Auteur : Lakiskendrix
Traduction : Nami-chan
Disclaimers : les trucs habituels
Couple : DateSana
Je Suis Certain De Ne Jamais Avoir Souhaité un Samouraï
Note : Ce chapitre contient du lemon, marqué par des 000
Chapitre 4
"Peut être l'amour est une procédure qui vous ramène doucement vers vous même"
-Antoine de Saint-Exupéry
***
Yukimura couru dans les couloirs de l'hôpital, ignorant tout ceux qui essayerait de l'entraver. Il était focalisé sur le fait de retrouver Kojûro, de le ramener à Masamune. Yukimura ne connaissait pas toute l'histoire, et il savait que ce n'était peut être pas ça place de réparer cela,mais il ne pouvait pas supporté la pensé de Kojûro et Masamune prisonnier de cette étrange et fâcheuse impasse. Il ne pouvait simplement pas laisser Masamune seul dans ce monde sans la main dévouée de Katakura Kojûro.
Yukimura franchit les portes de l'hôpital, s'arrêtant en une glissade, ses bras maintenant son équilibre. Respirant lourdement à cause de sa course, Yukimura tourna la tête, cherchant juste au cas ou,avant de foncé vers le parking, poursuivant le temps et espérant que Kojûro ne soit pas encore parti.
Il était toujours là. L'homme était assis dans sa voiture, n'ayant même pas encore démarrer l'incroyable engin. Yukimura ralenti son allure avec un sourire soulagé et observa avec un froncement de sourcils grandissant alors que Kojûro semblait crié dans son téléphone portable. Yukimura n'avait pas une seule fois vu cet homme perdre son sang froid. Pas comme ça, pas avec autant de colère,pas même dans le passé quant il avait été obligé d'affronter son maître pour sauvé sa vie. Pas même quant il avait été en face de Matsunaga Hisahide, l'homme qui avait brutalement menacé la vie des serviteurs de Masamune. Yukimura se demanda si cela était du à une personnalité différente née d'avoir vécu une vie différente, tout comme Masamune avait tendance à être plus sombre et plus enfantin que sa précédente personnalité, mais quelque chose dans le cœur de Yukimura lui dit que ne n'était pas cela.
Inquiet, Yukimura s'approcha avec précautions, s'arrêtant momentanément avant de toquer à la porte coté passager. Kojûro regarda dans sa direction, toujours au téléphone, écoutant la personne de l'autre côté pendant que ses yeux se concentraient sur Yukimura avec une multitude de questions.
Yukimura fut capable d'en comprendre une clairement. Il désigna la porte du doigt pour s'enquérir de son droit d'entré, et Kojûro acquiesça son acceptation. S'asseyant droitement dans le siège passager, Yukimura calma l'inquiétude immédiate de Kojûro en murmurant, "Masamune va bien. Mais il veux vous voir !"
Les yeux de Kojûro s'agrandirent d'espoir, un soulignement de regret et un remords profondément enfouis brillèrent face à Yukimura. Clairement peut content du l'appel depuis le départ, Kojûro se renfrogna au téléphone, en conflit, et puis se tourna de nouveau vers Yukimura qui attendait.
Yukimura sourit et avec un hochement de tête il murmura, "C'est d'accord. Finissez votre appel Katakura-dono. Je peut gardé Masamune occupé pendant que vous finissez votre conversation. Il ne changera pas d'avis, je le promet !"
Kojûro inclina rapidement et légèrement sa tête, le mot "Merci" paraissant sur ses lèvres. Puis quelque chose que dit la personne à l'autre bout du téléphone enragea Kojûro une fois de plus, et Yukimura s'arrêta avant de partir, se détendant dans son siège,inquiet pour Kojûro qui serrait maintenant le volant comme si il souhaitait que sa force ne le mette en pièce.
"Comment pouvez vous ? ! Il est votre fils ! Comment pouvez vous ne pas vouloir le voir ? Vous avez déjà perdu un fils, comment pouvez vous rester sans rien faire quant votre autre enfant et à l'hôpital pour négligence de soit ?"
les yeux de Yukimura s'ouvrirent en grand, les choses commençant lentement à trouvé plus de sens, un air de tragédie s'empara de lui et il pencha la tête en désarroi pour Masamune.
"CE N'ETAIT PAS DE LA FAUTE DE MASAMUNE-SAMA !" la voix de Kojûro se brisa rapidement après ce cri, et Yukimura comprit que c'était une dispute qui avait du ce produire de nombreuses fois auparavant. "Masamune-sama...Masamune-sama a porté tout le remords de cet incident. Rien n'aurait plus de signification pour lui que si vous veniez le voir, vous deux. S'il vous plait, Date-sama, montrez à Masamune-sama que vous tenez toujours à lui, au moins un petit peut..."
La main droite de Yukimura prit la forme d'un poing sur sa jambe, ses ongles perçant la paume, mais ce fut cette petite douleur qui le fit sortir de sa position rigide. Il savait qu'il ne devait pas en entendre plus sur cet incident, pas comme ça. Il devait l'entendre de Masamune. Il devait l'entendre pendant que Masamune était à l'hôpital, quant Yukimura n'était pas sur le point de se rompre, quant il ne serait plus aussi prêt à faire de terribles choses pour Masamune.
Yukimura sorti de la voiture, tenant sa compassion instinctive de demander à Kojûro si tout irait bien. C'était une question inutile. Kojûro n'allait pas bien. Yukimura n'allait pas bien. Masamune n'allait pas bien, pas encore, mais il le pourrait. Yukimura pria pour qu'il aille bien.
Yukimura prit son temps pour retourné à la chambre de Masamune, utilisant chaque seconde pour calmer ses pensées pour que quant il se retrouve face à Masamune il n'ait pas envi de le poussé à révéler tout ce qui l'avait blessé, ne le pousserait pas pour savoir sur qui il pourrait rejeter la faute.
Bien qu'il pouvait entendre des voix, Yukimura toqua et pénétra dans la chambre de Masamune, permettant au médecin qui discutait avec son patient de trouvé une excuse hâtive pour s'enfuir.
"Pourquoi est il si terrifié par toi ?" demanda Masamune avec un ricanement amusé. Il s'arrêta net en voyant l'air triste sur le visage de Yukimura.
Masamune fit un soupir exaspéré. "Ah, il s'est sauvé, c'est ça ? Il est bon à la course. Désolé pour ça."
"Non, Masamune. Il sera bientôt là. Il parlait avec...quelqu'un au téléphone."
cette simple pause fut tout ce dont Masamune eu besoin pour tout comprendre.
"Oh, alors tu...sait maintenant?" c'était une question, utilisé en couverture d'une peur de l'exclusion, la zone de sécurité d'un homme solitaire.
"Je ne sait pas tout. Tu m'a promis de me raconté plus tard, pas vrai ?" Yukimura sourit et Masamune le lui rendit, toujours un peut peiné,mais reconnaissant quant ce samouraï la tendre chaleur et la rage frémissante n'était dirigé uniquement que par affection, un désir de le gardé en sécurité et heureux.
"Est ce que je peut t'embrasser ?" Demanda Yukimura, répétant volontairement la question que Masamune avait posé plus tôt, ressentant le besoin de le tenir à nouveau dans ses bras, pour s'assurer qu'il allait vraiment bien, même si il ne l'était pas vraiment, et Masamune hocha la tête en réponse. Ça ne résoudrait pas tout, mais c'était doux, et avec un simple, tendre contact ils surent tout les deux qu'il n'étaient pas seuls, quelqu'un dans se monde les aimaient Même si cette connexion était condamné à ce terminer promptement.
Yukimura s'éloigna en premier, tenant toujours le visage de Masamune entre ses mains, caressant de ses pouces des joues sculptées. "Tu avait peur depuis tout ce temps, non ?"
Masamune se retira avec avec une rapide raillerie. "Je n'ai peur de rien."
"Si, tu est effrayé. Tu avait peur que Katakura-dono ne t'abandonne comme tes parents l'ont fait. Tu laissait les gens en dehors parce que le peux d'être chers que tu avait laissé t'atteindre furent les premier à te laisser. Si Katakura-dono était parti lui aussi, tu n'aurait pas put le supporter, c'est ça ? Alors tu as continué de le repousser et tout les autres avec." Yukimura frappa le cruel murmure dans son esprit qui lui rappelait clairement que lui aussi il quitterait bientôt Masamune.
Masamune fixa abruptement Yukimura, puis son regard changea, et Yukimura eu envi de pleurer, parce que Masamune le voyait comme un vœux, comme quelqu'un à qui il pouvait confié la vérité, quelqu'un qu'il pourrait aimé et garder pour toujours. En aucune façon Yukimura pourrait être ce dont Masamune avait besoin, même si il en faisait le vœux.
Puis Masamune pencha la tête, son œil restant collé sut le tissu blanc des draps. "Tu n'y est pas. Pas complètement. Mais es ce que c'est mal ? Tout le monde part. Je ne les blâme pas où quoi que ce soit. Mais cela conduit toujours à la même conclusion...n'est ce pas plus doux de tous les garder éloignés?"
Une autre voix répondit avant que Yukimura ne puisse dire quoi que ce soit; et heureusement, Yukimura s'éloigna de Masamune pour laissé Kojûro dire ce qu'il avait à dire.
L'homme était figé dans l'encadrement de la porte, ses sourcils froncé de désespoir. "Est ce que c'est vrai Masamune-sama ? C'est pour cela que vous m'avez gardé éloigné ? Tout ce temps...je me sentait comme si je vous avait déçu. Que vous saviez combien que je vous avait déçu. Que donner mon accord pour que vous partiez avait été un trahison. Mais j'aurais avec joie souffert de votre haine, spécialement si cela signifiait que vous pourriez trouvé le bonheur en dehors de cette maison familiale. Pardonnez moi Masamune-sama. J'aurais souffert de votre haine, mais je n'avait pas réalisé que celui que vous haïriez serait vous même. Pas plus que ce n'était déjà le cas."
La bouche de Masamune était légèrement entrouverte, divisé sur ce qu'il devait dire, et Kojûro tomba à genoux au côté du lit de Masamune.
Yukimura regarda entre les deux hommes avec un petit sourire avant de quitté la chambre, faisant sereinement son chemin jusqu'à la salle d'attente pour qu'il puissent avoir un peut d'intimité. Peut importe combien Yukimura était il curieux sur les faits, peut importe combien il voulait voir la résolution de la situation, il n'était pas temps pour lui de savoir. Masamune avait promis, et Yukimura pouvait être d'être dans sa confidence.
Yukimura s'arrêta quant le docteur de Masamune tourna dans un angle, mais avec un sourire et un regard fixe, Yukimura parvint à lui aiguillé une promesse qui ferait que le vieillissant docteur laisserait Masamune et Kojûro seul pour un certain temps. Ce n'était pas forcement une méthode honorable, de jouer si continuellement avec le peur de cet homme, mais c'était pour Masamune, et Yukimura ferrait tout ce qui serait nécessaire pour qu'il récupère son ancienne vie perdu.
Après une heure de réflexion trop intense sur trop de choses, quant Yukimura quitta finalement la salle d'attente pour retourné vers Masamune, il se glissa par la porte entrouverte pour la vu plaisante de son ami et Kojûro souriant, plaisantant. Un scène qui était simplement si parfaite et juste. Yukimura eu un soupir de soulagement pour lui même, pour eux, pour tout.
"Si tu veux...tu pourra venir diner de temps en temps. Yukimura ne sait pas cuisiner, où plutôt tu ne voudrai pas qu'il le fasse, mais je m'en sort plutôt bien. Si ça ne te plait pas alors tu n'y est pas obligé."
"Je viendrait à chaque fois que vous offrirez, Masamune-sama. Si cela vous plairait, les soir où vous le souhaitez pas cuisiner, je peut m'en charger où ramener quelque chose pour nous trois."
Yukimura s'éloigna pour s'appuyer contre l'encadrement de la porte. Son cœur se comprimait, un point de remords et de grand désir le serrant jusqu'à ce qu'il ait envi de pleurer, lui rappelant que trop vite qu'il ne pouvait pas rester. Tout les deux imaginaient qu'il serait là, qu'il était l'un d'entre eux, un membre de cette famille qui commençait à ce formé pour de vrai, qu'il devait être ici avec eux.
Il souhaitait réellement pourvoir rester. Yukimura n'avait rien voulu d'avantage de sa vie entière. Yukimura voulait tout, l'humour sardonique de Masamune, ses sourires en coins, son amour. Mais il ne pouvait pas rester. Sanada Yukimura devait construire ce monde qui permettait où souhait de caresser la réalité, même si ce n'était que furtivement, et permettait au temps de se briser pour permettre à deux âmes brisé puisse se trouvé, et au delà de cela formé un amour qui durera le reste de leur vie séparées.
Yukimura prit une profonde inspiration, se rassembla, et se retourna pour regardé dans la chambre, forçant sur son visage un sourire joyeux, le stigmate d'un hypocrite, et annonça, "Katakura-dono ! Ne laissez pas Masamune vous tromper ! Il es un excellent cuisinier !"
en remarquant Yukimura, Masamune regarda le samouraï avec une expression magnifique sans le vouloir, tellement pleine d'émotion, que Yukimura ne sera jamais capable de la décrire avec des mots. Il se retrouva si mis en colère par ce qu'il voyait qu'il ne remarqua même pas que son propre visage était une parfaite réflexion d'amour.
***
"Hey, Kojûro," dis Masamune après que Yukimura ce soit finalement assoupi ce soir la, épuisé d'avoir été constamment sur ses garde à attendre que Masamune se réveille.
Parfois, lors d'instant qu'il ne pouvait s'empêcher de comparer, Masamune imaginait que Date était le genre d'homme qui ne prendrait jamais non comme une réponse. Qui attacherait Yukimura et ne le lâcherait jamais, même si le plus jeune en venait à le haïr. Non, à ça manière il s'occuperait également de ça. Dans l'esprit de Masamune, Date devint une figure de tout ce qu'il pourrait être, un homme idéalisé qui pouvait obtenir tout ce qu'il désirait sans aucune conséquence. Masamune n'était pas Date, l'homme où le personnage imaginé. Mais Date était vraiment un salaud de chanceux.
Parce que Sanada Yukimura rentrait chez lui.
"Oui, Masamune-sama ."
Masamune frotta son pouce contre la main de Yukimura qui était rester légèrement sur la sienne. "Je veut le garder ici, Kojûro, enfermé pour qu'il ne se souvienne pas qu'il n'est pas supposé être à mes côtés. Dès l'instant où je l'ai rencontré, tout ce qui n'allait pas dans ma vie c'est peut à peut remis sur les rails. Tout ce que je veut c'est le gardé avec moi, dans ma vie. Et ce que c'est mal de croire en un souhait ?"
Kojûro regarda son protégé avec le regard d'un homme qui connaissait bien les tribulations finales d'un premier amour. "Vous ne pouvez pas gardé les gens comme ça, Masamune-sama. Finalement, même si il essai pour votre bien, le vaste monde se rappellera à lui. Je ne sait pas qui il es réellement, n'y même d'où il vient, bien que je soupçonne qu'il s'agisse plus d'une simple amnésie. Mais je vous fait confiance, et j'ai confiance en ce sourire qu'il ne porte que pour vous."
Masamune serra la main calleuse dans le sienne, essayant de repousser le chagrin jaillissant du cœur de l'inévitable, et demanda , "Kojûro, combien de temps peut on vivre dans un rêve ?"
Kojûro regarda Masamune tristement, son expression portant la pitié qu'il ressentait pour ce jeune homme qui n'avait d'yeux pour l'autre à côté de lui, et répondit, "Seulement aussi longtemps que vous pouvez vous empêcher de vous réveillé."
"Et combien de temps peut duré un souhait ?"
"Un souhait peut duré uniquement durant le peut de temps que cela prend pour qu'un nouveau souhait naisse à sa place. Un souhait n'est rien de plus qu'une fantaisie, mais un homme ne peut jamais s'arrêter de souhaiter, Masamune-sama, pas avant qu'il n'ai sa dernière pensée."
"Ouh, tu es déprimant."
***
Yukimura s'interrogea sur le moment où il devrai retourné à son époque. Yukimura, le galant traite, un homme qui brisa son vœux pour mettre sa loyauté avant lui, un idiot qui tomba amoureux d'un homme vivant quatre cent ans après que sa propre vie ne ce soit éteinte. Il n'y avait pas de fin au émotions mélangé d'amour et de honte que Yukimura ressentait quant il considérait le fait de rentré chez lui. Tout ce qu'il savait c'était qu'il devait attendre que Masamune se sente mieux parce que en aucune façon Yukimura pourrait le laissé en sachant qu'il n'était pas bien.
Quant Masamune fut finalement autorisé à quitter l'hôpital, Kojûro les ramena tout les deux à l'appartement de Masamune où ils célébrèrent. Après ça, comme promis, Kojûro rendait visite presque tout les jours, venant à leur appartement le soir après son travail et restant jusqu'à tard. Un étrange lien familial s'était formé entre les trois hommes, un que Yukimura venait souvent à se demander comment il s'en tirerait une fois qu'il serait rentré, comment serait il capable de supporté le fait que les autres Date Masamune et Katakura Kojûro vivaient dan leur propre pond alors qu'il ne pouvait que regardé et penser, "Pourquoi ne suis-je pas avec eux ?" mais à son époque, ses deux hommes n'avaient pas besoin de lui.
Non dis mais accordé entre eux deux, Yukimura ne retourna pas sur son futon. À la place, il se faufilait dans le lit de Masamune avec les bras de l'autre homme passé fermement autour de lui. Le contact de la peau, la fusion d'odeurs uniques, la douce caresse de cheveux, l'emmêlement des membres, tout était des drogues qui conduisaient en en vouloir plus, mais tout deux étaient trop effrayés pour franchir le pas suivant, tout deux effrayé par le fait de n'avoir qu'une fois quelque chose qu'il ne pourrait jamais garder.
Alors que les jours passèrent, Yukimura prit en note tout se qui avait de la signification à cet époque, mémorisant tout ce qu'il pouvait pour quant il ne pourrait plus touché avec ses doigts où voir avec ses yeux tout ce qui comptait pour lui.
Mais l'instant que Yukimura n'oublierait jamais jusqu'au jour de sa mort était Masamune assis à son piano et commençant à jouer. Il lui fallu quelques essais, mais assez vite Masamune recommença à composé frénétiquement, juste comme le guerrier que Yukimura savait qu'il pourrait être. La passion de la victoire s'envolait à travers les sons et capturait l'air pour danser avec merveille. Rien que Yukimura n'ai entendu avant ou après cela n'avait été si beau, et il ne faillirait jamais à se rappeler le sourire d'enchantement que portait le visage de Masamune.
Mais la réalité était toujours présente dans l'esprit de Yukimura, lui rappelant, que bien que tout ce qu'il désirait soit dans se monde, le monde qu'il adorait ne pourrait jamais existé sans la vie de Sanada Yukimura.
***
Ce fut ne fut qu'un mois après que Masamune soit sorti de l'hôpital, son corps se remettant toujours, qu'il demanda une faveur à Yukimura.
Yukimura était assis sur le canapé, ses bras entourant un coussin, regardant un série télévisé qu'il souhaitait voir finir pour qu'il puisse en voir le dénouement avant qu'il ne parte. Masamune était assit à son piano, mais il ne jouait pas vraiment pour que Yukimura puissent entendre la télévision. Il plaçait ses mains sur les touches, imaginant les sons et écrivant les notes d'une mélodie sur laquelle il travaillait de puis sa sortie de l'hôpital.
Yukimura fronça les sourcil et lança son coussin sur la télé quant l'épisode se termina par un cliffhanger. Masamune leva un sourcil, souriant avec amusement, mais il se souvint de ce qu'il avait prévu de faire ce jour la.
"Hey, Yukimura ?"
Yukimura se détourna du regard mauvais qu'il lançait à la télévision tout en changeant de chaine pour sourire à Masamune.
"Oui, Masamune ?"
"Tu as envi de sortir ?"
Yukimura inclina légèrement sa tête, se demandant s'il s'agissait d'un rencard où quelque chose de la sorte. "Où veux tu allé ?"
"Pas un endroit où je veux aller, plutôt un endroit où j'ai besoin d'aller," Masamune ravala sa fierté. "Ai j'ai besoin que tu soit la bas avec moi."
réalisant combien cela devait être sérieux, Yukimura se leva et s'avança vers Masamune, s'assit à côté de lui sur le petit banc et déposa sa tête contre l'épaule du plus vieux, formulant doucement, "Bien sûr je vient."
***
Ils étaient assis tout les deux devant une tombe, Yukimura blotti contre Masamune comme une présence supportrice alors que le frère aîné disait intérieurement ce qu'il n'avait jamais dans sa vie put dire à son frère disparu. Bien que silencieux, l'œil de Masamune communiquait tout ce qu'il avait sur son cœur, toute la culpabilité qui s'était enroulé autour de son âme depuis si longtemps. Yukimura ne fit rien de plus qu'une prière, attendant que Masamune ne lui parle, expliquant tout comme il l'avait promis.
L'édifiante révélation ne vint qu'après qu'il n'aient été assis la depuis des heures, mais Yukimura ne s'en souciait pas. Masamune mourrait de l'intérieur depuis un bon moment, et il avait besoin de cette opportunité. Yukimura serait rester la des jours si cela avait signifié la guérison du cœur de Masamune.
"C'est ridicule," gloussa finalement Masamune dégoûté de lui même. "Je tue un garçon et je me brise complètement. Je ne sait pas comment tu peut supporter de rester si gentil, Yukimura. Est ce que...cela devient plus facile de tuer ?"
"Non," commença Yukimura. "Oui," accorda il finalement. Et enfin, "Non."
Masamune le regarda et répéta, "Non. Oui. Et non."
"Non. Oui. Et non. Ce n'est jamais facile, ça devient plus facile, mais ce n'est jamais facile même après ça. Pas si tu es réellement humain. Et même les monstres font des cauchemars. Les cauchemars sont la vengeance des morts, et ceux qui tuent mérite d'être à cette merci."
"Je vois," répondit Masamune, et il y avait un ton compatissant, un acception, une admission si humaine que Yukimura ne pourra jamais trouvé une réponse semblable dans son époque, pas venant de gens qui on tenu des lames plus souvent que des amants, ses hommes qui se leurrait continuellement dans leur équilibre mental.
Mais Masamune n'était pas ce genre de personnes, il n'était pas comme Yukimura, alors il ne comprendrait jamais vraiment. Yukimura était heureux que ce soit le cas. Parce que si cela arrivait, alors il ne serrait plus le Masamune dont Yukimura était tombé amoureux.
"Que c'est il passé, Masamune ?" demanda Yukimura, et le regard des deux jeunes hommes se retourna vers la tombe.
Masamune fut silencieux pour un long moment encore, et Yukimura attendit qu'il produise des mots pour le traumatisme dont il n'avait pas une fois parlé à voix haute.
"Tu sait, j'ai commencé à joué du piano parce que ma mère aimait ça. Je pensait que être accompli dans ce qu'elle aimait lui permettrait de m'aimer. Mais ce ne fut pas le cas, sauf que j'en suis venu à aimé le piano pour moi même, alors je suppose que ce n'était pas un effort inutile."
Yukimura ne bougea pas un muscle, restant fixe, pour que Masamune se sente plus confortable à divulguer chaque souvenir douloureux. Si Masamune ne pouvait pas le regardé en parlant, Yukimura n'allait pas lui donné une raison de partager sa honte si directement.
"Ma mère...elle ne ma jamais aimé. Quant je suis née elle s'est presque rendu folle parce qu'elle ne pouvait pas trouvé une façon de m'aimer. Elle ne pouvait pas comprendre pourquoi quelque chose qui venait si naturellement chez une femme ne signifiait rien pour elle, pourquoi je ne signifiait rien pour elle. Parce qu'elle ne pouvait pas m'aimer, elle commença à se haïr. Finalement, pour sauvé sa santé mentale, elle déchargea sa haine complètement sur moi, et comme ça elle aurait une excuse pour ne pas m'aimer. Après ça elle n'avait plus besoin de se blâmer. Quant j'ai eu quatre ans mon père me présenta à Kojûro. Chaque chef de ma famille à un Katakura, un 'serviteur' loyal, par manque d'un mot plus approprié , pour les servir. Kojûro était le mien. Il devins mon grand frère, mon meilleur ami, la personne sur laquelle je pouvait compter et aimer.
"Quant j'avais sept ans ma mère avait fait une tentative de suicide quant elle avait découvert qu'elle était enceinte d'un second enfant. Elle avait tellement peur que ça ne finisse comme avec moi. Mon père, un homme si stupidement amoureux, demanda à ce que ma mère avorte avant qu'elle ne devienne complètement folle, mais pour une raison que personne ne peut comprendre, elle refusa. Elle était déterminer à avoir se bébé et à prouvé qu'elle pouvait être une bonne mère. Elle était déterminée à aimé cet enfant et prouver que j'étais celui qui n'allait pas,pas elle. C'était son test final. Elle le traversa.
"Elle se dispersa en mon frère, et il devint son monde. Mon petit frère était l'air qu'elle respirait et il n'y aurait jamais personne qu'elle n'aimera autant, pas même mon père qui l'adorait plus que tout. J'étais...je détestait mon petit frère. Je détestait qu'il soit tout ce que je ne pouvait pas être. Le test de ma mère avait prouvé que j'étais celui qui ne pouvait pas être aimé. J'étais autant convaincu qu'elle qu'il devait y avoir quelque chose d'anormal chez moi.
"A cause des caprices incroyablement radicaux de ma mère, mon père, pour la gardé heureuse après avoir vécu dans la peur qu'elle ne perde à nouveau la raison, changea l'héritage de moi à mon frère. J'étais dévasté, pas parce que je voulait l'argent, mais parce que ma mère essayait de se débarrasser de moi, essayait de prétendre que je n'avait jamais existé. Et mon père la laissait faire. Tout ce que j'avais s'était Kojûro, mais les Katakura suivait les chefs de la famille, alors on l'envoya s'occuper de mon frère au lieu de moi. Il se faisait toujours du souci pour moi, et mon père m'accordait l'affection de Kojûro, mais il n'était pas à moi, pas comme il était à mon frère, et je savait qu'un jour je ne pourrait plus compter non plus sur Kojûro.
"En grandissant je devint encore plus un enfant à problèmes. Se lier d'amitié avec Motochika et le reste de la bande n'aida pas vraiment. On se retrouvait souvent impliqués dans des bagarres, on vandalisait, on tyrannisait les gens, et on était tout simplement des connard parce qu'on ne pouvait pas supporter nos propres vies. Môri calma finalement Motochika après qu'ils se soient rencontrés, mais j'étais têtus et resta intenable. Plus je faisait de mauvaises chose plus mon père me regardait. S'était peut être juste pour me réprimander, mais pour ses quelques heures où il me criait dessus il se souvenait de mon existence. Peut être que mon père en venait à me haïr de plus en plus, mais je préférait avoir sa haine, qu'il me vois,plutôt qu'il ne m'ignore.
"Pour mon dix-septième anniversaire, Kojûro était malade et mes parents devaient se rendre à une soirée. Mon frère était maintenant assez vieux pour rester seul avec les serviteurs, mais ma mère était paranoïaque. Elle ne laissait jamais un seul employé le surveiller. J'avais prévu de sortir avec Motochika et quelque uns de nos amis pour fêter mon anniversaire, mais mon père me demanda de garder mon frère.
"Je détestait tant mon petit frère. Il avait tout ce que moi je n'avait pas, tout le monde l'aimait, et maintenant on me privait d'une fête d'anniversaire avec mes amis parce qu'il était si spécial ? Je ne pouvait pas le supporter. N'y ma mère. Elle se battis contre mon père à propos de ça, mais mon père, qui à sa façon ressentait plus pour moi que de la déception et la détestation, commençait à ce trouver troublé par mon apathie envers mon petit frère. Il voulait que je construise une relation avec se stupide garçon qui m'admirait. Ce n'était pas bien, Yukimura. Tout ce que je faisait c'était le torturé, et se stupide petit garçon me regardait toujours comme si j'étais son monde. Je le haïssait."
"Je fus forcé de me libérer de ma propre fête. Je pestais et m'emballais à propos de ça, et par dessus tout j'étais juste le pire des enfoiré. Mon petit frère continuait d'essayer de jouer avec moi, il essayait toujours d'attirer mon attention...et je ne valais pas mieux que ma mère. Quant Motochika appela pour répondre à mon message, il m'engueula pour annulé après qu'il ait fait tant de projets. Je voulais, vraiment, vraiment y allé. A cet époque, je pensait qu'il n'y avait que mes amis qui se souciaient de moi, se souciaient que je soit né, les seuls personne qui voudraient fêté le jour de ma naissance.
"Motochika suggéra que je prenne mon frère avec moi. Il disait qu'il n'y avait pas tant de monde que ça ici, uniquement mes amis proche, alors le petit crétin pourrait s'amuser lui aussi. J'étais si stupide et si content de cette idée pour dire non. Au moins au final j'aurai ma stupide fête, pas vrai ? Tout ça pour que je puisse sentir comme si j'étais vivant. Quelle blague.
"J'ai volé la voiture de mon père et j'ai attrapé mon frère? Il voulait rester à la maison, disant qu'il avait une surprise. Je lui ait simplement dit que les surprises pouvaient attendre notre retour. Je savais que mon père serait en colère au delà des mots que je fasse ça, mais je m'en foutait complètement. Mes parents étaient à la soirée de quelqu'un d'autre le jour de l'anniversaire de leur premier né. Qui était il pour me réprimander, non ?
"Je n'avait pas le permis de conduire. Je n'avait pas légalement le droit de prendre le volant. Alors bien sûr que nous aurions un accident sur la route pour rejoindre Motochika. C'était entièrement ma faute. J'ai perdu le contrôle de la voiture après qu'un con m'ait coupé la route et j'ai percuté un arbre de merde par dessus tout.
"Je me suis réveillé à l'hôpital et ma mère pleurait à côté de mon lit. J'étais si content au début. Je pensait, 'peut être à t-elle finalement réalisée qu'elle m'aime'. Quant elle à vu que j'étais éveillé elle détruisit rapidement cette idée. Mon égoïsme, ma bêtise...j'ai tuer mon petit frère. Mon père ne pouvait pas me regardé en face. Ma mère essaya de m'étrangler. Kojûro du l'arrêter.
"Je n'eut pas le droit d'assister au funérailles, ce qui m'allais bien parce que je n'avait jamais eu envi de voir cette tombe. J'ai fini par découvrir que la soirée entière avait été planifié par Kojûro et mon stupide petit frère. Kojûro n'avait jamais été malade. Mon petit frère voulait simplement passé mon anniversaire seul avec moi. Mon petit frère n'arrivait pas à comprendre pourquoi personne ne m'aimait. Alors il avait décidé de prouver qu'il m'aimait. Il voulait que je l'aime lui. De tout mes problèmes avec mes parents, je faisait avec lui exactement ce qu'il me faisait à moi. Lui et Kojûro avaient fait ce foutu gâteau que nous étions supposé manger ensemble cette nuit. Et il avait fait une stupide carte, toute couverte de paillettes et d'autres connerie, pour 'le meilleur grand frère au monde !" mon stupide, stupide petit frère."
Masamune essuya inutilement ses yeux. Mais c'était ses larmes qui prouvèrent à Yukimura que la haine était bien la dernière chose que Masamune ressentait pour son petit frère. Masamune n'avait juste pas compris combien il l'aimait jusqu'au moment où il ne pouvait finalement plus le voir.
Avec un soupir tremblant, Masamune se recomposa, essayant de terminé son histoire, son corps entier tremblant. Yukimura ne le toucha pas, sachant en voyant son visage et par expérience que si il le faisait Masamune ne pouvait pas finir, et il avait vraiment besoin de finir. Même si chaque fibre de l'être qui composait Yukimura demandait à tenir Masamune dans ses bras près de lui et de ne plus jamais permettre qu'il soit blessé, il devait laisser Masamune finir.
"J'ai été renié. Je devais être renié. Kojûro ma raconté tout les détails que j'ignorais ce dernier mois. Tout ce que je savait c'était qu'a l'époque j'ai été renié et complètement abandonné. Je peut facilement comprendre pourquoi. Ma mère essaya répétitivement de me tuer, et cet œil droit devint l'un de ses trophée favoris. Finalement elle dit à mon père qu'elle se tuerait si il ne se débarrassait pas de moi. Mon père accepta de me répudier dans le but de nous sauver tout les deux. Kojûro proposa de devenir mon tuteur légal et mon père l'autorisa. Kojûro...Kojûro fut finalement celui qui convainquis mon père de me renier totalement. J'ai perçu cela comme un abandon final, que même Katakura Kojûro ne pouvait me pardonner.
"Mais Kojûro avait uniquement voulu me sauvé de cette maison. Il voulait faire une nouvelle maison pour nous, un endroit pour nous. Il quitta sa propre famille et leur héritage pour me soutenir.. mais j'ai prit l'appartement et j'ai refusé de le laisser entrer dans ma vie. Le laissant en dehors parce que je ne pouvait supporté de voir personne, je ne pouvait même pas supporté de me regardé en face. Je me suis coupé de mes amis comme de ma famille. J'ai arrêté l'école. Je me suis simplement enfermé dans mon appartement. J'étais si en colère contre Kojûro. J'étais encore plus en colère quant il n'arrêta pas de payer pour mon appartement et continua d'essayer de venir me voir. Au lieu de voir cela comme un acte d'amour, je l'ais vu comme une fausse affection et l'obligation d'un Katakura qui n'accepte pas l'échec. Je ne savais rien, était c'était si facile de rejeter la faute sur lui. Je suis simplement tout comme ma foutu mère.
"Comment puis-je me pardonné, Yukimura ? Et maintenant comment peut il même me pardonner ? Je détestais mon petit frère, mais uniquement parce que je me détestait moi même. Et je suis tellement désolé pour toute les mauvaises_horribles choses que je t'ai faite à toi. Ce n'était pas ta faute. Ça n'a jamais été ta faute. Je t'aime tellement. Je suis tellement désolé. Je suis horriblement désolé. Je suis désolé..."
Voir l'homme se brisé dans ses souvenirs, Yukimura ne put trouvé de réponse pour Masamune parce qu'il n'y en avait pas. La signification de l'existence de Yukimura était de prendre la vie de frères et de créer un nouveau monde. Le but de la vie de Masamune...
"Tu doit vivre. Tu doit vivre une vie qui vaudrait pour vous deux. Prouve ton amour pour ton frère en vivant merveilleusement. Devient plein de succès. Devient magnifique. Pense à lui avec gentillesse et amour, et vie ta vie avec son souvenir. Ton frère...il t'aimait tant. Il ne voudrait pas ta mort. Et c'était ce que tu avait voulu tout ce temps, n'est ce pas ? Tu ne vivait pas parce que tu voulait mourir."
Dans sa peine, Masamune trembla, et Yukimura ne tint pas plus longtemps sans le touché, calant Masamune entre ses bras pour qu'il puisse enfin passé outre sa culpabilité.
Masamune, acceptant le contact, révéla finalement à Yukimura la vérité de son souhait. "e jour où on s'est rencontrés Yukimura...mon souhait...je demandait à n'importe quel dieu qui voudrai bien m'entendre d'échanger ma vie contre celle de mon frère, où au moins de me donner une raison de vivre. C'était une punition suffisante. Je ne pouvait supporté de vivre comme je le faisait. Je ne savait pas ce que j'étais supposé faire. Je m'étais détruit autant que je l'avait voulu, mais cela n'avait jamais rien changer. Cela ne me rendis pas l'amour de mes parents, cela ne ramena pas mon frère, et cela n'a jamais aidé en rien. Pourquoi étais-je donc en vie si tout ce que j'avais jamais fait était de faire du mal au gens depuis le jour de ma naissance ? Mes parents. Mon frère. Kojûro? Quel était mon but dans ce monde ? C'était tout ce que je voulait savoir. Alors j'ai demandé aux dieux de me tuer où de me sauver, mais de ne plus me laissé vivre comme ça."
Yukimura berça Masamune dans ses bras, ignorant sa sympathie en la faveur d'une brutale honnêteté. "C'était là ton souhait ? Masamune, tu n'a pas besoin d'un dieu pour t'offrir le salue, pas comme ça. Pas pour ça. Un dieu ne peut rien faire si tu ne peut pas d'abord te pardonner. Tu doit croire que l'amour de ton frère et plus fort que ta culpabilité. Et tu doit allé de l'avant avec ça. C'est dur. Je sait que c'est tellement dur. Mais ceux qui meurt ne sont plus là. Tout ce que tu peut faire et de vivre comme un meilleur aime en souvenir d'eux. Je sait. Je sait combien cela fait mal."
Masamune releva soudainement la tête de la chaleur de la poitrine de Yukimura la où il l'avait enfouie et bien qu'il échoua à prétendre qu'il ne pleurait pas, il sourit et dit avec un voix humide, "Je sait. Je sait que je vais allé bien. Parce que j'ai fait ce souhait et qu'il mon donné toi. Et tu es devenu mon monde. Tu m'a appris à vivre. Tu était mon souhait. Grâce à toi, je suis heureux d'être en vie parce que la vie ma laissé te rencontrer. Et maintenant je veux rencontré plus de gens et voir tant de chose avant de mourir. Tout cela grâce à toi. Tu...tu es tout pour moi, Yukimura."
Et il restèrent enlacés devant la tombe, tout deux brisés par des blessures, tout deux comprenant l'autre bien plus encore qu'avant.
***
Ce ne fut pas avant les première heures du matin suivant qu'ils ne puissent ce lever pour quitter le cimetière. Yukimura était inquiet de silence de Masamune, mais le jeune homme se contenta de secoué la tête avec un petit sourire distant et dis, "Je vais me tirer. Je ne suis pas seul. Et même si je l'étais, je sait que je peut le faire maintenant. Et je n'ai pas besoin de me débrouillé tout seul. Pas comme je l'était. J'ai mon frère, même si ce n'est qu'un souvenir. J'ai Kojûro. J'ai des amis qui d'une façon où d'un autre on toujours une pensé pour moi. Et je t'ai toi."
Yukimura n'hésita pas quant il répondit, "Oui, tu m'a moi."
Le sourire qu'il donna à Yukimura était aveuglant, pure et plein d'amour, plein d'espoir et de vie pour s'opposer aux la larmes qui à l'occasion descendaient toujours le long de sa joue.
Yukimura n'hésita pas à entré dans ses bras ouvert et à accepter ses lèvres. Ils s'embrassèrent, et s'était doux et tragique, la fin de tant de choses tout en étant le début d'une nouvelle vie, les notes finale de leur chanson d'amour qui touchait à sa fin.
Quant ils partirent, Masamune prit tendrement la main de Yukimura dans la sienne, et de la, il firent leur chemin jusqu'au petit appartement qui depuis longtemps était leur sanctuaire loin du monde.
***
Quant ils arrivèrent chez eux ils tombèrent dans le lit. Ils restèrent la tout la journée jusqu'à la nuit suivante, attendant silencieusement dans les bras l'un de l'autre. Ils laissèrent les lumières éteintes dans la petite chambre; ce n'était qu'eux et les ténèbres, comme si dans ce petit refuge ils pouvaient toujours trouvé un moyen de ce caché. Tout deux étaient pleinement conscience que leur temps ensemble arrivait à ça fin, l'horloge du temps avançant à leur défaveur, et l'inévitable qu'ils craignaient tant les talonnaient inlassablement. Alors pour leurs derniers instants tout les deux, ils ne voulaient rien de plus que d'être ensemble.
Le seul qu'ils pouvaient offrir à l'autre était le contact. Cela avait commencé avec simplicité, un baiser occasionnel n'importe quant dans la journée, un hésitant contact d'une main sur un endroit intime. Mais pas une fois ils ne se séparèrent, et jusqu'à cette soirée aucun n'avait eu quelque chose à dire.
"C'est bientôt le moment, pas vrai ?" demanda finalement Masamune. "Tu...je ne peut pas réellement te garder, si ?"
"Non." et cela tuait Yukimura de le dire. "Tu ne peut pas me garder, mais tu m'aura toujours."
Après cela Masamune serra Yukimura dans ses bras avec toute sa force, comme si cela pouvait faire rester son presque amant. Empêcher Yukimura de partir avec rien de plus que la volonté contenue dans les bras de Masamune. Assez rapidement, la sensations de ses contacts se transforma du désespoir en quelque chose d'autre, une passion différente que tout les deux avaient attendu et désiré.
Masamune déplaça son corps, le courbant d'une certaine façon plus intimement à celui de Yukimura, plaçant ses lèvres contre son l'oreille, une légère touche du bout de la langue au bon endroit qui fit gémir Yukimura d'un plaisir inconnu alors qu'il se remua dans sa chair, une passion complètement différente que tout ce qu'il avait jamais put expérimenté lors d'un combat se répandit à travers son corps. Et Masamune murmura, "Tu peut me prendre ce que tu veux, maudire mes efforts et t'éloigner de moi, bien aimé Amadeus. Détruit moi autant que tu le désire, mais j'aurais au moins cette unique nuit. Pour une nuit, je t'aurai complètement pour moi seul."
C'était autant un juron qu'une déclaration d'amour. Yukimura comprit la colère, la fureur concentré sur le destin, il la partageait même. Mais tout ce qu'il pouvait faire était de rapproché Masamune de lui et prier que les sentiments d'amour passionnels dans leur cœur puissent traversé le temps, même longtemps après que leurs corps n'aient oubliés.
Ni l'un ni l'autre n'avait déjà fait cela auparavant, mais ça n'avait as d'importance. Parce que c'était tout ce qu'il aurait jamais de l'un l'autre. Les marques de la chaire disparaitrons avec les jours et aucun des deux nous voulait blesser assez profondément pour celle qui restent plus. Les souvenirs ternirons avec le cruel passage du temps. Mais ils aurons la connaissance de cette instant, et à cet instant, ils étaient ensembles.
C'était beau; c'était douloureux. Ça leur correspondait parfaitement.
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Masamune prit son temps, disposant lentement le jeune samouraï de ses vêtements, permettant a ses doigts d'effleurer les peau alors qu'il retirait les remparts de tissus. D'abord le haut, le opales de ses doigts défaisant les boutons en même temps qu'ils traçaient la musculature du torse et du ventre parfait de Yukimura. Une fois que la chemise fut retiré, Masamune poussa tendrement Yukimura à se rallongé sur le lit, laissant vagabonder ses lèvres pour déposer des baisers et de petit mordillements le long de sa gorge, sur sa poitrine, plus bas , jusqu'à ce que sa langue puisse tracé une ligne où la peau rencontrait le pantalon.
Les petites plaintes de Yukimura augmentaient avec chaque nouveau contact, même lorsqu'il essaya de mordre dans son poing, son corps se contorsionnant sous le plaisir que Masamune instaurait dans son corps consentant. Masamune souleva son corps, chercha ce poing de sa main et le caressa jusqu'à ce qu'il se détende.
Embrassant chaque pointe de doigt, Masamune murmura, "Ce petit appartement et peut être notre sanctuaire, mais c'est toi qui me donne le paradis. Tu m'est si incroyable, pour aucune autre raison que d'être seulement toi même. Merci, Yukimura, pour être devenu une si importante partie de ma vie."
Masamune replaça doucement la main de Yukimura sur le drap, et puis remonta les sienne le long des bras de Yukimura marquant un tournant au épaules pour les laissé redescendre le long de son corps jusqu'à ce qu'il atteigne le pantalon. Masamune défis le bouton, et puis descendit la braguette, et le fit glissé le long des magnifiques jambes de Yukimura, déposant des baisers tout aussi lentement qu'il descendait.
Yukimura laissa échappé un cri ardent et gesticula quant Masamune revint pour lécher et mordillé son membre à travers le tissu de son sous vêtement. Rendu désireux par l'air passionnel sur le visage de Yukimura, Masamune termina son mouvement en l'embrassant profondément, comme si il avait toute les intention d'asservir l'âme de Yukimura. A cet instant, si une partie de son âme n'appartenait pas déjà à Masamune, Yukimura la lui aurait donné avec joie. Masamune continua à embrasser Yukimura, utilisant son temps pour rapidement défaire la corde qui retenait les cheveux soyeux de Yukimura de son ravissement, Puis il retira ses propres vêtements tout en continuant à donné du plaisir à son samouraï.
Ensuite Masamune se débarrassa rapidement du sous vêtement de Yukimura, cherchant une opportunité de l'entendre vraiment crié son nom. Il voulait le goûter, avaler l'amertume et possédé une partie de lui d'une seule petite façon. Il tint la hampe de Yukimura, la pressant doucement entre ses mains pour que Yukimura courbe son dos, alors il commença à bougé sa main rapidement pour le voir se débattre encore plus.
Yukimura ne pensait pas qu'un tel plaisir puisse venir de la rencontre de deux corps, pas comme ça. Il regardait avec ses yeux embrumé alors que Masamune commença à passé sa langue tendrement sur lui, croyant cela être l'image la plu stimulante qu'il n'ait jamais vu de sa vie entière.
Masamune donna un petit baiser sur un côté du membre, avant de placé ses mains sur les hanches de Yukimura pour l'empêcher de bougé alors qu'il essayait de l'avaler en entier. Les yeux de Masamune se fermèrent avec un bonheur incommensurable quant Yukimura hurla finalement son nom.
Quant Masamune se retira finalement, Yukimura gémi et essaya de le faire revenir. Avec un sourire d'affection, Masamune se pencha pour embrasser son front, et il commença à chercher dans sa commode, poussant son corps à ignoré sa propre envie et les mains de Yukimura caressant chaque parcelles de la peau de Masamune qu'elles pouvaient atteindre.
Masamune se trouva à rougir légèrement quant il sortir un tube nécessaire, Yukimura parvint à l'interroger rien qu'avec l'expression de son visage. Masamune toussa un peut, "J'ai été plutôt optimiste ses deux dernières semaines. Ne sourit pas comme ça."
Mais Yukimura ne pouvait pas se retenir, il trouvait simplement Masamune si étrangement charmant dans cet anormale incertitude. Il se releva du lit pour enroulé son corps autour de Masamune, il l'embrassa avec tout son amour, comme si rien qu'avec ce contact Masamune pouvait ressentir tout autant que lui.
Masamune se servi de cette opportunité, retirant un long bandeau rouge du tiroir, un cadeau de départ qu'il avait gardé. Il l'enroula autour de sa main puis celle de Yukimura, créant pour eux un lien plus puissant qu'une bague, plus honnête que des mots, les joignant ensemble avec plus que chacun était autorisé à donné, une cérémonie dans leurs cœurs, même si seulement pour une nuit. Yukimura leva sa main, et celle de Masamune avec, ses yeux se figèrent momentanément face à leurs doigts entrelacés de rouge, voyant quelqu'un d'autre pendant une seconde Masamune embrassa leur doigts joints, rappelant à Yukimura qu'il pourra avoir ses souvenirs bien assez tôt. Ce soir n'était rien que pour eux.
"Comment ?" murmura Yukimura au bandeau rouge.
"Tu as mentionné une fois, comment tu avait perdu le tien. Tu devrai en avoir un autre avant que tu ne reparte. Parce que celui la vient de moi, et maintenant tu te souviendra de moi aussi longtemps que tu le portera."
"Masamune..." murmura Yukimura incrédule. "Je me souviendrait de toi même quant je ne le porterait pas."
Et il s'embrassèrent à nouveau. Et finalement ils ire plus loin, Masamune s'introduisant dans le corps de celui qu'il aimait alors que Yukimura l'attirait encore plus près, ses bras et ses jambes désespéré se réveillant de la où ils étaient enroulé autour de Masamune. Ça n'avait pas d'importance si cela faisait mal, il n'y avait jamais eu un aspect de leur amour qui n'avait pas été d'une certaine manière douloureux, mais ils avaient toujours besoin l'un de l'autre.
Yukimura était exubérant au lit. Masamune chérissait cela, aimait cela. Le besoin frénétique, le corps ouvert, les cris de son nom, les griffures dans son dos, si passionné, si vivant, et tout cela n'appartenant qu'a Masamune.
Masamune murmura à Yukimura alors qu'il continuait ses folles impulsions en lui, ses mots et son souffle chaud s'ajoutant au séduisant effleurement de ses lèvres le long de l'oreille sensible de Yukimura. "Peu importe à qui tu as tenu avant moi, et peut importe à qui tu tiendra après moi, je veux que tu pense toujours à moi. Je suis le premier à t'avoir enlacé et embrassé. j'ai été le premier à t'avoir fait l'amour. Je suis celui enfoui en toi à cet instant, et quant on viendra mon amour sera le poison qui imprimera au cœur de ton âme toute mes émotions, te tachant avec tout mon amour pour que tu ne 'oubli jamais. Je serais toujours en toi."
Comme leur amour, leur passion était sidérante, intense et douloureuse. Les deux furent rappeler une fois de plus combien peut de temps il leur restait. Et le plaisir pouvait si facilement se brisé sous les assauts d'une perte.
"Arrête."
Masamune se figea immédiatement, se retira et s'éloigna, craignant le rejet due à une autre étrange confession. Mais Yukimura lui souri, quant bien même il essayait de percevoir le monde autour de lui a travers les brumes de la passion. Il se déplaça de dessous Masamune; avant de poussé l'autre homme à s'allonger sur le dos pour le chevaucher.
Rougissant fortement, mais n'ayant rien besoin de plus que de s'engager à la mémoire de cet homme, Yukimura passa des doigts calleux sur le torse de Masamune avant de se penché pour s'étaler sur lui, ses lèvres contre l'oreille de Masamune, "Peut importe à que tu as tenu avant moi où après moi, tu pensera à moi comme le premier à t'avoir enlacé et à t'avoir aimé et toujours." Yukimura souleva son corps pour s'empaler su un Masamune aux yeux grands ouvert et respirant lourdement. "Tu es celui avec qui je suis à cet instant, et tu ne m'oubliera jamais...parce tout comme tu es toujours en moi; je suis toujours en toi, je t'aime vraiment, Masamune."
000 ***
Quant leurs corps hypersensibles ne purent pas en supporter d'avantage, Masamune resta appuyé contre la tête de son lit, Yukimura calé entre ses jambes et contre son torse, drapé par les bras de Masamune. Aucun des deux ne pouvait se résoudre à dormi même si l'épuisement les entrainaient, a la place, ils essayaient de discuté aussi longtemps qu'ils le pourraient, apprenant l'un sur l'autre autant que cela leur était possible, ajoutant occasionnellement un baiser vagabond.
Ils savaient tout les deux qu'ils n'auraient que cette nuit.
Yukimura avait la tête posé contre le cœur de Masamune, et les bras autours de lui se resserrèrent, poussant Yukimura à souhaité pouvoir se fondre encore plus, mais il n'y avait aucun moyen de touché une personne au delà de la barrière de la chaire.
"Yukimura. Tu ne ma jamais dit avant. Quel était ton souhait ?" demanda Masamune, se penchant pour embrasser le dessus de la tête de Yukimura.
Yukimura pouvait sentir ses yeux se fermer, les heures de plaisir absolu prenant le dessus sur lui. "J'étais mourant. Je souhaité beaucoup de choses. Je pense que c'est peut être que quant tu meurt tu réalise ce que tu as toujours réellement désiré...même si c'est incroyablement égoïste."
Masamune accepta cette vague réponse et serra encore plus Yukimura. Aimé dans ces bras, Yukimura repensa au souhaits qu'il avait fait, et comment le plus important était déjà devenu réalité. Au moment de sa mort, il avait souhaité sauver Date Masamune, avait voulu voir cet homme passionné en vie et se battant avec tout son esprit grégaire une fois de plus. Il avait souhaité la victoire de Oyakata-sama et le bien être de Sasuke. Il avait souhaité que tout les soldats combattant contre Oda Nobunaga soient sauvés.
Il avait de nombreux souhait pour les autres, mais Yukimura avait aussi un souhait tout à lui. Celui qui devint le plus fort au moment de mourir, c'était bien plus égoïste qu'il ne l'admettrai jamais. Le souhait qu'il voulait pour lui même était celui qui lui avait été accordé, les autres ils aurait à les rendre réels par lui même. Mais son bienaimé et égoïste souhait avait été accordé.
Dans une vie de massacre et de servitude, il avait finalement put obtenir cela, un seul instant de parfait bonheur sans précédent. Yukimura ne pouvait pas imaginer être plus heureux que ce qu'il était à cet instant, enlacé dans les bras d'une personne qui l'aimait complètement. C'était un éclat de temps dans l'entièreté de sa vie qui le porterait jusqu'à ce que son existence de bataille sans fin brise finalement son corps, bien que jamais son esprit, plus jamais.
Pour cet homme, pour cet instant de bonheur, il réduirait n'importe quel ennemi en cendre. Il bâtira se futur monde avec ses lances et le feu continue de son esprit.
Dans quatre cent ans ce moment se reproduira.
Avant que Yukimura n'ait le temps de le réaliser, il s'endormit sous le son constant et doux d'un cœur battant uniquement pour lui.
***
Des bruits réveillèrent Yukimura, qui se demanda quant il s'était endormi. Il se leva lentement de leur lit, enveloppant son corps endolorie d'un drap avant de se stopper pour écouté avec un petit sourire triste. Il avait été réveillé par de la musique, une mélodie de triomphe et de tragédie, joué passionnément par les doigts talentueux de son amant, les même doigts qui avait jouer merveilleusement de son corps la nuit précédente.
Yukimura voyagea de leur chambre jusque la où Masamune finissait sa chanson.
"C'était magnifique, Masamune."
Masamune sursauta légèrement, se tourna vers Yukimura avec un peut de culpabilité et un ton de rougissement. "Hey, désolé je n'était pas la quant tu t'es réveillé...et pardonne moi aussi pour t'avoir réveillé. J'ai essayé d'être silencieux mais j'avais tout de même besoin de l'entendre une fois avec mes oreilles..."
"C'était incroyable, Masamune. Comment ça s'appelle ? Quel compositeur la écrite ?"
Masamune gesticula inconfortablement."...c'est simplement la chanson de Yukimura. Je l'ai écrite. Je l'écrivait. Je voulait au moins la finir avant que...cela fait quelques semaine que je l'écrivait maintenant."
"…"
"…"
"Je doit y retourner," fini par dire Yukimura, s'asseyant à côté de Masamune sur le banc du piano.
Masamune pencha sa tête. "Je sait. C'est pour cela que je l'ai fini. Je veux que tu la prenne avec toi."
"N'en as tu pas besoin ?" demanda Yukimura, la préoccupation se dévoilant dans ses yeux.
Masamune se contenta de sourire tragiquement, amoureusement. "Je m'en souviendrait. Je me souviendrait de toi. Alors je veux que tu te souvienne de moi."
Yukimura inclina sa tête avec confusion. "Comment pourrai-je jamais oublier ?"
"Prend là c'est tout. En plus du bandeau, il n'y as rien d'autre que je puisse t'offrir."
Yukimura enroula ses bras autour des épaules de Masamune. "Je ne peut pas la lire comme tu le fait, mais je me souviendrait combien s'était beau quant je l'ai entendu. Voudrait tu la joué pour moi encore une fois ?"
"Idiot. Je la jouerai pour le restant de ma vie."
Ils se sourirent tristement. Puis s'enlacèrent à nouveau avant de se préparer pour leurs dernière s heures, tout deux priant pour qu'un désastre se produise, que quelque chose ne fonctionnerait pas, qu'il puisse avoir plus qu'encore une minute. Chacun essayant de ne pas être trop égoïste, tout deux souhaitant que l'autre soit plus égoïste.
Aujourd'hui était leur dernier jour.
***
Ils étaient maintenant devant l'arbre Sakura des souhait, ni l'un ni l'autre ne sachant si cela marcherait, tout deux sachant que d'une manière cela arriverait. Yukimura était dans sa tenue de samouraï une fois encore, le bandeau de Masamune caché dans ses vêtements, il devait revenir tout comme il était parti.
"Alors, même les souhait ne deviennent pas vraiment réalité, hein ?" demanda Masamune, son affirmation plus consterné qu'une véritable question.
Yukimura tapa légèrement le côté de la tête de Masamune avec son poing. "Ne dis pas ça. Les souhait nous on permis de nous rencontrer, pas vrai ? Nous n'étions probablement jamais censé nous rencontrer, mais nous somme la. Je suis reconnaissant de cela. Je ne t'oublierait jamais, Masamune. Je promet que j'aiderais à créer ce monde pour toi. Comme ça nous nous retrouverons un jour, même si ce n'est pas nécessairement notre futur."
Masamune l'attrapa et le colla contre lui. "Je ne peut vraiment pas te garder, non ?"
Yukimura lui rendit son étreinte, laissant tombé ses lances et serrant le dossier contenant sa chanson plus fort, leur étreinte devint sans espoir et écrasante. "Tu m'aura toujours. Mon corps et mon âme appartiennent à mon seigneur, mais j'aimerais toujours Masamune. Ça ne changera jamais. Soit heureux Masamune. Aime toi, tien aux autres, et s'il te plait tombe amoureux de quelqu'un qui pourra te donner un bonheur infini."
"Tu va mourir."
"Oui."
"On ne se reverra jamais, pas vrai ?"
"Jamais."
Ils s'agrippèrent plus fort, aucun des deux ne voulant vraiment dire au revoir, tout deux souhaitant qu'un dieux miséricordieux leur transférerait une notion leur disant que cela ne faisait rien qu'ils gardent l'autre pour toujours. Mais il n'y aurait pas d'intervention divine. Leur rencontre avait sauvé leur vie pour un plus grand objectif, et c'était la seule chose qu'ils ne pourraient jamais demander.
Masamune murmura dans les cheveux de Yukimura, "Je promet de devenir un homme dont tu serait fier, fort et sûr de soi. Je serait l'homme que tu sera fier d'aimé même à quatre cent ans loin de moi. Personne que tu pourra rencontré dans ton époque ne pourra être comparé à moi."
Il ignora la partie de son cœur qui se souvenait de son autre lui, l'obstiné et fougueux Date Masamune.
Yukimura ne remarqua pas ses pensées vagabondes. "Je te crois; fait moi confiance, je te crois."
"Alors...comment ça marche ?"
Yukimura embrasse la base du cou de Masamune, sur un léger bleu qu'il avait laissé de la nuit précédente, et ignora sa peine pour murmurer, "Tu me laisse partir."
Ils s'embrassèrent une dernière fois et Yukimura ramassa ses lances, il parti avant qu'aucun des deux ne puissent dire quelque chose de plus.
Les papiers griffonné de notes de sa chanson s'éparpillèrent sous l'arbre, soufflé comme si ils étaient les derniers pétales de la saison. Masamune retint tendrement la page qu'il avait attrapé avec des doigts désespérés mais délicats, passant ses yeux sur la preuve mélodique de son amour. Un morceau de tissu rouge tourillonna dans le vent avant de s'accrocher dans l'une des branches du sakura. Il n'eurent même as le droit à cela, même pas un souvenir.
Masamune sourit avec douleur alors qu'il portait le papier à ses lèvres.
C'était terminer maintenant, la note finale de le chanson d'amour se joua.
***
Il échangèrent un sourire, Yukimura le soutenant physiquement tout comme Date l'avait une fois supporté mentalement. Ils étaient une bonne équipe. La fête avait été dangereuse, mais il n'y avait personne d'autre que Yukimura que Masamune aurait voulu à ses côté.
Il avait su dès leur première rencontre que Yukimura serait important pour lui, mais c'était ce combat final qui lui avait permit de réalisé combien. Pendant cette seconde, quant il avait sentit comme si Yukimura avait en quelque sorte disparu de ce monde, il n'avait jamais été autant alarmé. Puis, pas même une seconde plus tas, il avait senti le jeune homme lui revenir, et utilisant son soulagement, son besoin de protéger, les souvenirs d'une panique toujours dans son système, une nouvelle force en Date alla de paire avec un nouveau pouvoir en Yukimura, et ensemble ils abattirent la justice sur le Roi Démon.
Date pouvait facilement comprendre pourquoi Takeda Shingen avait prit Yukimura sous son aile. Ce garçon était le plus jeune général que Date avait rencontré dans cette guerre, et il était déjà l'un des guerrier les plus brillants. Il était jeune, naïf, et ressentait toujours la culpabilité pour les morts. Même ainsi, avec un peut de conseil, il serai réellement incroyable. Date voulait faire face à cet adversaire, il voulait aidé ce garçon a grandir en un homme plein de capacités. Quant le tigre de Kaï est tombé, Date avait dissolu son armée et fonça au combat avec Yukimura, désireux d'inspiré ce jeune homme à se retrouver, voulant revoir cette étincelle de vie qui réveillait en Date quelque chose de proche de la magie. Ce garçon allait devenir remarquable, et cette pensée enflammait Date. Date voulait, avait besoin, d'être une partie de cela. Une pièce de ce qui ferait de Sanada Yukimura la radieuse figure qu'il était destiné à devenir. Après leur premier combat, Date avait ressenti le pouvoir et la passion de se garçon appeler le sienne. C'était à coupé le souffle d'une façon que seul un guerrier pouvait apprécier, mais Date savait qu'il était lui même destiné à être un personnage important dans la vie de ce Sanada Yukimura.
Mais Maintenant, alors que Yukimura tendait Date à un Kojûro inquiet, le plus jeune samouraï avait laissé sa main reposé sur son bras avant de le lâcher rapidement, sourient sans même semblé vraiment le voir lui. C'était étrange et surréaliste, omniscient et perdu, seul dans un moment où il devrai être heureux.
Il semblait soudainement être un homme que n'avait jamais rencontré Date Masamune.
Date ne pouvait pas comprendre le sentiment d'anxiété qui se rependit en lui, comme si il venait de perdre quelque chose qu'il n'avait pas conscience d'avoir voulu, et que d'une certaine c'était déjà parti. Quelque chose avait réparer ce garçon, l'avait amélioré, et Date ne faisait pas parti de cela. Sanada Yukimura avait, à ça manière, en l'espace de quelques minutes, grandit au dessus de lui. Date n'aimait pas cela. Il n'aimait pas cela du tout. Ce jeune homme qui avait été son camarade depuis un court moment, mais avec un esprit qu'il connaissait aussi intimement que le sien, devenait subitement un étranger.
Date observa Yukimura courir vers le ninja, Sarutobi Sasuke, comme si il ne l'avait pas vu depuis des mois. Il entendu vaguement Kojûro lui parlé, mais il n'arrivait pas à écouté, son attention concentré sur le soudain étranger qui avait autrefois été une âme sœur. Yukimura, qui maintenant semblait être plus un homme qu'un garçon, le regarda une fois, une chaleur familière revint à Date, mais il sut que cette chaleur n'était pas pour lui. La même passion, le même courage, la même exubérance, les même gentillesse et loyauté, mais il y avait là quelque chose de mature et de différent, comme si Yukimura avait perdu au lieu de remporté dans leur victoire.
Date se demanda intensément ce qu'il pouvait bien avoir manquer.
Yukimura fini par laisser Sasuke pour allé regardé le soleil levant, avec une invincible tout nouvelle force et un sourire si triste. Repoussant doucement Kojûro, Date s'avança suffisamment pour l'entendre dire, comme si il parlait à quelqu'un se trouvant vraiment très loin, "Je l'ai fait. Nous l'avons tué. Je promet que je ne faiblirai plus jamais. Je veux créer le monde dans lequel on s'est rencontré. Et je sait que tu ne faiblira plus jamais non plis. Je promet que je ne t'oublierai jamais. Adieu."
Ces mots...la façon dont ils avaient été prononcés...Date fut frappé en plein cœur et insensible à la douleur sur ses côtes, ne put même plus sentir son sang coulé, alors qu'il comprit en un instant ce qu'il avait perdu. Il regarda Yukimura chercher quelque chose sous sa veste avant qu'il ne ferme les yeux comme si il avait mal. Il porta une main à sa tempe, comme cherchant pour une pièce manquante de lui même.
Date regarda sa propre main, qui une fois avait été enlacé par une bandeau rouge comme un ruban chéri, prudent et affectueux.
Il n'était plus là.
Il voulait qu'il revienne.
"Masamune-sama ?"
"Rentrons à la maison, Kojûro."
Je reviendrais, Sanada Yukimura, et je ramènerait tes yeux sur moi. Attend un peut petit enfoiré. Je vais récupérer ce qui m'a été prit, et je te reconnaitrait à nouveau.
"Masamune-sama ?" demanda Kojûro avec incertitude, et Date commença à rire de cette façon folle et optimiste qu'il aimait tant et que Kojûro craignait habituellement.
"Don't worry ! Ce serra amusant ! Un différent type de party. Je vais conquérir quelque chose de différent ! Ce serra la plus intéressante des party, you see ?"
Après tout il était Date Masamune, et ce fils d'Oshû ne pliait devant aucun homme.
***
Cela faisait trois mois depuis qu'il avait laissé Yukimura partir, et la vie avait continuer même alors que Masamune ne l'avait pas voulu.
Parce qu'il en avait eu besoin, Masamune avait vendu l'appartement qui avait été leur sanctuaire, se décidant finalement à allé vivre avec Kojûro. Les souvenirs de lui et Yukimura ensemble étaient enfermé pour toujours dans son cœur, lui donnant la force pour trouvé une nouvelle vois vers le bonheur.
Motochika avait prit le retour de Masamune dans le grand monde avec une gaité extrême, l'entrainant selon son bon désir alors que Motonari soupirait pour eux deux. Masamune avait commencé à vivre, faisait des efforts avec ses vieux amis, se fit de nouveaux amis, et revint même sur le devant de la scène avec son piano. Pour Yukimura, et pour son petit frère, Masamune vivrait pour lui même et trouverait un moyen pour rendre sa vie à la foi belle et remplis avec aussi peut de regret possible.
Bien que la majorité de ses amis étaient à la fac maintenant, Masamune devait redoublé sa dernière année de lycée à cause de son abandon. L'établissement qu'il avait choisi ne pouvait être que celui la, l'école avec l'arbre sakura qui exhaussait les vœux. Il ne ferait plus de vœux devant maintenant, désireux de réaliser ses rêves avec sa volonté propre, mais il sentait comme si il avait besoin d'être ici. Un penchant dans son âme l'avait à nouveau conduit ici.
"Sasuke ! Attend moi !"
Le cœur de Masamune battis la chamade alors que son œil s'agrandit à la vu d'une figure reconnaissable. Il était sur le point de l'appeler, de courir vers lui, et si nécessaire, attrapé physiquement ce garçon courant à travers la rue toute proche. Mais il se rappela alors la réalité de son amour et se contenta de sourire, heureux d'être au moins capable de voir ce visage familier, même si ce n'était pas l'exacte personne qu'il cherchait.
Mais Masamune fut toujours capable de sourire en dépit de tout, et cela était une bonne chose.
"Hey, Yukimura," murmura Masamune. "Je pense vraiment que tout va allé bien pour nous."
Et il fit un pas de plus dans sa vie.
***
"la vie nous a appris que l'amour ne consiste pas seulement à un échange de regard, mais à regarder ensemble dans la même direction."
-Antoine de Saint-Exupéry
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OWARI