Auteur : Moi, bande d'ignare (je wigole =p) donc Ayumi no Requiem
Disclaimer : Ranamoua, tout à Akira Amano Kami-sama que je n'aime et que je n'adore. En fait je veux bien Tsuna… Siouplééé ? *^*
Très important (ou pas) : Donc, ceci est une histoire parlant de mecs, qui aiment des gens. Malheureusement pour eux (et bienheureusement de mon côté), ces gens en question sont des hommes eux aussi… oui « zOMG mais saytorib ». Si tu veux pas voir ça, va regarder des Doujins Chrome/Tsuna (parce que Tsuna c'est le bien) ce sera quand même mieux pour toi. Après, tu peux toujours lire mon œuvre d'art (*tousse tousse*) qui te fera surement changer d'avis sur ce point (*TOUSSE TOUSSE*) et tu me vénèreras pour l'éternité (attention, propagande ! Danger danger). Non, saytune blague, lol, mdr, ptdr et tout le tintouin. Brefouille, je risque de parler crument (c'est pas français Oo) et peut-être même que y'aura un Lemon… ouais, chassez le naturel blablabla U__U
Note de l'auteur, c'est-à-dire moi, on est content, les oiseaux sifflouillent et attendez je vais chercher ma carabine : Donc ceci (je répète mon début, pas original, pas bien) est ma première fic, c'est tout pourri et ça sent le champignon moisi, mais comme j'ai envie de partager ma passion de Reborn et que je trouve que le all/Tsuna n'est pas très populaire (en même temps, y'a pas énormément de fics sur Reborn en français __) et ben voilà ! Oui, je suis d'une éloquence sans failles. Donc en fait, pas de pairing précis, mais on sait jamais, JE sais pas, j'écris au feeling (oui, ôrage, pluie, tempête, nuage, brouillard, soleil et cieux, ce sont les sept attributs de… oups) donc pardonnez mon subconscient, et mon laxisme aussi. Je suis ici pour m'améliorer et pour vous faire partager mon n'amour (eeeh ! pas question que je partage Tsuna !) pour ce manga (muahahaha !). Considérez ce premier chapitre comme une introduction (d'un doigt dans le charmant postérieur de… *sbaaam*) Crétin de subconscient ! Passons. Donc une introduction à mon univers de cinglée. Enfin bon. L'histoire que j'ai en tête se mettra en place plus tard, si vous le voulez. Sinon, ça peut toujours rester un OS oublié parmi tant d'autres. Excusez les fautes d'orthographes, je suis pas bien forte. Bonne lecture ! (ou pas)
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Chapitre I
Réveil difficile (ou pas)
POV Hibari : (c'est-à-dire que c'est Hibari qui parle, on sait jamais ^^)
Le réveiller. Le gamin (ce n'est plus un bébé maintenant, le temps passe…) m'a demandé de le réveiller. Je suis quasiment certain qu'il l'a fait exprès. Il doit le savoir, il sait beaucoup trop de choses. Comme si voir l'herbivore en pleine forme n'était pas assez fatiguant. Fatiguant ? Crevant oui ! Avec ses exaspérants sourires d'excuse, ses grands yeux qui dévoilent tous les sentiments qui passent dans son cœur, comment voulez vous que je sois serein ? Oui, parce qu'en plus, il fait ça sans avoir conscience que ça me rend… J'ai encore du mal à l'admettre. Les battements de cœur, et ça se durcit si vite, si fort, que j'en deviendrai fou. Six ans que j'endure ça, et je crois m'être rendu compte que ce n'était ni de la haine, ni de la colère à cet instant. Quand il s'est jeté devant moi en me demandant de ne pas tuer cet espèce de clown illusionniste. Quand j'ai vu son regard suppliant, ses lèvres entrouvertes, ses mains qui tremblaient sur mes avant-bras, trop d'images m'ont assailli. Et ce n'était pas franchement des plus saines à son égard. Il m'hypnotise, me fascine, je suis chacun de ses mouvements avec plus d'attention qu'il n'en faut.
Curieusement, même là, endormi, Sawada ressemble à un animal faible et sans défense. Pourtant je l'ai vu. L'autre. Celui qui a un regard froid, déterminé, une voix grave et sensuelle, des mouvements rapides, précis. C'est cet herbivore, leur « boss », le « parrain », celui qui domine. Et moi, l'invincible, le Dieu vivant (non, mes chevilles s'en portent très bien) Hibari Kyoya, je suis réduit à l'état larvaire quand il sort de la douche, ayant oublié notre réunion de gardiens, à moitié débraillé et les cheveux humides. Comment réagir ? J'ai bien remarqué, je suis loin d'être le seul dans ce pitoyable cas. Ils ont tous les yeux rivés sur sa peau blanche, quand sa langue vient humecter ses lèvres pendant ses discours, ce n'est pas une, mais six paires d'yeux qui la suive. Je pourrais même saisir le désir dans cette atmosphère pesante. Et moi, ça m'énerve de les voir le coller ainsi. Ne le touchez pas. Il est à moi.
Mais là, c'est moi, moi et moi seul qui me trouve dans la chambre de Sawada. Face à lui. Je le regarde. Il est sur le dos, son tee-shirt remonté à la taille, laissant voir son boxer et ses fines jambes. Sa bouche laisse passer un mince filet d'air (et de bave ? Non je dois rêver), et là, il gémit. Doucement. Comme dans mon rêve d'hier soir où il… Enfin… Mais dans mon rêve, il ne fronçait pas les sourcils. Ce doit être un cauchemar. Alors je m'assois là, au bord du lit. Et je laisse ma main partir se balader dans ses cheveux. Je crois qu'il apprécie la caresse. Il bouge se tête doucement contre ma main. C'est pas possible, il le fait exprès là ! J'en suis sûr ! On dirait un chaton, un petit chaton sans abri. Oui, j'aime les animaux, et alors ? En plus, un chat c'est indépendant… Ma main descend alors dans sa nuque, et continue ses petits mouvements circulaires. Il a l'air détendu. Je descends alors le long de sa colonne vertébrale, sous le tee-shirt, et il se tortille un peu. Et, juste au moment où j'arrive à la limite de son boxer, là où se terre le Paradis Perdu, un hurlement perce mes oreilles.
« Bordel de merde !!! Mais tu fous quoi là au juste ? Connard ! Enlève tes mains du Juudaime !! »
Je pose mes yeux sur l'inopportun qui m'a déragé à ce moment précis, et les paupières de l'herbivore se mettent doucement à papillonner. Je lance alors à Hayato Gokudera, qui d'autre oserait me déranger (à part cet énergumène à tête d'ananas), mon regard-qui-veut-dire-que-tu-vas-mourir-dans-les-trentes-secondes-suivantes-alors-fait-ta-prière numéro trois, l'un des plus terribles (muahaha, je suis vraiment un démon). Et ça à l'air de marcher, il flanche un peu. Ah, il me relance un regard méchant à faire pâlir un enfant de maternelle. Bon, ça n'a pas marché. Passons aux menaces, peut-être qu'il comprendra :
« Le gamin m'a demandé de le réveillé, donc je le fait à ma manière, si tu as un problème, je serai ravi de t'éclater ta tête contre le sol, dis-je d'une voix calme et pleine de promesse de mort (je suis génial)
- Il t'a demandé de le réveiller !! Pas de lui tripoter le cul avidement !!! » Se met-il à hurler et ses yeux ne lâchent pas ma main toujours sur le dos de son adoré.
Bon, il ne comprend pas. Un sourire se forme sur mon visage. Oui, elle est bien, là, ma main. C'est chaud. Par contre, le petit herbivore s'est totalement réveillé maintenant et il a l'air gêné.
« Euh, Hibari-san ? Excuse moi, mais… J'aimerai… Me lever…, dit-il, rougissant comme une pivoine
-Pourquoi, ma main te déplait, à cet endroit ? »
Mon regard doit parler pour moi, car il rougit plus encore. Alors, pousser par une certaine envie de marquer mon territoire, je me mets à passer les doigts sous son boxer et je foule la Terre Interdite (non, je ne vais pas pisser contre lui, j'aime les animaux, mais pas à ce point). Sa peau est douce, lisse, je la sens sous mes doigts et je suis plus excité qu'à l'ordinaire. Les yeux de l'autre ahuri, là-bas, s'ouvrent en grand. Je passe alors ma main en dessous de cette barrière de tissu, tout à fait, et Sawada se mord la lèvre. Je crois qu'il me demande de l'enlever. Il me supplie. Je bande comme un malade. Ca me fait tellement mal que j'ai envie de le prendre là, maintenant, tout de suite, même si je doute que le gardien de la tempête me laisse faire, vu qu'il se jette sur moi en hurlant. Ma main doit alors, malheureusement, quitter le postérieur de l'appel-au-viol pour agripper le col de mon « agresseur » et le plaquer contre le mur.
« On t'a jamais appris à respecter les bons moments des autres ?, je sens la colère monter en moi, je vais en faire ...
- Co… Connard ! LE JUUDAIME NE T'APPARTIENT PAS, DONC TU NE LE TOUCHES PAS ! » Me crache-t-il l'air aussi haineux que moi.
Et là, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase, je lui assène un coup de tonfas dans le ventre. Il se plie alors en deux et je lui envoie mon coude dans le haut du crâne. Il s'écroule, ou presque, se tenant au mur. Il ne peut pas se battre au corps-à-corps, cette grande gueule. Je lui envoie alors mon pied dans le ventre, mais il est arrêté par un dos de lame.
« Takeshi Yamamoto, enlève immédiatement ton katana de là, où je te le ferai regretter » Je suis méchant, vous le saviez ?
- Je suis ton adversaire » est la seule réponse que j'obtiens. Ses yeux sont froids et noirs. Il a surement compris ce que j'avais fait, et en plus il n'aime pas que je me batte avec les autres… Quel con.
- Alors comme ça, il suffirait que le Vongola m'appartienne pour que je puisse le toucher comme bon me semble ? Plutôt intéressant » Cette voix… Il rit après… Ce rire… Ma colère grimpe encore… Rokudo Mukuro, comment Sawada s'est-il débrouillé pour le libérer ? Et pourquoiii ?
- TOUCHE PAS A SAWADAAAAAA !!! Il doit entrer dans le club de Boxe, il doit rester vierge de… par-là » le débile de service a parlé. Je vais le tuer lui aussi, ça nous fera des vacances.
Après un instant de silence où nous nous foudroyons tous du regard, on se jette les uns sur les autres. Je ne sais pas qui je frappe, mais chaque coup donné fait jaillir du sang, des hématomes apparaissent, des gémissements sortent. Je sens que je saigne, moi aussi, mais qu'importe, la douleur aiguise mes sens. Je vais tous les tuer.
Quand soudain…
Un éclair passe au milieu de nous. Pas un éclair. Ca brûle. Une flamme. Sa flamme. Nos regards se dirigent vers lui. Il se tient devant nous. Il s'est habillé entre temps, vite. La tête baissée, les cheveux recouvrant légèrement ses yeux, il tremble… De rage et de colère contenue… Il explique alors, calmement, en totale opposition avec son allure :
« Ecoutez, nous avons déjà assez de problèmes comme ça, si en plus vous vous battez entre vous, ce n'est pas fini. » Sa tête se relève, et c'est l'autre que nous voyons. Une lueur indéchiffrable passe dans ses yeux « Pour quoi vous battez vous ? » un sourire « Pour ça ? » il passe une main gantée sous sa chemise mal fermée et se caresse le ventre. Son visage se détend un peu. Mon regard ne se détache pas de cette main, ni de ce ventre pâle. Sa voix me fait alors sursauter, et je remarque que je ne suis pas le seul à être en transe « Ou bien ce que vous cherchez est… Plus bas ? » Un doigt déboutonne alors son pantalon. D'une manière souple, ce doigt passe au travers de toutes les barrières. Les seules choses que l'on peut voir sont les mouvements présumés de ce tortionnaire sous les couches de tissus et la bosse qui commence à apparaitre. Je suis hypnotisé. Totalement. Je veux le faire. Je veux passer ma main là et… Je bande encore, moi aussi. Il rit de son stratagème « J'ai l'impression qu'il apprécie beaucoup que vous le regardiez comme ça. Vos regards le rendent dur. C'est mignon. »
Soudain, un cri se fait entendre, brisant mon moment de viol inter-cérébral de Sawada. Qui ?
« Lambo est dans la plaaaaaace !!!! Et ben… Les vieux, pourquoi z'êtes tous silencieux ? On accueille Dieu comme il se doit siouplé !»
Dommage, c'est un manque de chance pour ce petit. L'autre a enlevé ses mains du corps de Sawada, qui revenu à lui perd un peu les pédales et bredouille un « je vais… Papiers… (Non, pas un Kleenex pour faire ce qu'il doit faire, bande de tordues, il a du travail) » En quittant la pièce précipitamment. Le petit bovin se retrouve alors face à cinq gardiens de fort méchante humeur. Je crois qu'on s'est tous mis d'accord. Je n'aime pas faire les choses en groupe. Mais je dois me venger. Paix à son âme.
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Bon voilà. Qu'en avez-vous pensé ? Bien ? Pas bien ? Que j'aille brûler en enfer avec mes idées à la noix ? Bon bon bon…
Je demande simplement une petite review *^* (et je VEUX m'améliorer x)
ShiroAyu (le jour)