Harry Potter et le secret d'Hermione

Une nouvelle année commence à Poudlard et nos trois amis rentrent en septième année, tous, dans l'idée de passé leurs ASPIC avant la bataille final plus qu'éminente. Ils ont tous des projets d'avenir : Harry pense pouvoir vivre heureux en étant marié à Ginny, Hermione et Ron, sans se l'avouer, voudraient vivre ensemble. Et même Draco Malfoy et Pansy Parkinson pensent qu'ils devront s'épouser, à leur plus grand malheur, d'un comme un accord entre leurs parents. Mais voilà, une fille, arrive pour la première fois à Poudlard. Qui est-elle ? D'où vient-elle ? Tout ce qu'on sait, c'est qu'elle est arrivé bien trop tôt dans la vie de nos cinq personnages et donc, en chamboulant l'ordre du destin, va changer leur futur à tous. Sera-t-il meilleur ou pire ? Et puis, pourquoi Hermione se sent-elle lié à cette fille ?

Chapitre 1 : Bienvenue à Poudlard

- Non !! criais-je de tout mon cœur.

Quand j'ouvris les yeux, je n'étais plus au même endroit. Il faisait nuit noire et l'air était assez chaud pour une fin de mois d'août. Je regardais dans ma main, où se tenait un petit cœur, celui qui se trouvait dans mon collier. Où étais-je ? Je regardais autour de moi, j'étais devant une grille immense où était inscrit « Poudlard ». Derrière cette grille, j'apercevais un immense château hérissé de tours pointues et de grandes fenêtres. Je me souvenais que « Poudlard » était l'école de sorcellerie d'Angleterre. Comment étais-je arrivé ici ?

- Qu'est-ce que vous faite ici ? cria une voix à vous faire froid dans le dos.

- Je ne sais pas, dis-je totalement perdu.

- Venez avec moi, me dit l'homme qui venait d'ouvrir les grilles.

L'homme était tout de noir vêtu. Ses cheveux étaient de la même couleur. Il ne m'adressa pas la parole de tout le chemin. Je pouvais apercevoir sous la lumière de la pleine lune, un immense parc et un lac d'un noir profond. De l'autre côté, un grand arbre que je cru voir bouger, surement un saule cogneur. Quand j'entrais dans le hall immense de l'école, je fus émerveillée de voir deux immenses escaliers, quatre sabliers, de quatre couleurs différentes : or et rouge, vert, bleu et jaune. Il y avait des portes par ci par là dont une immense. Je me demandais bien ou elle pouvait mener. Ce qui me fascinait le plus, c'était toutes les lumières présente dans le château. Au lieu d'être sombre comme mon école, celle-ci était lumineuse et il faisait bon vivre. L'homme en noir, m'emmena dans les étages et je fus amusée de voir tous les tableaux suspendus aux murs, qui s'extasiaient ou qui chuchotaient sur mon passage. Une fois arrivés devant une grande statue en forme d'hypogriffe, l'homme prononça un mot, surement le mot de passe, et la statue se mis à tourner jusqu'à ce qu'on aperçoive une porte d'un bureau. Il toqua à la porte et on entendit une voix faible répondre de l'autre côté:

- Entrez.

On entrait dans un immense bureau. Il était étrangement rangé mais il était agréable. Au mur étaient accrochés plusieurs tableaux d'hommes qui dormaient tranquillement.

- Ah professeur Rogue, que me voulez vous ?

- J'ai trouvez cette jeune fille devant les grilles du château.

- Ah, c'est bon, pas de problème, laissez nous je vous pris.

- Oui, a demain.

Une fois l'homme sortit, je cherchais du regard à qui appartenait cette voix.

- Approche.

Au fond du bureau, un homme âgé, avec des lunettes en demi-lune et une longue barbe était assis derrière un secrétaire.

- Quel est ton nom ?

- Florina Anton, monsieur.

- Je suis Albus Dumbledore, directeur de cette école. Il a du arrivé quelque chose chez toi pour que tu sois ici, n'est-ce pas ?

Je fis oui de la tête.

- Donne le moi dit-il en regardant ma main.

Il y avait toujours le petit cœur que je n'avais pas desserré comme ma mère me l'avais dit. Je le posais sur le secrétaire. Le professeur, pointa sa baguette, vers l'objet pour le faire disparaitre.

- C'était un portoloin que j'avais donné à ta mère pour te sauver.

- A ma mère ? dis-je en touchant le collier que j'avais autour du cou.

- Oui je lui avais donné aussi ce collier. Je sais que tu ne me fais pas encore confiance mais sache que si tu es là c'est parce que ta mère m'a demandé de m'occuper de toi s'il devait lui arriver malheur. Et c'est ce que je vais faire. Sache que tu n'es pas obligé de tout me raconter maintenant, mais je suis là si tu en as besoin.

- D'accord, merci.

- Bon tout d'abord, tu vas vivre à Poudlard, et finir tes études. Tu es en septième année ?

- Oui.

- Donc voilà ce que j'ai prévu pour toi, demain c'est la rentrée et tous les élèves vont arriver dans la soirée. Après la répartition des premières années, je te présenterais à tous les élèves et tu passeras, toi aussi, sous le choixpeau pour savoir avec qui tu vas suivre tes cours cette année. Je vais aussi changer ton nom, alors ne sois pas surprise, d'accord ?

- Pourquoi ?

- Ton nom est trop connu ici, et tu risques de te faire repérer.

- Quel nom j'aurais ?

- Sandra, mais pour ton nom de famille j'hésite encore, on verra demain. Autrement pour le moment, tu vas aller dans les appartements des préfets en chef, je vais y faire installer une troisième chambre pour toi, tu seras plus en sécurité avec eux que dans un dortoir rempli de monde que tu ne connais pas. Allez, bonne nuit et à demain, au petit déjeuner. Oui ? ajouta-t-il voyant que je ne bougeais pas.

- Où se trouvent les appartements des préfets en chef et où prend-t-on le petit déjeuner ?

- Oh excuse moi j'avais oublié, un elfe de maison te montrera le chemin.

Sur ses mots, il frappa dans ses mains et un elfe apparu devant moi.

- Oui professeur.

- Accompagne voir cette jeune fille aux appartements des préfets en chef, s'il te plait. Et demain tu l'accompagneras aussi à la grande salle. Elle est nouvelle ici, donc elle ne connait pas les lieux.

- Oui professeur.

Je suivais alors, l'elfe, à travers le château, jusque devant un grand tableau représentant une rose rouge.

- On vous donnera le mot de passe demain avec les autres mais pour le moment vous pouvez entrer. A demain et bonne nuit miss Sandra.

- Merci, a demain.

Le tableau tourna pour laisser place à une entrée. Je rentrais par le trou, pour arriver dans un grand salon. Il y avait plusieurs fauteuils et un canapé, posé devant une cheminée, où un petit feu crépitait. Dans l'autre coin de la pièce il y avait une petite bibliothèque. Cela me fit sourire car j'adorais lire. En face de l'entrée, un couloire menait surement aux chambres et à la salle de bain. Sur la première porte était inscrit « Draco », sur une autre « Hermione », puis enfin j'arrivais devant la mienne. Cela me faisait étrange d'apercevoir le nom de « Sandra » inscrit dessus.

« Me ferais-je un jour à ce nouveau nom ? »

En poussant la porte, j'entrais dans une pièce presque aussi grande que le salon, avec un lit à baldaquin en son centre. Une armoire, un fauteuil et un bureau complétaient la pièce. La chambre était décorée par la couleur blanche, ce qui me rendait sereine et je me sentais en sécurité. Je me couchais toute habillée sur mon lit et je fixais le plafond.

« Comment en étais-je arrivé là ? C'est une bonne question. Moi, Florina Anton, Sandra maintenant, fille de l'un des plus fidèle mangemort de Voldemort. Moi qui étais destinée à suivre les pas de mon père à la fin de ma dernière année d'étude. Il me restait à peine un an. Qu'est-ce que j'avais fais de travers, pour me retrouver à me cacher dans un autre pays que le mien. Je croyais avoir appris de mes erreurs par les « Endoloris » que mon père me lançait parfois. Apparemment non. Mais pourquoi avait-il dit ça de moi ? Je n'étais pas aussi douée qu'il le prétendait. C'est vrai que j'étais la première de ma promotion, mais j'avais tout appris dans les livres. En tout cas ce qui était sur c'est qu'après ce qu'il avait fait, je ne reviendrais pas vers lui. Je me vengerais. »

Dans cette idée, je me laissais aller dans un sommeil sans rêves. Le lendemain matin je fus présentée à tous mes professeurs et on me fit visiter le château. Sur ordre de Dumbledore, un homme du nom de Remus Lupin m'emmena sur le chemin de Traverse pour m'acheter mes fournitures scolaires. J'en avais entendu parler mais jamais je ne me serais attendue à ça. Il y avait tellement de magasin et tout ça au milieu de Londres. Une fois, toutes mes fourniture achetées, ainsi que plusieurs habits, et tout le nécessaire pour vivre que je n'avais plus en quittant, mon chez moi, si vite.