Je me lance dans ma première fic. Je ne sais pas trop ce que ça va donner, je n'ai jamais essayé d'écrire avant.
L'orthographe ce n'est pas trop mon truc, désolé d'avance pour les fautes.
Bonne lecture.
Chapitre 1 : Sauvetage
Edward POV
Il est 0h10 un samedi soir. Jasper et Emmett, mes deux meilleurs amis, m'ont traîné de force dans un bar pour une « soirée entre mecs » comme ils disent. Ils m'ont soutenu que ça me changera les idées. Tout ce qu'il m'aiderait, et qu'ils n'ont pas l'air de vouloir comprendre, c'est qu'on me laisse tranquille.
Je viens de rompre avec ma copine. Un soir, en rentrant à la maison, je l'ai trouvé dans le salon avec ses valises. Sur le coup, je n'ai pas compris. Je suis resté planté là, au milieu du salon, à la regarder. Elle m'a annoncé qu'elle était enceinte … d'un autre et qu'elle partait le rejoindre.
Je me suis à peine rendu compte qu'elle était partie. Pendant 2 bonnes heures, je n'ai pas bougé, j'étais comme tétanisé. Je savais très bien depuis le début qu'entre elle et moi, ça n'irai pas très loin. Ce n'étais pas celle avec qui je me marierai et aurai des enfants, c'était sur. J'avais des sentiments pour elle bien sur sinon je ne serai pas rester avec elle 2 ans.
Ce genre de nouvelle fait un sacré choc. Ce n'est pas le faite qu'elle m'ai quitter (même si je tenais à elle) le plus douloureux. Je crois que le sentiment de trahison est le pire. Non seulement elle m'a trompée, mais elle a fait un enfant avec un autre. Elle n'a même pas eu le cran de me dire qu'elle en aimait un autre. Elle a préféré attendre qu'elle soit obligée de m'en parler. Parfois je me dis que si elle n'était pas tomber enceinte, cette situation aurait pu durée longtemps. Je savais qu'elle n'était pas du genre fidèle mais je m'étais fait une raison.
Je crois qu'on était trop différent. Elle, si expansive et délurée, rien ne lui faisait peur. Moi, si introverti et solitaire. J'aime passer mon temps libre à jouer du piano ou à écouter de la musique, elle s'était plutôt shopping et boite. Bref quand j'y pense, il n'y avait aucune chance que ça marche entre nous.
Malgré ces évidences, je n'arrivais pas à m'en remettre. Ça me fait mal de l'avoué mais je pense que mon amour propre en a prit un sacré coup dans cette histoire et que c'est de là que vient le problème. J'avais rien vu venir mais peut être que je n'avais rien VOULU voir venir. Tout le monde essaye de me remonter la morale et c'est encore plus dur à supporter dans ces moments là.
J'étais en train de marcher dans la rue pour rentrer à mon appartement quand j'entendu un bruit pas très loin de moi. On aurait dit que quelqu'un pleurait. Je tente de trouver la source de ces pleurs à la faible lueur des lampadaires. La rue était déserte. Mince, je n'ai pas rêvé quand même ! C'est là que je remarque une petite ruelle, situé entre deux immeubles, dépourvu d'éclairage. En m'approchant de cette dernière, les pleures se firent plus fort. Je crois que je suis sur la bonne voie. La faible lueur de l'éclairage de la rue ne me permettait pas de distinguer grand-chose. Je décide donc de m'avancer un peu.
- Il y a quelqu'un ?
Les pleures s'arrêtèrent, un crie de surprise venant rompre le silence momentané.
En m'approchant, je distingue une forme au sol. Une personne est assise, dos contre le mur. Je m'approche de cette personne et m'accroupi à ces côté. Son visage est posé sur ces bras croisés sur ses genoux. Malgré ça, je distingue grâce à la faible lueur des réverbères de longs cheveux de chaque côté de sa tête. C'était donc une femme. Un sentiment de tristesse m'envahit devant cette femme, là, si fragile, si seule, si désespéré.
- Qu'est-ce qu'il vous arrive ?
À l'annonce de ma question ses pleures reprirent. J'ai le sentiments que je n'aurai pas du poser cette question. Je décide donc d'engager la conversation sous un autre angle :
- Laissez-moi vous raccompagner chez vous.
Elle relevant soudainement la tête. Elle me regarda avec des yeux terrifiés.
- Non, non, je peux pas y retourner, il ne faut pas que j'y retourne, me dit-elle en pleura de plus belle.
Une forte pluie se mit à tomber. Il fallait trouver une solution. On ne pouvait pas rester là et il est hors de question que je la laisse seule vue l'était dans lequel elle est.
- Vous avez de la famille ou des amis chez qui aller ?
- Non, je n'ai personne. Je suis seule, toute seule.
Bon. Que vais-je faire d'elle ? De la voir comme ça me brise le cœur. Soudain j'eu une idée, c'est un peu la seule que je vois d'ailleurs.
- Je … je peux vous héberger pour la nuit et demain on cherchera une solution, d'accord ?
Elle ne répondit pas tout de suite, elle devait hésiter.
- Je …je sais pas, je …
Elle se remit à pleurai. Je lui prit délicatement le bras et l'invita à se lever en tirant doucement sur son bras. Elle ne résista pas et se leva sans discuter. Elle avait du mal à tenir debout. Je passai un bras autour de sa taille pour la soutenir et elle s'agrippa à moi. Nous marchons comme ça jusqu'à mon appartement qui se trouve à deux rue de là, heureusement !
Une fois chez moi, je pus mieux l'observer à la lumière du salon. Elle était trempé à cause de la pluie (très certainement comme moi). Sa joue droite était marquée d'un bleu et sa tempe gauche saigné. La coulé de sang s'étalait sur tout le coté de son visage, continuant jusque dans son cou. Sa peau était sale, elle avait du passer un bout de temps dehors, la pauvre !
- Mon dieu, vous êtes blessé !
- C'est … c'est rien.
- Laissez moi jeter un coup d'œil.
Je m'approche d'elle mais elle recule, l'air effrayer.
- N'ayez pas peur, je ne vous veux aucun mal.
Elle sembla se détendre un peu et me laissa l'examiner. Sa blessure était peu profonde.
- C'est rien de grave Les blessures a la tête saigne beaucoup.
Nous nous observâmes un moment. Je la vis frissonner.
- Vous voulez prendre une douche ? Vous allez attraper froid comme ça. Après je soignerai votre blessure.
Elle accepta d'un hochement de tête.
Je lui montre la salle de bain et je lui donne un de mes pantalons de jogging et un de mes tee-shirts pour qu'elle puisse se changer.
Pendant qu'elle se douche, je vais m'asseoir sur le canapé et allume la télé. Je zappe pendant quelque minutes puis je trouve une rediffusion d'une émission sur les fast-food. Rien de mieux je fait avec.
Je me demande ce qui a bien pu lui arriver. J'ai comme l'impression qu'elle a vécu quelque chose de difficile. Elle semble terroriser. Je envie de l'aider et de la protéger. En tout cas je ne la laisserai pas tomber. Il faudra que je fasse attention à ne pas la brusquer. Point important : ne pas insister si elle ne veux pas me parler de ce qui lui est arriver. Il est préférable de lui laisser le temps pour qu'elle vienne me parler d'elle-même.
J'entendis un bruit derrière moi. Je me retourne et je la vois, là, debout au milieu du salon. Je la vois enfin vraiment. Elle est très belle. Ses longs cheveux bruns mouillés collent dans son cou. Son teint est très pâle et je remarque que ses yeux sont un peu rouges et gonflé à force d'avoir pleuré. Elle semble très menue et encore plus dans mes vêtements 10 fois trop grand pour elle, elle nage littéralement dedans ! Ses pleurs s'étaient calmés mais son visage reflétait une profonde tristesse.
- ça va mieux ?
- Euh … oui merci.
- Viens t'asseoir, je vais chercher de quoi te soigner.
Elle hésita une seconde avant de venir s'asseoir. Je partis donc chercher le désinfectant, les compresses et le nécessaire pour lui faire un pansement. J'en profite pour prendre une couverture dans mon armoire.
Quand je revint, elle sembler songeuse, les yeux perdu dans le vague.
- Euh …je t'ai pris une couverture au cas ou tu aurais froid.
Elle avait sursauté quand j'avais parlé. Elles semble vraiment avoir peur de quelque chose, mais quoi ?
- Merci, c'est gentil.
Je m'assit à coté d'elle sur le canapé et entreprit de nettoyer sa blessure à la tempe.
- Voilà, c'est fini.
- Merci.
- Tu veux regarder un peu la télé.
- Oui, je veux bien.
Elle s'emmitoufla dans la couverture et se pelotonna dans le canapé.
Au bout de quelque minutes, je la regarde et voit qu'elle s'est endormie. Elle devait être épuisé la pauvre. Elle semble si paisible, toute trace de tension effacée de son visage. Son bleu à la joue était bien visible, elle a du prendre un sacré coup. Il serait peut être préférable de l'emmener faire des examens demain pour voir si elle n'avait rien de grave. J'ai comme dans l'idée que ça va être dur de la convaincre !
Ça ne doit pas être confortable de dormir dans la position dans laquelle elle est. Je la pris délicatement dans mes bras pour éviter de la réveiller et l'emmène jusqu'à ma chambre. Je la couche dans mon lit et la couvre bien avec la couette pour ne pas qu'elle attrape froid.
Je la laisse dormir et retourne au salon. J'entreprit de déplier le clic clac et me coucha dedans. Je sombre difficilement dans la sommeil, l'image de cette fille aussi dévastée me hanta un bon moment.
J'espère que ça vous à plus ou au moins que c'était pas trop nul.
Ce premier chapitre est du point de vue d'Edward mais ça sera probablement le seul. Le deuxième chapitre est déjà tapé mais je ne sais pas encore quand je vais le poster, certainement avant une semaine.
À bientôt.