mon corps sans retenue, offre moi le tien, souffla-t-elle.
Mon caleçon va rejoindre son body libérant mon sexe maintenant tendu pour elle. Nous nous observons un moment avant de nous rejoindre. Nous frottons nos corps laiteux plus doux que le satin l'un contre l'autre. Chaque contact provoque un frisson persistant tant l'émotion est grande. Nous caressons chaque parcelle de nos corps dans un ballet gracieux, planant entre sol et plafond. Aucun contact ne vient parasiter les sensations de toucher de nos peaux qui s'épousent.
- Je te veux Edward. Je veux ta peau. Je veux ton sexe.
Ma langue débute les hostilités. Je commence à parcourir sa peau. Sa respiration s'accélère. Elle frissonne. Sa langue ne tarde pas à m'imiter. La sensation est divine. Je goute au plaisir de sa peau. Nos langues se croisent, se liens puis reprennent leurs exploration. Je m'attarde sur ses seins délicats. Je m'occupe de ses bouts ce qui la fait gémir doucement. Sa langue trouve mon torse musclé et dessine mes pectoraux vigoureux pendants que je suce ses doigts. Elle descend sur mon ventre puis rencontre ma verge tendue. Je soupire d'aise.
- Ta queue est immense Edward. Tu crois que je peux la croquer ?
Ses paroles coquines portées par sa voix de miel déchainent en moi des vagues d'excitation.
- Hoo oui. Il est gonflé pour ton plaisir.
Elle lèche consciencieusement mon sexe long et large, elle profite de mon gros gland rose. Sa langue est un délice. Elle caresse mon sexe et mes fessiers de ses mains habiles.
L'apesanteur décuple nos sens éveillés.
J'attrape une de ses jambes et la ramène vers moi. Elle s'occupe toujours délicieusement de mon sexe, le suce, l'avale, le lèche avec ferveur. J'ai maintenant la splendide vision de son entrejambe, ses lèvres sont gonflées et moites, ses petites lèvres friponnes semblent me tirer la langue et appeler sensuellement la mienne. Son petit lotus rose entre ses fesses est exquis. Cette vision érotique m'invite à m'approcher, une vague parcourt ma queue toujours lapée par Bella. Je me laisse guider par le parfum salé de son nectar. Mes lèvres rencontrent ses lèvres tièdes. J'y dépose d'abord un baiser qui la fait sursauter.
Je la hume. Quelle odeur excitante. Je bande doublement. Bella s'en rend compte et gobe mon gland avidement, ca la fait gémir.
- Es-tu prête à recevoir ma langue mon amour ?
Elle prend une profonde inspiration à cette requête. Je prends cela pour un oui.
Je passe ma langue sur ses cuisses, sur ses lèvres, puis rejoins son clitoris. Ses gémissements étouffés me poussent à y rester. Je découvre son sensible petit bouton rose et l'entoure délicatement de ma langue humide. Les gémissements redoublent. Je continue précautionneusement. Le goût de son liquide vaginal emplit ma bouche. Des petites gouttes telles des perles de rosée s'échappent de son antre et viennent flotter dans la pièce.
Je passe entre ses grandes lèvres, puis aspire son clitoris, reviens à ses petites lèvres. J'insinue ma langue dans son intimité qui coule d'envie, son cri de plaisir m'accompagne. Je ressors et fais de même avec son petit trou. Elle halète maintenant. Je me délecte de son jus savoureux. Aspire son capuchon, ses lèvres charnues, retourne explorer ses trous inondés, ma queue n'en finit pas d'aller et venir dans sa bouche chaude et trempée. Mes mains écartant ses fesses fermes, sa poitrine tendue sur mon ventre, ses mains malaxant fermement mes fesses.
Nous jouissons ensemble unis dans cette position merveilleuse, hurlant notre plaisir tout en se bâfrant de nos sexes maintenant agités de spasmes et déversant leurs liquides sur nos bouches assoiffées.
Je retourne le souffle coupé vers sa bouche. Nous sourions, haletant au milieu des petites flaques volantes autour de nous. Nos langues se retrouvent et nos jus se mélangent dans goût digne d'une boisson d'Eros.
Elle se détache, me fixe, son regard brule d'envie. Un besoin de sexe incontrôlable.
- Prends-moi Edward. Prends-moi maintenant. Je veux que tu me pénètres là, tout de suite. Ma chatte est en feu, elle n'attend que ta queue.
Ses paroles hachées par son halètement me rendent fou.
Je la pénètre d'un trait, ma pine glisse en elle, poussant les parois de son antre inondé, jusqu'à buter dans son ventre. Elle hurle de plaisir jetant sa tête en arrière. Le mouvement puissant nous fait virevolter en l'air. La cabine tournoie autour de nous. Je rentre et sors rapidement de son sexe dans un bruit de mouille affolant. Mon ventre vient taper son clitoris à chaque coup de rein qui lui arrache un cri jouissif.
Elle se mord la paume de la main les yeux clos, elle me griffe la poitrine de son autre main. J'agrippe ses hanches. Ses parois vaginales se contractent et pressent mon sexe dur comme du marbre. Ses seins ballottent au rythme du mouvement frénétique de mes coups de hanche.
Je la tire vers moi pour qu'elle s'empale encore et encore.
Jusqu'à ce que notre orgasme nous foudroie une fois de plus. Une jouissance dévastatrice qui nous scelle ensemble. Nos fluides se mélangent dans une secousse brutale. Nos cris doivent s'entendre jusque sur la terre.
Nous sommes un et unique pour l'éternité.
:D