Salut chers lecteurs, chères lectrices, c'est ici que tout se termine ! Hé oui, Descente Aux Enfers a enfin une fin ! J'espère vraiment qu'elle vous plaira ! J'ai eu beaucoup de difficultés, et je ne pense pas que ce chapitre plaise autant que je l'aurai souhaité (n'est-ce pas Magnagna Love ? xD) mais j'ai fait tout mon possible ! Déjà que je voulais le poster hier !

Disclaimer : Je veux Lelouch ! Oups... trompée de fandom. Hum hum ! Je disais donc : je veux Naru... #BAM# (Auteur assomé pour diffamation et violation des droits d'auteur)

MERCI À TOUS CEUX ET CELLES QUI ONT REVIEWE CETTE HISTOIRE ! D'AILLEURS JE M'EXCUSE AUPRÈS DES ANONYMES À QUI JE VAIS REPONDRE TOUT DE SUITE !

Sam : Vu que ta review demandait la suite, je ne peux que te proposer... la fin ! xD

Leymo : Je suis contente que cette fic t'es plue et j'espère que le côté noir est assez noir à ton goût xD ! Et si j'ai mis le POV de Naruto juste à côté de celui de sasuke, c'était justement pour tout cassé xD ! Bah oui, fallait pas oublié que c'était des viols !

Ashérit : Merci beaucoup #rougit# Je ne suis pas si géniale que ça, même si je suis la meilleure pour tout et que vous êtes tous... #BAM# (décidément) Reprenons xD ! Alors comme ça tu aimes un Sasuke psychopathe xD ! T'es pas bien toi ?! Quoique... moi aussi je l'aime que comme ça xD !

Merci infiniment à Sam, Magnagna Love, AkuriAtsuki, xxetsuko-yaoixx, Bibisims, Leymo, Lectrice-14 et Ashérit !

Bonne lecture !


Chapitre 7 :

Les coups pleuvent, il a sorti un kunai et m'a déjà entaillé l'épaule. Une méchante coupure à la joue saigne abondamment.

Je m'en fous, le chakra de Kyuubi est déjà en train de me soigner.

Dans le cas de Sasuke, c'est différent. Il n'est pas blessé. J'arrive pas à l'attraper cet enfoiré ! Il voit toutes mes attaques avec son Sharingan de merde !

Je grogne comme une bête, de toute façon je dois plus beaucoup ressembler à un humain maintenant. Je suis à quatre pattes, mes griffes s'enfoncent dans le sol poussiéreux et mes queues dansent autour de moi. Tous mes sens sont décuplés et c'est merveilleux.

D'abord la vue. Sasuke avec son Sharingan ne peut pas voir comme je le vois. Je vois son visage d'ange, son corps excitant

Et mon cul c'est du beurre ?!

Ensuite vient le toucher. Frôler sa peau si douce

Ça me donne envie de la lui arracher.

Tous les sons que je peux entendre sont… formidables. Entendre ses soupirs, les bruissements de ses vêtements lorsqu'il m'esquive…

Ses cris d'agonie doivent forcément être euphorisants.

Après je ne sais pas lequel je préfère : le goût ou l'odorat ? Parce que franchement, qui pourrait résister à ce parfum envoûtant, cette odeur irrésistible… que celui du sang de Sasuke ?

Hé ouais, j'ai enfin réussi à le blesser au flanc et maintenant l'odeur du sang se répand dans mes narines. J'aime tellement cette odeur… Surtout celle de Sasuke.

Maintenant je me demande quel goût ça peut avoir. Je me pourlèche tout en fixant de mes yeux pourpres le corps de Sasuke.

J'ai bien envie de le mordre, sentir mes crocs dans sa chair et m'abreuver de son sang.

Il hurlerait tout en me suppliant de le tuer plus vite.

Et ses yeux sont si captivants. Ah… Je veux les croquer.

Ses mains sont en train de former tellement de signes à une vitesse hallucinante !

Je veux broyer ces mains expertes.

Je veux le mettre à genoux, le voir pleurer, crier à l'aide, demander pardon. Je veux le voir humilié, trahi, brisé.

Je veux sa mort.

C'est dingue à quel point j'aime ce pouvoir presque incontrôlable, me dire que je suis aussi puissant me réjouit au plus au point.

Je ne sais même plus pourquoi je le voulais, ni pourquoi je veux tuer Sasuke. Je m'en fous.

Après tout il va mourir alors on s'en fout.

Il se précipite encore vers moi. Je l'attends. Je m'amuse. Il a préparé un chidori et s'apprête à transpercer mon corps.

Pff… Quel con.

Je m'élance vers lui, le sourire aux lèvres. Je fonce directement sur son chidori qui me transperce le ventre. Il a l'air… surpris. Même plutôt choqué.

Si c'est pour regretter ton geste, fallait pas faire apparaître de chidori.

Je le serre dans mes bras, la bouche remplie de sang que je crache sur son épaule. Le sang aux commissures de mes lèvres parcourt mon cou jusqu'à teinter un peu plus le chakra de rouge.

Sasuke se crispe. Sasuke souffre. Le chakra rouge lui brûle ses vêtements et sa peau. Une odeur de chair brûlée commence à s'échapper de son corps serré contre le mien. Je souris encore plus.

Il crie !

Crève ! Crève ! Crève… !

Il m'envoie un coup de pied dans les jambes ce qui me fait perdre l'équilibre et ma prise par la même occasion. Il retire son bras et ma blessure se régénère aussitôt.

Dommage. J'aurai bien voulu goûter à mon sang. Il doit être savoureux.

Tout comme Sasuke.

Je peux voir le sang chaud pulser dans ses veines et je suis de plus en plus attiré, comme un aimant plus qui a rencontré son opposé.

Sasuke grimace. Je lis dans ses yeux de la peine. De la tristesse. De l'amour.

Bon, je dois avouer que je me suis trompé tout à l'heure.

Ma vue est très mauvaise.

C'est impossible que Sasuke, ce salaud, ait un cœur.

C'est comme si on me disait que je l'aimais. Hé hé hé ! On voit bien que c'est impossible !

Je m'accroupis, me préparant à l'assaut. Il sent que je vais l'attaquer et se met en garde. Nous courons l'un vers l'autre, chacun son attaque favorite dans la main. Un joli chidori et un mignon rasengan font leur rencontre à Konoha. Et ça fait…

BOUM !

Nous nous retrouvons sur le dos à 50 mètres l'un de l'autre. Comme d'habitude, nous nous sommes repoussés. C'est pas comme ça que je vais pouvoir te manger, Sasuke.

Je me relève en même temps que toi. Tu n'as pas l'air d'être mal en point. Tant mieux, je vais pouvoir jouer avec ton corps plus longtemps.

Parti comme c'est, ce combat va durer un sacré bout de temps. Mais mon intuition, ou plutôt Kyuubi, me souffle que j'ai intérêt à me dépêcher.

Sinon adieu ma liberté de mouvement avant de t'avoir éventré.

Tu ne manquerais quand même pas ça pour rien au monde, n'est-ce pas Sasuke ?

Je me lance à corps perdu vers toi, tant pis pour tous les coups que tu peux me donner, tant pis pour tout ce sang versé, parce que…

Parce qu'au moment où je t'attraperai, tu seras à moi.

Et puis ce corps ne sera plus le mien dans peu de temps. Je n'ai donc rien à perdre.

- Je t'ai eu !

J'ai une voix horrible ! Enfin, je m'en fous, je t'ai attrapé !

Tout mon chakra t'enveloppe, j'enfonce profondément mes griffes dans tes bras et je te mords le cou.

Huum… ! Comme je le pensais, ton sang est savoureux.

Je lèche le liquide rouge et m'en gorge. Tu te débats entre mes bras mais cette fois-ci je te tiens bien. Le chakra de Kyuubi recommence à te brûler la peau et de la fumée se forme autour de nous, l'odeur de chair brûlée nous engloutissant.

Ta main se desserre et le kunai chute lourdement sur le sol. Tu tombes à genoux, essayant de retenir tes cris de douleur en te mordant la lèvre inférieure. Tu as fermé les yeux. Tu as cessé de lutter. Comme ça, dans cet état d'abandon, tu es vraiment pitoyable.

… beau.

Qu'est-ce que… ? Je te relâche brusquement et tu restes prostré, toujours à genoux. Tes yeux s'entrouvrent en même temps que tes dents t'entaillent la lèvre, faisant gicler un peu de sang sur ton menton.

C'était quoi ça ? Une voix ?

Je n'ai pas le temps d'y penser. Je croise tes yeux d'encre et ce qu'ils expriment est de la douleur, et bien que tes blessures soient sérieuses, je sais que c'est à cause de ton amour pour moi. Tes mains tremblent mais tu arrives à les lever vers moi. On dirait que tu supplies. Que tu me supplies.

Mon cœur se serre ? Pas possible. Je n'ai plus de cœur, je ne peux plus ressentir de pitié pour quelqu'un et encore moins pour toi.

Tes lèvres bougent. Je n'entends pas ce que tu me dis. Je fronce des sourcils et me gifle. Mes griffes acérées tracent de petites entailles et ça me réveille enfin.

On s'en fout de ce que tu peux vouloir faire.

Mon sourire carnassier revient se dessiner sur mon visage. Je m'avance dangereusement vers toi.

Toi qui tremble. Toi qui supplies. Toi qui pleure.

Sasuke, le dernier survivant du clan Uchiwa, réputé pour son balais coincé dans le cul, froideur incarnée du gel, pleure ?! Je suis pas habitué à ce que tu montres tes sentiments, surtout ce genre de sentiments, alors tu m'excuseras mais…

- WAHAHAHAA !

Mon rire tonitruant ne peut plus s'arrêter. Je me tiens les côtes devant toi qui continue à verser des larmes. TU PLEURES ENFIN !

Malgré mon euphorie, je ne peux m'empêcher d'être atteint par une pointe de tristesse. Il faut croire que j'ai encore un peu d'humanité en moi qui se révèle au grand jour devant ton visage ravagé.

Mais ne nous démontons pas pour autant ! Bientôt tu n'auras plus vraiment une vraie gueule de tombeur mais… plus grand chose finalement.

- Naruto… Arrête ça…

Mon rire s'arrête aussi vite qu'il s'est déclenché. Mon visage redevient sérieux mais une lueur dans mes yeux contredit toute mon attitude.

Sasuke. Je veux que tu souffres autant que j'ai souffert et je pense avoir trouvé comment.

Un rictus bestial se forme et je vois bien que ta souffrance ne fait que croître.

- Sasuke… Quand je t'aurai fait subir les pires atrocités, je laisserai Kyuubi sortir. Ça ne sert à rien de me convaincre d'arrêter puisqu'il est déjà trop tard.

Ton désespoir est visible dans tes yeux. Tu transpires de tous les pores de ta peau, ta respiration devient de plus en plus saccadée et tes lèvres tentantes forment des mots inaudibles.

Bof, c'est pas intéressant de toute façon.

Tu essayes de te lever. Tu n'arrives qu'à trembler encore plus, courbé presqu'en deux, tes mains crispées sur tes cuisses. Ton torse imberbe rougi par le chakra de Kyuubi est découvert à cause de tes vêtements brûlés. Malheureusement, ton pantalon a survécu.

Pourquoi j'ai dit « Malheureusement » ?! On s'en fout de…

… est beau.

Ah !! Ça recommence ! Cette voix !

Je me prends le crâne entre mes mains et le secoue pour essayer de me sortir cette voix de la tête. Parce qu'elle me murmure, d'une façon lancinante :

Il est beau.

Comment arrêter cette voix ?! Putain, fais chier !! Tout ça c'est de ta faute ! Si tu n'avais jamais tué Sakura ! Si tu ne m'avais jamais touché ! Si tu n'étais jamais revenu ! Si tu n'étais pas toi…

Je relève de rage mon regard rouge dans le tien. Tu as enclenché de nouveau ton Sharingan et nos yeux de sang ne se quittent plus. Je souffle fort, repoussant la voix au plus profond de moi.

Si tu n'avais pas fait de conneries, rien de tout ça ne serait produit et je pense… je crois…

Tu t'élances vers moi en formant des signes. Le tigre ! Du feu !

- Goukakyu no jutsu !

Une gigantesque boule de feu est soufflé vers moi mais je laisse le chakra de Kyuubi me protéger. Mais je ne m'attends pas du tout à ce que tu réapparaisses derrière, tout ton corps couvert d'éclairs bleus. L'électricité se concentre dans ta main droite et se transforme en une longue épée. Elle me transperce le torse, puis les poumons et je sens mon sang s'engouffrer à l'intérieur. Tu enfonces l'épée jusqu'à la garde et je vois dans tes yeux une détermination, un désespoir sans fin. La blessure est sérieuse et je saigne considérablement. Tant que ton chakra est en moi, celui de Kyuubi ne peut pas me soigner. Des haut-le-cœur amène ce liquide rouge jusqu'à ma bouche se mélange à ma salive. Je crache le surplus de sang et quelques gouttes éclaboussent ton beau visage.

Il est beau.

Tu retires enfin ton épée de moi et j'attends que Kyuubi soigne encore une fois mes blessures. Mais rien ne se passe.

Il en a assez de moi, il ne veut même pas tenir sa promesse. Il va sortir de mon corps avant que je ne meure et il n'a pas envie de gaspiller son chakra pour mes idioties. Dixit Kyuubi. Démon de merde !

Sasuke lève son épée au-dessus de moi qui m'effondre par terre. Tu t'apprêtes à me porter le coup final. Kyuubi va sûrement agir avant que ça n'arrive mais de toute façon…

Je n'ai pas accompli ce que je voulais.

Tu hésites. Tu n'y arrives pas.

Ha ha ha. Quelle ironie du sort.

Tu m'aimes.

Enfin, mes yeux laissent sortir des larmes et je souris une dernière fois. Du sang continue de s'écouler en dehors de ma blessure ainsi que de ma bouche.

Tu m'aimes, et c'est ce qui te perdras.

Je t'entends souffler et tu retiens à grand peine tes larmes. Ton épée a disparu et tu finis par laisser tomber tes bras le long de ton corps.

Je prends une grande inspiration et pose mes mains dans la poussière du sol. Je pousse difficilement sur mes bras mais arrive à me mettre à quatre pattes. Là, je te regarde.

Tu sais que je sais que tu sais.

Je puise dans mes dernières forces pour me relever, tenant péniblement sur mes jambes. On est face à face. Je lève une main et essuie une de tes larmes avec mon pouce. Je garde toujours ce sourire, à la fois triste et heureux.

Je vais te tuer, tu le sais, et je sais que tu le sais. Et tu te laisses faire. Est-ce là ton amour pour moi ? Tu n'as pas pu me tuer et tu ne veux pas me voir ainsi.

Tu ne veux pas me perdre. Mais c'est trop tard.

Je vais quand même réaliser ton souhait. Et le mien en même temps.

La main restée posée sur ta joue s'empare brutalement de ton cou. Tu grimaces et essayes de te dégager. Je resserre mon emprise et je te vois commencer à haleter. Tes yeux redeviennent noirs. L'éclat dans tes yeux s'éteint à petit feu au fur et à mesure que tu manques d'air.

- Na… ruto…

Une dernière larme s'échappe et coule sur ta joue. Le temps est comme arrêté pendant son parcours sur ta peau, elle dessine un long sillon et termine sa course jusque ton cou, s'évaporant au contact de ma main anormalement chaude dû au chakra rouge. Ce laps de temps, si court et pourtant qui m'a paru semblable à l'éternité, fut témoin de ton dernier soupire.

Tu ne t'es pas beaucoup débattu.

Tes yeux sont encore ouverts et un voile les recouvre. Une quinte de toux me force à te relâcher et à me tenir la gorge.

Je vais mourir.

Comme Sakura. Comme Sasuke. Comme beaucoup de monde.

Comme tout le monde.

Mes larmes ne se sont toujours pas atténuées. Mais à cette pensée, elles se stoppent d'elles-mêmes.

Ça suffit. Tout ça doit prendre fin.

Je ferme les yeux et m'effondre par terre.

Je suis devant la grille noire. Le sceau a peut-être été enlevé mais elle est toujours fermée. Kyuubi… Je comprends mieux maintenant…

- J'ai compris…

Le démon apparaît enfin devant moi, séparé par cette grille. Il grogne et je vois ses crocs luisant dans la pénombre.

- J'ai tout compris. Je suis vraiment un idiot.

- Ce n'est que maintenant que tu t'en aperçois ?!! Mais il est déjà trop tard. Tu vas bientôt mourir.

Je souris. J'ai été si bête, aveuglé par mon désespoir, ma haine, j'ai oublié une chose fondamentale. Kyuubi, le démon renard à neuf queues, n'a espéré que ma mort pendant mon duel avec Sasuke.

- Je l'ai tué. Je l'ai vraiment tué. C'est ce que je voulais. Pourtant j'ai l'impression que je me suis trompé. Je n'aurai jamais dû faire appel à toi.

- C'est trop tard. Lorsque tu mourras, je pourrai enfin sortir de ton corps. Abandonne gamin.

- J'ai quelque chose à faire avant d'abandonner. Ça ne ramènera pas les morts, ça ne me lavera pas de mes péchés et je ne sais même pas si je regrette tout ce que j'ai pu faire. Par contre, si jamais tu étais libéré, je suis sûr que je regretterai ce que tu vas faire par ma faute. C'est pourquoi…

- C'EST TROP TARD GAMIN !

- Pourquoi cries-tu ? Caches-tu quelque chose ?

- TU VAS MOURIR PAUVRE HUMAIN ! TU CROIS VRAIMENT POUVOIR FAIRE QUELQUE CHOSE ?!!

- Oh que oui…

Je reviens à moi et ouvre la pochette de Sasuke allongé à côté de moi. Je pioche un rouleau et l'ouvre lentement, des traces de doigts rouges parsemant désormais le rebord blanc. Je n'ai besoin que de mon sang pour faire cette technique et ça tombe bien.

Y'en a plein partout autour de moi.

Je trempe mon doigt dans la flaque de sang et trace un mot.

« Pardon. »

Kyuubi a déjà repris son chakra et je dois utiliser le mien. Ça me tuera.

Je ne suis pas à ça près.

Un à un, je forme ces signes appris par cœur, si simples et pourtant si efficaces. La technique de scellement.

Je pose ma main sur le parchemin. Je ferme les yeux. Il faut… me concentrer…

Kyuubi se débat en moi, il sait ce que je suis en train de faire et ça ne lui plaît pas.

Je vais sceller mon corps et ainsi je vivrais éternellement dans ce parchemin. Il ne pourra pas s'évader de sa prison, à part si je ne survis pas assez longtemps.

Je sens le chakra sortir de la paume de ma main et brusquement, je sens mon esprit et mon corps se lier au parchemin. Ils se décomposent pour s'engouffrer dans le rouleau.

Et puis plus rien.