Ploupidoum ! Hinhinhin, me voilà, Synmelya, pour une fiction ultra-pas-sérieuse mettant en scène (encore) mon couple préféré (à savoir Kanda/Lavi).
Malheureusement (ou pas) tout -Man appartient à Katsura Hoshino, mais je me permets tout de même de jouer avec le zozio de Kanda…
Que dire…Je ne prévois pas de lemon (pas que j'aime pas *perverse* mais en écrire serait un honte au lemon, je suis nulle)
Euh, si vous aimez les mélodrames suivis de la mort de Kanda dans les pleurs et la souffrance…Ceci n'est pas fait pour vous. C'est juste un gros pétage de plombs de ma part, c'est n'importe quoi (je prévois tout de même, si je fais un deuxième chapitre, de le faire un peu plus sérieux, mais JAMAIS je ne pourrais faire mourir Kanda…)
Il était environ 15 heures, ce jour-là, à la Congrégation de l'Ombre. Le silence régnait, les couloirs étaient calmes. Calme éphémère puisque la tranquillité de la Citadelle fut troublé par un cri strident et suraigu, empli de haine, d'envie de meurtre et de folie :
« -Laviiiiiii, reviens ici tout de suite !! Tu vas subir la colère de Komulin 7845 pour avoir osé approcher MA Lenalee !
-N…Nii-san ! Arrête ! Il m'a juste fait un signe de la main !
-Lenalee, regarde cet œil pervers ! Je n'ose même pas imaginer les atrocités auxquelles il pensait !
-Grand Intendant, calmez-vous et retournez au travail. »
A ce moment précis, une aura de haine apparut tout autour de Komui. Pendant que sa sœur protestait, l'obsédé (Nda :Lavi) en avait profité pour filer.
« LAVIIIIIII, tu vas mouriiiiiiiiiiiiiiiir !
-N…Nii-san ! »
…..
Quelques couloirs plus loin, Lavi courait aussi vite que ses jambes le lui permettaient. Il haletait, une douleur lancinante lui tiraillait la poitrine, mais tant pis, il continuait, sachant pertinemment qu'il était poursuivi par un Intendant fou et par sa Machine de Guerre (avec majuscules, siouplaît).
Quand il y repensait, il ne savait pas vraiment comment il s'était fourré dans ce pétrin. Il se rappelait avoir aperçu Lenalee dans un couloir, et lui avait fait un signe de la main, dans l'espoir de se renseigner sur l'état du jeune Allen Walker (en effet, le jeune Destructeur du Temps aurait fait une intoxication alimentaire après que Komui –toujours lui décidément- ait décidé de « bidouiller » la cuisine de Jerry pour la rendre encore meilleure – bien que ce soit inutile- et quand on connaît la quantité de nourriture qu'est capable d'ingérer Allen…BAM, direct dans les pommes). En bref, l'apprenti Bookman avait donc salué la miss (geste totalement anodin), mais, pour son plus grand malheur (et bonheur de l'auteur qui s'amuse écrire des conneries), un certain grand-frère passait justement par là, essayant visiblement d'échapper à la quantité impressionnante de travail qui l'attendait. La réaction fut immédiate, et la suite, on la connaît…
Lavi tourna donc dans un couloir, et aperçut une porte. Sans se préoccuper de la pièce à laquelle elle menait, il entra et referma derrière lui, espérant (vainement) qu'une machine aussi imposante que Komulin 7845 ne pourrait démolir une vulgaire porte en bois.
Le jeune roux perçut alors le son de l'eau qui coule, venant de derrière une petite porte. Génial. Apparemment, il se retrouvait dans la chambre de quelqu'un, quelqu'un qui prenait sa douche.
Alors, Lavi examina la pièce, et son cœur faillit forcer le barrage de ses lèvres pour se retrouver au sol (jolie perspective, n'est-ce-pas ?)
La chambre était minuscule, meublée seulement d'un lit et d'une petite table sur laquelle trônait un sablier abritant une fleur de lotus. Ce n'étaient pas la taille de la pièce, le lit ou le lotus qui donnaient à Lavi l'envie de sortir pour se jeter sur Komulin (et donc, se suicider). C'était la vitre brisée, et l'obscurité de la pièce, qui faisaient comprendre au visiteur que ça ne pouvait qu'être la chambre de…Kanda (qui, rappelons-le, pour le fantasme, est à ce moment précis nu dans la pièce d'à côté).
Un sabre posé sur le lit confirma la théorie de Lavi. Il déglutit alors difficilement, s'imaginant que le sabre en question se retrouverait bientôt planté dans son estomac, laissant sortir ses boyaux et ses organes sous le regard sadique d'un Japonais à moitié (on imagine qu'il s'habillera, tout de même) à poil (là encore, jolie perspective).
Le roux sortit de ses pensées funèbres lorsqu'une sorte d'explosion retentit derrière lui, suivit d'une sorte de gros coup, et sans que l'archiviste ne comprenne rien, il se retrouva propulsé dans la pièce d'à côté, la chambre du brun à moitié détruite.
Donc, Komulin avait –apparemment- détruit tout sur son passage, et avait continué son chemin sans se douter qu'il venait presque d'assommer sa cible. Cible qui releva difficilement la tête pour se retrouver face… au (gros) oiseau de Kanda. L'intrus devint alors aussi rouge que sa tignasse de feu, et releva un peu plus la tête, pour observer le regard meurtrier du propriétaire dudit oiseau.
« -Y…Yû-chaaaan ! Ca alors, je suis content de te voir ! Qu'est-ce-que tu fais ici ? »
Le Japonais souffla des narines comme un taureau en arène prèt à se jeter avec fureur sur le drapeau rouge.
« -CE QUE JE FAIS ICI ? T'ES DANS MA CHAMBRE, ABRUTI ! DEGAGE ! »
Oui, apparemment, les mots « Kanda » et « pudeur » ne s'accordaient pas, puisque le fait d'être complètement nu devant Lavi ne le dérangeait visiblement pas plus que ça.
« -Mais Yû-chan ! C'est parce qu'il y'a un Ko… »
Le jeune Bookman n'eut pas finit sa phrase que des pas métalliques et lourds se firent entendre, suivit d'un cri qui faisait à peu près « Laviii, mon lapin, où te caches-tu ? Montre-toiii…POUR QUE JE PUISSES T'ASSASSINEEEER »
Kanda n'eut pas besoin d'en entendre plus. Ne prenant toujours pas la peine de s'habiller (au moins, vous aurez appris dans cette fic' que Kanda est un exhibitionniste), il attrapa Mugen et sortit de ce qu'il restait de sa chambre pour se diriger vers le Monstre (à vrai dire, je ne sais pas si le « Monstre » est Komui ou Komulin)
Imaginez la scène, un peu : Un Komui Lee en proie à une folie encore jamais connue chez lui, est en train de saccager la tour à l'aide de son précieux Komulin 7845. Ledit Komui Lee est poursuivi par toute la Section Scientifique, partagée entre la panique et l'envie de meurtre. Les exorcistes et traqueurs avaient abandonné leurs occupations diverses pour se diriger vers la zone d'où provenaient les cris, cherchant à comprendre ce qu'il se passait. Surgit un Kanda à poil, tranchant la machine d'un coup de Mugen bien placé, laissant s'écrouler lamentablement la machine sur le sol carrelé, dans un « BOUM » retentissant.
Puis, tout s'enchaîna très vite. Les scientifiques ligotèrent le taré de service (à savoir, Komui, qui était présentement au bord du suicide suite à la destruction de sa 7845ème Merveille-que lui seul considérait ainsi) et lui administrèrent une bonne dose d'antidépresseurs. Les exorcistes et trouveurs étaient, suivant le bord auquel ils appartenaient, en train d'observer la carcasse du Monstre (cette fois-ci, on parle de Komulin) ou l'oiseau toujours à découvert du héros de la situation.
Héros qui, dans un soupir exaspéré, replaça son sabre dans son fourreau et retourna dans ce qu'il lui restait de chambre, pour s'habiller sans doute, sans écouter les lamentations d'un Intendant au cœur brisé :
« KOMULIIIIIN, non, ne meurs pas je t'en supplie, NE ME QUITTEUUUH PAAAS (à ce moment-là, Allen, subitement guéri, s'était mis à entonner la chanson) »
Puis, le malheureux se mit à se rouler par terre (autant qu'il le pouvait, car ligoté comme un saucisson à l'ail) en hurlant :
« KANDA-KUN TU ES MECHAAAANT ! MECHANT! MECHANT ! MECHANT ! MECHANT ! MECHANT ! MECHANT ! Beuaaaaaaaaaaaaaaaah ! KOMULIIIIN! »
Pauvres scientifiques. Et pauvre Lenalee.
.....
Lavi, lui, n'avait pas bougé depuis son face-à-face avec l'instrument du japonais, et il était toujours aussi rouge qu'avant. Apparemment, cette vue l'avait bouleversé et il avait semblé s'imaginer faire beaucoup de choses avec ledit instrument. Malheureusement, son rêve fut brisé lorsqu'il fut chassé d'un coup de pied dans le postérieur de la chambre du Japonais (toujours à poil).
Et le calme revint à la Congrégation, mais pas dans la tête de Lavi, qui pensait de plus en plus au viol, mais qui avait enfin compris pourquoi il aimait tant taquiner l'exorciste brun (car oui, un peu de sérieux des fois ne fait pas de mal)
*se prend une tomate en pleine tronche* Ben quoi ? J'avais prévenu, c'est un gros délire sur Komulin
Je pense à faire une suite, parce que bon, c'est mieux de voir les persos en pleine action…Ou plutôt, en train de se déclarer follement leur amour dans un baiser passionné (*du calme, ma grande, on a dit pas de lemon, résiste résiste résiste résiste !)
Merci d'avoir lu (si vous êtes là, vous devriez avoir lu…non ?) et à la prochaineuuh !! *pense à arrêter les smarties*
Au fait, n'hésitez pas à me dire que je suis géniale (hum…) ou complètement folle, je suis ouverte à toute critique ^^