©KaoriSolaris.
Plot: Bella est la patiente d'Edward et ils fantasment l'un sur l'autre depuis des années mais tout change le jour où Bella se décide à mettre le grappin sur Edward et elle obtiendra plus que ce qu'elle voulait. Langage cru et lemon poussés. Vous êtes prévenus!
DOCTEUR CULLEN ET MISS BELLA
Ch 1 :Consultation privée
BPOV
Il pleut. Je déteste la pluie parce que quand il fait ce temps maussade, ça salit les chaussures en nous collant aux basques de la boue et ça rend le pantalon inconfortable; c'est trempé et ça colle à la peau. C'est l'enfer. Heureusement, aujourd'hui, je n'ai pas à souffrir ce désagrément.
En arrivant devant l'immeuble, j'expire un grand coup, soulagée. En fait, en parlant d'immeuble, c'est plus un petit pavillon. Très discret, on le prendrait pour une maison s'il n'avait pas cette curieuse forme octogonale. Je vais pouvoir me sécher et me réchauffer un peu. Je me secoue comme un chien, je vérifie ma coiffure et mon maquillage. Ouf! Je suis encore présentable. Y a intérêt, parce qu'aujourd'hui, c'est le grand jour. Je vais le séduire.
Des années que je fantasme sur lui. Au début, je me disais : « ça va pas, ma vieille, tu débloques, là! C'est ton médecin. TON MEDECIN! Il ne doit te voir que quand une petite fille et ce pauvre béguin passera.» Mais non, il n'est pas passé. Au contraire, j'ai commencé à chercher de plus en plus de prétextes rien que pour avoir le plaisir de le mater et finalement, avant que je ne m'en rende compte, j'étais complètement tombée amoureuse de lui en ne sachant rien d'autre que son identité. Edward Cullen. Ah! Rien que de l'entendre me fait frémir et sourire comme une idiote. C'est prouvé, je suis perdue.
Alors, me voilà devant la porte de son cabinet, parée de mes plus beaux atouts – heureusement que j'ai suivi les conseils d'Alice, ma meilleure amie et que j'ai enfilé cette jupe avec ces ballerines, ça m'évite de porter un jean trempé jusqu'aux os et d'être frigorifiée. Quoique, je sais que j'ai des belles fesses mais pour qu'il les admire, il faudrait qu'il se trouve derrière moi. Hummm…. Derrière moi…. - et j'entre. Comme dans mes fantasmes les plus récurrents, il me tient la porte et là, je me dis: « j'aurais peut-être dû mettre ce jean en fin de compte. » Sauf qu'avec mon trench, il ne pourrait pas se rincer l'œil. Bon, laissons-lui voir mes belles jambes. Je sais qu'elles sont pas mal, c'était mon arme secrète pour faire plier Jacob quand je voulais quelque chose et à coup sûr, il cédait.
Je m'assois sur une des chaises qui se trouvent devant son pupitre et attends sagement qu'il s'installe en croisant et décroisant mes jambes. Il paraît que ça rend les hommes fous. Enfin, c'est Sharon qui le dit alors ça doit être sûrement vrai.
« Alors, Bella, qu'est-ce que je peux faire pour toi? »
Vous pensez que je suis la seule privilégiée qu'il tutoie? Même pas. Il fait ça avec tous les enfants qu'il a vu grandir et là, je m'offusque, il ne m'a pas vue grandir, il m'a seulement vu achever mon adolescence. Par contre son père, Carlisle a eu le plaisir de me voir toute nue mais ça, ça ne compte pas parce que j'étais bébé. Bon, répondons à la question. Qu'est-ce que c'était déjà? … Je cherche mais je ne trouve pas. Bon sang, Bella, réveille-toi!
« Euh… »
Super! T'aurais pu dire quelque chose de plus intelligent! C'est pas comme ça que tu vas l'avoir dans ton pieu! Ah! Ne rougis pas, ne rougis pas. Ben voilà, je suis carrément devenue une pivoine. Ils ne font pas des pilules pour soigner les gourdes comme moi?
« Pilule! »
J'ai crié ça dans un effort désespéré pour rattraper mon euh lamentable mais finalement, je n'aurais pas du. Je vire au rouge cramoisi et lui, il a les yeux qui lui sortent des orbites. Ben quoi? J'ai l'âge, quand même! Faut qu'il arrête de me voir comme l'adolescente que j'étais quand je l'ai rencontré.
« Tu n'es pas très claire, tu parles de contraception, n'est-ce pas? »
J'en voulais pas mais… Tiens! Pourquoi pas? Vaut mieux prévenir que guérir. Autant faire d'une pierre deux coups. Bon, Bella, tu vas nous faire tous les proverbes?
« Euh…. Oui…. Je crois…. »
Vous voyez ces séries où quelquefois, le héros assiste à la dispute de ses deux mini-mois perchés sur ses épaules? Ben, là, la mini-moi démone est carrément en train de kicker la mini-moi introvertie. Et tout de suite, je me sens nettement mieux. Oui, je me redresse, croise une dernière fois mes jambes et commence à lui faire un sourire lourd de sous-entendus.
« En fait, je suis venue pour autre chose. Je… »
DRING DRING!
Quoi?!? C'est quoi, ces conneries? Moi qui avais enfin pris le dessus sur ma timidité! Edward – oui, je l'appelle Edward… dans mes rêves - décroche immédiatement le téléphone. Avoir un rendez-vous en privé avec lui c'est bien, même si techniquement, c'est une consultation, mais ça n'empêche pas des gros lourdauds d'appeler pour un conseil et de me gâcher ma tirade. Du reste, qu'est-ce que j'allais bien dire?
Je reste sagement immobile sur mon siège, fixant son visage pendant qu'il parle. Il possède des traits délicats et une bouche à se damner. Littéralement. Et ses mains! Elles gesticulent dans tous les sens mais je sais depuis longtemps qu'elles sont grandes et bien viriles; je suis sûre qu'il sait exactement comment faire pour faire jouir une femme rien qu'avec ses longs doigts fins. Je brûle d'envie de tester cette théorie.
De temps en temps, son regard vert se pose sur moi et c'est peut-être moi mais il fait chaud tout à coup! J'enlève mon manteau. Si j'osais, je ferais pareil avec mon haut mais ce serait sûrement un peu trop. Il continue à parler. Bon sang, qu'est-ce qu'il attend pour leur dire merde?
C'est pas que j'ai un train à prendre mais je m'ennuie, moi. Je commence à laisser mes yeux vagabonder un peu partout et je remarque un stylo tout nouveau. Je ne suis pas une maniaque mais celui-là, il est féminin. C'est bien ma veine! Il doit avoir certainement une femme dans sa vie. Qu'est-ce que je croyais! Et hop, KO la mini-moi diabolique. Place à l'auréole! Il raccroche enfin. J'ai quand même de la chance, j'aurais pu me couvrir de ridicule.
« Désolé, Bella. Faut toujours que ça arrive. Alors, tu disais? »
Rien du tout, plus maintenant mais sauvons la face.
« J'ai besoin de quelque chose contre les maux de tête. »
Purée, même moi, j'ai senti le changement de ton! Il l'a pas remarqué, hein? Oh et remettons ce trench. J'ai pas besoin de m'enrhumer en plus de ça. Il gribouille vite fait mon ordonnance. Quelle belle écriture il a, quand même. C'est rare pour un homme, qui plus est, médecin. Et me voilà à la porte.
Un combat fait rage en moi :
Tu es venue jusqu'ici pour ça???
Non, mais il a une femme qui lui offre des stylos rigolos ou pire, une fille.
Tu n'en sais rien, t'es encore en train de te dégonfler!
Non! Je suis lucide.
Foutaises!
Je dois être folle. J'arrive à me disputer avec moi-même. C'est incroyable. Et puis, alors que j'allais partir – le côté trouillard avait fini par gagner - je sens un courant d'air derrière moi.
« Bella! Qu'est-ce que tu fais encore ici?»
Mince! J'avais oublié qu'il avait une caméra de sécurité dans son bureau. Même plusieurs, pour la salle d'attente en plus et ça me rappelle… Putain! Combien de temps je suis restée ici à cogiter?
« J'allais… ATCHOUM! »
Au moins, j'ai eu le réflexe de me couvrir la bouche. Et merde! J'ai une présentation demain, comment je vais faire?
« Entre, Bella, tu risques d'attraper encore plus froid.»
Ah oui mais non, j'ai pas envie, moi! Et pour quoi faire, d'abord? Et pourquoi mes jambes ne m'obéissent plus? Pourquoi elles se dirigent vers lui? Traîtresses!
« Et les autres patients?»
« T'as de la chance, y en a pas. Regarde sur l'écran-là. Personne, tu vois? Donc, en attendant que la pluie s'arrête, ça te donnera une chance de te réchauffer plutôt que d'attendre à l'entrée. »
Et pourquoi pas? Je commence à me détendre. C'est facile, il suffit de regarder Edward. Qu'est-ce qu'il est beau! J'aime son sourire. Je frissonne. Saleté de manteau. Je n'aurais pas dû écouter Alice et en prendre un plus chaud et confortable. Edward remarque que je tremble. Il se lève. Me dites pas que…?
Malheureusement, contrairement à mes rêves les plus fous, il ne contourne pas son bureau pour venir me réchauffer avec son corps. Au lieu de ça, il va vers la grande baie vitrée et ferme les rideaux pour éviter que le peu de chaleur ne s'évapore vers dehors, ou que l'air frais de dehors ne s'infiltre, à voir. Et il appuie sur quelques boutons. Sûrement la clim. Pfff… Je suis déçue.
« Ca va mieux, comme ça, Bella? »
« O…oui. »
Je suis une piètre menteuse. C'est notoire par ici. Pas facile d'habiter un petit patelin comme Forks. Les nouvelles se répandent ici comme du spray. Idem pour les rumeurs.
Il commence à s'approcher. Comme dans un film au ralenti. J'arrive à voir les moindres détails, tout. Son regard, la forme de ses lèvres, ses bras qui se balancent et ses hanches qui se meuvent avec élégance. Je suis excitée. Je sens ma culotte se couvrir de mouille et un seul frottement suffirait pour me faire gémir. Je n'ai plus froid. Au contrairement, j'ai tout le corps en feu. Si j'étais chez moi, je glisserais mes doigts en moi pour me soulager mais je ne peux pas. Pas devant lui. Ou… s'il me le demandait? Je me passe la langue sur les lèvres, les yeux ardents. Ses mains commencent à esquisser un mouvement et une feuille tombe. Zzou… Le film s'arrête.
Il se tourne et se penche pour ramasser le papier. Pouf, le film reprend. J'ai une vue imprenable sur ses fesses et là, je ressens le besoin impérieux de le sentir en moi. Lui ou quelque chose, n'importe quoi. J'ai envie de toucher son cul et de le palper.
Vilaine Bella reprend le contrôle. Je me lève et m'approche de lui. Il a conscience de ce que je fais mais il doit se demander ce que je fais. Moi aussi d'ailleurs, parce que Vilaine Bella agit indépendamment de ma volonté. Arrivée face à lui qui s'est relevé et m'observe en fronçant ses délicieux sourcils, elle ne perd pas de temps et se jette sur ses délicieuses lèvres.
EPOV
D'abord interloqué, je réponds à son baiser avec ferveur. Ca a l'air de la ravir car elle se met à gémir et à se frotter contre moi. Je bande comme un taureau et le lui fais savoir.
Putain, ça fait des années que je fantasme sur elle et que je masturbe en pensant à elle et à toutes les choses qu'elle me ferait avec sa petite bouche appétissante. La première que je l'ai vue, c'était quand mon père recevait ses clients pour les informer que je reprenais son cabinet. Je sortais tout juste de l'école de médecine, j'avais une petite-amie superbe, Tanya mais quand j'ai vu cette fille, presque-femme de 16 ans qu'était Bella, Tanya était effacée. Je ne crois pas au coup de foudre et sur l'instant, je me suis dit que c'était juste du désir et que ça partirait. Sauf que deux soirs après, alors que j'étais en train de jouir en Tanya, j'ai crié le nom de Bella. Pas une fois, pas deux fois, des dizaines de fois et ni une, ni deux, Tanya a pris ses cliques et ses claques et a dégagé avec Riley, mon ex-colocataire. Et Bella n'a jamais quitté ma tête ni ma queue. J'ai eu d'autres aventures mais c'est son nom que je criais et aujourd'hui, c'était enfin le jour où j'allais goûter de sa chatte.
Elle parcourt mon dos avec ses petites mains dont j'ai longtemps rêvé qu'elles m'enserrent les boules et je prends ses seins à pleines mains. Elle ne porte pas de soutif! Elle gémit :
« Oh oui, Edward, c'est bon! »
Ce qui est encore meilleur, c'est le son de sa voix rauque, pour moi. L'effet que ça produit est encore plus fort qu'un porno avec deux lesbiennes. Et là, encore plus fort, elle prend une de mes mains et la porte directement sous sa jupe en me faisant pénétrer en elle.
« Putain, Bella, tu es si mouillée! »
Ca m'excite encore plus, surtout qu'elle bouge son bassin et me fait m'enfoncer plus en elle. C'est divin! Lentement, je commence à réagir, à imprimer des mouvements de va-et-vient. J'ai eu une bonne idée d'insonoriser la salle car Bella se révèle être une crieuse et j'aime ça. Je retire d'elle ma main. Elle grogne.
« Ne t'inquiètes pas ma belle, je vais revenir très vite te fourrer.»
Vraiment très vite, car elle me fixe avec un regard qui me rend fou et sa main gauche commence à disparaître sous sa jupe. Elle ferme les yeux et elle recommence ses petits cris en m'appelant.
« Oh oui, Edward, je suis sûre que je ne fais pas honneur à ta queue avec mes petits doigts. »
Oh mon Dieu! Elle est en train de se toucher devant moi, en pensant à moi. C'est la chose la plus érotique que j'ai vue!
Sans plus attendre, je balaye mon bureau du revers de mon bras et fais tout tomber sur le sol. Vous ne croyez quand même pas que je vais la regarder comme ça sans participer?
Je me précipite en courant presque vers elle et la prend dans mes bras, le regard noir de passion. Elle sourit narquoisement. Cette femme-là, elle veut ma mort. J'en peux plus. Je dois l'avoir ou je vais carrément imploser là, tout de suite.
Elle comprend ce que je veux et d'elle-même, s'assit sur mon bureau, face à moi, en écartant ses jambes divines. Je me faufile entre elles et conquiers sa bouche.
A MOI, A MOI, A MOI… Non, elle ne m'appartient pas? Alors, je dois la faire mienne.
Je soulève sa jupe et lui arrache sa culotte. Pas très élégant mais elle me rend fou. Je ne lui demande pas son avis et j'insère directement en elle trois doigts. Elle s'arque en se mordant la lèvre inférieure. J'aime ça. Je lui pelote les seins à tour de rôle et en même temps, j'explore son intimité. Elle est chaude et plus qu'humide. J'ai envie de la goûter, de savoir si elle a une saveur sucrée, ce que j'adore, ou salée, là ce serait un petit problème mais bon, ce n'est pas le principal. Je guide ma langue vers ses lèvres intimes. Elle en frémit d'anticipation et ses mains se plantent dans mes cheveux, farfouillant et encourageant ma tête à s'approcher de son entre-jambe. Je n'avais pas besoin de plus pour plonger ma langue directement dans son trou. Le truc, c'est que je ne m'attendais pas à ce qu'elle s'arque en criant mon nom parce que là, c'est officiel, je ne peux pas débander à moins qu'elle ne me donne un coup de pied dans les couilles.
Je plonge encore et encore, en chatouillant de mes doigts ses lèvres et son bouton magique. Il n'en faut encore pas beaucoup avant que sa chatte ne déverse tout son jus dans ma bouche gourmande. Tel un chaton, je lape consciencieusement tout ce qu'elle me donne en n'arrêtant pas mes caresses osées. Je la regarde du coin de l'œil et son visage en extase achève de me faire perdre complètement mes sens. Sans réfléchir (et pourquoi le faire quand on a devant soi une telle merveille?), je me jette avidement sur son entrée. Je ne me lasse pas de la lécher et d'aspirer son clitoris.
D'ailleurs, Jessica, une de mes ex-conquêtes m'a appris un truc. J'applique alors le truc en question. J'entoure de mes lèvres son petit bouton magique et j'aspire en faisant des va-et-vient, comme si elle, elle me suçait. La réaction ne se fait pas attendre. Elle halète, gémit et commence à crier de plus en plus fort. Je continue de plus belle. Elle se touche les seins avec un regard qui veut dire " regarde ce que tu me fais, bébé" et oui, je regarde. A ce stade-là, je suis plus qu'excité, je suis en rut. Elle a intérêt à me donner autant de plaisir car je suis animal. Je me retiens pour ne pas la mettre à poil et la prendre sauvagement sur le bureau. J'aspire plus fort et plus vite comme si ma vie en dépendait.
« OH OUI, EDWARD! OUI! »
Oh douce récompense, viens là que je te dévore! J'aime son jus, il est sucré et envoûtant à souhait. Après s'être remise de ses émotions, elle se redresse et espièglement, se baisse devant moi, sur ses genoux. Oh divine tentation à laquelle je succombe mille fois! Elle défait ma ceinture et me baisse le pantalon. Elle écarquille les yeux. Oui, je fais toujours cet effet-là. Je sais que je suis bien bâti et elle va tâter de mon bâton. Ma queue se dresse fièrement devant elle et frétille d'anticipation. Elle ouvre grand la bouche, manquant ainsi de me faire défaillir de joie et elle me prend entièrement dans sa gorge. Oh ma Bella, tu es une déesse! Elle me suce et la partie de ma bite qui ne peut pas entrer dans sa merveilleuse et chaude bouche, elle la prend de ses deux mains et la branle. Elle lèche, elle aspire, elle me pompe tout le pré-sperme avec ses yeux de braise et, alors que je me vante d'être résistant et endurant pour tenir des heures avant d'éjaculer, je sens mon engin prêt à déverser tout son foutre dans sa bouche. Déjà?! Oui, déjà, qu'il me répond. Vous ai-je déjà dit que mon pénis pense par lui-même? Il a même décrété qu'on devait l'appeler Dr Cul'. Oui, c'est un jeu de mots. J'essaye de me retirer d'elle mais elle me la tient fermement et je n'ai pas tellement envie de quitter un endroit aussi agréable et confortable. C'est qu'on s'y fait vite, à sa chaleur! Elle imprime ses mouvements en accélérant la cadence. C'est assez pour me faire décoller.
« PUTAIN, BELLA! AVALE CA! »
Je sais que je devrais avoir honte de dire ça et de pousser sa tête pour qu'elle enfonce ma queue encore plus dans sa gorge. Normal Eddie est rouge de gêne mais Sexy Eddie, lui, est en train de jurer par tous les diables et se lâche complètement. Je ne regarde pas Bella, occupé à déverser ma semence et à lui faire avaler. Esmé serait fâchée de voir que le gentil et gentleman Edward se transforme en… ça. Oups, c'est le mauvais plan, ça, de penser à sa mère en plein orgasme. J'ai vite fait de retomber direct sur terre. Je jette enfin un œil sur Bella. Elle n'a pas l'air offusquée par mes dernières paroles. Au contraire, elle s'est exécutée sans fléchir et elle est en train de donner des derniers coups de langue pour finir de nettoyer mon engin fou.
« Tu as aimé, bébé? »
Elle ose me demander ça?!?
« Putain, Bella, c'était le paradis. »
Sexy Eddie adore jurer pendant le sexe. Elle se relève et je la renverse sur le bureau. Tant pis pour les patients qui attendent derrière la porte, s'il y en a, moi, j'ai mieux à faire. Sa chemise valdingue à l'autre bout de la pièce, se posant directement sur le cadre photo qui représente ma famille. Putain, j'avais pas réalisé qu'ils me regardaient. Mais plus maintenant, Dr Cul' chantonne.
Elle ouvre ma blouse, aussi fébrile qu'un lendemain de Noël et se lèche les babines après avoir balancé mon t-shirt. J'ôte mon pantalon sous ses yeux arrondis et brillants de désir.
« Enlève ta jupe. »
Elle a l'air d'apprécier mon ton autoritaire. J'entends l'intérieur de ses cuisses. Ploc. Ploc. Ce n'est plus de la mouille à ce stade-là, c'est un torrent. Rien que pour moi. Je me délecte de savoir l'effet que je produis sur elle. Elle m'appartient.
« Replie tes jambes et écarte-les, que je puisse voir ton adorable petit trou. »
Juré, je n'ai jamais été aussi vulgaire mais Bella n'est pas comme les autres femmes, c'est mon fantasme devenu réalité, mon jouet personnel, ma petite chose à moi. Malléable et souple à souhait. Jamais vu de cuisses aussi fermes et désirables. Je sens que Sexy Eddie va totalement se libérer sans qu'elle ne veuille le limiter. Au contraire, Sexy Bella aime ça.
« Et maintenant, je vais te baiser à coups de butoir et te faire crier jusqu'à ce que tu n'aies plus de voix. »
Et je pense chacun des mots que je viens de sortir. Mais d'où me vient cette confiance absolue en Dr Cul'? Peu importe. Je prends sa langue avidement. Il y a des hommes qui n'aiment pas embrasser la femme quand elle vient d'avaler leur sperme. Moi, je trouve que c'est hypocrite car les femmes, elles ne posent aucune objection lorsque l'homme qui vient de lui lécher la chatte veut un baiser. Au contraire, elles s'y adonnent avec plaisir. Enfin, je dis ça, mais moi, c'est ce que j'ai toujours connu. J'aime embrasser, surtout Bella, après qu'on m'ait aspiré la queue. J'aime lorsque nos fluides se mélangent, que ce soit en haut ou en bas. Ca m'excite de pouvoir lui faire goûter son propre jus tandis que je bourrine encore et encore son intimité.
Elle referme ses jambes autour de ma taille et me la serrent contre elle. Elle plante ses griffes dans mon dos et se révèle une vraie tigresse. Sa mouille se déverse sur mon sexe planté en elle.
« Tu es si étroite, Bella! »
Ses phrases sont incohérentes, elle halète bruyamment. J'espère que je ne l'écrase pas. Elle soulève ses fesses en s'arquant contre mon torse. Je ne résiste pas à l'envie de prendre son petit cul en main et de la plaquer contre mon pénis. Elle me mord l'épaule mais dans le feu de l'action, je ne m'en rends pas compte.
« OUI, EDWARD!... TROP BON…. CONTINUE…. »
Elle m'encourage du mieux qu'elle peut mais je sais qu'elle est proche de sa jouissance. Je sens déjà ses murs trembler autour de ma verge alors je vais encore plus vite et encore plus fort, la faisant crier à m'en assourdir mais je m'en fiche. Au contraire, savoir que je la mets dans cet état me fait perdre la tête et je m'enfonce toujours plus loin, en serrant ses fesses de toutes mes forces et avec une main que je plaque au bas de son dos, je l'amène contre moi. Nous fusionnons littéralement, nos corps ne font plus qu'un. Elle s'arque encore plus et elle crie mon prénom extatiquement.
« PUTAIN, BELLA, PRENDS CA! »
Normal Eddie n'a pas honte. Encore moins quand il entend Sexy Bella crier après lui.
« OUI, EDWARD, DONNE-MOI TON FOUTRE! »
Sexy Edward adore entendre Bella proférer des obscénités pendant le sexe. C'est jouissif et très vite, je retapisse copieusement le fond de son minou en m'affalant complètement sur elle, heureux, vidé d'énergie mais repus de bonheur.
BPOV
J'aime sentir le corps d'Edward sur le mien. J'aime la sensation froide de son bureau sous nos étreintes. Mais ce que j'aime le plus, c'est l'entendre crier mon prénom alors qu'il est en moi.
Vilaine Bella est aux anges, combien de fois elle a rêvé qu'Edward la culbute sur ce bureau? Et elle avait raison, il sait véritablement faire jouir rien qu'avec ses doigts. Elle a déjà envie de recommencer et Gentille Bella, ben, elle se demande si elle a bien fait de laisser les commandes à Vilaine Bella. Non, elle ne regrette pas ce qui s'est passé mais c'était si intense et Edward est si sexy quand il jure comme ça pendant l'action, c'est orgasmique.
Si j'avais su, quand j'étais avec Peter, j'aurais demandé à expérimenter ça. Moi qui n'aime pas la grossièreté, je découvre que c'est excitant dans la bouche d'Edward. Oh oui, sa bouche… Hum… Je me remets à fantasmer tout haut en caressant la nuque d'Edward tendrement.
Je remarque qu'il joue délicatement avec les mèches de mes cheveux et qu'il arbore un sourire coquin. Il a envie de recommencer, lui aussi. Il m'embrasse doucement, j'aime le contact de sa langue avec la mienne et avec n'importe qu'elle autre partie de mon corps. Putain, je sens qu'on va encore maculer son bureau et je n'ai même pas honte, au contraire, j'en salive d'avance.
Il le sent autant que moi et nous repartons lentement mais sûrement dans notre ballet érotique.
« Je ne regarderai plus jamais ce bureau de la même manière. »
Je ne réponds pas. Pas la peine. Il sait que je suis d'accord.
AN : Vous avez aimé l'entrée en matière? Alors, faites-le moi savoir! La parution des chapitres se fera en fonction de l'enthousiasme que ça peut susciter et bien sûr, après que j'ai fini ESSN.