Et oui, voilà Miyuki qui revient avec une nouvelle fanfiction, ne vous en faîtes pas, je ne délaisse pas l'autre pour autant ! ^^
Alors, par où commencer... Ah oui ! Bien sûr, Sasori et Deidara ne sont toujours pas à moi ! Mais tout le reste m'appartient (Quoi que, la ville de Montpellier ne m'appartient pas mais on va faire comme si puisque j'y vis ! MOUAHAHAH ! XD).
Rating : Hm... Je sens que je vais décevoir les perverses qui lisent en parallèle Pour notre plus grand Bien... T. Et oui ! Lemons are out there ! Mais ne vous en faites pas, j'arriverai à vous combler même sans décrire... =P
Alors... Je sens qu'une question risque de tomber... D'où t'est venue cette idée ?
Hm... Déjà, je tiens à préciser un truc. J'ai un rêve. Et ce rêve, ce serait de publier un roman, un jour... Plusieurs si je peux, mais au moins un. Et j'y travaille actuellement. ^^ Et oui, je commence à écrire un vrai roman à coté, dans l'ombre...
Et bien, cette fanfiction qui à la base n'en était pas une, était une idée de roman que j'ai eu. Bon, au début, Deidara s'appelait Daisuke et Sasori, Satoru. -.-" Mais j'ai craqué. On ne quitte pas le Sasodei comme ça, croyez-moi !
Sur-ce, je vous laisse lire en espérant qu'elle vous plaira. =)
Deidara.
Ma première année aux Beaux Arts, un rêve enfin réalisé. Toutes ces années de dur labeur aurait-elle finalement porté leur fruit ?
... Hm. Ma foi, oui. Ces trois années dans un lycée ringard, dans le seul et unique but de décrocher un bac Arts et Musique, n'auront donc pas servi à rien ! Bien au contraire, elles m'ont permise de préparer mes petites mains à faire leurs preuves, à améliorer mes techniques,...
J'ose avouer, cela étant, que mon ambition ne s'est pas concrétisée sans peine : Mes relations familiales, ma popularité dans l'établissement scolaire où j'étudiais, mon côté quelque peu fêtard et mêmes certaines amitiés ont du être sacrifiées, détériorées voire réduites à néant -Je pense notamment à la relation que j'entretiens avec mes parents.
Mais bon, travail, travail, travail... Qu'est-ce que trois années de travail intense lorsqu'après on peut avoir une vie détendue et paisible ? Rien. Absolument rien.
Cela dit, ces années ne m'ont peu être pas que nuit... J'ai enfin pu, grâce à elles, adopter le style et le mode de vie que j'avais toujours ardemment désiré : Fini les affreux pulls aux cols en V, je vous quitte pour les jeans serrés, les chemises et les vêtements customisés par mes petites mains que j'aime tant ! Et puis mon appartement est devenu le petit nid douillet qui me représente vraiment, à la fois confortable et coloré...
Hm ! Mais, voyez-vous, tout était trop parfait.
Car, alors que mes cours commençaient dans la prestigieuse école d'arts, Dieu -Allez savoir pourquoi il a décidé de se manifester celui-là !- a choisi de mettre sur ma route un garçon... Disons, pour le moins surprenant.
Hm... C'est fou ce qu'il peut m'énerver...
Sasori.
Je suis content d'avoir enfin trouvé ma voie. Comprenez-moi, à vingt-deux ans, il était temps que je trouve quel allait être mon futur métier !
Car, je me suis rendu compte d'une chose : J'ai beau adorer la cuisine -Comme mon père, en fait-, je préfère largement sculpter. Et puis, venant de m'installer en France, avec une école d'arts aussi réputée à côté... Enfin ! Disons que mon choix a été vite fait !
Je crois que s'il existait un mot pour résumer mes pensées, ce serait « enfin ». Et oui ! Ce mot, ce « enfin », je l'ai attendu avec une impatience fébrile, une excitation croissante... Ce jour où je pourrai prononcer ce précieux sésame, je l'ai fantasmé durant des mois, mais il a fini par arriver. EN-FIN !
Mon arrivée dans l'Hexagone marquait le début d'une nouvelle ère. Le moment était venu de me construire une vraie vie parce que, du haut de mes vingt-trois ans, j'ai presque déjà fait le tour du monde.
Les conséquences d'un tel passé sont, bien évidemment, énormes : Peu voire pas d'amis, des dizaines d'amourettes furtives, une scolarité très -Oh oui !- délicate,...
J'ai beau être japonais et avoir vu le jour un certain 14 Novembre dans la ville de Kyoto, je ne me souviens pas de la beauté de cet endroit. Je résumerais mon identité à une mosaïque de langues, de saveurs, de musiques, à dormir dans une voiture ou un avion en compagnie de mon père... Oui. Un pot pourri de cultures coule dans mes veines.
Et voilà pourquoi j'aimais cette récente liberté, cette maison que je venais tout juste d'acheter...
C'était symbolique pour moi : Tout ceci était ma renaissance, mon nouveau départ.
Il ne manquait à mon petit bonheur que l'amour. Mais bon, si l'on me fuyait, c'était pour une bonne raison : Plus qu'un simple goût personnel et très proche du tic ou de la manie, j'aime manipuler les autres comme des petites marionnettes obéissantes. Et ça, j'ai beaucoup mais alors beaucoup de mal à le contenir.
On a beau m'avoir dit de faire des efforts, cette saleté reste cramponnée à moi !
Mais, alors que ma vie aux Beaux Arts commençait, le destin m'a fait croisé la route d'un petit blond efféminé qui, il faut bien l'admettre, allait beaucoup m'occuper...