voilà le dernier chapitre j'espère qu'il vous plaira


Chapitre 5

Tony regardait la télé sans vraiment la voir, ce silence dans l'appartement depuis le départ des frères était pesant. A tel point qu'il songeait même à déménager. Il se souvenait avec nostalgie de son première appart. Shaï et lui avaient mis à peine trois jours à le trouver, c'était minuscule mais qu'est-ce qu'ils s'y sentaient bien.
L'italien s'apercevait peu à peu qu'il avait besoin de changement dans sa vie…
On toqua à la porte, il se leva et fut surpris de trouver son patron sur le seuil :
« Gibbs euh qu'est-ce que… Entre ! »
Il s'arrêta sur le seuil :
« Je suis venu te rendre ça. »
Il lui tendit les quatre petits flacons d'eau bénite :
« Ah oui merci, on ne les a pas utilisés du coup. Euh tu veux boire quelque chose ? Café ? »
« Tu n'as rien plus de fort ? »
« Bière ? Whisky ? »
Jethro lui jeta juste un regard pourtant très clair :
« Whisky ! Installe-toi. »
Pendant que son boss enlevait sa veste et s'asseyait, il prépara deux verres et emmena la bouteille sur la table basse. Il se laissa tomber sur le canapé et servit son invité. L'ex marine trempa ses lèvres dans le breuvage. Avant qu'il n'ait pu dire quoi que ce soit, Tony bafouilla :
« Il est… Italien… »
Son patron ne répondit pas :
« Jethro, qu'est-ce que… »
« Ca fait deux fois ! »
« Hein ? »
« Que tu m'appelles comme ça. »
Rien que ça ? Juste deux ?
« Et ? »
Aucune réponse, juste une autre gorgée d'alcool :
« Gibbs… Ecoute je sais pas où tu en es, d'ailleurs je suis pas sûr non plus mais tu as appris beaucoup de choses ces derniers jours et… il faut le temps de digérer et… »
« On a déjà eu cette discussion ! »
« Ah je suis pas convaincu, ta façon de parler sans jamais rien dire est perturbante, du coup je sais pas vraiment ce que tu penses ni ce que tu veux ou… »
Ce fut pourtant très clair quand son patron le fit taire en posant ses lèvres sur les siennes. Tony lâcha son verre qui se répandit sur le sol. Chaque nouveau baiser était plus fort, plus passionné que le précédent.
Assoiffé de plus de sensations, l'italien s'allongea sur le canapé, entraînant son boss. Le corps de son ami tout contre le sien était un pur délice. Alors que la langue de celui-ci caressait la sienne avec avidité, Tony s'attaqua au vêtement de son supérieur, enlevant progressivement la chemise puis le t-shirt qui l'empêchait d'accéder à ce qu'il désirait tant toucher. Il sentit son patron se contracter quand il posa ses doigts glacés sur sa peau nue. Les lèvres de Jethro sur les siennes, son ventre tout contre sa paume, leur bassin en contact permanent, il ne pouvait que réagir tant la situation était excitante. La question qui lui traversa l'esprit n'arrangea rien à son état…
Jusqu'où irait-il ce soir ?
Comme pour répondre à la question, Gibbs posa sa main entre eux, frôlant exagérément la braguette de son jean. Ce fut la goutte d'eau. Tony quitta la bouche de son patron, par manque d'oxygène mais aussi pour pouvoir retenir les gémissements qu'il n'allait pas tarder à pousser. Il fut bien vite en manque. Pour le combler, il glissa ses lèvres dans son cou avec la furieuse envie de lui faire un suçon. C'est la peur de se prendre une claque qui l'empêcha de marquer son patron. Il se contenta de lécher cette peau si tentante, son goût, son odeur décuplèrent le désir qui naissait dans son pantalon. Ce que ne manqua pas de remarquer son supérieur, le sourire qu'il lui fit était assez clair. D'une voix rauque, l'italien marmonna la mort dans l'âme :
« Je crois qu'on ferait mieux de s'arrêter là. »
Il fit une nouvelle petite prière (tout en se disant que s'il continuait comme ça, il finirait par vraiment croire en dieu) pour que Gibbs lui rétorque qu'il ne voulait pas partir…
Il continua d'espérer et tomba de haut quand son patron se releva en lui disant :
«En effet ! »
Tony retint un grognement de frustration… Il passa sa main dans ses cheveux pendant que Jethro remettait sa chemise et son t-shirt dans son pantalon. Déprimé, il raccompagna l'ex marine à la porte en pensant à la douche froide qu'il ferait bien de prendre. Arrivé vers la sortie, il soupira :
« A demain. »
Il ouvrit la porte pour laisser son ami fuir, il ne devait pas lui en vouloir, pourtant c'était le cas.
Jamais il n'aurait cru voir un jour le grand Leroy Jethro Gibbs décamper de la sorte.
L'italien sursauta quand, au lieu de sortir, le dit fuyard reprit ses lèvres avec force, comme ça, devant la porte grande ouverte. Au moment ou cette pensé traversa l'esprit de Tony, son patron la referma d'un coup de pied. Il devait vraiment lire dans ses pensées. Leur bouche toujours scellée, l'ex marine l'entraîna avec autorité vers la chambre à coucher. L'italien tenta de ne pas penser au slip sale qui traînait sur le sol, à la bière a moitié bue qui attendait sur la table de nuit, à la poubelle qui débordait et surtout, aux quelques magasines pornos gay que Dean lui avait gentiment offerts le jour de son départ.
Heureusement, Gibbs ne sembla rien remarquer, il était bien trop occupé à reprendre là où il s'était arrêté, c'est-à-dire la braguette de son jean. Tony se mordit l'intérieur de la joue quand enfin son supérieur la fit descendre. D'un geste, il fit voler son pantalon dans la pièce. Il se retrouva ainsi pieds nus et en boxer devant son patron.
Il s'approcha tel un prédateur et enleva de nouveau la chemise et le t-shirt de leur prison.
Leur regard ne se quittait pas quand il les lui ôta d'un seul mouvement. Jethro se débarrassa de ses chaussures et de ses chaussettes.
Bavant littéralement devant cette vison, l'italien s'agenouilla devant son partenaire et détacha la ceinture qui retenait les derniers vêtements qu'il lui restait.
Enfin Leroy se retrouva nu devant lui. Il frissonna d'anticipation devant le sexe dressé de son patron. Rapidement, sans aucune grâce, Tony enleva son t-shirt et son boxer libérant sa propre érection. Il attira son ami à lui pour le faire s'allonger sur le lit avant de se laisse tomber tout près, entrechoquant leur corps.
Avec une frénésie qu'il n'avait pas ressentie depuis longtemps, l'italien s'attaqua au torse de l'ex marine. Effleurant de la main les poils grisonnants qui le parsemaient, léchant ses tétons dressés. Avec autorité, Jethro plaqua sa main derrière sa nuque pour accentuer la caresse.
Tony fit durer le plaisir, descendant lentement, vraiment lentement vers l'objet de sa convoitise.
Il s'attarda un long moment sur le nombril du marine, s'amusant à y entrer la langue, à en lécher le contour. Rendant Gibbs fou, il le sentait, l'inactivité n'était pas vraiment son fort. Il tenta de se relever mais il l'en empêcha, le forçant à se rallonger. L'homme grogna :
« Est-ce que je dois comprendre qu'il faut aller plus vite ou que ça ne te plait pas ? »
La main de son supérieur vint donner une claque sur ses fesses, ce qui le fit rire. Le cœur gonflé de sentiments tous plus forts les uns que les autres, l'italien posa ses lèvres sur l'aine de son partenaire.
L'envie fut trop forte pour y résister encore, il se glissa entre les jambes du marine et embrassa son sexe dressé, le faisant frémir.
Doucement il commença par masturber son supérieur, juste du bout des doigts pour le rendre dingue. Il observa son visage, les yeux fermés, les lèvres pincées, l'homme semblait apprécier cette torture. Il passa à la vitesse supérieure, léchant par petits coups le gland qu'il venait de découvrir. Jethro se contractait à chaque coup de langue, rendant la situation encore plus excitante.
Tony descendit progressivement sur l'érection de son partenaire, le faisant gémir. Pressé d'entendre encore ce son envoûtant, il commença à aller et venir de plus en plus vite. Sentant Gibbs prêt à exploser, il s'arrêta brusquement faisant grogner le marine.
Tout était étrangement facile, comme s'il connaissait déjà le corps Jethro. Il avait imaginé tant de fois ce moment que tout paraissait parfait et irréel.
Peut-être que ça l'était, peut-être que le venin de l'araignée l'avait plongé dans un rêve et qu'il n'en était jamais sorti.
Si c'était le cas, il ne voulait pas se réveiller, vraiment pas.
Est-ce qu'il pouvait aller plus loin ?
Peu sûr de lui, il s'agenouilla et tendit le bras pour fouiller dans le tiroir de la table de nuit. Manquant de faire tomber la bouteille de bière, il en sortit un préservatif et un flacon de gel. Il jeta un regard à Gibbs, son regard brûlant de désir était très clair. Et s'il avait encore des doutes, ils disparurent quand son partenaire prit le condom et en déchira l'ouverture avec les dents.
La vision était un vrai appel à la luxure, l'ex marine se releva pour lui enfiler lui-même le contraceptif. Les doigts de son boss sur son érection déclenchèrent une vague de plaisir dans ses reins.
Essayant d'oublier qu'il était à genoux entre les cuisses de son patron et de calmer les battements de son cœur bien trop rapides, Tony ouvrit la bouche et tenta de demander :
« Est-ce que… »
« Si tu me demandes si je suis sûr de moi, je t'assure que je m'en vais maintenant, je n'ai rien d'une pucelle effarouchée. »
Tony se mordit les lèvres pour ne pas sourire. Il attrapa le lubrifiant et en versa sur ses doigts. Nerveux, il jeta un dernier coup d'œil à son partenaire allongé lascivement sur le lit. Comprenant qu'il hésitait encore, Jethro releva les jambes. D'un coup l'italien eut très chaud. Avalant difficilement sa salive, il introduisit un doigts à l'intérieur de son patron. Celui-ci ferma les yeux, par gêne ? Par plaisir ? De douleur ? Impossible de savoir et s'il osait demander, Gibbs était capable de lui en foutre une.
Doucement il commença à le préparer, il n'eut pas de protestations. Il glissa alors un autre de ses doigts en lui. Jethro se cambra, lui faisant bien comprendre qu'il en voulait plus.
Il se plaça alors au-dessus de lui.
S'allongeant entre ses jambes, il guida son sexe et le pénétra enfin. Il s'appuya sur ses deux mains, encadrant le torse de son patron et s'enfonça doucement en lui. Son cœur serré par ce moment incroyable, par ces sensations qui envahissaient tout son corps. La sueur commença à perler sur son front sous l'effort.
Il se retira et s'introduisit de nouveau en lui. Ses gestes étaient lents, pleins de précautions, ce qui ne semblait pas plaire à son amant. Qui plaqua ses mains sur ses fesses, le forçant à aller plus vite et plus loin. Leurs gémissements se mêlaient ainsi que leur sueur.
Les bras de Tony, soutenant son corps, commençaient à fatiguer mais leur plaisir était trop grand pour y penser. A chaque coup de reins, un feu intense courait dans ses veines. Le visage de Gibbs reflétait toute la jouissance que lui-même ressentait. Les doigts de son patron sur son postérieur guidaient le rythme et le faisaient aller et venir au gré de leur envie.
Tony se pencha pour embrasser son amant, collant un peu plus leur corps. Il ne faisait plus qu'un, n'était plus que désir et contentement.
Jethro resserra ses cuisses autour de lui, décuplant son plaisir. Tout était trop fort, trop bon, trop parfait. Il avait sûrement raison, quelques minutes plus tôt, en pensant se trouver en plein milieu d'un rêve…
D'un fantasme drôlement convaincant. Les paumes de son amant sur lui paraissaient étrangement réelles, l'odeur musquée qui se dégageait de leur corps en plein actione était entêtante. Leur bassin moite de transpiration semblait fait pour s'emboîter.
Et les gémissements que laissait échapper Jethro étaient un vrai délice à ses oreilles…
Et pourtant… Est-ce que dans l'un de ses fantasmes l'engourdissement gagnerait ses bras ? Est-ce que la fatigue le ferait vaciller sous l'effort ? Est-ce que les vagues qui déferlaient dans tout son corps seraient aussi puissantes ?
Un coup de rein plus fort que les autres finit de le convaincre, tout était bien réel. Envahi par trop de sensations à la fois, il se sentit partir. Il accéléra encore et encore, reprenant le contrôle de leur rythme.
C'est le cri rauque que poussa son amant qui déclencha sa jouissance. Il se libéra dans un dernier râle, son patron ne tarda pas à suivre, trempant leur corps joint de sperme. Epuisé, Tony se laissa tomber sur le coté heurtant le mur, à bout souffle. Il ferma les yeux, incapable d'affronter le regard de Gibbs. Il se mit a douter avait-il été à la hauteur ?
Il ouvrit les yeux quand les doigts de Jethro lui retirèrent le préservatif pour le jeter dans la corbeille débordante.
Il lui attrapa ensuite la nuque pour l'embrasser. Bizarrement, ce baiser signifia beaucoup, quelque chose entre 'j'ai pris mon pied' et 'c'était parfait'…
Rassuré Tony s'endormit.
C'est une voix, plusieurs heures plus tard, qui le réveilla :
« Hé bé, j'ai cru que tu n'y arriverais jamais. »
Son cœur manqua un battement, là, devant lui assis sur sa commode, tout aussi jeune et aussi beau que la dernière fois qu'il l'avait vu, Shaï lui souriait :
« C'est moi ! »
« C'est pas possible tu es… »
« Mort ? Ouais à ce qui paraît. »
« Tu ne peux pas être un fantôme, j'ai tout brûlé, tout… »
« Rassure-toi tu as fait du bon boulot. »
Son sourire s'élargit encore quand il désigna le corps nu de Jethro du menton :
« C'est quand même pas trop tôt ! »
« Tu m'en veux ? »
« Bien sûr que non ! Tu m'aimeras toujours, je le sais. »
« C'est vrai. »
« Alors ça me va, sois juste heureux. »
Doucement l'image commença à disparaître :
« Shaï ? »
« Ouep ? »
« Est-ce que Nonna avait raison ? »
Il sembla réfléchir :
« Tu sais que je n'ai jamais cru au paradis hein ? »
Il hocha la tête :
« Hé bien je crois que ta grand mère et moi on avait tort. »
Le jeune homme s'approcha, déposa un baiser sur ses lèvres et murmura :
« A plus tard j'espère beau gosse. »
Tony cligna des yeux juste une seconde et pourtant son ex amour avait déjà disparu.
Il se réveilla dans un léger sursaut, aussitôt son regard se porta sur la commode mais il n'y avait plus rien.
Serein, il se rendormit…

¤¤¤¤¤¤

C'est l'odeur du café qui le tira de nouveau du sommeil, il se mit à sourire. Il se leva, passa un boxer propre et se rendit dans la cuisine. Il ne s'était pas sentit aussi heureux depuis longtemps… Tout était parfait ce matin, enfin tout ou presque, il restait quand même quelques zones d'ombre. De quelle humeur serait Gibbs ce matin ? Regrettait-il ?
Il s'arrêta net. Assis devant sa caisse de chasse, son amant tenait entre ses mains le sac de sortilèges :
« Non ne l'ouvre pas ! »
« C'est comme ça que tu dis bonjour le matin ? »
« Tu ne dois pas ouvrir ça. »
« Qu'est-ce qu'il y a dedans ? »
Mentir ou être honnête ? :
« Une photo de Shannon et Kelly, quelques herbes, de la cire, un bout de papier avec une incantation et d'autres petites choses. »
« Une photo ? »
« Je l'ai volée chez toi. »
Tony fut soulagé de voir que son patron semblait plus curieux que fâché :
« Pourquoi ? »
« C'est du vaudou ! Quand j'ai appris ce qui s'était passé pour elles, j'ai voulu les aider et m'assurer qu'elles ne reviennent pas te hanter. »
Son supérieur continuait de le fixer intensément, attendant visiblement plus d'infos :
« Il y a plusieurs raisons à l'état de fantôme, une tache inachevée, un désir de vengeance ou une mort violente… Ils meurent et sont en colère alors ils reviennent mais perturbés, différents. Je voulais juste que leurs deux âmes reposent en paix. Tu es le propriétaire de la photo, tu ne dois pas ouvrir le sac ou le charme sera brisé. »
« Tu as fait un sac pour Shaï ? »
« Non je t'ai parlé du bûcher funéraire, s'il ne reste rien de la personne sur cette terre, elle ne peut pas revenir. Tous les chasseurs sont incinérés… »
Le silence s'installa jusqu'au moment où l'italien murmura :
« Jethro ? »
Il ne releva même pas la tête :
« MMmm. »
« Est-ce que… »
« Quoi ? »
« Rien… »
Le regard noir que lui jeta Gibbs le fit continuer :
« Est-ce que… »
« Tu vas m'obliger à répéter quoi ? »
« J'ai besoin de savoir si ça compte pour toi ce qui s'est passé cette nuit, si ce qui se passe entre nous va s'arrêter brutalement ou… »
« Je n'ai pas l'intention de m'en aller. »
Tony se sentit soulagé, l'avenir s'annonçait plutôt bien.
Sa vie changeait et dans le bon sens. Il était bien décidé à déménager maintenant et bien décidé à reprendre la chasse…
Il avait même déjà trouvé sa nouvelle proie. Peut-être même avec un peu de chance qu'il n'irait pas seul :
« Dis-moi, est-ce que tu connais la maison en bas de ta rue ? Celle qui n'est plus habitée depuis un moment. »
Jethro hocha la tête et l'italien continua :
« J'ai toujours pensé qu'il y avait un fantôme dedans, ça te dirait d'aller jeter un œil ? »
« Qu'est-ce que tu fais de toutes les fois en trois jours où tu as répété que je ne devais pas m'intéresser à tout ça ? »
« Ma grand-mère était apparemment trop défaitiste, il se pourrait que les flammes de l'enfer ne nous attendent pas tous. »
« Qu'est-ce qui te faisait croire qu'elle avait raison ? »
« J'ai pillé des tombes, brûlé des cadavres, enfreint je ne sais combien de lois divines, y avait de quoi s'inquiéter. »
Gibbs but une gorgé de café. L'italien redemanda :
« Alors ça te dit ? Un fantôme ? »
« Ce n'est pas comme si j'avais quelque chose d'autre à faire aujourd'hui… »
Tony se pencha dans la boite, en sortit un de ses fusils à canon scié :
« Celui-là est spécialement pour les balles de sel. »
« Du sel ? »
Quand il était entré au NCIS, son patron lui avait appris énormément de choses. Une pointe de fierté le fit sourire, il avait l'occasion aujourd'hui de lui en apprendre tout autant…
Un amant, un travail génial et des chasses existantes, comment la vie pourrait-elle être plus parfaite ?

Fin


voilà j'espère que vous avez aimé cette fin...

merci de m'avoir lu