Très grosse attente pour vous et j'en suis désolée ! Je n'avais plus l'inspiration. Mais voici la fin pour vous.
La vie continuait tranquillement à Poudlard. Il y avait quelques incidents, tel que la bagarre entre Hermione Granger, pansy Parkinson et millicent Bullstrod, mais tout était rose quand même dans l'immense battisse de pierres. La célèbre brune touffus des Griffondor, possédait un superbe coquard. Malgré son infirmité, elle pouvait tout de même mater les mâles des alentours. C'est ainsi qu'après 48 min de matage intensif, Harry Potter s'aperçut enfin de quelque chose.
- Vous ne trouvez pas que Malfoy à quelque chose de plus ce matin ?
- ….
- Je n'arrives pas à mettre le doigts dessus.
- …
- Peut-être a-il mit moins de gel ?
- …
- Où serait-ce plus de muscles ?
- …
- Je pense que...
Elle ne put finir sa phrase. En effet, sa compote venait d'exploser sur son visage. Mais qui avait oser ?? Si elle avait été plus attentive, elle aurait remarquer le visage rouge du brun, ses poings serrés, son regard haineux et bourré de jalousie, son souffle erratique … Au lieu de ça, elle se tourna vers le roux à ces cotés.
- Ron !! Espèce de petit con !!
- Hey ?! Mais c'est pas moi !!
- Je suis sur que c'est toi !!
- Mais non !
- T'es jaloux c'est ça ?!
- Mais …
- J'en étais sûr !!! Si tu me veux, il va falloir me conquérir mieux que ça ! Débile !!
- Je …
- Tu n'es qu'un petit con macho !! je ne suis pas assez bien pour toi c'est ça ?!
- Mais si … je …
- Vous les hommes vous êtes tous des salops !! Vous pensez toujours que l'on va vous tomber dans les bras comme ça !! Mais ce temps là est révolus !! Je vais créer une association !! FEMMES DE POUDLARD, REUNISSONS NOUS CONTRE LE MAL …
Les professeurs durent tous se réunir pour emmener la Griffondor hors de la salle, sous ces cris de révolte féminine. Tous les élèves étaient traumatiser par ce spectacle digne des plus grands films d'horreurs ! Le garçon à la chevelure de feu se fit bientôt encerclé par une dizaine de féministes convaincus par le discours de l'hystérique. Pourtant tout ceux à quoi pensait Harry Potter, c'était que le magnifique Drago Malfoy l'observait avec un drôle de regard. Il devait récapituler. Tout avait commencé par l'espionnage (involontaire) des serpentards, puis les cours avec ces tarés, la scène avec Snape … Mouai, décidément. Mais il est si beau. Malfoy est surement la plus belle créature de Poudlard, voir d'Europe. Zabini est pas mal non plus, remarquez. Arg ! A quoi pensait-il ? Les serpentards avaient eu la gentillesse de lui apprendre plein de trucs. Il allait emballer une fille, il le jurait. Bon, ok, mais quelle fille ? Il regarda autour de lui dans l'espoir de trouver une donzelle à peu près potable. Déjà, pas une rousse ni une brune. Pourquoi ? Bah les brunes chialent tout le temps et les rousses … de vrais serial killers !! Elles veulent vous bouffer, vous piquer votre thune, vous …
Quoi ? Pourquoi on me regarde bizarre ? Les gens sont vraiment spéciaux parfois et … Mais c'est quoi tout ce raffut ? Elles peuvent pas massacrer Ron autre part. Quoique … Celle qui arrache les cheveux de Ron est pas mal. Carrément même. En plus elle est blonde ! Je m'approche.
- Ah merci mec, j'ai crus que tu m'avais abandonné ! Aie !
- Hein ? Non je voulais parler à ?
- Cassandra !
- Superbe prénom !
- Merci.
Tandis que le meilleur ami du survivant se faisait trucider, Harry entama le conversation avec cette jeune fille délicate aux seins si avenants.
- Tu sais, je crois que tu es la seule jolie fille de cette école.
- Vraiment ?
- Oui !
- Oh c'est si gentil !
- Ma gentillesse est à la hauteur de ta beauté.
- Oh ….
Il allait l'avoir, là, c'est sur. Les serpentards avaient raison ! Pour une fois qu'on peut leur faire confiance. Heureusement qu'il avait intensifié les cours avec eux. Ou alors c'est «les sexe pour les nuls» qui avait sauver la mise. Encore deux ou trois compliments, et elle est à moi.
- Ça te dirait de venir te promener autour du lac ?
- Pourquoi pas …
Ils partirent donc tout les deux vers le lac, sans savoir qu'ils étaient suivis. Deux ombres à l'allure dangereuses les filaient.
- Et merde !
- Quoi ?
- J'ai marché dans une merde de hibou !
- En plus avec tes chaussures Pior !
- Flûte !
- Allez, viens Drago ! Il faut qu'on aille voir ce qu'il va faire avec cette fille !
- On sait très bien ce qu'ils vont faire !
- Si elle le touche, je lui arrache les cheveux un par un.
- Moi d'abords Blaise, moi d'abords.
Ils regardèrent notre héros faire des ronds de jambes à l'autre dinde de serdaigle.
- Franchement, qu'est-ce qu'il lui trouve ?
- Grave, tu as vu ces cheveux ?
- Oui. Tu les essorent, t'as un litre d'huile.
- Ah c'est gore. Et ces dents.
- Plus jaune que le soleil.
- Tu fais de la poésie Drago ?
- Faut croire. Ode à la laideur.
- Pas mal.
- Ouai.
Le jeune brun regardait la fille avec un intérêt non dissimulé. Alors qu'ils parlaient d'Hermione, Harry s'approcha et commença à avancer son visage vers celui de ça nouvelle amie. Elle se tut et approcha à son tour, son visage. Leurs lèvres se scellèrent. C'est pas si mal. Il allait cessé ce baiser, quand il sentit une langue étrangère venir s'engouffrer dans sa cavité buccale. Deux mains agrippèrent sa tête pour l'empêcher de reculer. On aurait dit qu'un moulin s'était installer dans sa bouche. Il allait mourir, étouffer par de la bave. Pitié ! Il était puceau ! Il ne pouvait pas mourir puceau ! La torture s'arrêta soudain. Il put enfin respirer. Son bourreau se trouvait à terre, tandis que deux célèbres serpentards se tenaient devant lui.
- C'était pathétique Potter.
Il allait pleurer. Ces yeux débordèrent de larmes. Il hurla.
- Mes amis !!!!!!!!!!!
- Arg ! Calmes toi Potter !
- Oh Malfoy je t'aime !
- Hein ?!
- Toi aussi Zabini ! Vous m'avez sauver ! Je ne veux plus jamais essayer ça de nouveau. C'était affreux !
- Calmes Potter. Blaise et moi ne sommes pas tes amis.
- Si ! Je comprends maintenant pourquoi tu voulais te suicider ! Les filles c'est pourris !
- Mais non, mais non.
- Elles sont toutes cinglés !
- Il a pas tort …
- Blaise !
- Tu vois ? Zabini est d'accord avec moi.
Le traumatisé alla se blottir dans les bras du noir. Après un moment d'incertitude, il enlaça à son tour le brun. Il haussa ses sourcils plusieurs fois en souriant victorieusement à son acolyte blond. Les yeux de celui-ci promettaient mille tortures. Blaise ricana intérieurement.
- Tu veux que je te console Potter ?
- Tu veux bien ?
- Oui ! Viens avec moi mon enfant !
- Blaise, t'as l'air d'un pédophile !
- Un peu oui …
- Même l'autre guimauve de Potter le dit !
- Oh ça va, c'est bon !
- Viens plutôt avec moi Potter ! Blaise est fou !
- Oh faite, pourquoi étiez vous là ?
- Euh … figures toi que …
- On ne pouvait pas te laisser partir sans vérifier que tu t'y prenais mal.
- Bah oui, forcément.
- Nous sommes tes professeurs et c'est normal pour nous de contrôler ton travail.
- Oui, d'ailleurs, t'as que cinq sur vingt là.
- Oh …
- Ouai …
- Y a-t-il une façon de me faire pardonner …
Sourires lubriques de la part de nos serpys.
- Et bien justement ….
- Je sais !! Venez avec moi !
Il suivirent le brun, pressés de lui faire subir les pires sévices. Tout deux avaient des ricanements malsains de temps à autre. Ils arrivèrent devant une porte. Leurs ricanements de hyène stoppèrent aussitôt. Le survivant se retourna brusquement après avoir ouvert la porte en grand, le sourire jusqu'au oreilles.
- Tadam !!!
Une cuisine. Mais pourquoi une cuisine ? Lisant les pensées du blond, le noir se pencha et chuchota dans son oreille.
- Il aime peut-être faire ça dans des lieux insolites.
- ON va faire de la pâtisserie !!!
- Tu disais Blaise ?
- Rien, il est juste totalement con.
- Ouai.
Ils durent le suivre dans la cuisine. Ils virent une panoplie de bon cuisinier avec, le tablier rose. Ils regardèrent autour d'eux.
- Bon écoutes Potter, ça va pas …
Le noir s'était retourné pour faire face au brun. Drago Malfoy regardait toujours les cuisinières et plans de travail. Il tilta soudain le silence étrange. Il se retourna.
- pourquoi vous …
Il resta ébahi. Devant les deux serpentards se trouvait un Harry nu sous son petit tablier rose.
- on commence ?
- Agah.
- Ça veut dire oui. Bon prenez un plat et un fouet.
Blaise Zabini sortit immédiatement le fouet gigantesque qu'il possédait.
- Euh non pas celui là.
- Oh … dommage.
- Euh … Bon ! Prenez vos ustensiles ! Celui qui réussira le mieux son gâteau aura le droit à une surprise.
Autant vous dire que les deux serpents suivirent à la lettre les instructions. Pourtant, Blaise arriva à faire bruler une poêle en pierre et le blond fit exploser sa pâtisserie. Le brun les regardait, ébahis devant tant d'incompétence. Et dire que les serpentards se vantaient d'être bons en potions. Pas foutus de suivre une recette. Les deux pâtisseries, où les trucs qui leur ressemblaient vaguement, étaient immangeable.
- Bon, je crois qu'il n'y a pas de gagnant.
- Ah non Potter !! T'as dis qu'il y aurait un gagnant alors tu goûtes et tu désignes le vainqueur !
- Je veux pas mourir.
Le prince des serpents fit une telle bouille que les deux autres se sentirent fondre. Comment pouvaient-ils résister ? Harry déglutit.
- Euh, je pense que c'est toi.
- Vraiment ?!
- Et c'est pas juste !!
- Désolé Blaise, mais le moins pire de vous deux, c'est lui. T'as quand même réussis à foutre le feu à une pierre.
- Ça arrive à tout le monde !!
- Pas franchement non.
- Bon ok …
- C'est quoi la récompense ?!
- Et bien …
- Mr Potter, Zabini et Malfoy !! Dans le bureau du directeur immédiatement !!
Mac Gonagal dans toute sa splendeur. Son regard était tel celui d'un dragon ayant des coliques. Ils étaient littéralement morts de peur et obtempérèrent. Le blond jurait intérieurement. La poisse ! Alors que Potter allait lui tomber dans les bras !! Ils allèrent au bureau du vieux citronné. Ils écopèrent de deux heures de retenus pour être allé dans un lieu normalement interdit. Le professeur de métamorphose aurait préférer plus, mais elle savait qu'Harry était le chouchou de Dumbledor. Elle ne pouvait rien faire. Ils durent se séparer. Le brun réfléchissait. Il avait commencé cette histoire comme un vulgaire puceau, d'ailleurs il l'était toujours, enfin bref, mais finalement, les discussions avec les serpentards l'avaient aidé, et il avait pu vaincre sa timidité et sa malchance. Mais à quoi bon ? Il avait pu draguer une fille et il l'avait eu, mais son baiser était atroce ! Il avait du mal à croire quand ses professeurs lui disaient que c'était bien. En plus, il avait mentit à la fille. Bon, bien sur qu'elle était jolie mais … Il n'avait même pas bandé, et ça avait été pire lors du baiser. Son sexe s'était ratatiner d'horreur. Finalement, est-ce que ça valait le coup ? Le problème, c'est que si il cesse, il ne pourra plus voir les serpents, hors, il les aime bien ses bougres ! Le visage de Malfoy et celui de Zabini apparurent devant ses yeux. Hum … Rien que de penser à eux, son sexe devenait plus vigoureux. Ils étaient vraiment beaux. Mais sil la jeune fille l'avait embrasser comme un pied, peut-être les serpentards étaient-ils tout aussi nul ? Il ne savait pas. Il ne savait pas non plus qu'il avait viré gay. Ça ce n'est qu'un détail. Le plus important c'est : pourquoi était-il maso ? Parce qu'après tout choisir DEUX hommes, SERPENTARD de surcroit c'était pas très normal. Était-il normal ? Mieux valait ne pas répondre à cette question. En même temps peut-être avait-il une chance. N'avaient-ils pas été exciter comme des malades lorsqu'il avait fait son numéro de charmes en potion. C'était une idée à approfondir. Il ricana et une serdaigle de deuxième année le regarda affolée en partant rapidement. A approfondir. Mouhahaha. Il arriva dans la tour des Griffondors. Il hurla d'un cri sur-aigus.
- Ta gueule Harry !
- Qu'est-ce qui t'es arrivé ?!
- Tu ne te souviens pas ?!
La voix était sarcastique. Le brun détailla son ami … roux, enfin de ce qu'il en reste. Il y avait juste une petite touche de cheveux roux sur le coté droit de la tête de Ron. De plus, son visage était bariolé de bleus et de phrases écrites au marqueur du style : salop. Autant dire que son ami ne ressemblait plus à rien.
- Ok … Je crois que je vais aller chercher … euh …
- C'est ça.
- Ouai ! C'est ça !!
Il s'en alla rapidement. La tête de Ron était affreuse. Il devait réfléchir. En réalité, il passa son après-midi à regarder son album de quidditch. Ce fut que vers minuit qu'il réfléchit à son problème. Il devait trouvé comment attirer les deux serpents dans son panier. Ainsi, il pourrait enfin découvrir si l'art du sexe était véritablement un art ou alors que le monde vivait frustré car remplis de trop d'inculte en la matière. Un idée germa soudain son esprit. Il appela sa chouette et il écrivit deux lettres. Il était minuit et le dimanche commençait à peine mais bon, les deux serpents n'allaient pas se vexer qu'il les réveilles. Dans le dortoir des verts et argents, tout le monde dormait. Non, en réalité, presque tout le monde dormait, sauf deux êtres. Vous l'avez bien sur devinez, je ne préciserais donc pas. La chouette blanche frappa à la fenêtre alors qu'il complotaient ensemble sur comment réussir à se venger de la vieille griffondor.
- Putain qu'est-ce qu'il veut ce piaf ??
- C'est pas la chouette de Potter ?
- Quoi ?! Vas la chercher Blaise !!
- OK …
Le noir alla vers la chouette et retira les deux parchemins. Il fit ensuite un geste de la main pour que le volatile s'en aille. Outré par ce manque de considération, la chouette ayant surement un peu de sang de griffon mordit violemment le doigt de Zabini.
- Putain de volatile !! J'vais te griller.
L'oiseau hulula de désapprobation et s'en fut.
- Alors Blaise !!
- Deux secondes !! Bon, il y a deux lettres !! Une pour chacun de nous !!
- Fais voir !! Fais voir !!
- Minute princesse ! Ce con de piaf m'a bien niqué.
- Arrêtes de faire ta chochotte et apportes moi ça !!
- Vas te faire foutre !
- Par toi ??
La colère fut remplacé par des sourires coquins. Ils ouvrirent simultanément leur lettre. Quelques minutes plus tard. Ils coururent vers le dortoir des lions. Drago, en tant que préfet en chef connaissait le mots de passe et le hurla, intimant la femme du tableau à s'ouvrir, malgré son air furibond. Il rentrèrent et cherchèrent le beau brun de leur pensées. Ils le trouvèrent et lui sautèrent dessus.
« Blaise/Drago, je penses que cette attention va te surprendre mais bon. Je vous remercierais jamais assez de m'avoir appris tant de choses. Cependant, mon baisé avec l'autre fille a vraiment été décevant. Je penses donc me retirer au Tibet. Je fais mes valises et je vous dis au revoir. Les moines m'attendent. Bis
Harry. »
Harry vit les deux serpentards débarquer essoufflé dans sa salle commune. Son plan avait marché. Un peu trop d'ailleurs. Ils lui sautèrent dessus et bientôt il ne put prendre assez d'air. Il allait mourir, encore. Dieu, il voyait bien trop souvent la faucheuse. Il les écarta avant de manquer définitivement d'air. Le blond lui hurla dessus.
- Non mais t'es malade !! Te retirer au Tibet ?! T'es débile !!
- Je suis d'accord avec Drago. Il est hors de questions que tu t'en ailles à cause d'une idiote.
- Écoutes moi bien Potter, je te l'interdis !! c'est clair ?
- Oui, vous avez surement raison.
- Ah …
- Entends la voix de la raison Potter.
- Oui. Je suis peut-être un peu trop impulsif.
- On te pardonnes.
- C'est gentil Blaise …
Il riait intérieurement. Les deux serpents étaient tombés dans le panneau. Il prit une moue innocente et il les fixa.
- Le problème, c'est que je ne veux vraiment plus toucher une fille. C'était vraiment décevant. Je m'attendais à tellement mieux …
- Tu sais Potter … C'est peut-être qu'elle était nul à chier.
- Drago a raison. Je pense qu'il faut que tu trouves des gens, bien sous tout rapport, et embrassant comme des dieux.
- Tu en connais ?
- Bah …
- Disons que je crois que Blaise en connait au moins deux.
- Ah oui ?
- Oui.
- Qui ?
- Nous.
- Nous voulions que tu apprennes par toi même, mais hélas, tu es tombé sur une conne et elle t'as traumatisé. Nous ne pouvons pas te laisser penser que le sexe, c'est nul.
- Oh je vois …
Tous se sourirent. Il était prévus qu'ils se voient dans dimanche soir. Oui, ça allait être intéressant. Harry était heureux, il allait avoir les deux garçon rien que pour lui. Il alla prendre une douche.
Ronald Weasley était le genre de garçon un peu bêta, qu'il lorsque ça allait trop vite, mettait son cerveau en mode pause. Il s'était fait défoncer par une horde de furie, et quelques heures plus tard, Hermione lui avait roulé un patin. Alors que c'était elle qui avait jeté les filles sur lui. Il ne comprenait plus rien. Il allait sur son lit lorsqu'il remarqua une lettre posée sur le lit de son ami. Il ne lisait pas le courrier des autres, non, mais il venait d'apercevoir le mots serpentards. Il s'évanouit.
« Cher Patmol, la vie a poudlard a bien changé. Je voulais te parler de quelque chose, ou plutôt te conseiller. Je te recommande l'éducation serpentard. Tu vas me dire qu'est-ce que c'est ? Et bien c'est un livre que j'ai écrit récemment. J'y ai regroupé tout les conseils qu'on m'a donné. Pourquoi l'éducation serpentard comme titre ? Hum … Ce serait trop long à t'expliquer, mais disons qu'est vraiment serpent celui dont on ne se doute pas. Tu ne comprends rien ? Je te montrerais aux prochaines vacances, j'ai deux personnes à te présenter. Ton filleul à bien grandit. Harry. »
Alors ?? Bien ? Pas bien ? Vos impressions mes demoiselles !! ( Je doutes qu'il y ai des damoiseaux)