Titre Anglais: Harry's Last Hope
Titre Français : Le dernier espoir d'Harry
Auteur : Teachersnape64
Bêta Traductrice : Meduza
Bêta Correctrice: Gaya
Chapitre traduit par : Patmolcornedrue
Rating : T
État de la fic en anglais : Fini (53 chap)
État de la fic en français : 1; Traduit : 7 ; En cours : 8, 9, 10
Disclamer : Rien ne nous appartient sauf la traduction.
Résumer : L'été après la mort de Sirius, Harry est rempli de culpabilité.
Severus apprend quelque chose du passé qui met en danger Harry.
Snape décide de l'adopter et de le préparer à la bataille contre Voldemort.
&
Nous avons l'accord de l'auteur pour traduire son histoire
&
Eni et moi espérons que cette nouvelle histoire vous plaira.
Si nous voyons que la fic ne plait pas (nombres de review's)
Nous arrêterons la traduction.
À quoi ça sert de traduire pour personne !!!!!
Bonne lecture !!!!
Eni et Onarluca
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Chapitre 1 : Une vie de chien
Le train-train du retour à la « maison » n'avait pas duré suffisamment longtemps pour Harry. Et comme d'habitude il était posé calmement sur le rebord de la fenêtre, regardant fixement la petite route devant la maison. Même le bruit des roues glissant sur les pavés n'arrivait pas à soustraire Sirius de ses pensées. Sirius était mort. Il ne reverrait plus jamais le visage de son parrain. Ne verrait plus jamais le grand chien noir remuait joyeusement la queue. La seule pensée qu'il était désormais totalement seul au monde, suffisait à provoquer sa panique.
Il avait eu le temps de repenser à son comportement coléreux dans le bureau du Professeur Dumbledore. A tous ces petits objets fragiles étalés sur le sol en morceaux. Mais tout cela n'avait au fond plus aucune importance, parce qu'au final, il n'avait toujours plus personne à qui il pouvait faire confiance. Dumbledore avait définitivement perdu sa confiance en gardant secrète l'information qui l'aurait tenu éloigné du ministère, qui aurait empêchée la mort de Sirius.
Et Remus… eh bien Remus lui avait simplement parlé de la mort de Sirius pendant un douloureux et long moment, simplement pour ce qu'elle était. Bien qu'Harry ne mérite pas du tout que Remus prenne la peine de « soulager » sa douleur.
La culpabilité écrasante d'avoir tué son parrain l'avait presque submergé entièrement. S'il y avait eue ne serait-ce qu'une seule chance de pouvoir échanger sa vie contre celle de son parrain, Harry l'aurait saisie sans hésiter une seule seconde. Il avait bien noté les regards inquiets que lui jetaient ses amis, mais les avaient ignorés. Que savaient Ron et Hermione de la douleur et de la perte ? Ils n'avaient aucune idée de ce que la perte, de votre dernier lien familial, faisait ressentir.
Quand le train était finalement arrivé à Londres, Ron et Hermione s'étaient tenus à ses côtés, jusqu'à ce que Vernon ne le tire d'un coup sec derrière lui et que ne commence l'enfer qu'était sa vie. Il ne s'était pas retourné pour voir leurs visages horrifiés, qu'il savait qu'ils avaient dû arborés. Vernon n'avait pas arrêté de pester durant tout le trajet du retour, au sujet de la nuisance qu'il était pour sa famille. Et avant même qu'il ne soit arrivé à Privet Drive, Harry s'était pris une gifle retentissante de son oncle, pour avoir marmonné dans son dos.
Vernon avait eu l'audace de dire qu'il était heureux que « le criminel qui lui servait de parrain soit mort » Maintenant il n'avait plus à craindre qu'un criminel psychopathe vienne lui donner des leçons. Harry avait cessé d'écouter toutes ses conneries et avait marmonné à son oncle de se la fermer. Il n'en avait pas fallu plus pour que son oncle se gare brusquement sur le bas côté, se retourne vers lui et lui administre une baffe retentissante.
Mais au lieu de protester, Harry avait senti qu'il la méritait. Pas pour ce qu'il avait dit à son oncle, mais pour toutes les autres choses dont il était responsable. Cela l'avait suffisamment calmé pour qu'il puisse faire totalement abstraction de son oncle, et puisse replonger, se concentrant uniquement sur le sentiment de culpabilité dans lequel le laissait plongé la mort de Sirius.
Les choses ne s'étaient guère améliorées lorsqu'ils étaient arrivés à la maison. Dudley lui avait semblé encore plus grand et plus fort que l'année précédente et avait ouvertement défié Harry à la boxe. Maintenant que Dudley était le champion aux gants d'or de son école, il estimait que tout le monde devait le savoir de la manière la plus appropriée qu'y soit, autrement dit en perdant un duel contre lui. L'oncle Vernon encourageait bien évidemment un tel comportement d'intimidation, et allait même jusqu'à vanter les mérites de son fils à qui voulait bien l'écouter. Le refus d'Harry au duel avait provoqué railleries et humiliations, telles qu'il n'en avait plus connu depuis l'école primaire.
Toutes les remarques ridicules et cruelles de Dudley avait renvoyé Harry un peu plus loin encore dans sa dépression naissante, le rendant encore un peu plus inaccessible aux yeux du monde.
Au final, Harry s'était montré si déprimé que la famille n'avait plus rien espéré en tirer. Ils s'attendaient juste à ce qu'il finisse sa liste de corvée et retourne dans sa chambre pour manger son unique repas de la journée. Et même ce maigre repas avait du mal à passer. Harry avait commencé à perdre du poids à une vitesse alarmante. Entre les dures corvées sous le soleil de plomb de cet été et les repas clairsemés, il avait commencé à se sentir fréquemment étourdi tout au long de la journée.
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Vernon avait attendu avec beaucoup d'intérêt le jour de visite de sa sœur Marge. Sa vie était si compliquée en ce moment avec son patron qui passez ses nerfs sur lui et les factures qui commençaient à s'empiler à la maison. Et tout cela avait commencé avec le jour où ce garçon anormal était revenu de son école anormale. Le garçon n'avait tout simplement pas une bonne attitude, il boudait et avait un comportement macabre. Il avait décidé de demander l'avis de Marge sur le comportement étrange du garçon, espérant qu'elle pourrait lui donner des conseils sur la façon de faire cesser ses pathétiques recherches d'attention du garçon.
Marge était très sage et elle avait l'habitude de ce genre de comportements puisqu'elle avait de l'expérience avec son élevage de chiens, qu'elle avait su agrandir promptement et d'une main de maître. Son conseil avez été simple ; Fais le sortir de ses gongs.
« Marge, je ne sais plus quoi faire de ce garçon. Il semble répandre un vilain nuage noir sur toute la maison, » avait expliqué Vernon avec colère tandis qu'il observait sa sœur reprendre une dose d'eau-de-vie fine.
« Je te le dis Vernon, il a une mauvaise influence sur notre Dudley. Et la dernière chose qui pourrait arriver serait que Dudley commence à agir comme ce garçon, » lui avait dit Marge avec autorité, se reversant un verre d'eau-de-vie ainsi qu'à son frère.
« Non, non, ce n'est pas ça du tout. Dudley est un enfant si joyeux et ce garçon anormal ne va juste pas très bien, tu sais ? »
« Il est exactement comme je te l'avais dit, quand il y a quelque chose de mauvais chez la chienne, on retrouve la même tare chez ses chiots. C'est bien dommage que tu ne l'ai pas noyé à la naissance, comme je dois le faire de temps en temps avec mes chiots, » lui dit marge tout en lui tapotant le bras.
« Crois bien que si j'avais su ce qu'il allé devenir je l'aurai déposé devant une autre porte ! » Ils eurent tous les deux un rire gras à cette pensée.
« Bon Vernon, il n'y a plus qu'une seule chose à faire alors. Tu dois le fouetter correctement ! Je ne crois pas que l'approche douce de papy gâteux, utilisant de longs discours et des cadeaux, corresponde à ce type d'individu. Tu dois utiliser une bonne veille canne ou une ceinture sur ce garçon, » lui répliqua Marge avec autorité.
« Oh Marge, je ne sais pas comment Pétunia prendrait la chose, » lui dit Vernon, trouvant l'idée excellente mais ayant peur que son épouse ne comprenne pas.
Marge se pencha un peu en avant et lui dit sèchement insistant sur les mots, « Ne lui dit rien. Oblige le garçon à maintenir sa bouche fermée. »
Vernon pensa à cette idée pendant un instant et en vint à la conclusion qu'il devait prendre quelque chose de spécial au gamin, à partir duquel il pourrait l'inciter à ne rein dire au sujet de ses « bonnes leçons ».
« Tu as raison Marge, cela peut marcher. En tous cas ça vaut le coup d'essayer. Je commence à en avoir assez de ses regards irrespectueux et de l'attitude déprimante de ce garçon. La prochaine fois qu'il fait un pas de travers il devra en répondre devant moi, » et Vernon ressentit une excitation malsaine à cette pensée.
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Vernon remontait l'allée du jardin et vit que le garçon lui avait désobéi en ne taillant pas les rosiers en parallèle comme il lui avait pourtant spécifié de le faire. Il n'en fallu pas plus pour que Vernon se trouve ivre de rage et ne décide de commencer à utiliser son tout nouveau traitement disciplinaire au garçon.
« Garçon, descends ta personne désobéissante immédiatement ! » cria Vernon du séjour, sachant que Pétunia et Dudley étaient sortis. Maintenant que le criminel de parrain du garçon était mort, Vernon savait que personne ne l'attraperait à punir Harry. Par l'enfer, il attendait cela depuis si longtemps !
« Oui, oncle Vernon ? » appela Harry tout en descendant l'escalier en courant.
« As-tu fini toutes tes corvées ? » grogna l'oncle Vernon.
« Je pense que oui, » répondit Harry en gesticulant tandis qu'il s'apercevait que son oncle empestait l'alcool.
« Tu n'es qu'un sale petit menteur » cria Vernon tandis qu'il envoyait, en plein milieu du visage d'Harry, une gifle déloyale, avec tant de force que celui-ci fût projeté contre la télévision. Celle-ci vacilla et s'écrasa lourdement sur le sol, éclatant sur le plancher. « Maintenant phénomène de foire, tu vas enfin commencer à payer ! » pensa Vernon, tandis qu'une excitation malsaine envahissait son esprit.
Harry passa une main sur son visage, ébahi, totalement sous le choc.
« Lèves-toi et files dans ta chambre garçon ! Je vais te donner la correction que tu mérites ! »
« Oh, attendez une minute ! C'est dégueulasse ! Vous ne pouvez pas faire ça, » cria Harry, sa colère prenant le dessus, mais toujours aussi choqué. Il se releva et recula de quelques pas tandis que son oncle se rapprochait de lui. Par l'enfer que va-t-il faire ?
Vernon attrapa Harry par le col de sa chemise surdimensionnée et le poussa vers l'escalier.
Harry commença à avancer vers sa chambre, poussé toutes les deux ou trois marches par Vernon qui marchait derrière lui. Harry essayait de trouver un moyen de s'échapper afin de pouvoir aller chercher sa baguette, enfermée à clé dans le placard sous l'escalier. Il s'inquièterait des ennuis qu'il aurait avec le ministère plus tard.
« Oncle Vernon pourquoi fais-tu cela ?!? » demanda Harry d'une voix paniquée.
Vernon articula d'un ton lugubre, « Parce que tu n'es rien d'autre qu'un phénomène de foire assassin ! Oui, je sais absolument tout de la manière dont vous avez tué l'année dernière, garçon, et maintenant ton criminel de parrain est mort. »
A ces mots, le cœur d'Harry rata quelques battements. La culpabilité et la douleur étaient si fraîches, toujours si vives que son cœur en était encore cruellement meurtri. Tout ce que Vernon venait de dire était vrai, il était un assassin.
Lorsqu'ils atteignirent enfin la chambre, Vernon agrippa Harry par les cheveux et le plaqua face contre le mur. Vernon lutta quelques instants pour retirer sa ceinture (extrêmement longue étant donné son tour de taille) tout en maintenant toujours le garçon contre le mur. Harry tenta de se défaire de son emprise en poussant sa tête en arrière et en s'aidant de ses mains appuyées contre le mur. Vernon enroula la ceinture autour de son énorme main tandis que la boucle formant l'extrémité pendant vers le sol, puis il releva son bras. Harry continuait à lutter pour échapper à la prise de son oncle, mais il fût alors poussé plus durement contre le mur.
« Tourne toi garçon et si j'entends ne serai-ce qu'un piaillement de ta part, ton volatile finira à la casserole ! Maintenant tais-toi et mets tes mains sur le mur ! » Siffla Vernon tout près de l'oreille du garçon.
Harry était sur le point de protester à nouveau, mais Vernon le calma en faisant claquer sa ceinture contre le sol.
Il jeta un coup d'œil vers Hedwige, bougeant très légèrement la tête pour l'avoir dans son champ de vision, puis se positionna de nouveau face au mur, posant en même temps ses paumes bien à plat sur celui-ci. Peu importe ce que son oncle avait prévu pour lui, cela serait toujours moins douloureux que de perdre Hedwige. Il ne pourrait pas supporter une perte de plus, son esprit encaisserait mieux la douleur physique.
Il fût soudainement ramené dans une réalité remplie de douleur alors que la ceinture rentrait brutalement en contact avec son dos. Harry inspira brusquement un souffle d'air et se mordit les lèvres pour faire barrage au cri de douleur qui voulait les franchir. Le ceinture continua à se relever pour mieux s'abattre avec force contre son dos, jusqu'à ce que Harry ne puisse plus se maintenir debout et qu'il se laisse glisser au sol, se roulant en boule face contre terre, encaissant les coups à l'aide de grandes goulées d'air salvatrices. Il était sur le point de laisser lui échapper ses cris de douleur lorsque son oncle s'arrêta enfin.
Vernon s'était finalement épuisé sous cet effort intense qu'il devait fournir pour maintenir son neveu et le punir en même temps. Il estimait que le monstre de foire méritait plus, mais il était pour l'heure trop fatigué pour continuer. Il rattrapa le garçon par les cheveux et l'obligea à lever les yeux vers lui. Voir le visage de cet insupportable gamin l'irrita au plus haut point.
« Tu n'es qu'un bon à rien et un fauteur de troubles ! Tu sais que tu as mérité ceci. Ton école anormale m'a fait savoir que tu avais tué ton parrain. Tu méritais d'être puni, aussi ne va pas te plaindre auprès de tes compagnons bizarres, sinon cet oiseau de malheur en subira les conséquences ! » Après cela il attrapa la cage de la chouette, sortit de la chambre en claquant la porte, puis la verrouilla. Harry put l'entendre monter dans sa voiture et s'éloigner de la maison, ses roues crissant violemment contre les gravillons bordant l'allée. Hedwige s'en été allée.
Harry essaya de se relever pour atteindre son lit, mais la douleur venant de son dos été bien trop forte. Il se recoucha doucement sur le sol, s'étendant à plat ventre, haletant face à cet effort. Il essayait plus que tout de faire obstacle de nouveau à ses cris de souffrances.
« Oncle Vernon a raison, » pensa Harry. « J'ai tué Sirius. C'était MA faute ». Une plus sombre pensée envahit alors son esprit, une pensée qui allée changer le reste de sa vie : « J'ai mérité d'être battu. »
Lorsqu'il se réveilla le lendemain matin, il perçut immédiatement les grands coups frappés contre la porte de sa chambre. Il essaya de se relever le plus rapidement possible, mais les vagues de souffrances s'échappant de son dos le forçaient à être tout de même plus lent que d'ordinaire. Il se mordit violemment les lèvres, faisant obstacle à un cri perçant, lorsque l'une de ses blessures se rouvrit. La porte s'ouvrit brusquement et l'oncle Vernon entra sans la pièce.
« Tu dors encore, sale petit monstre paresseux ! » hurla Vernon tout en remarqua sa lèvre ensanglantée.
« Ne saignes pas partout sur le plancher ou ta tante sera folle de rage ! »
Il jeta sur le sol une longue liste de corvées et sortit de la pièce en tapant du pied.
Harry pris la liste et su immédiatement qu'il valait mieux qu'il s'y mette tout de suite s'il tenait à avoir fini dans les temps.
Il était assoiffé et affamé, mais il devait se concentrer pour ne pas y penser pour l'instant. Harry prit une vieille chemise et l'appuya sur sa lèvre pour arrêter le saignement. Lorsque celui s'arrêta enfin, il entreprit de descendre l'escalier, chaque pas constituant un violent effort. Puis il commença à nettoyer méticuleusement la cuisine. Tante Pétunia et Dudley devaient être absents toute la journée aussi il pourrait facilement prendre un peu de pain et d'eau, furtifs restes du petit déjeuner de ce matin. Après avoir frottait le plancher jusqu'à ce qu'il brille, il arriva enfin au bas de sa longue liste de travaux et se dirigea vers le sous-sol. Il n'avait toujours as compris pourquoi son oncle l'avait traité si durement la veille, mais il pensait d'une certaine manière l'avoir bien mérité pour avoir tué son parrain.
Harry n'avait même pas réalisé qu'il était presque déjà 18h00, jusqu'à ce qu'il remonte du sous-sol et voit que le soleil avait changé de place. Il n'y avait cependant toujours aucune trace de tante Pétunia ou de Dudley. Soudain, la porte d'entrée s'ouvrit brutalement et vint s'écraser contre le mur, Vernon avança rapidement, il semblait énervé.
« Garçon ! Viens ici ! »
« Oui monsieur, » répondit rapidement Harry.
« Tu as terminé tes corvées ? » Le gros visage furibond de Vernon se rapprochant de plus en plus, jusqu'à se trouvait à quelques centimètres du petit visage de l'adolescent.
« Oui j'ai tout nettoyé, » lui répondit Harry, énervé. « Oncle Vernon, où se trouve ma chouette ? »
« Ce ne sont pas tes affaires, fais ce que je te dis et ton volatile s'en sortira vivant, as-tu fait toutes tes corvées garçon ? » répéta Vernon en se dirigeant vers le sous-sol.
« Je les ai faites, » répondit Harry, suivant pas habitude son oncle jusqu'en bas des escaliers.
Vernon commença à chercher une erreur quelconque au sous-sol. Il vit tout de suite que les boîtes n'avaient pas été empilées de manière organisée. N'était-ce pas pourtant le numéro 4 sur la liste ?
« Regarde ça, tu n'es qu'un fainéant et un bon à rien ! »
Harry continua calmement à descendre les escaliers qui le mèneraient au sous-sol et à sa prochaine correction. Il savait qu'il aurait pu courir pour lui échapper, mais il pensait à Hedwige. Il ne pouvait supporter l'idée qu'il était sur le point de la perdre elle aussi. Le reste n'avait aucune importance. Par sa faute, Sirius était mort. Par sa propre faute, il avait perdu sa chance, son petit espoir d'échapper un jour à cet endroit. Maintenant il savait qu'il allait en payer le prix.
À suivre
N'oubliez pas de reviewver ! Les filles font un superbe travail ! Nous ne demandons pas un roman, un génial, super, cool, bien, trop bien, la suite, elle est où la suite ?!,….
Bref, même si c'est court, ça encourage car ça prouve que vous aimez. et ça donne envie de continuer la traduction.