Auteur : Dadzetos

Rating : T, des petites scènes sensuelles entre les deux jeunes filles à venir, mais rien de très hard.

Disclaimer : Les personnages appartiennent à JK Rowling, je ne fait que les emprunter. Mais les relations inter personnages sont de moi.

Commentaire : Une petite fanfiction, de quelques chapitres, dix chapitres précisément, sur le couple Hermy/Pansy. Un Yuri donc, que je laisserait dans le soft. Il n'y aura pas d'explicite, mais sûrement de l'implicite et quelques scènes sensuelles, mais certainement pas de PWP à craindre.

Je vous laisse lire le prologue. La suite arrivera quand elle arrivera, j'ai beaucoup de projets en cours. Mais je ne laisserais pas cette fanfiction plus de deux semaines sans ajouts d'un chapitre. (au final j'ai mis 6 ans à la terminer, je m'en excuse.)

PROLOGUE :

ENTRE DEUX RAYONS DE LIVRES

Onze heure trente. Hermione était sacrément à la bourre, et se dépêchait dans les couloirs de Poudlard pour retrouver ses amis qui l'attendait depuis un quart d'heure dans le parc. Elle avait encore traîné trop longtemps dans la bibliothèque, à lire les derniers ouvrages sur les études runiques en Bretagne Française. Elle le savait, c'était sa faiblesse, aussitôt plongée dans un livre elle n'en ressortait plus. Surtout que là c'était une étude sur les inscriptions du sorcier Aurebois au moyen-âge, c'était super intéressant.

Hermione pensait en marchant en vive allure, quand elle bouscula et trébucha sur un autre élève. En l'occurrence ici c'était une autre élève. Pansy Parkinson gisait sur le sol, se frottant le coude, ses livres éparpillés sur le sol. Hermione lui jeta un œil froid et fit mine de repartir avant que la Serpentarde ne lui dise :

- Dis donc Granger, tu bouscules les gens, tu les fais tomber et tu ne t'excuses pas ? Pour une gryffondor ton comportement est grossier, dit-elle alors de manière agressive.

- Oh Pansy, ne fait pas comme si mes excuses t'intéressaient !

- Non, en effet, mais la politesse reste la politesse, et plutôt que de bavasser aides moi donc à ramasser mes affaires. C'est à cause de toi si tout est par terre, ajouta Pansy.

- Tu peux rêver ma grande, je ne m'excuserais pas et je ne t'aiderais encore moins à ramasser tes affaires de serpentard, répondit Hermione en colère.

Les deux jeunes femmes se jetèrent un regard noir. Aucune ne bougeait et ne voulait céder. Puis le regard de Pansy changea et devint suppliant, Hermione étonnée, rompit et céda.

- Très bien, excuse-moi, je vais t'aider à les ramasser, tes stupides bouquins.

Elle se pencha et aida la jeune Serpentarde à ramasser ses livres. Et alors qu'elle en prenait un, elle lut la couverture : « Magie Et Tradition Française ». La gryffondor fut étonnée de voir que son ennemie lisait aussi des ouvrages sur la magie française. Même si elle ne pouvait plus remonter dans son estime après tant d'année de haine, Hermione accorda un peu plus d'humanité à Pansy. Peut être n'était-elle finalement pas ce zombie Serpentard qui ne sait pas réfléchir.

Voilà déjà 6 ans qu'elle se crêpait le chignon avec cette maudite Serpentarde pour apprendre aujourd'hui qu'elles avaient les mêmes centres d'intérêt. Qu'est ce que cela allait changer après tout ? Ce n'est pas demain que Pansy et Hermy formeront les meilleures amies de l'année. Hermione se dépêcha de rendre le livre à Pansy. Elle lui frôla la main par hasard et aperçu étrangement les pommettes attirantes de la Serpentarde qui rougirent. Pansy remercia Hermione se sauva laissant là la pauvre gryffondor qui n'avait pas tout saisit de la situation.

Premièrement elle l'avait remercié ou elle rêvait ? Pansy Parkinson, la peste des Serpentards qui montre des égards de politesse ? Non elle avait dû rêver… Et pourquoi avait-elle rougit ? Hermione rigola toute seule sur le chemin, Pansy lui était maintenant tellement vulnérable qu'elle se sentait largement supérieur à tous les Serpentards qui auraient essayé de l'ennuyer. Marchant haute et fière, Hermione se sentait d'attaque pour un début d'après midi qui commençait bien.

Et pourtant en arrivant devant ses amis elle ne dit rien. Pourquoi ? Quelque chose dans les agissements de Pansy l'empêchait de l'humilier comme ça. Elle ne savait pas pourquoi mais elle ne pouvait pas. Alors que cela ne l'aurait pas empêché de se moquer d'elle avant.

Enfin bref, elle oublia l'anecdote et passa le reste de l'heure avec ses amis à papoter et réviser les contrôles qui allaient arriver prochainement. Puis vint l'heure d'aller manger. La bande de Gryffondor, qui comprenait Ron, Harry, Hermione, Neville, et aussi curieusement Luna, se dirigea tranquillement vers le château, traversant le parc en fleur, marchant sur une herbe fraîche et récemment taillée par Hagrid et ses sortilèges efficaces. L'odeur moite de la rosée imprégnait encore la verdure qui s'ouvrait juste après un long et froid hiver, mais les effluves sucrés des violettes qui poussaient ça et là rajoutaient un air festif et gourmand à ce joli parc ensoleillé.

Ils rentrèrent dans le hall du château qui était bondé. Les élèves de tous âges accouraient vers la Grande Salle. Les jeunes sorciers encore candides et émerveillés du château montraient avec leur doigt des tableaux qu'ils jugeaient drôle, intéressants ou ridicules. Évidemment Hermione les connaissait tous et ça depuis quelques années déjà. Mais elle se souvenait de sa première année, de son émerveillement pour tout ce qui l'entourait, elle, fille de moldus, sang-de-bourbe comme l'appelait Pansy et ses amis.

Voilà justement la jeune Serpentarde qui arrivait avec ses amis. Hurlant de rire aux moindres propos de Draco, elle semblait tellement ridicule. Elle passa à coté d'elle sans lui jeter un regard puis partit s'asseoir à sa place pendant que les Gryffondors laissaient Luna pour aller rejoindre leurs propres places. Assise devant les plats succulents, Hermione ne dit mot et espionna Pansy pendant que Harry et Ron partaient dans un nouveau délire de garçons puérils.

Hermione n'arrivait toujours pas à comprendre l'attitude étrange de son ennemie. Pourquoi agir ainsi maintenant ? Elle tenta de se souvenir de ses dernières altercations avec la jeune fille ses précédentes semaines. Rien ne lui revenait à part les insultes, les moqueries, et le pire, la bagarre à ongles tirés en troisième année pendant le cours de Duel.

- Et toi tu en penses quoi, Hermione ?

Hermione revint à la réalité après le coup de coude brutal de Ron. Mais quel imbécile celui-là ! Elle se trouvait dorénavant face à ses deux amis qui la regardaient comme une étrangère.

- Quoi ? Vous parliez de quoi ?

- Hermione, ça va ? Oh mon dieu ! Tu n'es pas la vraie Hermione, quelqu'un te copie avec du Polynectar, dit alors Ron en tentant de faire de l'humour.

- Ça va Ron, tu es lourd… J'étais dans mes pensées, de quoi parliez-vous ?

- Et bien on parlait des cours de Métamorphose et du nouveau sort de permutation…, répondit Harry. Celui que tu nous as forcé à réviser il y a un quart d'heure.

- Ah oui… Quoi vous ne le savez toujours pas ? Demanda Hermione exaspérée.

- Mais si… Je disais juste à Ron qu'il ne pouvait pas servir sur un elfe de maison, et il certifie que si. Tu en penses quoi ?

- Ah… Et bien les propriétés magiques des elfes les protègent contre les sorts d'attaque, mais peut-être qu'un elfe peut volontairement se laisser toucher par un sort, c'est largement possible en fait. Sinon, vous ne trouvez pas Pansy bizarre en ce moment ?

- Bizarre ? Non… Pas plus que d'habitude en fait, cette petite face de chien est toujours une Serpentarde fidèle à elle-même.

- Mouai, je la trouve bizarre répondit Hermione, les yeux dans le vague.

- Et depuis quand tu t'intéresses à Parkinson ?

- Juste comme ça…

- Hermione, c'est toi qui es bizarre.

Ron avait peut-être raison, peut-être être que c'était elle qui débloquait. Elle ne lâcha pas la jeune fille du regard. Ron la comparait à un chien depuis la première année, à la fois pour son physique et son attitude avec Draco, pourtant la jeune fille avait changée, aussi bien physiquement que sans son attitude. Hermione la voyait de plus en plus seule, souvent à la bibliothèque alors que ses amis semaient la zizanie dans les sous-sols de Poudlard. De plus, la vilaine petite fille était devenue une belle jeune femme qui affirmait ses formes avantageuses avec un uniforme qui la mettait subliment en valeur. Ron pouvait se moquer d'elle, mais cela ne l'avait pas empêché de baver une heure sur son décolleté en cours de Potion. Et là, elle s'était excusée dans le couloir. Oui, effectivement, elle avait bien changé, se dit Hermione avec un peu de recul.

Elle décida de l'oublier un peu et planta machinalement sa fourchette dans sa purée. Elle passa le reste du repas à discuter avec ses amis avant de repartir, repue, vers le prochain cours. Le ventre tendu, les trois gryffondors avaient laissé Neville qui voulait discuter avec le professeur Chourave, et se dirigèrent doucement vers le quatrième étage, nageant à contre courant dans une marée de première et deuxième année qui allaient soit dans les cachots soit dans les serres.

Ils arrivèrent à leur cours d'Histoire de la Magie où le professeur Binns attendait les élèves dans un silence mortuaire. Harry et Ron s'assirent à leur place habituelle laissant Hermione seule, comme d'habitude. Celle ci s'assit devant, seule, sans voisin. Alors que le cours avait commencé, Pansy arriva en retard et se trouva sans place. Hermione observa la situation avec angoisse. L'horreur, elle avait l'impression d'être dans une mauvaise histoire à deux mornilles où son ennemie allait devoir s'asseoir à coté d'elle. Pourtant la jeune Serpentarde s'approcha de la place, prit la chaise et parti se mettre au fond de la classe avec ses amis, non sans avoir jeté un regard noir à la jeune fille. A la fois soulagée et déçue, Hermione se pencha sur sa feuille et remplit avidement les blancs par les mots flottants du vieux professeur.

Le cours était interminable, et s'étirait en longueur, mais finit quand même au grand soulagement des élèves, éreintés par le cours ennuyeux du fantôme. Harry et Ron attendirent Hermione qui mettait toujours du temps à ranger ses innombrables affaires. Ils retournèrent dans la salle commune des Gryffondors où l'ambiance conviviale attirait toujours une petite dizaine d'élèves qui discutaient en groupe. Les trois amis décidèrent d'attaquer leurs devoirs, mais Ron et Harry furent vite perturbés par Seamus et Dean qui avait volé un bijou à Draco.

- Regardez-moi cet anneau. Mais qui voudrait ça franchement ? C'est moche et ça fait péteux. Il y a un truc marqué dessus c'est illisible, ça rougit au contact du feu. Pff c'est tellement naze, dit alors Dean qui décrivait l'anneau.

- Vas-y essaye le voir ce que ça donne Dean.

- Non vas-y toi Seamus, ça t'ira bien, on connaît tes goûts…

Le garçon rougit à l'évocation de la sexualité du garçon. Hermione plus qu'agacée par les propos machiste des jeunes Gryffondors et de leur attitude presque homophobe envers Seamus, décida de leur reprendre la bague usant de son pouvoir de préfet en chef. Elle parti de la salle, décidée d'aller donner la bague à un professeur si elle en voyait un en chemin. Elle ne croisa personne mais continua son chemin vers la bibliothèque, ses livres sous les bras. Elle échappait ainsi aux hurlements mâles débiles des garçons dans la salle commune.

Habituée à l'espace renfermé et cloîtré de la bibliothèque poussiéreuse, elle sourit à la petite femme qui l'accueillait toujours avec bonté, contrairement aux autres élèves. Elle parti s'asseoir à sa place préférée, au fond, face à la fenêtre, entre deux rayons de livre. La grande table de six places qu'elle occupait d'habitude était la seule de libre à cette ci de la journée où tous les élèves effectuaient leurs devoirs. Malheureusement, une personne était déjà assise à sa place : Pansy Parkinson, qui ne prit même pas le soin de lever la tête de son livre. Agacée Hermione s'installa à l'extrémité de la table, loin de la fenêtre, bien malgré elle.

Oubliant la présence de la serpentard elle se plongea avec frénésie dans ses devoirs, écrivant nerveusement son devoir à rendre. Peinant sur un détail elle fouilla le livre avec effervescence sans trouver, elle dû se lever pour aller chercher un autre ouvrage dans les rayons obscurs de la bibliothèque. Elle trouva finalement son livre et retourna vivement à sa place en s'asseyant brusquement, faisant souffler d'agacement la jeune Serpentarde. Hermione, n'y prêtant pas d'attention, fouilla dans son livre la réponse qu'elle cherchait. Elle tomba finalement dessus et lâchai un : « Mais OUI ! » très retentissant. La Serpentarde agacée répondit :

- Tais-toi Granger, tu n'es pas toute seule…

Hermione se retourna contre la jeune fille :

- Si je te dérange Parkinson, il ne fallait pas te mettre à ma place.

- C'est marqué Granger quelque part ? Non, alors ne viens pas m'embêter.

- Peut-être que si tu venais plus souvent tu le saurais… Ils sont où d'ailleurs tes copains, le petits Malefoy et ses gorilles de copains ?

- Ça te regarde ?

Grognant, la Serpentarde retourna à son livre et sa voisine Gryffondor fit de même. Elles se plongèrent toutes les deux en silence dans leur devoir. Puis Hermione, sentant dans sa poche l'anneau de Draco, le fit glisser brutalement jusqu'à Pansy en lui disant :

- Tiens c'est à ta copine la blonde.

Pansy reconnu la bague mais la renvoya à Hermione.

- Tu lui donneras toi-même, je me mêle pas de tes affaires, t'es assez grande pour lui parler toute seule, non ?

- Tu pourrais lui donner, ça ne te dérange pas…

- Et bien si… C'est que…

Elle hésita à parler mais sous le regard insistant de la jeune Gryffondor elle lâcha finalement dans un seul souffle :

- Je ne parle plus à Draco.

- Quoi, mais je t'ai vu avec lui tout à l'heure.

- Je lui ai dit ce que je pensais de lui tout à l'heure et il m'a jeté hors de la salle commune des Serpentards.

- Quoi mais comment ça ? Toi qui es toujours à ses fesses ? Comment as-tu pu dire que…

- C'est plus compliqué que tes histoires de Gryffondors Hermione… Chez Serpentard tout est toujours plus compliqué. N'oublie pas qui nous sommes, des sang-purs, nos familles sont riches, et ont malheureusement le pouvoir sur tous nos actes.

Hermione ne comprenait pas où voulait en venir la jeune fille, et n'ajouta rien. Elle reprit la bague sentant qu'elle ne devait pas insister sur le sujet, malgré son énervement quand à l'orgueil de la jeune fille sur les Serpentards sang-purs… Elle jugeait les Gryffondors comme à son habitude, comme s'ils n'étaient que des joyeux lurons qui ne connaissaient rien de la vie et passaient leur temps à se baigner dans la frivolité la plus folle.

Les minutes passèrent sans que l'une des deux filles ne dise un mot. Hermione avait finit ses devoirs et se prépara à partir. Elle regarda discrètement sa voisine de biais qui faisait pareil qu'elle. Finalement, intriguée par les histoires de Pansy, mais aussi peut-être par pitié, elle s'approcha de la jeune Serpentarde.

- Si tu veux demain soir on fait une fête à la salle sur demande avec quelques Gryffondors et Poufsoufles. Tu peux venir si tu te sens seule et que tu veux parler, j'y serais.

- C'est bien gentil Granger, mais je n'ai pas besoin de la pitié d'une sang-de-bourbe. Retourne voir tes amis débiles Weasmoche et Potter L'élu-d'mon-cul et laisse moi bosser.

Grinçant des dents Hermione quitta la bibliothèque, déçue par la réaction de la fille qui était pourtant prête à parler. Elle qui n'avait pas vraiment d'amie à gryffondor, puisqu'elle ne parlait pas vraiment à Parvati et Lavande, pouvait comprendre ce que pouvait représenter une fille à qui parler. Parce que parfois, même si elle se confiait à Harry, celui-ci ne pouvait pas comprendre ce qu'elle disait implicitement à moins d'être une fille. C'est ce que devait ressentir actuellement Pansy. Pourtant elle ait refusé son offre. Ce qu'elle comprenait après tout, elle se détestait depuis plusieurs années et n'allaient pas devenir amie du jour au lendemain.

Hermione rejoignit ses amis à gryffondor qui lui firent la fête à son retour comme deux petits chiens. Elle les aida avec le sourire pour qu'ils finissent leur devoir pour aller dormir. Elle les laissa pourtant finir la fin et partit se coucher. Se déshabillant devant son miroir, Hermione pensa à Pansy. Même si elle comprenait son refus, elle restait vexée. La jeune fille l'intéressait beaucoup malgré son caractère de Serpentard. Elle avait l'impression que son histoire avec Draco cachait d'autres choses. Elle l'oublia bien vite et se fixa sur elle, s'admirant dans la glace, elle ne pu s'empêcher de louer ses formes admirables. Oui, Hermione pouvait être narcissique. Lavande arriva et aperçu la jeune fille en sous-vêtements devant son miroir. Celle-ci se dépêcha à se rhabiller mais n'échappa à la fessée de la terrible Lavande, véritable supplice pour toutes les jeunes filles de Gryffondor qui ne faisait pas attention à leurs arrières. En guise de vengeance Hermione lui balança son coussin dans la figure et reçu en échange celui de Parvati qui venait d'arriver. La bataille s'engagea et dura toute la soirée. Mortes de fatigue les jeunes filles s'endormirent comme des pierres.

Cette nuit là, Hermione fit un rêve étrange. Dans son rêve, la jeune fille rêva de Pansy et à une histoire absolument sans queue ni tête où la bibliothèque ressemblait à un énorme labyrinthe et où des livres maléfiques tentaient de l'empêcher de se rendre à une fête..

Loin du lit douillet d'Hermione, quelques étages plus bas, dans les sous-sols des Serpentards, Pansy rêva de son futur, qui était tout autre. Elle n'était rentrée que très tard pour éviter Draco. Celui-ci furieux, l'avait menacé de bannissement si elle ne revenait pas sur ses décisions. Mais Pansy refusait catégoriquement qu'on décide de son futur à sa place et le mariage arrangé que ses parents avaient décidé avec ceux de Draco était inconcevable.

La nuit tomba pourtant sur Poudlard, et les pensées des deux filles disparurent dans un lourd sommeil. L'obscurité empli tout Poudlard, réduisant le château au plus grand silence.

Fin du Prologue

J'espère que vous avez apprécié ce premier chapitre. Laissez-moi vos avis en écrivant une petite review. A bientôt