Hii !
Encore moi, et encore un autre petit défi… Toujours pas la même amie et ENCORE sur Bleach… mais on – enfin, surtout elle – les aime tellement !
Cette fois-ci, basé sur le couple Grimm/Ulqui et sur trois phrases :
- "Pourquoi il y a des étoiles en haut des sapins à Noël ?"
- "Ne crois pas pouvoir m'approcher avec cette gomme !"
- "Je pleure à tous les coups devant Roméo et Juliette"
Voir le résultat plus bas… Bonne lecture !
Grimmjow se demandait encore comment il avait pu se retrouver là. Après tout, qui pourrait croire que lui, LE Jaggerjack, la terreur de l'université d'Osaka, le caïd d'une bonne moitié de la ville, se retrouvait obligé de faire le porteur à trois jours de Noël ? Personne. Et il valait mieux que personne ne le sache. S'il tenait à garder sa dentition intacte, bien entendu. Tout ça, c'était la faute de son colocataire.
D'ailleurs, s'ils partageaient le même appartement, c'était sa faute aussi. Ulquiorra Schiffer était dans la même classe que lui pendant ses années de lycée, mais auparavant ils ne s'étaient jamais adressé la parole. L'un était incroyablement solitaire, très mystérieux, avec des cheveux noirs qui tranchaient sur sa peau pâle et d'incroyables yeux verts. L'autre se teignait les cheveux en bleu et entretenait soigneusement sa musculature sous sa peau brunie par le soleil. Ils étaient tellement différents que personne n'aurait imaginé ce qui se passerait – et encore moins le principal concerné…
Flashback
Grimmjow feuilletait distraitement les annonces de logement. Sa candidature avait – miraculeusement – été acceptée et il fallait qu'il trouve un appartement. Il cherchait déjà depuis plusieurs semaines, mais sa bourse ne lui permettait pas de prendre n'importe quoi… Un soupir exaspéré lui échappa, quand une main pâle passa par-dessus son épaule et, autoritairement, tourna plusieurs pages pour lui montrer une annonce.
- Là.
Le jeune homme sursauta violemment et se retourna brusquement. Ulquiorra était debout derrière lui, une main dans la poche, l'autre toujours posée sur l'annonce. Il ne frémit même pas devant le regard furieux de son camarade.
- Non mais de quoi tu te mêles, toi ! Et puis, d'abord, tu sais lire au moins ? C'est pour une colocation ça !
Le brun haussa légèrement un sourcil.
- Je sais.
- Alors qu'est-ce que tu délires ?!
- C'est moins cher.
- Qu'est-ce… Tu es en train de te foutre de moi ou quoi ?
- Non. Je te dis de téléphoner avant qu'on nous double.
- Nous ? Non mais t'es pas bien ! Pourquoi j'accepterais d'abord, hein ?
Ulquiorra lui lança un regard vraiment… glacial. Menaçant. Grimmjow déglutit nerveusement. D'un seul coup, il n'avait plus envie de protester… C'était quoi ça ? Il n'était pas sensé être le beau ténébreux entouré de mystère de la classe ? Celui qui faisait soupirer toutes les nanas et même quelques mecs ? Qui ne l'ouvrait jamais, même pas pour répondre aux profs ? Merde, c'était lui qui devait terroriser tout le monde, pas l'inverse !
- Téléphone.
- Ok, ok…
Fin du flash back
Il se demandait encore comment il avait pu accepter. Et dire que les gens pensaient encore qu'Ulquiorra était un ange… C'te bonne blague ! Ce mec était un vrai tyran domestique. Il poussa un grognement alors que le jeune homme sortait d'une nouvelle boutique et jetait un petit sac en papier sur la pile – déjà imposante – que portait Grimmjow. Le froid était de plus en plus vif et quelques flocons commençaient à tournoyer dans le ciel gris. L'un d'entre eux se posa sur le nez du jeune homme aux cheveux bleus et il le fronça pour s'en débarrasser. Ulquiorra enfonça ses mains dans ses poches et courba les épaules pour remonter son écharpe sur son visage.
- On rentre.
- 'Tain Ulqui tu fais chier, ça fait des heures que tu me traînes ici pour faire tes courses et là comme ça tu décides d'arrêter ?! Quand est-ce que tu me demanderas mon avis, hein ?
Le brun ne répondit pas, mais il se retourna en haussa un sourcil et, sortant une main, fit sauter les clés de l'appartement dans sa paume. Grimmjow jura. Evidemment, lui avait oublié ses propres clés sur sa table de chevet… Veillant à ne pas faire tomber tous les paquets sur sa tête, il lui emboîta vivement le pas, slalomant entre les enfants surexcités et les couples émerveillés. Il détestait Noël. Trop de monde, trop de lumière, trop de joie… Les gens qui passaient près de lui sursautaient toujours en croisant son regard noir, l'énervant en plus lorsqu'ils manquaient de bousculer le fragile équilibre de sa pile. Ulquiorra semblait ne plus se préoccuper de lui et se glissait sans aucune difficulté dans la foule, son long corps mince et souple évitant distraitement les corps autour de lui.
Ils parvinrent à rejoindre leur petit appartement sans trop d'encombres et Grimmjow poussa un soupir de soulagement lorsqu'il laissa tomber ses paquets dans le salon. Ulquiorra y jeta à peine un coup d'œil, accrocha son manteau dans l'entrée et alla aussitôt s'installer à sa place. Il avait tiré un vieux fauteuil miteux près de la grande fenêtre du salon et grimpait toujours dessus, les genoux ramenés contre sa poitrine, la tête appuyé contre la vitre et le regard perdu dans la ville au-dehors. Son colocataire se laissa tomber sur le canapé et renversa la tête sur le dossier pour soulager les muscles douloureux de sa nuque.
- J' te jure, c'est bien la dernière fois que je te laisse m'embarquer dans un truc pareil… La prochaine fois, tu te démerdes pour tes courses !
- Grimmjow…
L'autre leva les yeux au ciel. Tout le monde l'appelait Grimm ou Jaggerjack, même sa famille, mais Ulquiorra était le seul à ne jamais l'appeler autrement que par son nom entier. Si cela l'avait agacé au début, il n'y faisait plus vraiment attention.
- Quoi encore ?
- Pourquoi il y a des étoiles en haut des sapins à Noël ? [1]
- Hein ?
Surpris, Grimmjow se redressa. Qu'est-ce que c'était encore que cette question ? Mais le brun ne le regardait toujours pas. Il scrutait quelque chose à travers la vitre, son visage toujours aussi inexpressif… pour tout autre que son colocataire. A force de le côtoyer, le jeune homme avait fini par apprendre à déchiffrer les minuscules étincelles qui traversaient parfois son regard vert. Et à cet instant précis, il semblait nostalgique, presque triste… Il grogna et se leva pour s'approcher de la fenêtre. Sur la petite place devant leur immeuble, un groupe d'hommes étaient en train de décorer joyeusement un immense sapin. Ulquiorra tourna légèrement la tête vers lui pour le fixer, attendant toujours sa réponse. Grimmjow grimaça.
- Euh… J'sais pas… Peut-être pour que le Père Noël loupe pas les maisons où il doit passer ?
Chose exceptionnelle, un mince sourire amusé étira les lèvres pâles du brun.
- T'es bête.
- Hey ! Tu me poses une question moi j'réponds ! Si t'as une meilleure idée, moi j' t'écoute !
Mais Ulquiorra ne semblait plus l'écouter. Il posa son menton sur ses genoux et murmura :
- Alors il ne passera pas ici cette année…
Grimmjow l'observa un instant, puis poussa un "tsss" agacé en ébouriffant ses cheveux bleus d'une main, mal à l'aise. Il n'aimait pas quand l'autre faisait cette tête, ça le faisait… culpabiliser. Et pourquoi, hein ? Il n'avait même pas choisi cette colocation, ils ne passaient pas des heures à discuter comme des amis, ils passaient parfois trois jours sans même se voir. Il n'avait pas à se préoccuper de ce type. Alors pourquoi sa main se tendait-elle déjà vers lui ? Il l'enfonça brusquement dans sa poche et tourna les talons.
- Je sors, faut que j'aille voir Nnoit.
Pas de réponse. D'ailleurs, pourquoi le prévenait-il ? Je suis vraiment un abruti, songea-t-il en enfilant son blouson.
- Allons bon, qu'est-c' qu'i t'a encore fait, ton beau brun ?
La voix de Nnoitora son bras droit, lui parvenait étouffée, étrangement déformée. Le corps immense de son – seul – ami disparaissait à moitié sous une voiture d'origine allemande. Grimmjow grogna en s'appuyant sur le capot, promenant son regard sur la maigre décoration du garage glacial.
- Qu'est-ce qui te fait dire que ça le concerne ?
- Pas avec moi, Grimm. Chaque fois qu' t' viens m' voir ici, c'est à cause de ton coloc'. Si ça continue, t' vas crécher ici et j' vais devoir investir dans un futon… Allez, raconte.
- Rien ! J'avais juste envie de bouger. Tu délires toujours.
Nnoitora sortit la tête sur le côté pour dévisager son ami avec son fameux sourire en coin, légèrement sadique. L'effet aurait très réussi s'il n'y avait pas eu cette tâche de cambouis sur sa joue. Grimmjow fronça les sourcils.
- Toi… je vais pas aimer ce que tu vas me dire…
- Sûrement pas, mon grand, mais t'as pas le choix. A mon avis, ton beau brun, t' l'apprécies plus que c' que t' veux faire croire. T'arrêtes pas d' parler d' lui, même si c'est pour t' plaindre, on dirait qu'il t'obsède. Et t' sais aussi bien qu' moi que ça fait longtemps qu' t' préfères les services trois pièces aux airbags.
Grimmjow fusilla le mécanicien du regard.
- Ok, je sais pas ce que t'as fumé avant que j'arrive, mais c'était du lourd… Et puis quoi encore ! Moi, m'intéresser à ce gamin rachitique ? Mais tu rêves !
- C'est ça, c'est ça. Même moi j' l'ai maté quand i' sortait d' la douche lorsque j' squattais chez toi. Rachitique, p't-être, mais sacrément bien foutu. Sa peau a l'air vachement douce… Si t'en veux pas, tu m' le prêtes ?
- T'es pas sensé être avec Tesla, toi ? Et depuis quand tu mates mon coloc ?
- Bah, Tesla a pas besoin d'être au courant…
- Approche-le et je t'éclate. C'est clair ?
Le sourire de Nnoitora s'élargit et il repartit sous sa voiture.
- T' vois, t'es jaloux !
Grimmjow grommela une vague réponse. Non il était pas jaloux, il préservait simplement sa tranquillité ! Toujours éviter que deux potes à vous couchent ensemble, sinon ça vous retombe dessus. Ulquiorra faisait ce qu'il voulait de sa vie. D'ailleurs, il ne savait même pas s'il était gay ou hétéro. Et pourquoi il s'en souciait maintenant hein ? Il ne l'avait jamais maté. Ce n'était pas sa faute si le brun se promenait souvent torse nu en sortant de la douche… Il poussa un grognement excédé.
- Merde, Nnoit, j'étais sortit changer d'air et tu m'as encore plus embrouillé ! T'es chiant !
- Bah, faut pas grand-chose pour perturber les deux pauv'es neurones qui s' baladent dans ton cerveau. Dégage maintenant, j'ai du boulot, et si tu continues à m' taper la causette j' vais pas m'en sortir.
- Tu bosses quand ça t'arrange, toi.
- Vire-d' là, Grimm.
Le jeune homme renifla et donna un bref coup de pied dans les longues jambes qui dépassaient de la carcasse métallique.
- Si jamais je te vois rôder autour de chez moi, je te descends.
- Joyeux Noël à toi aussi. Oublie pas que Tesla veut avoir tout l' monde le 25.
- Ton mec fait chier.
- Comme tu dis.
Grimmjow haussa les épaules et sortit, ses doigts jouant machinalement avec ses clés et sa carte bleue dans sa poche.
Ulquiorra leva les yeux lorsqu'il entendit un fracas terrible s'élever de l'entrée, suivit d'un flot de jurons. Ah, Grimmjow était rentré… Le jeune homme posa son travail et se leva. Ses yeux s'écarquillèrent légèrement. Un sapin s'agitait dans l'entrée, quelques mèches bleues apparaissant entre les touffes d'aiguilles ; une poche s'était renversée sur le plancher et quelques boules colorées roulaient jusqu'à ses pieds. Il se pencha pour en ramasser une, un faible sourire flottant sur ses lèvres. Grimmjow finit par réussir à poser le sapin et se redressa en grimaçant : quelques aiguilles s'étaient plantées dans ses joues… Lorsqu'il vit Ulquiorra face à lui, celui-ci aurait juré qu'il se mettait à rougir.
- Quoi ?
- Rien.
- C'est Nnoitora qui m'a refilé ça, il savait pas quoi en faire, ça encombrait le garage.
- D'accord.
- J' te jure, il pouvait pas le jeter, non ? Faut toujours que ce genre d'embrouilles me retombe dessus !
- Je vois.
Grimmjow finit par hausser les épaules.
- Bon, tu te bouges un peu ? Il va pas s'installer tout seul !
Lorsque le sapin fut enfin installé, quelques heures de bataille plus tard – "je te dis qu'il m'aime pas ce truc ça fait dix fois qu'il m'agresse ! Je hais les aiguilles !" "Grimmjow, c'est un sapin" –, Grimmjow s'affala sur son canapé, devant la petite télé qu'ils avaient réussi à récupérer, alors qu'Ulquiorra s'allongeait sur le sol pour reprendre son travail. Les jambes relevées, croisées au niveau des chevilles, le visage soutenu par une main, il griffonnait rapidement sur une feuille, son regard alternant sans cesse entre son livre de droit et ses notes. Mais les doigts de sa main gauche pianotaient sur sa mâchoire fine, comme s'il réfléchissait ou s'il se retenait de faire quelque chose. Au bout de quelques minutes, il arrêta brutalement son petit manège et referma son livre. Une petite lueur inquiétante brillait dans ses yeux et ses doigts s'étaient enfin immobilisés. Sa décision était prise. Silencieusement, il se releva et se rapprocha du canapé.
Grimmjow, absorbé par l'émission qui passait, ne s'en rendit compte qu'au moment où le brun s'installait devant lui, masquant l'écran. Agacé, il ouvrit la bouche pour lui demander de bouger, quand son regard fut brusquement attiré par ce qu'il avait dans la main. Ses sourcils se froncèrent aussitôt et il reposa prudemment la télécommande qu'il tenait encore.
- Qu'est-ce que tu fous ?
Ulquiorra se contenta de plisser un peu les yeux en le dévisageant attentivement. Grimmjow l'avait vu une seule fois dans cet état, lorsque Nnoitora et Tesla étaient venus la première fois ensemble, et si c'était bien ce qu'il pensait, il était mal partit… Il se décala un peu et le regard vert le suivit.
- Ulqui, j'ai ramené le sapin, hein, reste sage…
- Justement.
- Ne pense pas pouvoir m'approcher avec cette gomme !
Le brun eut un rictus inquiétant et fit un pas en avant. Son colocataire n'attendit pas une seconde de plus. Il bondit par-dessus le dossier, glissa sur le parquet de bois, se rattrapa de justesse et se rua vers la salle de bain. Trop tard. Un poids inhabituel sur ses reins le fit chuter et il se retrouva allongé sur le dos, Ulquiorra fermement installé sur son ventre, visiblement très satisfait de lui-même.
- Arrête ça, espèce de tyran ! Je veux pas !
- Ne bouge pas.
Malgré lui, Grimmjow obéit. L'autre s'était penché vers lui, très près, trop près de son visage… Une grosse goutte de sueur apparut sur la tempe du jeune homme. Depuis quand il était aussi sensible à la proximité de son colocataire ? Noit', t'es mort. Il se força à respirer par le nez pour se calmer, mais il ne parvenait pas à détacher son regard des deux prunelles vertes qui s'approchaient de plus en plus. La gomme se posa au coin de sa bouche et il déglutit nerveusement. Pourquoi sa gorge était-elle aussi sèche, d'un seul coup ? La pointe remonta lentement le long de sa joue étirant ses lèvres dans un sourire invisible, avant de faire la même chose de l'autre côté. Et voilà, c'était parti. Ulquiorra était en train de dessiner la bonne humeur.
Quand Nnoitora était venu avec son petit-ami, le brun avait été tellement heureux, malgré son visage impassible, qu'il n'avait pas pu s'empêcher de communiquer sa joie. Et Ulquiorra était un très bon dessinateur. Tesla s'était laissé faire avec étonnement, puis avec un certain enthousiasme. Mais ça avait été une autre histoire avec Nnoit, et Grimmjow gardait le souvenir de la course-poursuite qui avait eu lieu comme l'un des plus drôles de sa vie – l'immense Nnoitora avait, bien évidemment, perdu face au plus petit. Ulquiorra ne savait pas montrer ses émotions, mais il avait un don pour les plaquer sur le visage des autres quand elles étaient trop fortes.
Et c'était au tour de Grimmjow d'y passer. Il poussa un profond soupir et se laissa faire. Après tout, ça ne servait à rien de se débattre, au contraire ça rallongerait le calvaire. La gomme glissait sans s'arrêter, doucement, sur les joues, le front, le coin des yeux. Sous la caresse, le jeune homme se détendit peu à peu. En fait, c'était plutôt agréable… Son sourire se fit moins forcé et Ulquiorra s'immobilisa lentement. Ses yeux verts pétillaient. Grimmjow ne les avait jamais vus si expressifs. Il se racla la gorge et se força à marmonner d'un ton bougon :
- C'est bon, t'as fini ? Tu peux bouger ?
Mais le brun se contenta de se redresser, tortillant des hanches pour trouver une position plus confortable. L'autre se mordit la langue. Arrête ça de suite !
- Explique-moi quelque chose, Grimmjow.
- Bordel, Ulqui, sors d'abord de là, après je répondrai à toutes les questions que tu voudras ! Mais reste pas sur moi !
- Qu'est-ce qu'un service trois pièces ?
Grimmjow crut que ses yeux allaient sortir de sa tête. Il n'y avait qu'une seule personne de sa connaissance qui utilisait une telle expression. Oh le con oh le con oh le con oh le con oh le con… Et Ulquiorra semblait sourire, toujours à califourchon sur lui.
- Hein ?
- Nnoitora a téléphoné juste avant que tu rentres. Tu avais quitté son garage depuis un moment, apparemment, et les mains vides.
Je vais le buter je vais le buter je vais le buter…
- Il voulait me dire de… prendre soin de mon service trois pièces. Il a ajouté que tu comprendrais. Alors explique-moi.
- Euh… euh…
Putain et ça se dit mon meilleur ami ? Mais je vais lui faire bouffer ses moteurs à l'autre imbécile ! Grimmjow voulut se dégager, mais chacun de ses mouvements entraînaient des contacts plus ou moins poussés avec le bassin de son colocataire et il s'immobilisa aussitôt. La chaleur commençait à l'envahir, surtout au niveau de son bas-ventre… Non pas ça ! Le jeune homme le repoussa brusquement. Ulquiorra tomba en arrière, une lueur de surprise traversant son regard. Grimmjow se leva, les mains tremblantes, et évita soigneusement de regarder à ses pieds.
- Rien ! Une connerie de Nnoit… Je vais… à la douche !
FROIDE !!! Il courut presque s'enfermer dans la salle de bain. Ulquiorra resta immobile un instant, puis un mince sourire ambigu étira ses lèvres et il fit sauter sa gomme dans sa paume.
Tout ceci était décidément bien intéressant…
.~.~.~.TO BE CONTINUED.~.~.~.
Pas tuer moi ! Bon, c'est bien guimauve, mais c'est assez chaud, je me rattraperai sur l'humour un autre jour… et puis, ça fait du bien non de temps en temps ? enfin bref, défi divisé en deux après longue réflexion pour ne pas être trop long à lire en un coup
Le coup de la gomme est peut-être pas terrible, mais fallait bien la caser quelque part celle-là ! .''
La suite bientôt, promis !
Mais laissez un mot, ça peut toujours être intéressant d'avoir des idées pour la suite, rien n'est encore fixé !^^
[1] : la véritable réponse à cette question est… beaucoup moins mignonne
Le Père Noël rentre après une dure journée de labeur complètement lessivé et furieux. Une petite étoile s'approche de lui et lui demande :
- Et le sapin, on le met où ?
- Tu veux savoir où tu peux te le mettre, ton sapin ? demande le Père Noël, excédé.
- Euh… oui… (répond timidement la petite étoile)
- DANS TON C… !!!