Coucou tous le monde !

Alors juliet1802 et moi (bichou85) écrivons une nouvelle fiction.

Assez vulgaire, classé M à cause du langage.

Bonne lecture !


Boxer et de la rue

Chapitre 1 :

POV de Bella :

«Vas te faire foutre pétasse! »

Oh elle m'énerve, je vais lui faire ravaler ses nichons siliconés à celle là si elle continue.

« Ah ouais et tu vas me faire quoi ? T'es qu'une salope ! »

« Répète un peu pour voir ? »

« T'es. Qu'une. Salope ! »

Ouais cette fois je me la fais. Je serre les poings, mes jointures blanchissent sous la force et mon poing part direct dans le nez de cette pétasse blonde qui se croit meilleure que tout le monde. Non mais pour qui elle se prend, elle ne sait pas qui je suis ça se voit. Je la regarde qui s'essuie le nez et tourne le dos. Mhh ça fait du bien, je devais me défouler et elle était là pile poil au bon moment.

Je vous raconte un peu de mon histoire. Pour que vous compreniez pourquoi cette pétasse blonde est venue me chercher des embrouilles. Pour commencer, je m'appelle Bella Swan et j'ai 25 ans. Je travaille, enfin si on peut appeler ça un travail. Je fais des combats de boxe et je réduis la criminalité dans mon quartier. Je n'en ai pas le droit, mais c'est un défouloir, il y a tellement de connards qui se donnent le droit de violer des gamines, de les droguer jusqu'à l'overdose. Peut être que ce que je fais est illégal, mais au moins j'ai ma conscience tranquille quand je tabasse un mec qui se croit plus fort que tout le monde. Je suis déjà tombée sur plus dur que moi, faut pas croire, je me suis prise de sales raclées, mais ça ne m'empêche pas d'être respectée dans le quartier. Je gagne plutôt bien ma vie et je suis propriétaire de mon appart. Je vais vous raconter comment j'en suis arrivée à me battre.

Alors tous a commencé pour mes 14 ans, je vivais avec mon père à Seattle, ma mère avait disparu après ma naissance, et donc mon père s'est occupé de moi. Il a bien fait son boulot, je ne peux pas le nier, mais il passait tellement de temps à son boulot que j'ai commencé à faire des conneries pour me faire remarquer.

Bon vous me direz ce n'est pas très intelligent, mais, pour moi, c'était la seule façon pour qu'il me voit. Donc je traînais avec les bandes louches de Seattle, où j'ai appris à me battre, boire, me droguer et tout. Je me suis retrouvée plusieurs fois au commissariat, avec mon père, accusée de pas mal de choses, alcool sur la voix publique, détention de drogue ... Je voyais la colère montée dans le regard de mon père. Mais je m'en fichais, tout ce que je voulais c'est qu'il me porte un minimum d'attention. Ce qu'il a fini par faire, il rentrait le soir plus tôt et nous faisions des sorties tous les deux. Je ne touchais plus à la drogue, ni à l'alcool, et je reprenais mes études normalement. Mais un soir, j'avais 17 ans, j'étais chez moi seule, mon père m'avait prévenue de son retard du à une affaire, donc que je ne devais pas l'attendre. J'ai préparé un semblant de repas rapide et me suis installée dans mon sofa en pyjama. Et vers 22h on toqua à ma porte. Je pensais que mon père avait oublié ses clés, mais c'était un de ces collègues. Marc je crois, un jeune agent qui venait juste de rentrer au commissariat. Mon père en faisait des éloges. Je l'ai fais entrer, sans comprendre ce qu'il faisait la et je n'ai pas eu le temps de réagir qu'il m'a plaquée contre un mur.

Je me débattais, mes poings sont partis dans sa tronche mais ça ne l'a pas arrêté. Au contraire, ça avait l'air de l'exciter cet enculé. Il m'a violée, mais vraiment, il n'a pas attendu de savoir si j'étais vierge ou non, si j'étais prête ou non, il m'a littéralement fais hurler de douleur pendant tout le long de sa manœuvre. Une fois qu'il a terminé, il s'est relevé, s'est rhabillé et est parti. Je l'avais marqué sur le visage, pas de doute. Je me suis redressée difficilement et je suis allée prendre une douche, pour retirer le sang et surtout retirer son odeur. Je pleurais toute les larmes de mon corps. Quand mon père est rentré quelques heures plus tard, j'étais dans le canapé me balançant d'avant en arrière entrain de pleurer. Mon visage était bouffi, rouge, mes yeux était gonflés. Mon père est venu devant moi, le visage dur et impénétrable. Je ne comprenais pas exactement ce qu'il se passait, il me parlait d'une voix dure :

« Bella, Marc est venu me voir et m'a dit que tu l'avais tabassé ! Ne nie pas, j'ai vu son visage ! »

L'état dans lequel je me trouvais, ne lui a pas sauté aux yeux. Pour lui, je regrettais simplement mon action sur ce flic de merde. Je me suis levée, j'ai regardé mon père droit dans les yeux et lui ai dit :

« Soit, tu as vu son visage, mais tu n'as pas vu les circonstances. Maintenant, crois un flic de merde que ta propre fille. Je me casse, je ne reste pas dans une maison, où on me prendra pour une menteuse et où les soit disant hommes qui doivent faire respecter les lois, les ruinent en un simple mouvement ! »

Je me dirigeais dans l'escalier quand mon père me rattrape le bras pour que je lui fasse face mais je me dégageais rapidement. Il me regardait méchamment.

« Ouais et où vas-tu allé ? Faire la pute dans les quartiers de merde de Seattle ? Tu vas faire quoi sans moi, te droguer, comme tu le faisais avant ? » Cria-t-il

« Tu sais quoi Charlie, j'ai pas besoin de toi ! Vas donc consoler ton putain de collègue de bureau, vu qu'il ta dit la vérité. Moi j'ai rien à dire, de toute façon ta place est au poste de police non ? C'est tout ce que tu sais faire ! »

Et de là j'ai remonté les escaliers, pris ma valise, mes effets personnels et quitté cette putain de baraque.

Depuis ce jour, je vis dans un quartier de New-York. J'ai étais prise sous l'aile d'une femme très charmant. Léna. Adorable en tout point, elle m'a aidé à me sortir de la dépression. Et elle m'a parlé de faire de la boxe, pour me divertir, faire ressortir cette colère que j'ai en moi contre tous ces putains de flic, ma famille et tous ces connards qui se croient meilleurs que moi. Je me suis entraînée et entraînée. Léna était mon entraîneur et vers mes 23 ans elle m'a parlé des combats, pour me faire du fric. D'après elle, j'avais un très bon niveau. J'ai accepté, de toute façon j'avais rien d'autre à faire, je devais gagner du fric pour aider Léna et m'installer. Le premier combat a été génial, j'ai battu la pétasse devant moi par KO en 3 rounds. Et depuis, je suis une terreur sur un ring. Je me suis fais un nom dans le milieu et les paries sont de plus en plus gros. Et moi, j'ai de plus en plus de colère à évacuer. Je l'évacue aussi sur les dealers, dès que je les choppe à vendre de la coque à un gosse, ils n'ont aucune chance, ils savent que si je les choppe ça fera mal. Je suis peut- être petite, menue, mais j'ai un bon crochet du droit et une force digne d'un homme. Donc ils ne me cherchent pas longtemps. Et surtout mon plus gros défouloir est les violeurs. Quand une jeune fille vient me voir et me dit que tel ou tel gars, l'a violée, je pars dans une fureur noire et je me charge de son cas. Généralement leur service trois pièces morflent, et ils ne peuvent pas s'en servir pour un moment. Les filles savent que moi je les soutiendrais, donc elles viennent me voir, la honte se lisant sur leur visage, ce que je ne supporte pas. Dans le quartier je suis une icône avec Léna. Les filles viennent parce qu'elles savent que je suis passé par la pour la plupart.

Vous me direz il faut prévenir les flics, mais ces connards de flics ont peur de venir dans le quartier et de toute façon ils ne les croiront pas. Pour eux, toutes les filles vivant ici sont des putes et donc ne bougent pas pour elles. Avec Léna, nous les aidons aussi à tourner la page. Mon appart et assez grand pour en héberger quelques une le temps qu'elles se remettent.

Bon j'en reviens maintenant à cette greluche blonde. Elle était là hier soir au combat, et son mec était l'un des plus gros parieurs. Je ne le connais pas personnellement, mais j'ai son fric dans mes poches. Donc elle était avec lui hier soir et son mec est venu me rejoindre au vestiaire. J'avoue en avoir profité, je les baisé dans les vestiaires, je me sers des mecs, de toute façon ils ne servent pas à autre chose, juste à calmer mes besoins. Donc nous baisions tranquillement dans les vestiaires quand cette pétasse blonde est venue voir ce qu'il faisait. Forcément imaginez sa tête quand elle m'a vue, les jambes entourées autour de la taille de son gars. Elle s'est mise à hurler, mais son mec n'a pas cessé de me faire prendre mon pied et juste pour la faire chier, je me suis tapé un orgasme génial juste sous son nez. Elle était furax. Normal son mec en baise une autre. Une fois que nous avons fini, je me suis habillée avec un short et un débardeur pour le début du combat avec un grand sourire sur le visage. Bon j'avoue j'ai joué la pute, mais c'est trop jouissif de se dire que cette pétasse qui se croit meilleure que tout le monde, bah c'est fait baiser par derrière. Bien détendue, je me suis dirigée vers le ring et j'ai gagné mon combat. 50000 dollars en poche, je suis rentrée chez moi pour me nettoyer avec l'aide de Léna, car même si je gagne je m'en prends pas mal dans la tronche. Et ce matin cette pétasse s'est pointée chez moi pour avoir une explication. Je l'ai conduit en bas, ne voulant pas faire cela devant les gamines et me suis postée devant elle.

« Bon c'est quoi ton problème ? »

« Tu oses demander, alors que hier soir tu baisais mon mec ? » crie-t-elle

« Eh oh baisse d'un ton la blonde, c'est ton mec qui est venu me voir, et s'il est venu c'est bien qu'il y avait une raison non ? »

« Ah ouais et laquelle ? »

« C'est pourtant évident, vas-y cherche dans ton petit cerveau ! » lui dis-je en tournant mon doigt sur le coté de ma tête.

« Non vois pas vraiment ? »

« Pffffffff t'es vraiment une blonde y'a aucun doute la dessus ! »

« Tu m'insultes là ? »

« Non, je te fais juste remarquer que t'es une blonde sans cervelle, parce que tu as la réponse toi-même ! »

Elle commence à me gonfler et je me mets en colère facilement, donc va falloir qu'elle me lâche et rapidement.

« Dis-moi-toi qui a l'air de tout savoir ! »

Un sourire satisfait s'étire sur mon visage alors qu'elle me regarde toujours aussi mauvaise.

« Si il est venu me voir c'est parce que tu ne le satisfais pas, c'est pourtant simple non ? »

« Vas te faire foutre pétasse ! »

Oh elle m'énerve, je vais lui faire ravaler ses nichons siliconés si elle continue.

« Ah ouais et tu vas me faire quoi ? T'es qu'une salope ! »

« Répète un peu pour voir ? »

« T'es. Qu'une. Salope ! »

Ouais cette fois je me la fais. Je serre les poings, mes jointures blanchissent sous la force et mon poing part direct dans le nez de cette pétasse blonde qui se croit meilleure que tout le monde. Non mais pour qui elle se prend, elle ne sait pas qui je suis ça se voit. Je la regarde qui s'essuie le nez et tourne le dos. Mhh ça fait du bien, je devais me défouler et elle était là pile poil au bon moment.