Dislamer: tous les personnages appartiennent à SM et cette superbe histoire est à Raisin cookies que je remercie encore pour m'avoir autorisée à la traduire.

J'ai adorée cette histoire j'espère qu'elle vous plaira autant qu'a moi.


Chapitre: 1

C'était au milieu de l'automne, et une mince couche de givre recouvrait déjà le terrain, pour les gens du pays c'était un signe certain que l'hiver serait froid. Les feuilles des arbres avaient tournaient dans une couleur de fleurs jaune vibrantes, orange et rouge, croquantes et bouclées. Elles volèrent et encerclèrent les voies et les routes, portées par les vents venteux qui erraient dans la vallée de roulement de la campagne française pittoresque.

La Ford en location rouge, s'approchée de façon constante le long de la route. Ce qui permet aux quatre passagers un environnement parfait pour leurs cartes postal; maman, papa, l'obligatoire adolescent maussade et Abbey leurs plus jeune enfant de six ans.

« regarde maman! », elle à pleurée de joie quand elle posa le doigt sur la vitre de la voiture, « un château, tu crois que c'est là que vivent les princesses? »

Sa mère regarda dans la direction où Abbey était orientée. Elle vit un château Français de conte de fées, Abbey regardait avec admiration, avec ses pelouses très en retrait de la route principale, ses tourelles et ses drapeaux, pour une princesse, il serait le lieu idéal pour y vivre.

La Ford de location rouge à accélérée, Abbey a toujours rêvait de princesses dans leurs châteaux, allant aux bals avec des princes, des fêtes, des parties de thés avec des gâteaux glacés et de crumpets (note de moi: petit pain toaste que les anglais aiment recouvrir de confiture d'orange) La voiture s'éloigna de plus en plus, jusqu'à ce que l'on ne voient plus rien à part un point minuscule au loin, et qui finalement disparue.

S'il s'agissait d'un film, et que nous étions les spectateurs, se serait le moment où la camera commence à faire des déplacements dans le château de conte de fées, nous conduit jusqu'à l'allée principale, ombragée de grands chênes, et jonchée de leurs feuilles d'automne tombées parterre, divisées sur la zone de gravier directement sur la façade du bâtiment. Nous serions sur les magnifiques marches de pierre, le long des piliers géant de granit et à travers de la lourde porte d'acajou brin et finalement nous serions arrivée à l'intérieur d'une réel splendeur. Les planchers bien polis et cirés, les épais tapis en peluche couleur rubis, des cadres décorés qui hébergent des peintures à l'huile d'hommes en perruques blanche. Des vases élaborés avec des tableaux sauvages et colorés de fleurs et de bruyères. Des boites de bijoux et une horloge grand-père dans le couloirs dont le tic-tac de sa pendule ne s'arrête jamais.

La chambre sent fortement le produit de nettoyage, pour polir et ciré les meubles et bien sur des fleurs fraiche.

Les hommes et les femmes gravitent autour des deux principales salles de réception à gauche et à droite de la voix d'entré, bavardant en petits groupes avec de nouvelles connaissances ou de vieux amis retrouvés. Il y a un sentiment excité de jovialité et d'appréhension dans l'air. Un homme âgé habillé d'un costume blanc avec un œillet rouge entre dans la pièce, il tape dans ses mains, très fort gagnant ainsi l'attention de ses invités. Sa tête est brillante et dégarni, son regard froid et noir.

Il s'adresse à ses invités:

« mesdames et messieurs, je vous remercies d'être tous venus, je sais que certains d'entre vous on parcouru une grande distance pour être avec nous. Je dois dire que cela fait longtemps que je n'ai pas tenue l'une nos petites rencontre. » Les invités ricanés, et de nombreux invités acières en un signe de tête. « bon » a-t-il poursuivie « les objets misent aux enchères d'aujourd'hui sont déjà sur le tableau d'affichage pour ceux d'entre vous qui veulent faire un achat aujourd'hui, vous avez trente minutes pour marquer les articles avant que les enchères commence. » Il regarda rapidement autour de la chambre et de façon insistante.

« Je ne vois pas l'utilité de réaffirmer le règlement, vous le connaissez tous assez bien maintenant. Et enfin si vous pouviez, si vous voulaient bien me suivre nous allons aller jusqu'à la salle de bal, et commencer la procédure. »

Edward et Emmet Cullen on été les derniers à entrer dans la grande salle, l'ambiance au sein de la chambre était déjà électrique, et étant donné les cris occasionnels et les pleurnicheries, après les éclats de rire, il était clair que la fête avait déjà commencée.

Emmett scanné la pièce, le visage éclatant d'un large sourire et ses yeux tombèrent sur une captive frétillante, luttant férocement pour se libérer.

-« Que dis tu de celle-ci? » Dit il en donnant un coup de coude ludique à Edward en direction de l'esclave.

Edward tourné la tête pour mieux regarder la brune en difficulté.

-« Trop de sexe, à mon goût, je le crains, mais ne te laisse pas arrêter si tu veus faire faire ton propre achat aujourd'hui. » a-t-il répondu sournoisement à son frère en s'éloignant.

Edward et Emmett firent le tour de la pièce, s'arrêtant parfois pour voir certaines filles, une fois qu'ils les avaient toutes vues, Edward se tourna et ils se dirigeaient vers le lot n°19.

Elle était une petite brune, un peu sur le coté, maigre étant donné qu'il pouvait distinguer ses cotes. Elle, comme tous les autre captives, avaient eu les yeux bandés avec un bandeau sur les yeux, doux, en peau de mouton noir, les bras attachés au dessus de la tête, ses chevilles tenues écartées par une barre d'écartement réglable.

Cependant deux aspect dans sa manière d'être habillée se différenciait des autres, la première, elle était nue, en dehors d'une simple petite culotte en coton blanc, la raison, c'était de mettre en évidence qu'elle était vierge, intact et pur, et donc de ne pas être prise et poussée par n'importe quel des acheteurs potentiels.

La seconde, tandis que toutes les autres on été forcées de porter des chaussures à talon noir, elle n'en avait pas(note de moi: je sais que j'avais mis soutiens gorge parce que je n'avais pas traduit correctement mais dans le chapitre cookie précise bien des chaussures à talon). Edward tendis la main, touchant ses seins du doigt aussi léger qu'une plume, ses yeux restés noirs, regardé sur son visage ses réactions. Elle gémit, courbant le dos pour fuir un autre ensemble de mains inquisitrices, elle renifla tranquillement, se mordant la lèvre inferieur pour cacher le tremblement.

Edward pencha la tête sur le coté.

-« Celle-ci est tout à fait captivante. »

-« Hmm……………….pas aussi captivante que la blonde pourtant. » Répondu Emmett.

-« Était-elle blonde? » Edward souriait, leurs plaisanteries amicales a été rapidement réduites au silence quand le marteau des enchères retentis, indiquant qu'il était maintenant temps pour que les ventes commencent.


Voila j'espère que ça vous à plu, c'est vrai que le début est un peu long mais l'histoire à l'air super, non?

Je voulais aussi dire que je n'abandonne pas mon histoire je bloque un peu avec Edward je sais ce qu'il ressent mais je ne veut pas que sa fasse midinette bref ceci est une autre histoire

J'espère que vous allez me dire si je dois continuer à la traduire

À bientôt Karine