Youhou ! Me revoilàà !! Quoi ? Comment ça « Elle a déjà pas fini son autre fic' » ? M'en fous d'abord, personne la lit ^_^. Bref, je voulais dire quoi moi ? Ah, oui ! *se racle la gorge*
BWAHAHAHAHA encore un Yuvi foireux et stupide. J'y peux rien, j'suis comme ça. Gros délire huhu. Au départ, je pensais que faire de cette fic' un Yullen serait plus approprié, mais…pas pu résister. Ca rend le tout encore plus con. Yuvi power !
AH, je précise que certains mots son volontairement très mal orthographiés, c'est une fantaisie de Komui, on va dire u_u
Bref, comme je l'ai dit, c'est stupide. Vraiment stupide. J'y peux rien si mes neurones ne sont pas connectés.
Les personnages appartiennent tous à Katsura Hoshino
A dix heures, ce matin-là, les quelques scientifiques assoupis sur leurs dossiers furent réveillés en sursaut par la douce et mélodieuse voix du jeune et sympathique kendoka, Yû Kanda.
«-LAVI ! J'espère que tu as fait ton testament !
-Tu n'as vraiment pas d'humour, Yû!
-Mais ce n'est pas drôle de remplacer mes sous-vêtements par des strings roses !
-Moi, pourtant, j'ai bien rigolé ! »
Ah, tiens, ils s'étaient encore disputés, eux ? Bah, ils avaient l'habitude. Quoique, il était vachement tôt. D'habitude, le jeune Bookman ne lui cherchait des noises qu'à partir du midi. Faut croire qu'ils n'en avaient pas assez comme ça.
« -Reviens ici, imbécile, que je t'étripe !
-Attrape-moi si tu peux, Yû-chan ! »
Oula ! Ca chauffait. Mais bon, rien d'inhabituel, encore.
Les scientifiques commencèrent à s'inquiéter lorsque Kanda activa son Innocence et commença à courir après Lavi dans les couloirs, et fut à deux doigts de lui couper la tête. Si le rouquin n'avait pas esquivé, il se serait vu rétrécir brusquement. (Ca tombe bien, Kanda était jaloux des deux centimètres qui les séparaient)
C'est à ce moment-là que Komui, alerté par les hurlements de fureur du Japonais et les cris de terreur de l'archiviste, était sorti de son bureau, les cheveux en pagaille, baillant, s'étirant, visiblement la tête bien enfoncée dans le…postérieur. (Au sens figuré. Komui n'est pas contorsionniste.)
« -Kessispasse ?
-Intendant ! Il faut les arrêter, Kanda va finir par tuer Lavi !
-Bah, c'est pas nouveau ça… »
Mais là, Komui vit les deux exorcistes en question passer en courant devant sa porte ouverte. Le brun gagnait du terrain, Mugen allait bientôt s'enfoncer dans la chair de l'apprenti Bookman…
C'est alors que Komui eut un réflexe.
« Kanda-kuuuun ! Jerry vient de te préparer un graaaand bol de soba ! »
L'interpellé se stoppa si brusquement qu'on entendit un crissement affreux, comme ceux des voitures sur un circuit de Formule Un. Ses yeux s'illuminèrent, il ne se souvenait même pas de ce qu'il faisait deux minutes auparavant (au grand plaisir de Lavi qui détala comme un lapin. Sauf que c'est un lapin)
« -SOOOOOBAAAAAA »
Kanda s'était mis à marcher comme un zombie vers Komui qui affichait maintenant un sourire mi-béat mi-sadique, en murmurant « Ouiii, Kanda-kuun, ils t'atteeeendent »
Les scientifiques, ayant compris le « plan improvisé de Komui » se jetèrent sur le Japonais en transe, le ligotèrent et le jetèrent sur le canapé du bureau de l'Intendant. Kanda, lui, cherchait toujours son plat des yeux, l'attendant impatiemment.
Alors, les scientifiques laissèrent leur supérieur s'occuper de la Bête, et s'en allèrent retrouver Bugs Bunny. Bien sûr, il traînait à la bibliothèque. Comme ça, il faisait son boulot, et en plus, c'est pas Kanda qui passerait ses journées là-bas.
Lavi entendit des pas rapides et des respirations haletantes s'approcher de la pièce. En gros, il entendait les subordonnés de Komui courir. Ils entrèrent tous dans la bibliothèque et se dirigèrent vers le Bookman.
Le roux leva la tête de son imposant ouvrage et montra aux visiteurs son plus grand sourire, accompagné d'un signe de la main. Il était content. Eux, au moins, s'inquiétaient de savoir s'il n'avait pas fini découpé en tranches.
Alors que les hommes de Reever approchaient, le sourire de Lavi s'effaçait. Ils affichaient un air bizarre. Il comprit qu'il aurait dû fuir lorsqu'il senti un poing s'abattre violemment sur son crâne, le faisant tomber dans les pommes.
XXX
Lorsque Lavi se réveilla, il était environ quinze heures. Le roux se rendit compte qu'il était dans le bureau de Komui, sur le canapé. Et accessoirement, qu'il était ligoté.
« -Uuuuuh ? Qu'est-ce-que… ?
-Aaaah, Lavi, enfin réveillé ! Tu ronfles très fort, tu sais !
-Hein ? Komui ? Mais qu'est-ce-que vous m'avez fait encore ? »
L'Intendant le regardait avec son air d'imbécile heureux. On pouvait difficilement le distinguer au milieu de la montagne de papiers qui couvraient son bureau. Lorsque Lavi observa les alentours, il aperçut Lenalee qui donnait du café à son frère en lui jetant un regard compatissant (à Lavi, hein !), avant de s'en aller discrètement.
A côté de lui, dans le même état de saucisson, se trouvait Kanda, apparemment passablement énervé, qui s'était éloigné le plus possible du rouquin et regardait le mur, tentant tant bien que mal de croiser les bras malgré les cordes qui le retenaient.
« -Vois-tu, mon cher Lavi, nous autres scientifiques, exorcistes et traqueurs, commençons à sérieusement nous inquiéter de votre relation tumultueuse.
-Quoiii ? »
Komui soupira. Ils ne se rendaient même pas compte qu'ils étaient devenus de véritables dangers publics (parce que Komui est trèèèèès calme, posé, et même sage, bref y'a pas de mot)
« -Reever, dites-lui.
-On a peur que vous fassiez un massacre, alors l'Intendant…
-ALORS, j'ai décidé de devenir votre conseiller matrimonial »
Toute l'assistance poussa un soupir de lassitude. Kanda était devenu rouge de colère, ne pouvant même pas assassiner ce crétin.
« -Je vous ai dit mille fois que les conseillers matrimoniaux, comme leur nom l'indique, conseillent les couples mariés.
-Je sais, Kanda-kun, mais ça sonne mieux que « psychologue attitré »
-Maiis, Kanda et moi, on s'entend bien !
-Parle pour toi, imbécile !
-Allez, Yû ! Nous sommes amis, tout de même ? »
Le jeune Bookman fit un clin d'œil à son «ami » et tira la langue comme un gamin. S'il n'était pas attaché, il l'aurait serré dans ses bras en hurlant son nom, juste pour l'énerver.
« -Crève.
-Tu es méchant. Alors que je t'offre tout mon amour…»
C'en était trop pour les nerfs déjà à vif du Japonais. Poussant le siège avec ses pieds, il se jeta sur son camarde, histoire de l'étouffer avec son corps, ou de le mordre. Oui, le mordre, c'était mieux. Il y aurait du sang.
Malheureusement (ou heureusement ?), sa manœuvre n'eut pas l'effet escompté. Les deux saucissons commencèrent à se battre, essayant de se donner des coups de tête, de dents ou toute autre partie du corps qu'il seraient en mesure d'utiliser dans le cas présent.
Mais, Kanda avait beau être froid, taciturne et agressif, il restait un homme. Et un homme diablement sexy. Trop sexy.
Car Lavi sentit justement une certaine partie de son corps, disons…s'activer. De peur que l'autre le sente, il tenta dans un dernier espoir de le repousser d'un coup de hanche. Qui les fit tomber par terre.
On découvrit alors deux choses. Premièrement, le commandant Reever ne savait pas bien faire les nœuds, les cordes retenant les deux compères se détachant presque toutes seules. De plus, on put constater que Kanda devait aussi trouver Lavi à son goût, et qu'il était aussi capable de rougir – très peu, certes, mais il rougit tout de même.
Kanda se releva brusquement pour cacher sa gêne, balançant de nombreuses insultes à Komui pour se défouler. Les scientifiques se postèrent devant la porte, faisant barrière de leurs corps pour empêcher les deux garçons de s'enfuir.
« -Bien, maintenant que vous êtes calmés, nous pouvons commencer. Lavi, qu'est-ce-que tu n'aimes pas chez Kanda ?
-Il est pas drôle ! Et puis, en plus, il veut pas qu'on l'appelle Yû ! Et il sourit jamais ! Et il essaye de me tuer ! Et…
-Ca va on a compris, idiot ! »
Kanda avait plaqué sa main sur la bouche de Lavi, qui essayait de continuer son énumération. C'est alors que Komui reprit la parole.
« -Bien, bien. Et toi, Kanda ? Fais court, s'il-te-plaît, si tu disais tout ce que tu détestais chez lui, on en aurait pour la nuit.
-Il fait chier.
-Mais encore ? (là, c'était un peu trop court)
-Un gamin stupide et débile. Il passe son temps à raconter des conneries et à me parler comme si j'étais son ami ! Et en plus, il m'appelle par mon prénom ! (Vous trouvez pas qu'on se croirait dans une cour de maternelle ?)
-Calme-toi, Kanda-kun ! Bien, maintenant, le contraire. Lavi, qu'aimes-tu chez Kanda ?
-…
-Lavi ?
-…Ses cheveux.
-Euh…quoi d'autre ?
-…Ses yeux.
-Bien, bien…Hum !
-…Sa peau si douce…Ses fes…
-OH ! C'est fini ce rêve pornographique sur MON corps là ?
-Kanda a raison. Je parle de son caractère. Je sais que c'est difficile, mais tu finiras bien par trouver quelque chose.
-Il est très sérieux. C'est un très bon exorciste. Et, en plus, il est marrant à énerver !
-Je. Vais. Te. TUEEEEEER ! »
Le roux recula d'un bond, une aura meurtrière s'étant dessinée autour du kendoka qui, même sans son sabre, pouvait flanquer une sacrée frousse.
« -Allons, les garçons, restez calmes, tout va pour le mieux.
-Ouais, parle pour toi. Ca t'amuse de nous faire chier ?
-Du tout. Je me démène juste pour assurer le bonheur de mes exorcistes.
-Alors le conseiller matrimonial, c'est pour notre bien ?
-Toutafé, Lavi »
Le Japonais ne savait plus où donner de la tête. Pour une fois dans sa vie, il ne savait pas quoi faire. Lequel des deux devait-il tuer en premier ?
« -Bon, reprenons. Kanda, qu'aimes-tu chez Lavi ?
-…Rien.
-Yû-chan ! Sois gentil !
-Voyons, Kanda, creuse-toi un peu!
-…Il PEUT être sympa.
-OUAIIIIIS Yû-chan, je t'avais bien dit qu'on était les meilleurs amis du monde (au pays des Bisounours !)
-Ne crie pas victoire trop vite, attardé. »
A présent, Lavi s'était jeté sur le Japonais et le serrait dans ses bras du plus fort qu'il pouvait. Kanda, bien que musclé, pouvait difficilement lutter contre une sangsue pareille. Et Komui, lui, toujours avec son sourire béat, était tout fier de son travail, alors que, si l'on regardait bien, ça n'avait pas beaucoup changé la situation.
« -Bieeeeen, mes chers, vous pouvez disposer, ça suffit pour aujourd'hui. Et n'oubliez pas : Peace & Love ! »
BANG !
« -Yûuuuu ? Pourquoi tu l'as assommé ?
-Je me retiens depuis 3 heures »
Les deux exorcistes s'en allèrent, laissant Komui avec une grosse bosse sur le crâne, mais pressé d'être au lendemain pour à nouveau les torturer.
Quoiii ? C'est débile ? Je sais. Mais ça m'amuse beaucoup Niark Niark.
/ RACONTAGE DE LIFE\Au cas où ça intéresse quelqu'un, j'essaierai de mettre une suite mardi soir, avant mon départ en Allemagne (là où j'vais y'a ni ciné, ni Mcdo, damned !)
Je préviens, hein, le chap 2 c'est la même chose, en tout aussi con et tout aussi inutile. Mais bon, voilà
Et je suis parée pour les critiques et menaces de mort.