Bonjour, bonsoir lecteurs, lectrices :) Vous êtes partis pour lire ma deuxième fanfiction, et la première sur le site FF Voici quelques petites indications avant de commencer :

La fiction: c'est une FF rated M, donc lemon, bien que plus tard dans la fiction il sera présent. Cette fiction est une fiction All Human.

Disclamer: Je tiens à présiser que tous les personnages de cette fanfiction appartiennent à Stephenie Meyer. J'écris ici sans aucun but lucarif.

Plagier: J'écris cette FF, j'y passe un certain temps (et bien sûr plaisir) donc respecter cela s'il vous plait. J'ai trouvé un moyen de vérifier que personne ne redifusse mes textes autre part en se les appropriant et si cela est fait j'emploierais les moyens nécessaires. Merci de votre compréhension.

Newsletter :

Voilà! sur ce bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me donner votre avis ;D


Chapitre 1: Le Diable


Bella's PoV

Quelqu'un s'approche doucement de moi. Je le sens, je le sais mais je ne bouge pas. Une pression sur mon épaule me fait sursauter. Un souffle chaud sur mon oreille me donne envie de me vomir, mais je ne peux pas, je reste là, pétrifiée. Deux grosses mains descendent le long mes côtés, de mes hanches pour ensuite remonter vers ma poitrine. Une larme silencieuse coule le long de ma joue. C'est la fin, c'est ma fin. Je sens son sexe dur contre mes fesses. Un sanglot m'échappe. Tous mes membres se mettent à trembler mais je ne peux rien faire, je ne peux pas me défendre, à quoi cela servirait ?

- Mmh, Bella... gémit-il en passant sa ma sous ma chemise.

Je me réveillais en hurlant, propulsant ma tête hors de l'oreiller. Mon cœur battait à la chamade, comme à chaque fois que je fais cet affreux rêve, qui pourtant ressemblait tant à la réalité ; qui pourtant est la réalité. Un sanglot me secoua, j'enfouis ma tête dans mon oreiller pour ne pas réveiller mon frère qui doit être surement avec Rose. Je m'assois au bord du lit et plaçant mes coudes sur mes genoux je posais mon front sur mes mains.

Quelques minutes plus tard mon cœur avait repris un rythme normal et je pus regarder quelle heure il était : 4 :02 AM. Je soupirais. Sachant que je ne refermerais pas l'œil de la nuit je partis prendre une douche. Quand j'eu fini de m'habiller il était presque trente. J'allumais mon ordinateur portable pour consulter mes mails mais rien d'intéressant. Je fini par finalement sortir de ma chambre à pas de loup et allait retrouver la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Vers 5 :30 je descendis dans la rue pour voir les premiers rayons soleils se lever sur New-York.

Quand je rentrais dans l'appartement, munis de croissants et pains au chocolat pour Emmett il était 6 :30. La petite balade matinale m'était maintenant devenue très familière et mon frère c'était bien adapté au fait qu'il pouvait se gaver des 7h du sortis le jus d'orange et les pots de confitures du frigo et m'assis en attendant mon frère et ma future belle-sœur.

Emmett était l'ainé des Swan, il allait avoir 22 ans dans deux mois. Moi, je venais d'en avoir 18, le treize septembre, il y a environ deux mois. Je vivais avec Emmett depuis l'âge de 15 ans. Mes parents étaient morts dans un accident de voiture il y a un peu plus de deux ans. Mon père étant avocat, il avait fait passer le message comme quoi Emmett aurait ma garde si jamais ils leurs arrivaient quelque chose. Nous avions donc tout les deux quitter Forks quelques semaines après l'enterrement pour changer d'air et essayer de tourner la page. Ca n'avait pas été facile mais Emmett m'avait aidé et nous nous en sortions pas mal.

J'étais heureuse avec lui et il était un grand frère et lui s'étaient rencontrés dans des conditions que je préférais ne pas savoir... mon frère était, avant elle, surement un des coureurs de jupons les plus réputé de Manhattan. Il avait commencé à faire ça bien avant la mort de mes parents, c'était d'ailleurs un sujet, et surement le seul sujet de disputes entre mon frère mon père. Il devait avoir couché avec toutes les filles du lycée de Forks, ou à peu près. Mais cette partie de sa vie avait complètement disparut quand il avait rencontré Rose, ils étaient raide dingue l'un de l'autre, à mon plus grand bonheur.

- Toc toc toc. Fit une petite voix endormit.

Je relevais les yeux de mon croissant et sourit à Rose qui vint s'asseoir en face de moi.

- Il roupille encore ? Lui demandais-je.

- M'en parle pas ! Il ronfle comme jamais. Me dit-elle en roulant des rigolais et lui offris le sachet avec viennoiseries. Elle sourit et plongea sa main dedans pour en sortir un croissant qu'elle tartina de Nutella.

- Merci. Je luis souris.

- Pas de problème !

Des pas se firent entendre dans le couloir, à savoir Emmett qui trainait toujours des pieds le matin, avant sa douche. Il était comme un ours après hibernation, mais une fois trois pains au chocolat avalés tout allait mieux.

Il entra dans la cuisine sous nos deux paires d'yeux. Rose souffla en voyant sa tête. Emmett releva la tête et essaya de faire un effort.

- Ha ! Mes deux femmes préférées ! Il m'embrassa le front comme tous les matins et posa un chaste baiser sur les lèvres de Rosalie.

- Oh Bella, tu es allé chercher des pains au chocolat, merci ! Je lui souris et levais les yeux au ciel quand il en sortit trois du paquet.

- Pas de problème ! Répé sortit de la pièce pour aller se préparer, elle devait aller à la fac aujourd'hui, et moi en cours, je passe mon bac à la fin de l'année et je pourrais surement rejoindre ma meilleure amie (à savoir Rose) à la fac l'année prochaine en section littérature. Emmett engloutis les trois viennoiseries en même pas deux minutes pendant que moi je dépouillais mon croisant.

- Hey, Bella ? Ca va ma puce ? Emmett me regardait intensément avec ce pli sur le front pour indiquer qu'il était inquiet.

Je formais un souris que très peu convaincant et lui répondis que oui.- Il faudrait vraiment que tu apprennes à mentir, car c'est de pire en pire. Soupira-t-il en se détendant un peu.

- Ca va, c'est rien juste un mauvais rêve. Emmett fronça les sourcils.

- Tu veux en parler ? Je baissais les yeux et secouais la tête négativement. Je lui souris quelques secondes plus tard en priant pour qu'il me laisse tranquille.

- Bon, je vais accompagner Rose à la Fac et je vais bosser après. Tu veux que je te dépose ?

- Non, merci c'est bon, j'aime bien marcher. Je me levais et commençais à débarrasser. Je voulais oublier tout ça, pour ne pas faire vivre à mon frère ma douleur, il en a déjà assez fait.

- Ok, on se voit ce soir alors. Je vais allez voir si je me trouve pas un job donc ne m'attendez pas pour le diner. Le prospectus du livreur de pizza et dans le salon. Lui dis-je pour le ouvrit la bouche mais sachant parfaitement ce qu'il allait dire – je commençais à avoir l'habitude. Je le coupais dans son élan.

- Je tiens à me trouver un job Emmett, pas seulement parce que c'est toi qui paie pour moi, mais parce que je veux, j'en ai besoin, alors maintenant tu vas arrêter tes sermons à la cons et me laisser, j'suis une grande fille maintenant !

Je regrettais aussitôt mes paroles, qui avaient été plus sèches que je ne l'aurais souhaité...

- Je suis.... Soupirais-je.

- Don't worry ma belle, je voulais juste de dire d'être prudente et de garder ton portable sur toi. Pour ce genre de choses Emmett était vraiment super, il ne cherchait pas à entrer dans le conflit et mettais fin aux gènes très rapidement. Je lui fis un petit sourire désolé et allais le serrer dans mes bras.

Les gestes d'affections n'étaient pas vraiment nos trucs, nous, les Swan. Papa ne montraient pas ses sentiments ou très peu, il était plutôt du genre timide et renfermée, sans être désagréable pour autant. Maman, elle était plus excentrique mais avait ses limites. Emmett était le seul avec qui je pouvais et j'osais faire ce genre de chose.

Je m'étais beaucoup rapproché de lui lors de la mort de nos parents et il était devenu en quelque sorte mon pilier. Nous avions été très proches pendant un moment, j'avais presque emménagé dans sa chambre et dans son lit. Mais depuis que nous étions arrivés à New York j'avais essayé de me reconstruire, j'avais réussi, du moins pendant un an, puis ensuite tout était retombé.

Mais je chassais vite cette pensée de ma tête et me dégageais des bras me mon frère. Il me sourit et sortit de la cuisine. Je partis pour mes cours une demi-heure avant qu'ils ne commencent. Mon lycée, était assez loin et je ne voulais surtout pas arriver en retard, il y a rien de pire que de se faire remarqué. Je marchais, comme tous les jours jusqu'au métro et empruntais la ligne 3.

J'arrivais au lycée dix minutes avant que mon premier cours d'anglais ne commence, je montais en vitesse les trois étages et entrai m'assoir à ma place. Angela, ma voisine de classe et seule véritable amie dans ce lycée arriva quelques secondes avant le prof, qui pour une fois était à l'heure. le cours prit fin, deux heures plus tard mon ventre gargouilla et j'allais me chercher une barre chocolatée au distributeur.

Un garçon m'aborda mais je le renvoyais vite fait, faisant rire Angela à côté de moi. Ce genre chose m'arrivait de plus en plus souvent, ce qui me mettait très mal à l'aise mais j'essayais tant bien que mal de le cacher, abordant un visage dur et froid. Je n'avais jamais vraiment eu de relation sérieuse. Je n'avais embrassé aucun garçon à la maternelle, avait dit « je t'aime » à personne, à part peut être à mon frère. Après l'accident qui c'était produit je m'étais fait promettre de ne jamais faire confiance à aucun garçon pour ces chose-là.

La journée se finissait enfin et je devais maintenant m'occuper de me trouver un boulot. Je fis une tournée de cafés, clubs et autre mais rien, toujours et encore rien. Je m'étais toujours dis que l'épée de Damoclès régnait au-dessus de ma tête mais à ce point là, ça commençait à être vraiment embêtant. Je m'assis contre un mur et enfouis ma tête dans mes genoux.

Des sanglots me firent haleter. La nuit était tombée et je n'avais encore rien trouvée. Je n'en pouvais plus, j'étouffais, je ne servais à rien à part attirer les problèmes. Je me souvins de son visage, de ses traits, tellement heureux, tellement sadique, tellement tout, tout ce qu'il y a de plus ignoble sur terre, il était mon diable personnel.

Le genre de diable qui apparait à l'improviste, qui vous fait perdre tout vos moyens par la simple vue de ses deux cornes. Mes sanglots doublèrent de volumes et je ne contrôlais plus rien. Je n'étais plus rien, il m'avait détruit. Une main vint s'appuyer sur mon épaule. Sa main. Mon diable. J'émis un hurlement et relevais la tête. Mais ce n'est pas un diable que j'aperçus mais un ange. Je n'eu pas le temps de le contempler car dans mon mouvement brusque ma tête vint heurter le mur sur lequel je m'étais adossée. Et puis plus rien. Plus de diable. Plus d'ange.

Juste le noir.


Tadam ! lol

alors ? le petit bouton vert ça vous dit quelques chose ? :P

voilà, donc désolée pour celle qui n'aime pas l'action dès les premiers chapitres mais bon moi c'est comme ça !

à bientôt ;)