Titre: Hidden Truth (fic espagnole) - 6 chapitres

Auteur: Pepy-chan

Traductrice: Moiiii lol hum ... jdisais dc tadaam Viewfinder17 accompagné de ma fidèle bêta 'tachi88 (arrive o tayo lol)

Personnages: Ryûichi Asami X Takaba Akihito

Genre: Drama/Angst

Disclaimer (de l'auteur): Ce merveilleux manga appartient à la géniale Ayano Yamane, mais Hiroki Uchiyama est un personnage crée par moi.

Viewfinder17: Mercii pour les reviews, j ai terminé de tout traduire et j attends juste que ma beta corrige le chap 2 (ki ns a donner pas mal de fil a retordre lol) mais je vais essayer de le mettre en ligne le + vite possible.

Pour répondre à Akira sanguinis: uiiiiii yora pas k 1 lemon mé plusieurs par contre vu que c est que ma 2e traduction l ecriture n est pas encotre très sure dc n hesiter pas si vs avez ds idées.

Voili voilouu j ai terminé + ke le dernier chapitre, mercii encore pour vos reviews et dézoulé jfé pas exprès de couper au bon moment je suis simplement l'organisation de l auteur ^^


Un rayon de soleil frappa directement le visage de Takaba, l'amenant à se réveiller instantanément. Il se leva lourdement et regarda autour de lui sans voir une seule trace de ses appareils photos ou de ses photos encadrées. Par contre, il fut accueillit par la vision de grandes fenêtres qui éclairaient une élégante chambre dans laquelle se trouvait un énorme lit King.

Oh, maintenant il se rappelait ce qu'il faisait là : Hier, Asami était passé pour le voir et cette fois, comme toutes les autres fois, il se retrouvait dans son appartement, le tout sans avoir eut son consentement au préalable.

Akihito, retombant sur le lit, essayait d'arrêter les flashs de la nuit passée quand l'objet de ses pensées apparut près de la porte, entièrement habillé et soigné.

- Une fois que tu auras terminé de prendre ta douche et de t'habiller, tu pourras demander à mon chauffeur qu'il te ramène à ton appartement. J'ai d'autres choses à faire, lui dit froidement le Yakuza en prenant ses affaires et en disparaissant derrière la porte sans même un « au revoir ».

Le jeune photographe ne réagit même pas, après tout, cela faisait deux ans qu'ils se connaissaient. C'est pour cette même raison qu'il prit son temps avant d'entrer dans la salle de bain et qu'il se débrouilla pour rentrer chez lui.

Bien qu'Asami le lui ait proposé plusieurs fois, jamais il ne s'était fait reconduire par le chauffeur personnel du Yakuza, et ce n'était pas aujourd'hui que ça allait commencer. Cela lui aurait donné l'impression d'être dépendant. Bien sûr, il ne pouvait pas marcher non plus, ce qui était généralement le cas après une nuit passée aux côtés d'Asami mais peut-être qu'avec un peu de chance il pourrait se maintenir debout. Il lui fallait donc, comme toujours, prendre un taxi pour retourner chez lui.


Une fois arrivé à destination, Takaba changea de vêtements, prit deux de ses appareils photos préférés et ressortit en direction de son lieu de travail. Dernièrement, son emploi lui prenait beaucoup de temps, il n'avait donc plus autant de moments libres qu'avant. Son hobby était emplis de dangers, poursuivre des mafieux pendant toute la nuit n'était pas de tout repos, il avait donc décidé de le mettre entre parenthèses. Et puis, il avait déjà eut son quota de dangers pour le restant de sa vie avec Asami.

Aujourd'hui, le travail à effectuer était pour un magazine de mode international. Le studio était plein de sublimes mannequins, mais ce n'était pas ce qui attirait l'attention de Takaba. En effet, le jeune photographe n'avait d'yeux que pour celui qui effectuait les clichés : Hiroki Uchiyama.

Il paniqua : c'était comme un rêve qui se réalisait. Il admirait le travail de cet homme et il avait toujours désiré être comme lui. Ce matin, au réveil, il n'avait même pas imaginé qu'il travaillerait avec l'un des plus grands photographes du Japon. Dès qu'il fut calmé, il se rapprocha du photographe, avec son matériel nécessaire pour la session photo.

- Heu... Ah ! ! Je m'appelle Takaba Akihito c'est un plaisir de pouvoir travailler avec vous ! hurla presque Takaba, alors qu'il s'inclinait respectueusement devant son nouveau senpai.

- Et bien ! Je suis heureux d'avoir des personnes aussi enthousiastes que toi ici ! J'espère que nous ferons une bonne séance aujourd'hui, dit Uchiyama, avec un large sourire qui fit furieusement rougir le jeune photographe.

Les heures passaient et la session continuait, Akihito s'habituait à la présence de son mentor et essayait d'apprendre tout ce qu'il pouvait. Tous deux semblaient se sentir très à l'aise : aussi, s'en qu'ils s'en rendent compte, il se fit tard et la session photographique était terminée.

- Takaba ! appela Uchiyama pendant qu'il rangeait le matériel qu'ils venaient d'utiliser.

Le jeune se tourna vers lui alors que, lui aussi, terminait de ranger les précieux appareils.

- Ça a été un réel plaisir de te connaître, continua Hiroki. J'attends avec impatience de pouvoir travailler de nouveau avec toi.

Le photographe lui tendit sa main droite alors qu'il souriait largement.

Akihito ne tarda pas à lui serrer la main et lui retourna ses adieux : il avait vraiment vécu une expérience inoubliable et qui, en plus, s'était bien passée. Personne n'aurait pu imaginer que l'aîné était aussi gentil et facile à supporter.

Pendant que Takaba rangeait le reste de l'équipement, Uchiyama marchait vers la sortie mais, avant d'en franchir le seuil, il se retourna et resta ainsi pendant quelques secondes :

- Takaba ? Appela-t-il en se tournant.

- Oui, répondit le jeune.

- Si possible... Voudrais-tu te joindre avec moi, boire un verre ?

Le jeune homme resta perplexe pendant quelques instants : Uchiyama était en train de l'inviter à sortir ? ? ?

Il voulait vraiment y aller, mais seule la pensée d'Asami le réfrénait : et si, de nouveau, il allait le chercher à son appartement et qu'il ne le trouvait pas ? C'était certain qu'il se mettrait en colère et qu'il devrait ensuite payer, de son corps, les mauvais moments qu'il aurait fait passer au Yakuza.

Soudainement Takaba se pétrifia. Est-ce qu'il devrait toujours vivre en essayant de répondre aux attentes et aux désirs d'Asami ? Qu'adviendrait-il de sa vie personnelle si le Yakuza s'ennuyait de lui ? Toute la vie du jeune photographe tournait autour de ce que faisait ce maudit yakuza; il était toujours en train d'attendre ses visites, excité et effrayé à la fois et il souffrait de ses sentiments non partagés... Il était seulement un animal de compagnie et il le resterait sûrement s'il ne se décidait pas d'y mettre un terme.

- Takaba ?

Hiroki le sortit de ses pensées et pendant qu'il le regardait, Takaba se décida à refaire sa vie :

- Uchiyama-san, j'adorerai venir.

En prononçant ces paroles, ils marchèrent ensemble vers la sortie et disparurent derrière elle.


Asami se trouvait assis derrière son bureau, manifestement irrité. Il tenait son portable entre ses mains et se préparait à taper pour la troisième fois le même numéro.

Pourquoi diable Akihito ne répondait-il pas ?

Le yakuza n'avait pas l'habitude d'insister et ça le dérangeait. Il détestait vouloir à tout prix qu'on lui réponde, cela lui donnait l'impression d'être vulnérable.

Il marqua encore une fois le numéro pour cette fois se retrouver à entendre la boite vocale.

Akihito... Aurait-il délibérément raccroché ? La colère d'Asami commençait à croître jusqu'à atteindre des niveaux dangereux, mais il essaya de tempérer sa colère. Il était possible que la batterie du portable de son « protégé » soit la cause de cette attente prolongée ou peut-être que Takaba avait appuyé malencontreusement sur un mauvais bouton en voulant répondre. Bien sûr, cela devait être ça ! Parce que si ce n'était pas le cas, il le saurait de n'importe quelle manière et le tuerait.

Il essayait en vain de se relaxer pendant qu'il regardait les lumières qui commençaient à apparaître dans la ville.

- Où es-tu Akihito ?


Un nouvel appel sur son portable détourna Akihito de la conversation qu'il avait avec Uchiyama. C'était la troisième fois qu'Asami l'appelait et ça, c'était plutôt mauvais signe. Sans trop y penser, le jeune coupa l'appel et éteignit son téléphone, sentant un étrange sentiment de soulagement le gagner à ce geste.

- Est-ce que ça va Takaba ?

De nouveau la voix de son senpai le ramena à la réalité.

- O...oui, je suis désolé... Vous disiez?

- Ce ne sont pas vraiment mes affaires mais tu parais préoccupé par chaque appel... Est-ce que quelqu'un t'ennuie ?

- Non, ce n'est pas ça, c'est... c'est quelqu'un avec qui je ne veux pas parler pour le moment. De toute façon, j'éteins mon portable comme ça, je ne serais plus distrait. Encore désolé...

- Ne t'excuse pas... J'étais seulement un peu inquiet.

L'aîné se retourna pour lui sourire pendant qu'Akihito le lui renvoyait d'un geste.

Les heures passaient rapidement alors qu'ils passaient d'un sujet à l'autre avec une facilité presque déconcertante. L'alcool aidait aussi et désinhibait les deux hommes qui approfondissaient, à chaque fois un peu plus, les sujets personnels.

Soudain, la conversation s'arrêta et tous deux se regardèrent sans dire un mot. Akihito étudiait son mentor : Hiroki possédait la fraîcheur propre à l'adolescence et en même temps, une culture digne d'un homme sage. Il savait que son âge approchait celui d'Asami mais leur aura étaient complètement différentes. L'aîné était vraiment une personne attirante et Takaba ne pouvait s'empêcher de rougir alors qu'il le regardait : ses traits joliment dessinés, ses cheveux châtains, ses yeux...

- Uchiyama-san, vos yeux...

- Hein ? Ha, tu veux sans doute parler de la couleur ! Ma mère était italienne, mon père japonais. J'ai passé toute mon enfance en Italie et quand ma mère est décédée, mon père a décidé de revenir au Japon.

- Wow ! Je ne savais rien de tout ça…Et pourtant je regarde chaque reportage qui sort. Akihito avait baissé la voix à cette fin de phrase, il n'allait pas vraiment avouer qu'il regardait VRAIMENT tous les reportages son idole. Uchiyama sourit au commentaire, mais ses yeux avaient un tout autre regard, un regard qu'Akihito connaissait bien.

L'aîné commença à s'approcher de Takaba, en lui donnant le temps suffisant pour l'arrêter, s'il le voulait. Seulement le jeune ferma les yeux pour sentir les lèvres du photographe sur les siennes. Devait-il vraiment le laisser continuer ?

Mentalement, Akihito essayait de se justifier pendant que les avances d'Uchiyama augmentaient, l'alcool aidant. Sa conscience s'évanouissait à mesure que la nuit avançait.


Encore une fois, un rayon de soleil frappa le visage de Takaba le réveillant doucement. La première chose qu'il remarqua fut une migraine caractéristique due à l'alcool bu la nuit dernière, la seconde chose étant sa nudité. Sa dernière découverte fut que Uchiyama Hiroki était lui aussi nu, dans son lit.

Akihito se redressa rapidement et tenta de se rappeler exactement ce qui s'était passé la nuit d'avant, ce qui n'était pas tâche facile car à chaque fois qu'il essayait d'y penser, sa tête tournait et une douleur lancinante le stoppait dans ses recherches. Il ne fallait pas être un génie pour se rendre compte qu'il avait passé la nuit avec un autre qu'Asami. En y repensant, un énorme sentiment se vide l'envahissait et bientôt, seule l'envie de pleurer fut présente.

Le son retentissant de la sonnette changea ses émotions en surprise. Tout en prenant son pantalon, il se dirigea vers la porte.

Sa surprise fut remplacée par la terreur quand il vit, sur le seuil de la porte, son pire cauchemar...

- A...Asami...

A SUIVRE ! ! !