Titre: La Main du Destin

Auteur : Idika

Traductrice: Syriel1

Beta-Reader: Orlinac

Rated: T/M

Résumé : Hermione a toujours été considérée comme la sorcière la plus intelligente de sa génération. Son intelligence a coûté cher à Dumbledore lorsqu'Harry a reçu quelque chose de précieux.

Avertissements : Crossover Harry Potter/Twilight (mais pas tout de suite). Slash. Complètement UA à partir de La Coupe de feu.

Couples : Edward Cullen/Harry Potter, Alice Cullen/Jasper Hale, Rosalie Hale/Emmett Cullen, Hermione Granger/ Drago Malefoy, Ron Weasley/pas encore décidé

Disclaimer : La saga Harry Potter appartient à J.K. Rowling et La saga Twilight appartient à Stephenie Meyer.

Chapitre 3:

Le Manoir Jedusor été un lieu désolé. Il été tombés en désuétude au fil des ans mais il y avait autre chose qui semblait corrompre l'air qui entourés le majestueux manoir. Quelque chose forçait les gens à se détourner ou à le regarder avec une crainte profonde et instinctive.

Autrefois, c'était une très belle maison où vivaient des personnes très superficielles. Maintenant, il abritait le Seigneur des Ténèbres.

Lord Voldemort était assis dans son étude, les yeux dans les flammes rugissantes de la cheminée, pensivement. Enfin, après plusieurs années passées en « fantôme », Il était dans sa pleine puissance. Il ne se souciait pas que son corps soit inhumain et que ses adeptes le considèrent avec plus de dégout que de respect.

Ils connaîtront bientôt leurs places.

Il leva un bras et examina ses ongles, songeur. Il devait faire des plans maintenant qu'il avait sa pleine puissance. Le fait que le ministère avait refusé sa résurrection était une aubaine pour lui.

Son premier ordre du jour était d'aller chercher ses fidèles mangemorts emprisonnées à Azkaban. Bellatrix avait toujours était sa préférés.

Il se demandait brièvement si la perte du manoir Serpentard l'affecterait. Après sa résurrection, il n'avait pas été accepté dans l'ancienne propriété. Il avait également été interdit des coffres Gringotts de ses ancêtres.

Il était furieux. Il avait été la première personne depuis des centaines d'années qui avait été jugé digne d'être l'héritier de Serpentard, non seulement par le sang mais par la magie aussi. Il fut le premier parmi les descendants de Salazar Serpentard depuis lord Edmund Serpentard, à porter les yeux superbes vert Serpentard.

Bien sûr, après lui, son cher fils avait rapidement suivi.

Soudain, ses traits inhumains se tordit en une expression qui été toute aussi inhumaine. La perte de son enfant avait été tout aussi, sinon plus, douloureuse, que la perte de sa compagne.

Rhyian Thomas Jedusor.

Le nom qu'il avait méticuleusement choisi pour son héritier. Il n'y avait rien d'ordinaire à ce sujet. Rien de commun et moldus. Rhyian était un nom glorieux pour son petit miracle aux yeux verts. Il n'avait pas donné beaucoup de choix en la matière.

Son fils méritait le mieux.

Les flammes qui brûlaient dans la cheminée vacillèrent dangereusement alors qu'une brise de vent circulait dans l'étude. Voldemort calma sa magie avec un grognement quand elle répondit à sa rage. Sa magie avait toujours répondu agressivement quand il pensait à son enfant perdu.

Brusquement, il s'arrêta, ses yeux cramoisis, atterrissant sur six orbes de lumière qui planait soudainement devant lui. Instantanément, sa main alla vers sa baguette, prêt à se défendre. Cependant, avant qu'il ne puisse faire quoi que se soit, l'un des orbes fonça vers lui, claqua sa poitrine, le paralysant efficacement avec une hausse soudaine de magie.

Pendant les minutes qui suivie, il ne pouvait que regarder les orbes qui un à un, s'enfoncer dans sa poitrine. Il ne ressentit aucune douleur, seulement un engourdissement et une certaine augmentation monumentale de sa magie.

Le dernier orbe semblait s'attardés d'incertitude avant de le frapper.

Il fut un moment immobile et Voldemort se regarda, déconcerter.

Soudain, son corps explosa de douleurs. Un cri lui échappa, la douleur été insupportable et il tomba en avant, heurtant durement le sol. La douleur n'était pas seulement physique, elle allait jusqu'au fond de son âme. Il était submergé par le remords qu'il ressentait. Il était noyé par le chagrin, la culpabilité et le dégout. Tous les pêchers qu'il avait commis dans sa folie l'agressèrent.

Il avait commis un crime contre la Nature en sciant son âme en morceaux et celle-ci venait de le punir pour ça.

Il sanglota, ses mains en poing frappant le sol, la douleur disparu, le laissant vide et en même temps complet.

Il lutta faiblement pour s'assoir, ses mains pale mais de forme humaine, sur le parquet.

Au moment où il pensait que c'était fini, il fut agressé de nouveau. Cette fois, c'était les souvenirs de chaque Horcruxes qui écrasés ses compétences d'Occlumencie. Il gémissait très bas, la tête palpitante, fermant ses beau yeux vert, ses doigts saisissant sa chevelure de jais douloureusement alors qu'il roulé sur lui-même, le visage mouillé de larmes.

Il n'y avait pas beaucoup à voir ou à assimiler jusqu'à ce que les souvenirs de son dernier Horcruxes sortent du lot involontairement.

Son impuissance s'échappa de ses lèvres alors qu'il regardait les souvenirs de son ennemi juré.

Harry James Potter.

Regardant comment il grandit sous l'indifférence de ses proches, étrangement soulagés de constatées que l'abus s'était limité à quelque coups et des mots brutaux.

Il regarda les premières années de l'enfant à Poudlard, un faible sourire narquois, quand il réalisa qu'il devrait être à Serpentard.

Tout semblait en ordre. Il trouva la lente désillusion du Golden Boy amusante. Il trouva satisfaisant de constaté que Dumbledore ne les avait pas tous dupés, encore moins son précieux sauveur.

Les souvenirs de l'amie sang de bourbe de l'enfant et de sa vive intelligence le surpris. Surtout quand il découvrit qu'elle, une sang de bourbe, de toutes les personnes possibles, était la personne qui avait poussé Harry à se questionner sur ses buts et ceux de Dumbledore.

Un bruit étouffé lui échappa,

« Rhyian …»

Incrédule, il regarda les événements qui se sont déroulé à Gringotts, pas sur de l'implication de Severus et Lucius et encore sous le choc. Harry Potter avait été son fils depuis le tout début.

« Par Salazar, … » murmura Voldemort, sa main pale et tremblante alla se mêler dans ses cheveux. « J'ai failli le tuer. » Il réalisa, « J'ai failli tuer Rhyian »

Il était couché sur le dos, regardant distraitement le plafond pendant qu'il assimilait les souvenirs. Il se sentait faible. Son corps n'eu la force de se déplacer et son esprit était flou, trop distraits pour pratiquer l'Occlumencie et organiser ces souvenirs.

« Twinky » appela t-'il d'une voix rauque, grimaçant quand l'elfe de maison apparut à côté de lui avec une forte détonation. « Pose-moi sur le lit et va me chercher une potion de sommeil sans rêves dans l'approvisionnement de Potions. »

« Oui Maitre »chuchota l'elfe de maison avant de docilement claquer des doigts. Voldemort gémit quand son corps endolori fut posé sur son lit douillet et ferma les yeux, attendant sa potion.

Twinky apparu à son chevet avec la potion. Voldemort regarda le flacon, vérifiant distraitement son contenu, alors il parla, « Ferme le manoir. Elève toutes les protections. Personne n'ai autorisé à entrer jusqu'au moment ou je serai réveiller. »

« Oui Maitre » avant de disparaitre.

Voldemort observa la potion pendant un moment avant de boire et de se détendre. Une fois rétabli, il irait chercher son fils.

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Lucius et Severus regarder Draco, amusé par ces exigences pétulantes de voir leur mystérieux invité. Jamais l'héritier Malfoy n'avait mis aussi longtemps pour trouver qu'il y avait un invité dans sa maison et on lui avait ordonné de ne pas le déranger. Ce n'était pas qu'il avait hâte de rencontrer l'invité, c'était plus tôt le fait que son père soit si mystérieux et secret qui avait retenu son attention.

Avant que Draco ne puisse dire un mot, Lucius se calma, ses yeux se rétrécissant.

« Lucius ? » Demanda Severus dans la confusion alors que Draco regardait son père avec inquiétude.

Lucius pâli et sauta brusquement sur ses pieds, courant de la salle, « Severus, notre Seigneur est ici. »

Severus se calma avant de se tourner vers Draco avec un éblouissement dans le regard, « Draco, allez dans notre chambre et rester-y. En aucun cas, vous ne devrez en sortir jusqu'à se que vos parents vous en donne la permission. Me suis-je me fait comprendre? »

Draco hocha la tête avant de quitter l'étude et d'entrer dans sa chambre. Il n'avait aucune envie de rencontrer le Seigneur des Ténèbres.

Lucius se précipita dans les couloirs de son manoir, juste Severus dans ses talons. D'un coup de sa baguette, il avait ouvert les quartiers autour du manoir, redoutant la rencontre. Il échangea un regard paniqué avec Severus. Cela fessait Cinq jours depuis le rituel et Rhyian ne s'était pas encore réveiller du coma dans lequel il avait glissé ce même jour. Le Seigneur des Ténèbres avait manifestement survécu au rituel et il n'y aucun moyen de savoir quel serai sa réaction.

Ils se tenaient tout deux près de l'entrer du Manoir Malfoy, quand un grand et puissant personnage apparut devant eux. Tout deux échangèrent un regard significatif.

La puissance du Seigneur des Ténèbres avait augmenté.

« Lucius … » Lucius s'agenouilla au sol, en gardant ses yeux baissés, Severus suivit docilement. « est mon fils ? »

Lucius pâli. Il avait espérer donner du temps à Rhyian avant d'avoir à affronter son père. « V-votre fils, Milord ? »

Enfin, ils osèrent lever les yeux et contempler le changement du Seigneur Sombre. Severus se calma complètement tandis que le souffle de Lucius se coupa. Ce fut l'homme qui avait tellement enchanté Lucius dans sa jeunesse, L'homme dont son père avait toujours parlé avec beaucoup de bien, le demi-sang avec une puissance extraordinaire et des relations, que les deux hommes découvrir devant leurs yeux.

Le reflet exact de cet homme dormait dans sa chambre d'amis.

Lucius broncha quand il se trouva avec la baguette de son maitre sur sa joue, « Ne joue pas avec moi, Lucius. Je suis très heureux que toi, Severus et Narcissa, ne changez pas ça. Je ne vais pas hésiter à utiliser le Doloris si je suis tenue loin de Rhyian. Maintenant, Où est-il ? » Finit-il avec un presque sifflement.

« Mon Seigneur, il dort encore mais je vais vous emmenais à lui. » dit Narcissa, émergeant du manoir, s'inclina, « Si vous voulez me suivre ? »

Voldemort leva sa main et enleva sa capuche, révélant un visage pâle et frappant. Il semblait qu'il n'avait pas plus de trente ans, son beau visage encadré de cheveux noirs ondulés et à la lumière ses yeux verts étincelait avec un brio renouvelé. Il épargna les deux hommes d'un regard, « Nous allons parler plus tard. » déclara-t-il avant de permettre à Narcissa de le conduire à son fils.

Les deux mangemorts se hâtèrent de suivre.

Narcissa s'arrêta devant la porte de la chambre de Rhyian, sa main délicatement posés sur le bois richement sculptés, regardant Voldemort. « Voulez-vous être seul avec lui, Monseigneur ? »

Voldemort se tenait immobile, regardant la porte avec des yeux étincelants avant de l'atteindre et de l'a poussé ouverte. « Non, j'ai des instructions pour vous trois. »murmura-t-il avant de marcher dans la chambre.

La première vue de Rhyian l'étonna. L'enfant était inconscient, parfaitement inconscient de se qui se passer autour de lui. Il était exactement comme Voldemort avait imaginé qu'il serait. Une peau pale, petit, un visage de bébé…

Absolument magnifique.

Le Seigneur des Ténèbres s'avança, traversant rapidement la pièce pour venir au chevet de Rhyian. Ses yeux clignotaient vers la cicatrice au front de son enfant. La blessure semblait rouge et a cru mais Voldemort savait que ça guérirait. Il mit sa baguette sur le front de l'enfant et murmura une incantation sous son souffle, regardant sa magie scanner la plaie avant de voyager sur son corps entier.

« As-t-il vu un guérisseur ? »demanda Voldemort distraitement alors qu'il analysé le défilement qui comparu devant lui grâce au sort.

« Je l'ai vérifié, Monseigneur. Il est magiquement épuisés mais quelque chose semble avoir mal tourné avec … » Severus s'arrêta mais continua lorsque Voldemort lui fit signe. D'une certaine manière, l'homme savait pour le rituel. « Il devait dormir pendant quelque jours mais le fait qu'il est toujours inconscient est troublant. »

Voldemort acquiesça : « Il semble qu'il était un Horcruxes accidentelle. »murmura-t-il « Actuellement, sa magie guérit les probables dommages que l'Horcruxe a fait sur lui. Il semble avoir supprimé sa magie ainsi que ses compétences et ses talents naturels dans une faible mesure. Son corps et sa magie est trop pur pour tolérer un morceau de mon âme sans une réaction négative. » Il agita sa baguette sur la forme inconsciente de son fils dans un schéma compliquer. « Severus, j'ai besoin de toi pour brasser plusieurs potions de sommeil sans rêves et pour les maux de tête préventifs. Fait aussi des potions antipyrétiques. » Il fronça les sourcils «Tu prévois également un traitement pour faire face à la malnutrition et la sous-alimentation dont souffre Rhyian. Cette femme Pomfresh a traité tout le reste à se qu'il paraît. »

« Oui, Monseigneur. »

Voldemort jeta distraitement un anneau à Lucius. « Cet anneau te permettra l'entrée dans le manoir de Serpentard. Tu ne dois pas porter cette bague. Tu dois tout simplement la montrer aux elfes de maison et il va suivre tes instructions, pour le moment » Le Seigneur Sombre regarda son bras droit avec un faibles froncement de sourcils, « J'ai récemment été de nouveau accepté dans les Coffres et au Manoir Serpentard. Je n'ai pas eu le temps de mettre les choses en ordre. Tu dois demander aux elfes de préparer la suite de l'Héritier pour Rhyian. Tous les donjons et les prisons doivent être fermées et conjuré à moins que je commande explicitement de les ouvrir. Tous les livres sur la magie noire, magie du sang, des rituels magiques, magie âme et la magie noire au-dessus de 4e année à la bibliothèque doit être sous des sortilèges que Rhyian ne doit pas être en mesure de briser. » Il plissa les yeux, « Le manoir devrait être totalement inoffensive pour un enfant curieux de quatorze ans au moment où j'apporterai Rhyian dedans. Me suis-je bien fait comprendre Lucius? »

« Oui, Monseigneur. Je vais voir à ce que tout soit totalement sur pour Rhyian au Manoir. » Déclara Lucius.

Voldemort acquiesça avant de se tourner vers Narcissa, « Rhyian aura besoin de vêtements et tout ce que tu pense essentiel pour lui. Cela inclut tous vêtements, articles de divertissement, des livres que les jeunes de son âge lisent pour le divertir, de la musique, des équipements de Quidditch, etc. » Il lui tendit une clé, « Cette clé te permettra d'accéder au nouveau compte de Rhyian que j'ai mis en place avant de venir ici. Il y a une limite de dépenses de 30 000 galions d'un an. » .Narcissa cacha un sourire indulgent. Même Draco avait une limite de cinq mille galions de dépenses sur son compte. Le Seigneur des Ténèbres avait évidemment l'intention de gâter son fils. Cependant, quelque chose lui dit que Rhyian n'était pas quelqu'un qui dépenser beaucoup. « Je suppose que ce sera suffisant? »

« Plus que suffisant, Monseigneur. »

« Bon, Je suppose que vous avez déjà envoyer le clone aux moldus où Rhyian est censés vivre ? »demanda Voldemort, détachant enfin son regard de son fils pour regarder Narcissa. « Il à disparut depuis Cinq jours ! »

« Le sosie à été envoyer le soir même de son arriver ici, Monseigneur. J'ai aussi envoyé une lettre à son amie né-moldu, en expliquant les circonstances et l'invitant à garder l'information pour elle. J'ai jeté un petit sort sur la lettre qui cachera l'information si Dumbledore la cherche dans son esprit. » Elle fit une pose avant de continuer. « Rhyian à donner son autorisation pour extraire une copie de ses souvenirs avant d'aller accomplir le rituel pour vous guérir, Monseigneur. J'ai effectué le sort quand il était inconscient comme sa magie était au plus faible. Cela rendra le clone lui-même assez faible. Pas très perceptibles bien sûr mais suffisant pour s'assurer que la prochaine fois qu'il se retrouvera en danger, il ne survivrait pas. »

Voldemort haussa un sourcil avant de regarder Lucius, « Je dois te félicité Lucius. Tu as une bonne épouse. »

Lucius sourit et s'inclina en remerciement. « Je me réveille chaque matin avec cette connaissance dans mon esprit, Monseigneur. » déclara-t-il, en regardant Narcissa avec approbation et affection. La dame de la maison rougit sous les éloges.

Voldemort réfléchit en tournant son attention sur l'enfant sur le lit. « Si le clone meure, il va forcer la main de Dumbledore. S'il cache le vrai Harry Potter quelque part, alors l'enfant aura à se révéler. » Il tambourina ses long doigts sur sa cuisse. « Mes souvenirs de cette nuit ne sont pas clairs. Les yeux, je pense que … » Il fronça les sourcils « L'enfant avait les yeux noisette de James Potter. Cependant, s'il y avait un autre enfant, comment es-ce que Rhyian est devenu un Horcruxes ? »

Il regarda Severus et haussa un sourcil : « Es-tu certain de l'authenticité de la Prophétie ? »

Le maitre des potions fronça les sourcils : « J'ai été témoin d'une part d'elle de mes propre yeux, Monseigneur. Cependant avec la présence de Dumbledore, on ne peut être certain de rien. »

« Es-ce que Dumbledore était conscient qu'il avait mon fils dans sa poigne ? »

Severus réfléchi « Je ne suis pas sur … » dit' il avec hésitation, « Il semblait vraiment aimer le garçon. Il était préoccupé par la sécurité de Potter, même si il a établi des tests assez dangereux pour évaluer la capacité du garçon. »

« Le simple fait qu'il le teste.. »Commença Lucius « indique qu'il a pu considérer Rhyian comme l'enfant de la prophétie. » Il regarda Voldemort, « Monseigneur, si vous me permettez, j'ai une pensé que je voudrais partager à l'air libre ! »

Voldemort acquiesça et Lucius fronça les sourcils en parlant « Severus et moi connaissions bien James, Monseigneur. Il errait dans les milieux des Serpentards, malgré son apparente aversion pour nous. Si cet homme savait qu'il y avait une prophétie impliquant son fils, je ne doute pas qu'il était assez rusé pour placer un leurre pour son fils. »

"Il pourrait être ... assez froid pour permettre à un autre enfant de souffrir à la place de son propre fils ?» demanda doucement Narcissa

«Il était un Gryffondor. » dit Voldemort, penché en arrière dans sa chaise pensivement, « Cela aurait été quelque chose que je ferais aussi. Si cela signifiait de garder Rhyian en sécurité, un autre orphelin sans nom n'aurai guère d'importance pour moi. » Il plissa les yeux, « Cependant, si James Potter et Regulus Black été encore vivant, ils sauraient à quel point je m'oppose à ce que mon fils soit loin de moi. » Il ferma les yeux et agita sa main, « Vous avez vos ordres. Narcissa, je vais rester ici jusqu'à ce que Rhyian récupère. Lucius, j'ai besoin de parchemins Verum. Deux feuilles de taille standard devraient suffire. »

« Bien sur, Monseigneur. J'indiquerais à l'elfe de maison de vous aménagé une chambre à côté de celle-ci. »Dit Narcissa pendant que Lucius convoqué un elfe et lui ordonna d'aller chercher les Parchemin Verum pour le Seigneur des Ténèbres. Une fois cela fait, Lucius et Severus parti accomplir leurs taches. Narcissa pris un moment pour lancer un sort afin de connaitre les mesures de Rhyian pour ces robes avant de sortir de la chambre.

Enfin seul, Voldemort se détendit et observa son fils.

Rhyian avait été un élément imprévu dans sa vie. Il n'avait jamais eu l'idée d'avoir sa propre famille, d'avoir une femme puis un fils. Après avoir tué son père sans valeur et ses grands-parents, il n'avait eu aucune notion de la famille.

Il avait été au sommet de sa puissance quand Adrianna entra dans sa vie. Ella avait été belle, bien sur, la pâleur, la beauté glaciale qui été un signe d'un Malfoy. Cependant, il n'avait que très peut fait attention à elle. Elle était la petite sœur de Lucius et donc d'aucune utilité pour lui.

Jusqu'à ce qu'il commence à réaliser qu'il ne la laisser jamais sortir de son champ de vision et qu'il était de plus en plus possessif.

La nuit où Lucius vint à lui, nerveux et craintifs, pour l'informer qu'il était le compagnon d'Adrianna, était une nuit qu'il n'oubliera jamais.

Il avait été enragé. Ce n'était pas son choix de s'impliquer dans une relation. Il ne souhaitait pas avoir une femme à ses côtés, même si elle était un vampire né et éventuellement très puissante. Il lui avait fallu un mois entier pour accepter Adrianna comme épouse. Il avait eu beaucoup de réticence, sa capacité d'émotions et de sentiment, déjà entravée. Toutefois, Adrianna est vite devenu une partie très importante de sa vie. Elle était la présence silencieuse à ses côtés. Elle était une femme typique des Malfoy, lui laissant le contrôle mais, subtilement, le guidant, quand elle pensait qu'il était dans le faux. La confiance et la connexion qu'il sentait avec elle était quelque chose qu'il ne ressentait pas avec quelqu'un d'autre.

Aussi inattendue qu'Adrianna, Rhyian avait été plus qu'une surprise. Voldemort n'avait jamais cru qu'il serait Père d'un enfant. Il avait changé son corps, divisé son âme et touché à sa magie. Il avait toujours supposé que s'il fessait un héritier, l'enfant se révélerai être un Cracmol ou naitrait avec une monstruosité difforme.

Rhyian, cependant, était la perfection.

Des yeux Serpentard, les cheveux bouclés, des joues roses, dix petits doigts et dix petits orteils. Rien chez lui n'était moins que parfait. Son seul enfant et héritier s'était avéré être si précieux pour lui que Voldemort ne serait jamais allé dormir sans voir le visage de son fils et quand il était éveillé, il s'efforçait d'être la première personne que son petit garçon voyait dans sa matinée.

Il était d'une indulgence peu commune. Une des très rares libertés qu'il se permettait. Il pouvait être sec avec sa femme, l'ignorer et être indifférent envers elle mais il serait le serviteur de Rhyian. Tout ce que son enfant exigé, il le lui aurait remis de suite.

Le Seigneur des Ténèbres gloussa légèrement sous son souffle et se pencha en avant, tendant la main pour brosser les cheveux de son fils. Il avait un grand avantage. Il savait tout ce que Rhyian savait jusqu'au rituel. Il savait ce que Rhyian pensait, il savait ses secrets, ses habitudes, ses sentiments. Son Horcruxes avait copié ces souvenirs. Il savait ce que Rhyian avait prévu de faire. Son petit garçon rusé avait tout prévu.

Il avait réussis à convaincre sa tante et son oncle de lui permettre l'enseignement à domicile dans l'éducation des moldus et il avait tout payé avec l'argent que les Potter avaient laissé. Se tenir au courant avec l'éducation moldus alors qu'il pouvait à peine faire face à l'éducation de Poudlard avec toutes ses aventures, il l'avait fait.

Il avait préparé le GCSE quand il avait Douze ans et ensuite atteint deux degrés de plus avant sa 4ème année à Poudlard.

Comment cela avait-il pu échapper à Dumbledore ou à ses amis. Au moment où il finissait sa 1ème année, Rhyian avait immédiatement décidé qu'une option de sauvegarde était nécessaire, si jamais il trouvait le monde Sorcier trop écrasant ou suffocant. L'enfant s'était déjà établie dans le monde Moldus. Il serait facile pour lui d'échapper au monde auquel il appartenait vraiment.

Voldemort admirait la ruse et la pensée derrière les plans de Rhyian même s'il n'avait pas l'intention de laisser son enfant hors de ses yeux. Il regarda le parchemin Verum dans ses mains et fronça les sourcils. Il avait besoin de faire face à cette né-moldu, Hermione Granger.

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Hermione s'assis en face de ses parents avec un regard incertain. Sur la table basse devant elle, Hedwige avait une lettre. Lentement, elle se pencha et la pris. Mrs Malfoy lui avait déjà écrit pour l'informer du rituel et du fait que Mr Malfoy et le Professeur Rogue aidaient Harry. Elle lui avait également dit que Mr & Mrs Malfoy étaient l'oncle et la tante de Harry. La mère d'Harry était la jeune sœur de Mr Malfoy.

Elle se demandait si Harry avait bien récupérer depuis le rituel et si il lui avait écrit. Si tel était le cas, pourquoi n'était t'il pas rentrer ? Sa malle était toujours chez elle et bien que ni les Dursley ni Dumbledore ne l'avait interrogé, ça ne serai pas long avant que des gens comprenne que Harry manquer à l'appel.

Sortant de ses pensés, elle ouvrit l'enveloppe, ses yeux s'élargirent lorsqu'elle trouva une feuille de parchemin noir. Les Gobelins avaient utilisés ce même parchemin pour déterminer la filiation d'Harry. Hermione savait que chaque mot écrit sur le parchemin était la vérité. Les mensonges ne pouvait pas être écrit sur du parchemin Verum.

Melle Granger,

Les rumeurs sur votre intelligence ne sont pas exagérées. Je reconnais que sans votre esprit juste et vif, je ne serais pas assis ici, avec une apparence humaine, en regardant mon fils.

A présent, je suppose que vous en connaissez un minimum sur les Horcruxes. Vous devez également savoir que un des mes Horcruxe à été détruit par Rhy…Harry. Ce qu'aucun de nous ne savait était que Harry lui-même, été un Horcruxe accidentel. Quand il a effectué le rituel, l'Horcruxe a quitté son corps et est entré dans le mien … avec tous les souvenirs d'Harry.

Harry nous a dissimulé beaucoup de chose, Melle Granger. Je crois qu'il y a des choses sur lui que vous ne savait pas. L'une d'elle est qu'il soupçonnait déjà les motivations de Dumbledore. Vous avez été celle qui a mis Dumbledore à la lumière du jour, encourageant Harry à connaitre la vérité.

Et nous y voilà …

Rhyian, parce que je refuse de l'appeler Harry car a partir de maintenant c'est mon fils, Je ne peux pas décrire combien je l'aime et maintenant je l'ai de nouveau avec moi.

Je ne le laisserais jamais s'en aller.

Melle Granger, par vos actions et votre aide, j'en suis venu à comprendre que vous êtes fidèle à Rhyian. Pour ce seul motif, je vais vous révéler mes intentions. Cependant, vous devez comprendre que, malgré la gratitude que je ressens, je ne tolérerai la trahison car dans ce cas, votre trahison blessera mon enfant et personne ne le fera.

Je dois vous dire un certain nombre de choses. Chose que vous devrez faire pour assurer la sécurité constante de Rhyian pour que nul ne sache que j'ai un fils et que ce fils était autrefois Harry Potter. Grace aux compétences et a la ruse de Mrs Malfoy, un sosie à été envoyer chez les Dursley à la place de Rhyian. C'est un sort ancien et si complexe que je n'en connais même pas les détails. C'est un enchantement qui est dans la famille Black depuis des générations, rarement utilisé mais très trompeur. Le sosie est un clone de Rhyian. Il dispose des souvenirs de Rhyian. Il a la même personnalité et les mêmes habitudes.

La principale différence entre le clone et l'original, c'est le pouvoir et la compétence. Comme vous le savez, Melle Granger, Rhyian est unique et très puissant. Vous l'avez remarqué. Vous l'avez confronté au sujet de son insistance pour ce sous évaluer, vous avez surement essayé de faire ressortir l'intelligence et la ruse qu'il essaie de cacher.

Vous n'avez pas réussie mais vous en êtes parfaitement consciente. Le clone est une version faible de Rhyian. Il ne possède ni ses véritables compétences ni son intelligence. Il est-ce que Rhyian à toujours voulu être. Un Sorcier normal.

Votre tache est simple. Assurez-vous que personne n'apprenne par des actions, des gestes ou tout autre moyen, qu'Harry n'est pas vraiment Harry. Soyez aussi naturelle que possible lorsque vous le verrez, même s'il n'est pas le vrai jeune homme que vous connaissez. Bien sur, Mrs Malfoy à seulement copié les souvenirs jusqu'au rituel. Cela signifie que le clone ne va se souvenir ni de votre interaction avec Harry ni de vos soupçons contre Dumbledore ni mes motivations et bien sur ni de votre passage à Gringotts.

Je ne suis pas entièrement convaincu de la loyauté de Mr Weasley, même si Rhyian ne doute pas de lui. Je m'en remets à lui pour décider s'il peut être informé des récents événements ou non. Je sais que votre intelligence ne vous manquera pas dans vos efforts.

Melle Granger, concernant mon implication aux pétitions de Lucius et des autres Sang-Pur, vous avez raison dans toutes vos hypothèses sur le sujet. Mon intention à toujours été de développer la Société Sorcière et de conserver notre culture que nous apprécions tant, intacte. L'influence des Moldus ont été corrupteur et bénéfiques. J'ai pour bût de veiller à ce que l'influence corruptrice soit maitrisé.

Je ne suis pas ange, Melle Granger. Mon avis sur les moldus ne changera jamais mais je dois vous assurer que les né-moldus comme vous, qui veulent s'intégrer dans la culture Sorcière avec autant d'enthousiasme, n'ont aucune raison de me craindre.

En tant qu'amie de Rhyian, vous êtes sauf. Mr Weasley et sa famille aussi, cela s'implique aussi à Mr Londubat et à tous les autres amis et leurs familles que Rhyian pourrait avoir. Tant qu'ils ne le trahissent pas, ils n'auront rien à craindre.

Je conclus cette lettre en vous disant que vous êtes effectivement la plus intelligente sorcière de votre génération. Maintenant, si vous pouvez passer un peu de cette intelligence sur le fils de Lucius. Je vous en serai reconnaissant.

A qui cela concerne,

Tom Elvis Jedusor.

Hermione rigola légèrement puis se mordit les lèvres. Une lettre de Voldemort était la dernière chose qu'elle attendait. Le fait qu'il avait écrit cette lettre sur du parchemin Verum l'obliger à croire que tout était vrai.

La mention de Ron lui avait laissé un dilemme intéressant. Elle ne voulait pas garder de secret pour lui mais elle avait réalisé qu'il avait tendance à avoir des vues très rigides. Si elle lui disait que son meilleur ami est le fils du Seigneur des Ténèbres, se réaction serai explosive et dommageable.

D'autre part, l'an dernier, après sa bourde de son accusation contre Harry, Ron avait fait le serment que jamais, il ne jugerait Harry sans entendre sa version de l'histoire. Il avait juré sur sa magie qu'il ne trahirait jamais Harry.

Hermione aimerait lui donner une chance. Par ailleurs, Ron, malgré tout, pouvait être très attentif. Il remarquera que quelque chose ne va pas avec Harry, s'il observe vivement les actions du clone. Ron, plus que quiconque, était au courant des aptitudes et de la puissance d'Harry.

Fronçant légèrement les sourcils, elle décida d'attendre que l'école ne commence pour voir si elle devrait dire à Ron, la vérité ou non.

« Eh bien » déclara son père, après qu'elle fini de lire la lettre a voix haute, « ça ne sonne pas si mauvais. » il l'a regarda avec un sourire « Alors, tout est fini, non ? »

Hermione fronça les sourcils « Je ne suis pas certaine. Le Professeur Rogue étant du côté d'Harry aide certainement. Le Proviseur semble beaucoup compter sur lui. Je ne suis pas heureuse de constater qu'Harry sera loin de nous. Je n'ai aucun doute que Voldemort ne laissera pas Harry aller à Poudlard. Peut-être une autre école ou peut-être même qu'il sera instruit à domicile. » Hermione se mordit la lèvre avec inquiétude. « Sirius sera aussi un problème … je ne sais pas s'il connait la vérité et il est un Black aussi … Il pourrait connaitre le sort que Mrs Malfoy à effectuer. Par ailleurs, il est le frère de Regulus Black et peut-être qu'il à eu le vrai Harry Potter. Je ne comprends pas, il semblait beaucoup aimer Harry … quelque chose n'ai pas juste dans cet histoire. Et puis il y a le Professeur Lupin, ses sens de Loup-garou pourrait détecter que quelque chose se passe avec Harry. »

Hermione attrapa une feuille de papier et un stylo. « Hedwige, peut tu attendre un moment? » L'intelligente chouette hua doucement et Hermione procéda à écrire sa lettre.

Elle fronça les sourcils pendant qu'elle écrivait, en faisant attention à ne pas écrire quoi que se soit d'offensif et de garder un ton poli et respectueux. Après tout, elle écrivait à l'un des Sorcier le plus puissant connus.

Elle espérait que le père de son meilleur ami avait une solution.

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Lucius s'assit dans son étude avec un soupir, se massant le pont du nez avec lassitude. La semaine entière avait été stressante depuis la visite du Seigneur des Ténèbres. Ils devaient tous prendre soin de beaucoup de chose. Lucius avait envoyé Drago chez son coussin en France pour qu'il n'interfère pas alors que tous les trois travaillaient pour répondre aux exigences de leur maitre.

Il avait sous-estimé les dégâts que le rituel avait causés à son neveu. Le Seigneur des Ténèbres avait dû effectuer un sort deux fois par jour pour aider à réparer le cœur de l'enfant et à stabiliser son esprit. Il avait fallu beaucoup d'énergie et Lucius doutait que quiconque d'autre aurai pu mais leurs maitre était capable d'une telle puissance couplée à une concentration extrême avec une telle précision. Parallèlement à cela, Severus avait administré plusieurs potions pour s'assurer que Rhyian aura un prompt rétablissement.

Cela fessait douze jours maintenant et Rhyian n'été pas sorti du coma. Ils devenaient inquiets, se demandant s'ils ne devaient pas faire appel aux services de Sainte Mangouste. Lucius savait que se serai très risqué. Expliquer la raison pour laquelle Rhyian était dans un tel état serai très dangereux et si jamais Dumbledore aurai eu vent de tout ça, la sécurité du jeune homme serai compromise.

Le Seigneur Malfoy fronça les sourcils. Heureusement, il avait réussis à ce que le Manoir Serpentard soit en l'ordre. Les elfes de maison avait été efficace, impatients d'accueillir le nouvel héritier de la maison ancestral. Narcissa l'avait accompagné pour aider les elfes de maison à décorer la nouvelle chambre de Rhyian.

Le Manoir avait une structure élégante et gothique. Du mobilier riche, de l'art couteux et des antiquités de pointes dans chaque coin du manoir. C'était comme entrer dans un autre monde. Contrairement à ce à quoi on pouvait s'attendre, tout était dans les tons vert émeraude, argent et noir. Ce furent certainement les couleurs préférer de Salazar Serpentard. Cependant, le manoir existé sûrement avant la naissance de Salazar.

Beaucoup de gens ont tendances à oublier que le clan Serpentard est ancien et noble, même de son temps.

Malgré la richesse et l'élégance de celui-ci, Narcissa avait souligné que Rhyian aimerait mieux un espace plus ouvert et amical. Il serait submerger par le sentiment d'ancien manoir et sa chambre avait besoin d'être un endroit où il pourrait être à l'aise.

Par conséquence, Narcissa avait plongé dans les coffres des Malfoy à Gringotts et avait remodelé entièrement la suite de l'Héritier pour l'adaptés au caractère modeste de Rhyian.

Lucius ne savait pas si le changement plairait au Seigneur des Ténèbres. La chambre était très simple, clair et aéré. Narcissa appelé ça de l'art contemporain. La chambre avait des grandes fenêtres qui s'étendaient du sol au plafond et de beau voilage blanc complétées par de chatoyantes tentures de velours couleur or. La chambre était très ensoleillée mais la vue sur le parc et sur le lac du manoir était magnifique.

Le lit était fait de bois sombre avec une tête de lit richement sculptés avec une couette de soie blanche. Deux fauteuils en cuir posés près de la cheminée, un canapé étendu près des grandes fenêtres.

L'étude de Rhyian avait été également remodelé, sur les quatre murs de la salle, deux bibliothèques du sol au plafond été côte à côte séparer par 50 centimètres, remplies de livres. Un bureau et une chaise prenait un autre mur tandis que sur le dernier, une autre fenêtre.

Globalement, c'était une belle chambre ouvert. Parfait pour Rhyian mais rien d'autre que du dégout pour le Seigneur des Ténèbres.

Ses yeux parcourait sa propre étude avant de s'arrêter sue une pile de lettre sur son bureau. Il les prit, réalisant qu'il n'été pas venu ici depuis une semaine, ses lettres donc sans surveillance. Il pâli quand il repéra une lettre pour son seigneur qui était arrivé depuis une semaine et alla lui porté, espérant que le retard n'enragera pas plus le Seigneur pour le punir.

Il marcha rapidement vers la chambre de Rhyian.

Leur Seigneur se tenait debout près du lit de Rhyian, un air de concentration sur ces traits, pendant qu'il agitait sa baguette sur le corps de Rhyian dans un schéma compliqué. Il était temps d'effectuer les sorts de guérison, une fois de plus.

Lucius savait qu'il ne devait pas l'interrompre. Il se tenait près de la porte lorsque le corps de son neveu commença à briller et que des globes de magie de couleurs différentes tourbillonner sur l'adolescent endormi avant de s'intégrer dans son corps. Le Seigneur des Ténèbres avait une fine couche de sueur sur le front et ses lèvres s'était pressés en une ligne serré.

Enfin, après près de trente minutes de spectacle constant de sorts, Voldemort abaissa sa baguette. « Je crois qu'il est totalement guéri maintenant. Il devrait bientôt se réveiller. »

« Je suis soulagé d'entendre ça. »Chuchota Lucius avant de marcher vers lui. « Monseigneur, vous devait savoir que la nature des sorts de protections du manoir provoque que tout courrier étant transporter par un hibou est confier aux elfes pour être placer dans ma salle d'étude. » Il remit la lettre à Voldemort. « Cette lettre est arrivé, il y a une semaine et depuis je n'ai était capable de passer du temps dans mon étude, je ne savais pas qu'elle était arrivé. Pardonnez-moi, Monseigneur, pour le retard. »

Voldemort acquiesça tranquillement avant de prendre la lettre, haussa les sourcils de surprise en voyant l'auteur de la lettre.

Monsieur,

Je vous remercie pour votre lettre. Elle m'a mise à l'aise pendant un instant avant que d'autre question commence a émergés. J'espère que vous ne me considèrerais pas trop imprudente et présomptueuse, après cela mais qu'avez-vous réfléchis à propos de l'éducation de Ha-Rhyian ? Je suppose que vous ne l'enverrai pas à Poudlard. Il n'a pas encore passé ses B.U.S.E et ses A.S.P.I.C.

Bien sûr, il y a aussi la question de Sirius Black et Remus Lupin, les meilleurs amis et camarades de James Potter. Puisque vous avez mentionné que le clone venait de la famille Black, Sirius devrait le connaitre, non ? Le clone imite aussi le parfum d'une personne ? Parce que je suis certaine que Sirius, sous sa forme Animagus et que le Professeur Lupin, étant Loup-garou, serait en mesure de repérer les différences dans le parfum d'Harry.

Par ailleurs, Mrs Malfoy m'a envoyé la baguette d'Harry avec sa dernière lettre. Je vais renvoyer sa malle et la baguette au clone mais je me demande ce qu'il va utiliser maintenant. J'avais impression que sa baguette d'Houx et la plume de phénix était la mieux adapté pour lui.

S'il y a quelque chose que je sais sur Harry, c'est qu'il va détester d'être séparé de sa baguette. Sa baguette et sa cape d'invisibilité entre autres. J'ai pris la liberté de retirer ses précieux biens de sa malle. Quand Harry sera rétabli, s'il vous plait, demandez-lui s'il veut les récupérer. Bien sûr, il serait préférable qu'une autre cape l'a remplace dans la malle. Harry m'a dit que sa cape est un peu différente des autres que Sirius lui avait montrés auparavant. Il sentait une différence, même si Sirius il avait assuré qu'il n'y en avait pas.

Pardonnez-moi de vous poser ces questions mais je suis inquiète pour sa sécurité. Monsieur, je le considère comme mon frère de sang. J'ai essayé de lui faire éviter les ennuis et pout être honnête, il ne veut pas être mêlés dans la moitié des choses auquel il l'est. L'année dernière à été très éprouvante. Ron était têtu et Harry semblait si seul …

Je suis également préoccuper par votre association avec Lucius Malfoy concernant Rhyian. Loin de moi l'idée d'offrir des conseils à l'un de vous, Monsieur. Cependant, je me trouve incapable de retenir mon impulsion. Il a perdu la capacité à faire confiance et cela doit être reconstruit. Il est devenu amer et cynique, cela doit être changé. Sur comment vous lui serait une bonne influence, n'est pas quelque chose que je suis capable de juger mais mon père me dit que vous ferez face a votre fils comme bon vous semble. Enfin de compte, comme la plupart des bons pères, vous l'aiderez s'il en a besoin.

Je n'ai jamais douté de la sagesse de mon père, Monsieur. Je ne vais pas commencer aujourd'hui. Harry à maintenant la seule chose qu'il désiré le plus. Une famille. S'il vous plait, prenez soin de lui.

Avec mes cordiales salutations,

Hermione Granger.

Voldemort eu un petit rire et se renversa dans son fauteuils, un sourire amusé transforma ses lèvres. « Cette enfant est très audacieuse. »

« Pardonnez-moi, Monseigneur ? » demanda Lucius en lui remettant une tasse de thé tiède.

Le Seigneur des Ténèbres regarda son fils alors qu'il prenait une gorgé de thé, méditant sur l'information que la né-moldu lui avait donnés. Alors qu'il analysait les souvenirs de Rhyian sur Black et Lupin, il comprit son inquiétude. « Lucius, je veux parler avec Narcissa. » Lucius hocha la tête et convoqua immédiatement un elfe pour la faire appeler alors que Voldemort se replongeait dans les souvenirs d'Harry.

Il ne fallu pas attendre longtemps avant que l'élégante Lady Malfoy n'entre dans la salle d'étude et ne s'incline devant Voldemort. « Monseigneur ? »

« Le sort qui à crée le clone … ton cousin Sirius Black est capable de le détecter ? Et n'oublions pas Remus Lupin qui est Loup-garou et que Black est un Animagus Sinistros. Peux-tu tromper leurs sens et leurs instincts ? »Demanda Voldemort, en la regardant avec des yeux vifs.

Narcissa fronça les sourcils, « Ce sort fait parti d'une série qui est enseigné aux membres de la famille Black lors de leurs Vingt ans. Il est classé comme étant de magie noire. Cousin Sirius est parti quand il avait Seize ans et il avait refusé d'apprendre toutes forme de magie noir depuis qu'il était entré à Poudlard à Onze ans. Il est peu probable qu'il connaisse le sort. Pas même Andromèda ne connait ce sort, Monseigneur. » Elle eu le regard pensif, « Cependant, ce n'est que pure spéculation. Je ne peux pas dire avec certitude qu'il n'a pas connaissance de ce sort. Nous pouvons dormir tranquille pour le Loup-garou et pour la forme animagus de mon cousin. Pas même leurs sens amélioré ne pourrait faire la différence. La seule faiblesse de ce sort est qu'il ne peut pas répliquer les capacités magiques d'une personne au maximum. Le jeune maitre Rhyian est votre fils, Monseigneur. Sa puissance est au-delà de ce que quiconque de sa génération ne pourra jamais espérer posséder. De nombreuses compétences qu'il possède lui sont propres. Je crains que quelqu'un le connaissant bien trouvera facilement la différence. »

Voldemort se renfrogna, « Cela inclut Dumbledore. »

« Pas nécessairement … » murmura une voix rauque.

Les trois adultes se tendirent, leurs yeux fixés vers l'enfant sur le lit.

Harry gémit lorsqu'il enregistra le battement sourd dans ses tempes et la raideur douloureuse dans tous son corps. « Dum- » il se racla la gorge quand sa voix émergea sous la forme d'un croassement rauque. « Dumbledore ne me connait pas aussi bien que la plupart le pense. » murmura t'il avec une grimace douloureuse tandis que Narcissa convoqua immédiatement un elfe et lui demanda un verre d'eau.

« Tu es enfin réveiller » déclara Voldemort d'une voix neutre, regardant son fils avec un regard calculateur.

Harry ne le regarda pas, gardant son regard ostensiblement loin de lui. Cependant, il hocha la tête vers son père, le reconnaissant. Il ne souhaitait pas faire apparaitre un manque de respect, même s'il était entrain de maudire toutes les divinités auxquelles il pouvait pensées pour l'avoir mis dans sa situation actuelle. « Les seuls personnes qui me connaissent suffisamment pour reconnaitre les défauts à vos sortilèges sont: Ron, Hermione et avec une certaine mesure, Neville. »

« Pas même Black et Lupin ? » demanda Lucius, alors qu'il remettait des potions à Harry. Le jeune homme regarda les potions avec un petit froncement de sourcils, tout en reconnaissant l'une des trois. Harry envoya un regard septique vers Lucius avant de les boire, les une après les autres.

« Remus … autant que je respecte l'homme, je dois dire que pendant ma 3ème année, il me connaissait comme un étudiant, un étudiant favori mais rien d'autre qu'un étudiant. Il a fait très peu d'efforts pour apprendre à me connaitre. Quand à Sirius, il est un évadé. Nous ne pouvions pas passer beaucoup de temps ensemble. »

« Je pensais que vous aimiez Black. » fit la voix trainante de Severus à la porte, un rictus aux lèvres, indiquant ses pensés sur se point.

Harry haussa les épaules: « Je pensais que vous aimiez Dumbledore. »

Voldemort se tendit, ses yeux perçant, claquèrent sur Severus. Le maitre des Potions pâli mais fut sauvé par Harry. « L'homme t'as gardé d'Azkaban. Sirius était le billet de sortie de ma propre prison. »

Narcissa haussa un sourcil, « Tes parents moldus. Tu n'as aucune affection pour ton parrain ? »

Harry fronça les sourcils, « Je l'aime. Je dirais que ce n'est pas lui que j'aime mais plutôt ce qu'il représente. »

Voldemort fronça les sourcils, « La sécurité et la protection d'un adulte qui se soucis de toi et seulement toi. »

Harry le regarda avec méfiance avant d'opiner de la tête. L'enfant ferma les yeux en soupirant un peu. « Cependant, je ne suis pas aveugle. Une partie de Sirius et Remus ne voit que James Potter quand ils me regardent. » Il regarda Severus. « Comme quelqu'un d'autre que je connais. » Le vieil homme le foudroya du regard en réponse mais retourna les yeux au sifflement aigu de Voldemort.

« Veux-tu leur dire la vérité ? » demanda Voldemort, donnant à Harry, la liberté de faire ses propres décisions.

Harry semblait incertain pendant un moment avant de parler lentement. « Non » il avala, « L'ignorance est mieux que la haine » murmura-t-il. « Les seuls personnes que je connaisse et qui sont capable de me soutenir sont: Hermione, Ron et dans une certaine mesure, Fred et George Weasley. Hermione sait déjà … elle dira à Ron si elle pense que c'est mieux. Quand à Fred et George … Je leurs dirais bientôt. »

Harry regarda ses mains, ne remarquant que maintenant qu'elles tremblaient. « Quand vais-je être capable de me déplacer correctement ? »

« Dans quelques jours »l'informa Severus, sèchement. « Vous aurez besoin d'environ un mois pour une mobilisation complète qui comprend vos réflexes de Quidditch. » Harry fronça les sourcils, soupirant légèrement lorsque les Potions commencèrent à faire leurs effets, réduisant la douleur dans son cœur et le battement dans ses tempes.

Du coin de l'œil, il vit Voldemort faire un geste de la main pour que les trois autres adultes sorte et il se tendit. Lucius et Narcissa le regardèrent brièvement avant de sortir tandis que Severus prit les flacons vides avant de les suivre.

Il était seul dans la chambre avec Voldemort.

Harry se mordit la lèvre et resta silencieux, tournant la tête, afin qu'il puisse regarder par la fenêtre. Il pouvait sentir le regard de son père sur lui, ces yeux vert perçant qui refusaient de quitter son visage.

« Veux-tu savoir ce qui s'est passé ? » demanda Voldemort et Harry lui donna un coup d'œil rapide comme réponse. « Il semblerait que tu es été un Horcruxe accidentelle » avoua le plus âgé. « Le fragment de mon âme s'était accroché à ton esprit et à ton cœur magique, surchargeant les deux et entravant ta croissance. » sa voix pris un ton plus clinique. « Dans des circonstances normal, la seule façon pour te libérer de son influence aurai été la mort mais puisse que tu as décidé d'effectuer le rituel, tous les fragments d'âmes ont du passé par toi pour me trouver. C'était ton désire de me voir qui a alimenté le sort. La force de cinq morceaux d'âmes passant à travers toi à déloger celui qui était accroché à toi. Il était le dernier fragment se réunifiant avec moi. » Il regarda vivement Harry, « Le fragment a emporté avec lui une copie de tous tes souvenirs, de tous tes sentiments et toutes tes expériences. »

Harry pâli, ses yeux se fixèrent sur son père. Il continua, « Tu as été dans le coma pendant Douze jours. Deux fois par jour, j'ai effectué un sort sur toi, qui n'avait de cesse de guérir ton cœur magique. Malheureusement, le rituel a détruit les défenses naturelles de ton esprit. Narcissa est une experte en Occlumencie. Elle l'a appris à Draco et il a excellé. Son esprit est naturellement apaisé et ses méthodes très approprié pour un enfant de ton âge. Elle va donc t'enseigner l'Occlumencie pour que tu organise ton esprit et que tu puisses le protéger. Très peu de personne sont capable de maitriser ces compétences mais depuis que l'Horcruxe a quitté ton corps, je suis certain que tu seras capable de l'apprendre. Il permettra de te protéger de ceux qui souhaitent regarder. J'aurai bien demandé à Severus mais voyant le fossé qui vous sépare, je ne pense pas qu'il aurait été un bon professeur. »

Harry grogna, « Il n'a jamais été un bon professeur. » Il soupira avant de fermés les yeux avec lassitude: « je suppose que je n'ai pas d'autre choix que de rester ici, n'est ce pas ? »

« Tu es un sorcier. C'est à ce monde que tu appartiens. » Indiqua Voldemort avec un froncement de sourcils.

« Eh bien, ce n'est pas l'impression que j'ai depuis que je suis ici. » Grogna Harry. « Es-ce trop demander de faire ce que je veux pour une fois ? Je ne pense que vous êtes plus enthousiaste de jouer à la famille que moi ! Pourquoi ne pas me laisser partir ? » Il regarda Voldemort, parlant doucement et suppliant. « Je ne veux pas faire parti de cette guerre. Je suis fatigué. Je suis si fatigué. Je n'ai pas eu une once de paix dans toute ma vie. Chaque instant de bonheur semble s'être éclipsé. Vous n'avez pas besoin de moi, Monsieur. Je ne suis pas quelqu'un de particulier. Je ne suis pas Le-Garçon-Qui-A-Survécu … Je suis juste moi. Vous avez des gens comme les Malfoy, Le Professeur Rogue dans vos rangs, A quoi peu être bon un garçon de Quatorze ans ? Je ne vais pas interférer dans vos plans, si c'est se qui vous inquiète. J'ai l'intention de vivre de façon anonyme dans le monde moldu. »

Voldemort le regarda pensivement, les yeux a demi-fermés. « Maintenant, vois-tu, c'est là que tu as tord … » murmura Le Seigneur des Ténèbres. « As-tu envisagé la possibilité que je veuille que tu reste parce que tu es mon fils ? »

Harry recula et se pencha en arrière, « Ce n'est pas important. »

« Oh, laisse-moi t'assurer, c'est très important. » siffla Voldemort, saisissant le menton d'Harry, le forçant à le regarder. « Plus important que tu ne le réalise … Ce que Regulus à fait … est impardonnable. »

Harry perdu sa retenu, « Impardonnable »siffla-t-il, ses yeux flamboyant de colère. « Comment ? Ce que tu as fait est impardonnable ! Juste parce que je me trouve être votre fils ne me rends pas aveugle à vos défauts ! Six Horcruxes, six ! As quoi pensiez-vous ? » Il fixa Le Seigneur des Ténèbres qui tout simplement, se pencha en arrière et lui permis de faire rage, « Votre premier à été fait à l'âge de Seize ans, n'es-ce pas ? Le journal ? Etait-ce si facile de tuer ? Etait-ce si facile de réaliser le rituel et de déchirer votre propre âme en morceaux ? C'était peut-être une erreur la première fois mais qu'en est-il les cinq autres où vous avez répétés le processus ? »

Il passa ses doigts dans ses cheveux, tremblant visiblement, « Je ne peux pas comprendre ce qui vous à motivés à le faire ? Comment quelqu'un pourrait être si désespérer pour en arriver au point de détruire son âme ? » Il avala, « Mr Black à appeler ça, une erreur de votre part mais je ne peux pas. Comment puis-je excuser les nombreuses vies détruites à causse de votre propre vie ? Par Merlin, vous avez été horrible. Chaque fois que je regarde en arrière sur toutes les choses que vous avez faîtes, je ne peux pas m'empêcher de me demander comment je suis censé vous pardonner ? Comment pourrais-je supporter qu'un sang si sale coule dans mes veines ? »

Il regarda son père avec un regard menaçant acharnée sur son visage. « Mr Black a fait la bonne chose. La seule raison qui me retient, c'est que le rituel vous aurai tué si vous étiez complètement et totalement irrécupérable. Il vous aurait tué si vous ne méritiez pas la rédemption. » Il prit une profonde inspiration, « le pardon d'un enfant est la rédemption de son père » murmura-t-il, citant une partie de l'incantation du rituel qu'il avaiteffectué. « Comment puis-je vous pardonner ? » demanda-t-il faiblement.

Voldemort resta silencieux pendant un moment avant de se dirigé vers la fenêtre. « Dit-moi Rhyian, que sais-tu de l'Amortentia ? » demanda doucement Le Seigneur des Ténèbres.

Harry s'interrompu, se calmant un peu et jeta un regard hésitant sur Voldemort. « Un philtre d'amour ? » demanda-t-il avec incertitude. Il se rappelait brièvement Rogue le mentionnant dans une classe, « Le philtre d'amour le plus puissant qui existe. »

Voldemort acquiesça, appuyé contre la balustrade et regarda le ciel avec un regard solennel. « Oui. Amortentia est le philtre d'amour le plus puissant connus de l'homme. Après la consommation, la victime devient instantanément captivée par la personne dont la magie à été utilisée pour le brassage de la potion. Il est si puissant que la victime devient obsédée par le brasseur et il devient un danger pour ceux qui sont autour de lui. » L'homme fit une pause, « Cependant, il y a autre aspect de cet potion dont peu de gens sont au courant. » Voldemort semblait plus sombre alors qu'il parler. « La malédiction de l'Amortentia. Sais-tu ce que c'est, Rhyian ? »

Harry secoua la tête, fronçant les sourcils, alors qu'il essayé de comprendre pourquoi une telle chose était pertinente pour leur conversation antérieure.

« C'est une malédiction qui affecte non seulement le brasseur ou la victime, mais aussi l'enfant qui né d'une union corrompu. Comme étant un enfant né de parents sous l'influence d'un philtre d'amour, il devient incapable d'amour. Un être maudit qui ne ressent rien d'autre que la haine et la colère. Un enfant qui ne connaitra jamais rien d'autre que l'espoir et l'affection et ne voit que l'obscurité partout. » Harry pâli alors que Voldemort eu un petit rire sec, « Dans des circonstances normales, la potion est habituellement repéré et un antidote est fourni. Dans des circonstances normales, même si l'antidote n'est pas administré, un enfant ne né jamais d'une tel union. Un enfant est trop pur pour survivre à une telle corruption. Cependant, il y a une exception à tout. Je suis l'exception. »

Harry avala sa salive alors qu'il essayait de comprendre ce que lui disait son père. Il ne comprenait qu'une partie de l'horreur que le plus âgé lui expliquait et c'était troublant.

« Ma mère était une sorcière faible qui voulait … » Voldemort renifla, « Tu pourrais difficilement l'appelé une sorcière. Elle avait très peu d'énergie et elle l'a utilisé pour créer de l'Amortentia. Tout cela parce qu'elle est tombé amoureuse d'un beau et riche moldu. » Il ricana, ses yeux vert pâle, clignotant, « Ils se marièrent et elle est tombé enceinte de moi. Lorsqu'elle le su, elle a cessé de lui donner la potion et il est revenu à lui, en s'écartant d'elle. Sans argent, sans nom et sans le soutient de sa famille, elle a à peine survécu. Elle a réussie à atteindre le seuil d'un orphelinat et à accoucher de son enfant, le nommant et mourant aussitôt. »

Pendant qu'il expliquait, Harry le regardait avec horreur,

« J'ai grandi dans l'orphelinat, isolé, parce que j'étais considéré comme un monstre. Lorsque j'ai commencé à réaliser que j'avais des pouvoirs, je les ai utilisés pour me venger. Pour montrer à ces enfants qui m'avais intimidé que j'étais plus puissant et plus important qu'eux. Quand j'ai eu Onze ans, j'ai été invité à Poudlard, Il ne m'a pas fallu longtemps avant de savoir que je descendais de Salazar Serpentard lui-même et c'est quelques années plus tard que j'ai découvert des informations sur les Horcruxes. » Voldemort fit une pause avant de figer ses expressions, « J'ai fais plus d'Horcruxes mais je n'ai jamais vraiment senti leurs effets. La dégénérescence de mon esprit à été très lente. Au fils des décennies, j'ai commencé à devenir plus durs … plus cruelle que je ne l'avais été. Ma politique a changé vers l'extrémiste Sang-Pur. »

Voldemort se détourna de la fenêtre et se dirigea vers un bureau dans le coin de la pièce, il ramassa une photographie et la tendit à Harry.

« Adrianna Malfoy-Jedusor » murmura-t-il, « Ta mère. »

Harry regarda la photo, regardant ces yeux gris pâle, « j'ai été son compagnon. Après beaucoup de réticence, j'ai accepté de me lier avec elle. » Il s'assit sur la chaise près du lit d'Harry. « J'ai été incapable de sentiments positif avec elle. Tout ce que je ressentais pour Anna était une envie farouche de protection et une certaine quantité de possessivité. J'avais seulement rendu ma situation pire. » Harry le regarda, une question plein les yeux et Voldemort se renversa dans son fauteuil avec un froncement de sourcils, « La seule façon de contrer la malédiction de l'Amortentia était de trouver quelqu'un qui pouvait t'aimer inconditionnellement, un pur sentiment intacte et très puissant d'amour. Cela a été le seul antidote à cette malédiction qui contraint une personne à ressentir que de la haine. » Il regarda intensivement Harry, « Je m'étais damné par la création des Horcruxes car ils ont détruit cette chance. Avec mon âme divisé en autant de morceaux, la possibilité d'éprouver une telle émotion était à côté de rien. »

« Donc, que c'est-il passé ? A la malédiction, je veux dire ? » demanda doucement Harry : « Votre propre compagne n'a pas réussis à briser cet malédiction ? A telle disparu ? »

Voldemort sourit faiblement, « Non, elle ne l'as pas fait. »

Harry regarda son père avec confusion : « Que voulais vous dire ? »

« Dit-moi Rhyian, » commença Voldemort, « Es-ce que la puissance de l'amour d'un père pour son fils, quand surpasse l'amour de la puissance d'une malédiction sombre et dangereuse malgré le fait que l'âme du père est fragmenté ? »

Harry le regarda avec des yeux écarquillés.

Le Seigneur des Ténèbres, lui, s'était penché vers l'avant, laissant ses longs doigts glisser dans les cheveux d'Harry, tirant sur une boucle errante avec un petit sourire sur ses lèvres. « Tu es un enfant miracle. » murmura-t-il, « Les femmes Lamia ont beaucoup de difficultés à avoir des enfants. Il faut des années pour en concevoir. Tu es né un an à peine après mon mariage. Mon corps endommagé aurai du me rendre infertile mais je ne l'étais pas. Je craignais que tu naisses avec une difformité ou handicapés à causse des sombres rituels que j'avais effectué sur mon propre corps, Tu t'es avérés être parfait. J'avais peur que tu t'avère être un Cracmol mais tu es ici, plus puissant que la plupart de tes pairs. » Réalisant qu'Harry été accablé, le plus vieux sorcier fit un pas en arrière, « Je vais te laisser à tes réflexions. Je te suggère d'écrire à ton amie né-moldu. Elle veut savoir si tu veux récupérer ta cape d'invisibilité et quelques autres affaires en ta possession. »

Harry acquiesça faiblement, l'esprit chancelant.

« Oh et pour que tu ne doute pas de mes mots … » Voldemort fit une pause et agita sa baguette, « Moi, Tom Elvis Jedusor, jure sur ma vie et sur ma magie, que je n'ai dis que la vérité au cours de ma récente conversation avec Rhyian Thomas Jedusor aussi connu comme Harry James Potter. »

Les yeux d'Harry se creusèrent lorsqu'un ruban d'or émergea de la pointa de la baguette de Voldemort et l'encercla avant de disparaitre. Son père lui sourit légèrement avant de sortir gracieusement de la chambre, le laissant couché sur le lit, assommé.

A suivre …