Note de l'auteur : Alors je commence avec un merci a Tata Chris qui m'a encore aide puis je vous préviens que ce chapitre et rate : M donc c'est un lemon avec Slash donc qui n'aime pas ou est trop jeune pour le lire et bien ne le fasse pas.
Jack : (en plaquant Ianto contre le mur) Tu sais que tu as été un méchant garçon pendant cette semaine.
Ianto : (d'une voix suave) Oui, un très très méchant garçon, qui sera content de se laisser punir si tu capitules et avoues que j'ai gagné mon pari.
Jack : Jamais.
Ianto : (en faisant mine de s'en aller) Bien, alors au revoir Jack.
Jack : D'accord, très bien, tu as gagné, tu es bien trop beau et sexy et tentant pour que je puisse résister à tes charmes. Fais ce que tu veux de moi, juste ne t'en va pas et…
Il fut arrêté dans son élan par la bouche de Ianto fondant sur celle de son aîné, dans un baiser violent, caressant sa bouche de la sienne, avant de profiter du passage qu'offraient les lèvres entrouvertes pour y glisser sa langue. Il savoura le goût qui lui avait tant manqué ces deux dernières semaines, les tempes battant follement, la tête bouillante d'un désir trop longtemps refoulé. Ianto sentit la langue chaude de son amant répondre à la sienne et le baiser s'enflamma. Perdant le peu de raison qui lui restait, se sentant ivre et brûlant, son cœur battant la chamade, le sang courant dans ses veines telles un magma brûlant. Ianto sentit les mains de son patron l'attirer avec la même passion contre lui, avide de le sentir, ses hanches s'avançant vers les siennes, sentant nettement l'érection que Jack ne cherchait pas à dissimuler.
Jack sentit Ianto sourire contre sa bouche et il mordit sa lèvre inférieure, poussant un grognement sourd, avant de le dévorer dans un baiser qui les laissa tous deux pantelants. L'une des mains du cadet, ses belles mains blanches et fines que Jack avait souvent imaginées sur lui lorsqu'il se donnait du plaisir, vint se glisser dans la masse de ses cheveux avant de descendre sur sa nuque, caressantes, jouant avec ses mèches brunes.
Les mains d'Ianto glissèrent sous la chemise bleue, son besoin de toucher le Capitaine devenant dévorant, profitant de chaque parcelle de la peau mate que ses doigts découvraient. Jack écarta difficilement sa bouche de la sienne. Ianto émit un grognement de déplaisir, tentant vainement de regoûter aux lèvres gonflées avant de s'attaquer à la chair tendre de son cou.
Jack gémit lourdement lorsque la bouche d'Ianto dévora une certaine partie de son cou, ses hanches allant et venant contre celles de son cadet, en totale contradiction avec ses mains buttant sur les épaules de son amant, essayant faiblement de le repousser.
-Ianto, haleta faiblement le plus vieux, luttant pour formuler une phrase complète. On ferait mieux d'aller dans ma chambre pour continuer.
Ianto ne lui répondit pas tout de suite, sa bouche continuant son travail sur la clavicule du capitaine alors que ses mains caressaient la courbe des fesses de Jack, le pressant plus intimement contre lui, ajustant leurs hanches sur le même rythme, indiquant clairement qu'il n'avait nul envie de bouger. Pourtant il réussit à décoller sa bouche du cou de Jack assez longtemps pour lui donner une réponse cohérente. L'ainé gémit en sentant son sexe tendu frotter contre l'érection d'Ianto à travers leurs vêtements, et il se raccrocha aux épaules musclées, sentant ses genoux faiblir. Jack frissonna, une vague de plaisir le traversant entièrement, lorsqu'une des larges mains de Ianto se glissa à l'intérieur de son pantalon. Il ferma brusquement les paupières, tentant de garder un brin de raison pour comprendre ce que disait Ianto.
-Allons-y, souffla t-il, avant que je ne perde tout contrôle.
Jack l'embrassa profondément avant de se reculer légèrement. Attrapant la main de Ianto, il l'entraina dans sa chambre, à peine eurent-ils pénétré dans la chambre de Jack, Ianto se retrouva de nouveau prisonnier des bras de son amant, une bouche à présent familière le couvrant de baisers. Ils atteignirent le lit, le désir se faisant de plus en plus fort, Ianto s'acharnant à libérer Jack de ses vêtements avec véhémence, sa serviette depuis longtemps abandonnée sur le sol du bureau du patron.
Le chef de Torchwood laissa échapper une plainte étouffée lorsque son corps libre de tout vêtement couvrit celui tout aussi nu de son cadet. Les mains de Ianto parcouraient la peau dorée de Jack, savourant la courbe de chaque muscle, s'émerveillant du contraste entre sa peau laiteuse et celle plus mate de celui qui était à la fois son patron, son ami, et son amant.
Un flot ininterrompu de paroles s'échappaient des lèvres de Jack, louanges d'un corps parfaitement fait pour s'emboiter avec le sien, promesse d'une soirée mémorable avec pour seule tenue leur désir et attachement mutuel, et Ianto sentit son corps réagir aux mots de son ainé, attisant le brasier brûlant de leurs désirs. Saisissant les hanches de Jack, il les attira contre les siennes, toujours à la recherche de plus de contact.
La bouche de Ianto descendit sur le corps mat, capturant un mamelon puis l'autre, les titillant avec sa langue et ses dents, arrachant à Jack gémissements et supplications avant de continuer sa progression, toujours plus bas, vers le nombril, mimant l'acte sexuel avec sa langue, puis il continua sa descente faisant attention à ne pas frôler son sexe, déposant des baisers papillons sur ses cuisses avant de finalement accéder au désir de Jack et de le prendre en bouche, qui se cambra violement, laissant échapper un cri, obligeant Ianto à ancrer ses mains sur les larges hanches. Les mains de Jack se crispèrent sur le drap sous lui, cherchant désespérément quelque chose à quoi se raccrocher, avant de laisser l'une de ses mains se perdre dans la chevelure soyeuse du gallois. Ils étaient si proches que le moindre mouvement de la langue de Ianto sur lui risquait de le faire jouir à tout moment et, aussi délicieuse que soit l'idée de venir dans la bouche de son employé, il mourait d'envie de recevoir le large et long sexe de son cadet en lui.
-Ianto ! Réussit-il à dire, en s'appuyant sur ses coudes pour se redresser. Dieu ! Si tu continues, je vais... je vais jouir ! Et je préfèrerais le faire avec toi en moi !
Le corps du cadet tressauta, la suggestion de Jack allant directement vers son sexe, qui appréciait réellement l'idée, et Ianto dut se retenir pour ne pas la mettre immédiatement en pratique. Il avait follement envie de le prendre, mais cela viendrait après. Ianto savait que ces deux semaines avait été un supplice, et il voulait que la nuit commence par le plus de plaisir possible. A regret, il retira un court instant sa bouche de son amant.
-Je veux que tu viennes dans ma bouche, souffla t-il contre la cuisse frémissante de Jack, embrassant tendrement la peau tremblante, je veux que tu viennes sous ma langue, et ensuite je te prendrai, fort, et te ferais jouir une deuxième fois.
-Oh Dieu ! Gémit le plus vieux, en se laissant retomber sur le dos.
Ianto reprit immédiatement Jack en bouche, appliquant de longs va-et-vient et l'homme au dessous de lui gémit bruyamment, proche de l'orgasme. Continuant son travail sur le sexe tendu de son employeur, Ianto chercha, à tâtons, le lubrifiant que Jack gardait toujours dans sa table de nuit, il l'ouvrit en en mit sur ses doigts. Sentant que son amant était sur le point de jouir, il glissa un doigt lubrifié dans l'intimité de Jack, rapidement suivi d'un deuxième, allant et venant en lui.
Poussant un cri rauque étouffé, Jack renversa la tête en arrière, ses yeux roulant sous ses paupières, l'orgasme le secouant jusqu'à la pointe de ses orteils. Il se déversa dans la bouche d'Ianto qui avala le sperme de son ainé. Il se redressa, embrassant le ventre parfaitement plat et tremblant de Jack avant que celui-ci ne saisisse sa nuque, le remontant vers lui pour l'attirer dans un baiser passionné, découvrant sa propre saveur dans la bouche de son cadet.
Ianto répondit au baiser avec la ferveur d'un homme affamé dégustant le festin dont il avait été trop longtemps privé, souriant lorsqu'il sentit le sexe de Jack durcir à nouveau. Il glissa de nouveau ses doigts dans le corps de son ainé, avalant le gémissement de plaisir que poussa Jack. Coupant court au baiser, Ianto se replongea dans le cou de son amant. Il continuait dans le même temps à pénétrer son ainé de ses doigts, atteignant finalement la prostate de Jack qui se cambra aussitôt, un gémissement étranglé s'échappant de sa bouche pourpre.
-Ianto ! Je ne vais pas tenir longtemps alors si tu pouvais te décider à me prendre.
Le-dit Ianto ne répondit pas, préférant embrasser voracement son amant, chacun de ses baisers plus possessifs que le précédent, avant de descendre sur le cou pâle, baisant, mordant, marquant Jack. Il écarta plus largement les cuisses, impatient, pendant qu'Ianto couvrait aussi rapidement que possible son sexe de lubrifiant, ne souhaitant pas blesser son ainé.
Poussé par les prières de Jack lui demandant plus ou moins poliment d'accélérer («Prends- moi ou je te jure que je trouverai un moyen de te faire payer !! »), Ianto ajusta sa position avant de pénétrer son amant d'une unique poussée. Jack hoqueta, les yeux écarquillés, son corps se tendant, ses ongles s'enfonçant dans les omoplates du jeune homme.
Les yeux clos dans l'effort qu'il (Ianto) avait fait pour ne pas simplement jouir dés qu'il avait senti les muscles étroits l'enserrer dans le chaud fourreau du corps sous lui. Jack bougea presque immédiatement son bassin, intimant à son cadet de se mouvoir, et Ianto enroula les jambes de plus vieux autour de sa taille, le pénétrant profondément, butant contre sa prostate. Chaque coup de rein les rapprochait de la délivrance tant convoitée jusqu'à ce que Jack sente chaque muscle de son corps se tendre dans un orgasme plus dévastateur que le premier, et Ianto, sentant l'étroit étau autour de son sexe se resserrer se libéra en Jack dans un grognement, étouffé par les lèvres gourmandes de son partenaire.
-Wow, souffla Ianto, haletant.
-Ouais, répondit Jack, tout aussi pantois. Prêt pour un deuxième round ?
-Tu es insatiable ! Pouffa Ianto.
-Non ! Mais j'ai tout de même été privé de ton corps pendant deux semaines.
Ne lui laissant pas le temps de répliquer, Jack roula sur lui même et se retrouva à califourchon sur Ianto, dévorant sa bouche de la plus délicieuse des façons possibles.