Note de l'auteur : mini fic cadeau pour Syura, beta forcé qu'a pas son mot a dire ! XD (et fallait savoir ce que tu voulais, coco, si ça t'plait pas, tant pis !:p) Encore un os court, mais bon, hein, c'est pas la taille qui compte\o/

A écouter en même temps : Te Quiero Puta, de Rammtein.


Pour tous, Shura du Capricorne, c'était la classe incarné. Une dévotion sans faille, une attaque qui poutre, une force et une vitesse peu commune.

Tout ça, en plus d'être bel homme, poli, gentil, aimable avec tout le monde, sans distinction de rang.

Pour les apprentis qui le regardaient avec envie, c'était celui dont ils voulaient tous prendre la place et quand il venait dans les arènes, celui qu'ils écoutaient religieusement, sans jamais oser l'interrompre, ni le questionner. Ils prenaient ce qu'il voulait bien leur donner, sans conditions.

Pour les femmes qu'il croisait les rares fois où il descendait à Rodario, il était le gendre parfait, celui dont on ne peut que rêver, celui sur lequel elle se retournait en riant doucement, et rougissant quand il leur jetait un regard amusé.

Pour les Argents et les Bronzes, il était d'Or intouchable, inapprochable, parler de lui était inconcevable, ils se contentaient de le saluer quand il daignait passer près d'eux.

Pour les autres Ors, il était un des assassins du Pope, avec cette dévotion particulière à Athéna, qui le mettait un peu à l'écart, et cette politesse que tous devinaient de façade. Pour eux, Shura était quelqu'un de spécial, d'un peu étrange.

Pour Aiolia, il était celui qui avait tué son frère, celui a qui il devait cette infamante réputation au sanctuaire, de traitre en puissance il était l'homme à abattre, un jour, quand il craquerait, que le poids de cette étiquette de traitre en puissance deviendrait insupportable. Il était l'objet de sa haine absolue.

Pour Saga, il était son jouet. Celui dont les cris de l'âme prisonnière le ravissait. Sa marionnette préféré, que même les cris de protestation de cette détestable bonne moitié ne pourrait sauver de sa damnation. Celui dont il jouissait corps et âme. Son favori.